Le grincheux, le vieux, le casse-noix. Autant de surnoms qui peuvent paraître bien ingrat mais qui en réalité relève d'une complicité profonde entre le père et la fille. Honoka sait pertinamment qu'elle doit énormément à ce dernier, que cela fut de sa passion pour la forge ou même son confort de vie. Même si cela ne se voit pas toujours, Honoka aime sincèrement son père, raison pour laquelle elle aimerait l'aider à exaucer son rêve.

Si Honoka devait avoir un léger regret vis à vis de sa mère, c'est celui de ne pas avoir pu construire plus de souvenirs en sa compagnie. La maladie l'a emporté beaucoup trop tôt, mais elle se souvint parfaitement de son parfum, son sourire et son affection à son encontre. Aimant particulièrement les fleurs, Honoka honore sa mémoire en lui confectionnant des petits moulins à vent qui y ressemblent, tels des fleurs éternelles qui ne se fânent jamais.

Il est à la fois sa croix et son trésor insoupçonné. Responsable de la mort de ses deux parents, rien n'aurait pu présager qu'elle aurait à s'occuper de lui. Toutefois, par un jeu de circonstances dramatiques, Sojiro, l'oncle de Yahaba, lui en confia la garde comme pour l'obliger à se repentir. Si elle fit tout pour ne pas s'attacher à lui, Yahaba finit par gagner cette bataille à force d'usure jusqu'au point qu'elle accepta d'être appelé "maman". Depuis lors, elle veille sur lui telle une lionne, et s'emploie à tout faire pour qu'il ne devienne jamais comme elle.

Il était le frère cadet de la mère de Yahaba et était proche de cette dernière. A sa mort, il s'était promis de retrouver le responsable et finit par tomber sur Honoka. Par un jeu de circonstances fortuites, ce qui devait être une vengeance se transforma en quelque chose d'interdit où aucun des deux ne franchirent le pas. Leurs sentiments restèrent suspendus dans le temps jusqu'au terrible jour où Sojiro devint une torche humaine et disparut... jusqu'au jour où...

Honoka n'a jamais rien sû de sa famille d'origine, si ce n'était qu'il était probable qu'elle fut native de Nessa no Kuni. La seule chose qui pouvait la rattacher à ces derniers était une sorte de bille/bijou que l'on pensait insignifiant. Toutefois, cette petite chose le semblait bien moins au regard de Saki qui y vit une relique de sa famille maternelle. Si les deux jeunes femmes nouèrent naturellement une franche complicité, ce ne fut que plus tard qu'elles découvrirent qu'elles avaient un réel lien de parenté.

Drôle de rencontre qui n'a eu lieu bien plus tardivement qu'elle ne l'aurait dû. En effet, il existerait entre leurs pères respectifs une vieille rivalité amicale car tous deux sont forgerons. Mais visiblement, ils n'ont jamais trouvé bon de penser à présenter leurs enfants l'un à l'autre. Problème réglé.

Honoka a rencontré le jeune Kunao lors d'une visite de ce dernier dans sa boutique. Il n'était alors qu'un chunin tout frais qui n'avait aucune confiance en lui mais aussi un samuraï de l'ancienne école. Depuis lors, sa persévérence lui a permis d'atteindre le niveau des plus grands et de faire parti des meilleurs sabreurs de Seizan, même si pour elle, il est un peu trop énergique.

Une rencontre sous l'étoile de la forgeronnerie. Ce fut ainsi que tout commença, un deal pour le travail et la découverte de nombreux points communs. Il n'en fallut pas plus pour que ces deux-là pussent devenir de bons camarades, pour le meilleur comme le pire.

Ao était un homme que Honoka trouva bien rapidement original, mais surtout sympathique. Contrairement à certains de ces collègues forgerons de la vieille école, elle l'accepta comme client sans se soucier de ses excentricités. Sa langue pendue lui avait beaucoup plu.

Hotaru est une collègue et une samuraï dont Honoka reconnait aisément le talent. Elle ne peut pas prétendre avoir des amies, ce n'est pas tellement son genre, mais Hotaru est sans doute ce qui s'en rapproche le plus ou pourrait le devenir. Bien qu'elles sont très différentes, elles savent parfaitement travailler ensemble.

L'histoire aurait très bien pu être banale et n'être qu'une histoire de travail entre carbonistes. Mais voilà, entre le sakyuujin déserteur et la forgeronne de Seizan, on pouvait dire qu'il y avait un sacré brasero entre eux. Il n'en fallut pas plus pour dépasser les limites de la morale, pour leur plaisir à tous les deux. Est-ce que leur histoire peut avoir un avenir ? Difficile à prédire, mais Honoka ne se refuserait certainement pas de le revoir. Il y avait quelque chose en lui qui réveillait des choses qu'elle pensait ne plus éprouver.

