# Kaname Honoka - Le bruit du métal et le crépitement du feu [TERMINEE] Dim 17 Avr - 16:10
KANAME Honoka
" Celui qui peut dire de quel feu il brûle, ne brûle que d'un petit feu. "
i. Information
► Nom : Kaname
► Prénom : Honoka
► Taille : 1m75
► Poids : 60 kg
► Age : 29 ans
► Affinité Primaire : Katon
► Grade Militaire Souhaité : Chunin
► Village Souhaité : Seizan no Sato
► Religion : Carbonisme
► Grade Religieux Souhaité : Simple adepte pour le moment
► Particularité : œil droit borgne // œil gauche de couleur parme
► Source de l'avatar : Quanxi de Chainsaw Man
ii. Que recherches-tu ?
Honoka pourrait aisément dire qu'elle cherche à se rapprocher le mieux possible de la voix du Bushido la plus traditionaliste, mais elle est elle-même peu convaincue d'y arriver un jour, trop consciente de ses propres travers. Toutefois, cela demeure un but dans l'absolu et elle se contentera de dire à qui veut l'entendre qu'il s'agit de son objectif, non sans afficher un petit sourire en coin.
Dans le même temps, elle désire secrètement parvenir à créer des armes uniques en leur genre, petit rêve influencé par ceux de son propre père, forgeron de métier, et son affinité primaire qu'est le katon qu'elle considère comme la bénédiction du dieu Kagutsuchi lui-même.
Beaucoup plus officieusement, elle désire tenir la promesse qu'elle eut faite à Hanami Sojiro, concernant le jeune Yahaba. Nourrissant pour lui bien plus d'affection qu'elle n'ose l'admettre, elle souhaite protéger le petit garçon de l'univers de la guerre et des Yokais.
Dans le même temps, elle désire secrètement parvenir à créer des armes uniques en leur genre, petit rêve influencé par ceux de son propre père, forgeron de métier, et son affinité primaire qu'est le katon qu'elle considère comme la bénédiction du dieu Kagutsuchi lui-même.
Beaucoup plus officieusement, elle désire tenir la promesse qu'elle eut faite à Hanami Sojiro, concernant le jeune Yahaba. Nourrissant pour lui bien plus d'affection qu'elle n'ose l'admettre, elle souhaite protéger le petit garçon de l'univers de la guerre et des Yokais.
iii. Histoire
" Si vous me demandiez d'où je venais, je vous aurais répondu que je n'en savais rien, ou tout du moins que je n'en avais qu'une vague idée. Ma légende voudrait que j'eus poussé mes premiers cris à Nessa no Kuni. Et si je parlais de légende, c'était uniquement parce que c'était ce que l'on m'avait rapporté. D'après un type, qui avait lui-même rencontré un autre type, on avait expliqué à mes vieux d'adoption que j'avais été retrouvé en chouinant à l'arrière d'une carriole entouré de macchabées salement amochés et que je ne devais ma survie que grâce à la pitié de celui qui m'avait trouvé, voir peut-être de celui qui m'avait épargné dans le massacre si on était cynique. La chance ou le sort, c'était comme ça que j'avais débuté dans le monde.
Quant à mes parents d'adoption, ils étaient de Kyojinyama no Kuni, sans enfant et incapable d'en avoir. J'étais donc une aubaine ou un signe des dieux, tout dépendait le point de vue. Mon vieux se nommait Kaname Yukio, forgeron de métier, et ma mère Kaname Itori, une bonne épouse, à traduire comme faisant tout ce que mon père attendait d'elle. En soit, c'était des parents très ordinaires qui m'avaient donné une vie qui l'était tout autant pour quelqu'un des montages bleues : dans le fer et dans les armes. "
Quant à mes parents d'adoption, ils étaient de Kyojinyama no Kuni, sans enfant et incapable d'en avoir. J'étais donc une aubaine ou un signe des dieux, tout dépendait le point de vue. Mon vieux se nommait Kaname Yukio, forgeron de métier, et ma mère Kaname Itori, une bonne épouse, à traduire comme faisant tout ce que mon père attendait d'elle. En soit, c'était des parents très ordinaires qui m'avaient donné une vie qui l'était tout autant pour quelqu'un des montages bleues : dans le fer et dans les armes. "
Kaname Honoka. Une femme qui aurait pu mener une vie banale sans l'influence du Père. Bercée par le rythme entêtant du martellement du fer et fascinée par la danse des flammes crépitantes du foyer de forge, celle qui aurait pu se contenter de n'être qu'une belle enfant choisit la voie du guerrier. Mais son attirance pour le Bushido n'était pas uniquement née de là. Nombreux étaient les samurais qui venaient à la rencontre de son paternel pour réparer leurs outils de prédilection et qui lui racontaient leurs histoires : leurs batailles, leurs aventures, leurs légendes. Un appel qu'elle entendit très tôt et que Yukio encouragea avec fierté, orgueil qui fut d'autant plus renforcé lorsque l'on découvrit que la fillette avait en elle l'affinité du feu. Si dans un premier temps, cette nature inspira la méfiance, bien vite, son père y vit une marque du destin. Mais c'était une chose qu'elle n'aimait pas entendre. Le destin. Pour ces jolis yeux parme, ce n'était qu'une curieuse ironie. Plus tard, admettra-t-elle que cela fut une bénédiction du dieu Kagutsuchi.