Ce qui était au début qu'une simple relation professionnelle a fini par se muer en une sincère amitié et un respect profond. Beaucoup de chose aurait pu les opposer, mais des blessures similaires ont fini par les rapprocher, mais surtout les aider à se comprendre. D'un accord comme un accord, ils ont fait le choix de s'aider mutuellement pour obtenir des réponses.

Un drôle de bonhomme, marqué par la vie et la peau, mais dont la gentillesse et naïveté ont surpris Honoka. Marionnettiste, ils se sont promis de se montrer leurs travaux respectifs. Elle espère pouvoir lui rendre sa générosité car elle n'a pas oublié qu'il l'avait aidé.

Honoka considère que c'est une drôle de femme, toujours en train de faire la gueule ou bien de se montrer suspicieuse pour tout et rien. Elle pense même qu'elle est un peu parano. En tout cas, on peut pas dire qu'elle a fait bonne impression à la forgeronne. Elle était aussi aimable qu'une porte de prison. Heureusement que son comain Shiro se montrait plus chaleureux.

Un drôle de moine, rencontré par hasard à la sortie du temple de Seizan. Ils ont eu l'occasion d'avoir une longue conversation quasi philosophique, mais on ne peut pas dire que le moine fut du genre spécialement loquace. Ce n'était pas comme si Honoka le fut aussi...

Pour Honoka, ce moine sortait plutôt de l'ordinaire ou tout du moins ne suivait pas la bienpensante comme la plupart de sa caste. Il eut la courtoisie de lui proposer le gîte, le couvert et le dessert. Un très curieux moment passé, d'autant que la boisson avait beaucoup, beaucoup aidé. Trop peut-être.

Honoka l'a rencontré lorsqu'il avait débarqué à Seizan, en tenant sous le bras une mission qu'ils devaient mener ensemble. Si au début elle n'était guère emballée, elle a été surpris par la simplicité du bonhomme, bien loin de ressembler à l'archétype des togejins qu'elle avait l'habitude de croiser. Pas un mauvais bougre en somme.

Dabi est l'un de ses compatriotes et un forgeron expert dans de nombreux domaines. S'ils ne se fréquentent que peu, elle n'en a pas moins de la sympathie pour lui, bien qu'il possède un art particulier à foutre les gens un peu dans la merde. Mais bizarrement, elle ne lui en veut pas du tout.

Jeune sakyujin dans la fleur de l'âge, Honoka eut l'occasion de partager une petite soirée culturelle en sa compagnie alors qu'elle ne savait pas quoi faire dans le village. Au travers d'un spectacle de marionnette, elle découvrit que cette dernière était une apprentie dans le domaine et qu'elle s'employait à voiloir dépasser son propre frère. Pour une raison curieuse, la forgeronne nourrit beaucoup de compassion pour elle.

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Un drôle de jeune moine, pas mal porté sur la chose si ce n'était pour dire qu'il était un pervers reconnu. Cependant, Honoka le trouve plutôt amusant, surtout qu'elle se plait beaucoup de le provoquer en sachant qu'il dépasserait jamais la limite. Un bon gars.

Honoka eut l'occasion de passer une bonne soirée de beuverie avec Jin. Etrangement, le courant était très vite passé  entre eux, aussi vite que les nombreux verres qu'ils ont eu l'occasion de boire au détour de petit défi puéril. En tout cas, il lui permit d'oublier l'horrible journée qu'elle eut passé ce jour-là, et ça, c'était déjà pas mal.

Pour Honoka, il s'agit d'une gentille prêtresse de Toge, et les dieux seuls savaient que ça devait beaucoup lui coûter de le penser. Grâce à son amabilité, elle put bénéficier de quelques ristournes au sein de Toge, village décidément trop guindée pour la Kaname. Elle lui avait fait bonne impression... mais elle la pensait trop... altruiste.

Honoka a rencontré Kirei au détour d'un rendez-vous arrangé par un ami commun, Yamamoto Satoru. Ils ont eu l'occasion de beaucoup discuter, mais quelque chose l'ennui chez lui. Est-ce que c'est parce qu'il est trop bourgeois et maniéré ? Parce qu'il a l'air trop propre pour hêtre honnête ? Elle n'a pas encore mis le doigt sur ce qu'il le gênait chez lui.

Rencontré à Sakyuu aux abords du temple du feu, Honoka s'était vue offrir un repas par le jeune Akari après un long jeu de questions/réponses où le gamin avait estimé qu'elle avait été meilleure. Il en fallut pas plus pour qu'elle apprécie.