Il y eut peu de choses notables dans sa vie qui méritât que l'on s'y attarda de trop : elle fit ses classes à Seizan, tout en aidant son père dans sa forge lorsqu'elle le pouvait, elle entra naturellement dans l'armée en tant que samurai, elle eut même l'occasion de refuser quelques propositions de mariage, et de perdre sa mère dans la maladie. Une vie d'apparence très commune dans la province des montagnes géantes. Pourtant, deux évènements entremêlés allaient en partie bouleverser la vie monotone de celle qui jusque là n'avait jamais eu à ne penser qu'à elle.
" Là où le déshonneur commence et s'arrête..."
Le premier se déroula à l'aube de sa vingt-troisième année. Missionnée avec son équipe de l'époque pour s'occuper d'un notable répondant au nom de Uchida Manabu, accusé de fomenter contre le seigneur local, Honoka eut le déplaisir de voir passer sous sa lame l'épouse de ce dernier, une certaine Hitomi, qui pour le protéger et l'aider dans sa fuite, fit barrage de son corps et fut mortellement blessée. Peu préoccupé par le sort de sa femme, Manabu parvint à s'échapper comme le pleutre qu'il était, tandis que la froide guerrière continua son chemin pour tenter de l'arrêter comme l'exigeait l'objet de sa mission. Mais ce que la jeune samurai ne sut pas, c'était que la dénommée HItomi avait un jeune frère, répondant au nom de Hanami Sojiro. Récemment parvenu à devenir médecin, ce dernier, pour qui sa soeur était aussi proche qu'une mère, ne fut pas en capacité de sauver son aînée dont les derniers mots soufflés sonnèrent comme le glas pour la personne désignée : elle avait des yeux aux couleurs de glycine. Avec cette seule et maigre description, Sojiro, qui n'avait rien d'un soldat, se lança en quête de celle qu'il jugea assassin de sa soeur. Il lui fallut deux années pour remonter la piste de Honoka, deux années où il s'évertua à établir un plan de vengeance où il pourrait avoir raison de la vie de la guerrière car non seulement elle lui avait pris un être de sa famille, mais elle avait aussi rendu orphelin un petit garçon nommé Yahaba, fils d'Hitomi et du parjure Manabu.
Brillant stratège, Sojiro avait ainsi planifié de A à Z une façon d'atteindre la samurai et de l'affaiblir assez pour l'approcher, tout en exploitant son métier de médecin. Ainsi, il dépensa une fortune pour engager des mercenaires qui devaient spécifiquement blessée la jeune femme, sans pour autant la tuer, et lui permettre d'intervenir tel un être salvateur pour qu'elle baissa sa garde. Car dans son désir de revanche, lui seul devait prendre son âme. Une vie pour une vie. Seulement, rien ne se passa comme prévu. Alors que la flegme Kaname tomba dans l'embuscade comme décidé, un yokai fit son apparition sur l'échiquier, bouleversant les desseins initiaux de Sojiro. Les mercenaires abandonnèrent rapidement leur commanditaire face au démon, sans demander leur reste, et ce fut ironiquement Honoka qui lui sauva la vie, y perdant toutefois son oeil droit. Loin de se douter de la réalité de la situation, l'énigme Kaname ne sembla ne tenir aucun grief à l'égard de l'inconnu qu'elle venait de sauver. Elle avait uniquement accompli son devoir, tel que le voulait les enseignements du Bushido. Sojiro y vit tout de même une opportunité de parvenir à ces fins. Jouant sur le fait qu'il avait une dette envers elle, le médecin s'entêta à vouloir rester à ces côtés et insista jusqu'à ce qu'elle cédât bien malgré elle. Et à partir de là, tout fut une question de temps et d'occasion pour Sojiro, espérant être un homme au-dessus de tout soupçon. Mais les dieux n'étaient pas d'accord et peut-être sous leur influence, ce qui n'était que haine et amertume évolua au cours des mois en sentiment contraire. L'intriguant Hanami se laissa surprendre à son propre jeu. Cherchant à séduire à dessein Honoka dont il avait une vision assez primaire, il se fit ensorceler par l'indélicate manieuse de sabre. Loin de ressembler aux femmes qu'il pouvait fréquenter, elle le surprit par son honnêteté et par son assurance désinvolte. Il découvrit en la taciturne Kaname une personne bien plus complexe que ce qu'elle dégageait... jusqu'à ce qu'elle avoua qu'elle savait pertinamment ce qu'il voulait et qu'elle avait toujours su. Elle avoua que le jour de la mort d'Hitomi, elle était revenue sur ses pas afin de vérifier l'état de la jeune femme, mais il tenait cette dernière dans ses bras en plasmodiant ses voeux de vengeance. Elle avoua qu'elle avait appris que quelqu'un la recherchait et qu'il s'agissait de lui. Elle avoua qu'elle l'avait reconnu lors de l'incident avec le Yokai. Elle avoua qu'elle avait simplement attendu qu'il lui imposa le châtiment qu'il jugea le plus approprié car son honneur de samurai ne lui permettait pas de le faire elle-même. Ainsi, les deux jeunes âmes étaient prisonniers de leur inclination : Sojiro incapable de lever sa lame envers Honoka, et Honoka incapable de demander l'absolution. Le remord du devoir non accompli et la faiblesse de leurs sentiments réciproques les poussèrent à se condamner eux-mêmes, coupant le fil de l'attachement qui avait fini par se nouer entre eux. Une séparation amère qui aurait pu se faire sans heurt si Kagutsuchi ne s'était pas manifesté, marquant ainsi le deuxième évènement significatif de la vie de la Kaname.
" Et que les flammes s'élèvent..."
L'immolacre. Un maléfice dépassant l'entendement des esprits les plus pragmatiques, une révélation pour ceux qui croyaient dans les miracles du dieu du feu. Honoka se souvenait parfaitement de ce jour où elle vit le mal embraser les chairs de Sojiro. Fortuite rencontre qui alla à l'encontre de leur promesse. Ils n'étaient pas destinés à se croiser à nouveau, telle était la pénitence qu'ils avaient choisi et qui cette nuit-là ne fut pas respectée. La sentence, elle, sembla quasiment immédiate : le feu. Purificateur, la malédiction de Kagutsuchi frappa le médecin sous les yeux d'Honoka. Incapable de bouger, incapable de parler, les flammes se mirent à danser et se déformer comme dans l'âtre d'un feu de forge. La jeune guerrière, mutique et impuissante, ne pouvait qu'assister à la scène où le visage de Sojiro se tordit de douleur et n'implora qu'une seule chose : protéger Yahaba. Son sort lui importait peu, il payait le prix. Elle, elle paierait le sien, en protégeant une vie.
Sans savoir d'où, ni comment ils étaient arrivés là, ceux qui se faisaient appeler les Gardes de la Flamme Noire, capturèrent le spectre enflammé de Sojiro et l'emmenèrent dans leur pays pour accomplir le devoir qui incombait les Torches Humaines. Extatique, la samurai ne chercha pas à lutter ou retenir ses hommes, se contentant de regarder ce qui paraissait encore être un visage et ce qui lui semblait être des yeux implorants. C'était la première fois que la jeune femme entendit parler du culte du Carbonisme, quand bien même elle était naturellement attachée à Kagutsuchi. Ainsi donc, qu'elle le voulut ou non, son existence demeurait intimement lié aux flammes. Message divin, rappel à l'ordre, signe céleste... Le feu était le dénominateur commun de tout ce qui lui arrivait de plus étrange. Mais que devait-elle voir à travers lui ? Toute une vie serait sans doute nécessaire ou bien désirait-elle continuer à être aveugle ? Bénis étaient les ignorants... ou pas.
Puisque le sort était jeté, elle n'avait à présent nul autre choix que de tenir la promesse muette qu'elle avait concédé à Sojiro au moment de sa terrible transformation. Yahaba, le fils d'Hitomi, était à l'époque qu'un petit garçon ayant atteint sa cinquième année, trop jeune encore pour réellement comprendre, trop vieux pour ne pas se douter de quelque chose. Pourtant, l'enfant suivit la samurai sans demander ce qu'il était advenu de son oncle. Sans doute imagina-t-elle qu'il avait peut-être déjà compris comment fonctionnait le monde. Elle fut pourtant plus surprise par le fait qu'il ne lutta pas quand elle l'emmena avec elle. Plus tard, Yahaba lui racontera que Sojiro parlait souvent à son propos, comme étant une femme aussi grossière qu'elle pouvait être honnête, et qu'il semblait à la fois triste et heureux en l'évoquant.
Les années qui suivirent, la guerrière s'évertua à protéger le petit garçon, bien qu'elle le confia plus souvent à la charge de son propre père, Yukio qui n'avait jamais posé de question à l'arrivée de ce "petit-fils" providentiel. Peu faite pour être mère, elle plaçait naturellement de la distance avec ce rôle qu'elle n'avait jamais désiré. Combien de fois avait-elle envoyé paître le garçonnet qui cherchait son affection ? Nombreuses... mais il était aussi entêté que son oncle. L'usure des années, une affection découlant de la proximité, des efforts des deux côtés, et vint le jour où Yahaba put appeler cette énigmatique femme "maman", non sans qu'elle grimaça devant la bizarrerie de l'appelation... mais elle ne le gronda plus. Elle accepta. Ne l'avait-elle pas privé de celle qui aurait dû tenir ce rôle ? Pourtant, chaque regard qu'elle lui portait éveillait en elle un profond sentiment de culpabilité. Sa punition. Une vie pour une vie. Puis, chaque année, il y avait le jour de l'expiation, Seinaru taiyō no kyōen, la fête du Saint-Soleil.
" A mes yeux, cette fête était un bordel sans nom, peut-être parce que je n'étais pas une fidèle surexcitée. L'enthousiasme de tous ceux qui étaient présents ne m'avait jamais contaminé, et bien au contraire m'enfonçait dans ma morosité. Cela finissait toujours dans la picole... mais je revenais à chaque fois. Une vraie masochiste.
Alors pourquoi ? Parce que j'étais une parfaite petite religieuse ? La blague. Non. Je venais pour lui, pour cette Torche Humaine que l'on exibait pour les prières et les souhaits. Même si je n'avais aucune idée de l'être qui se tenait devant moi, je me surprenais à espérer que c'était lui. La chance était infime, mais qui savait. Peut-être que ces machins causaient entre eux. De toute façon je leur tenais le même discours, peut-être que ça finirait par les saouler, peut-être que ça finirait par réagir. Qu'importait de toute façon, Kagutsuchi en avait décidé ainsi et je lui délivrais mon message : Yahaba allait bien et je cramerais tout ceux qui essaieraient de lui faire du mal. Un chouilla trop protectrice ? Ouais. Jute un chouilla. "
Alors pourquoi ? Parce que j'étais une parfaite petite religieuse ? La blague. Non. Je venais pour lui, pour cette Torche Humaine que l'on exibait pour les prières et les souhaits. Même si je n'avais aucune idée de l'être qui se tenait devant moi, je me surprenais à espérer que c'était lui. La chance était infime, mais qui savait. Peut-être que ces machins causaient entre eux. De toute façon je leur tenais le même discours, peut-être que ça finirait par les saouler, peut-être que ça finirait par réagir. Qu'importait de toute façon, Kagutsuchi en avait décidé ainsi et je lui délivrais mon message : Yahaba allait bien et je cramerais tout ceux qui essaieraient de lui faire du mal. Un chouilla trop protectrice ? Ouais. Jute un chouilla. "
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin à 60 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Sighild
► Quel âge as-tu ? Chuuuuuut
► Comment nous as-tu trouvé ? J'ai été corrompu par des joueurs présents ici-même
► Comment trouves-tu le forum ? Il présente bien
► T'as un autre compte? Lequel ? Je préfère ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, je me contente de qu'un pour le moment.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Nope
► Quel âge as-tu ? Chuuuuuut
► Comment nous as-tu trouvé ? J'ai été corrompu par des joueurs présents ici-même
► Comment trouves-tu le forum ? Il présente bien
► T'as un autre compte? Lequel ? Je préfère ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, je me contente de qu'un pour le moment.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Nope
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Kaname Honoka - Le bruit du métal et le crépitement du feu [TERMINEE] Mar 19 Avr - 18:59
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Seizan no Satô au grade de Chuunin !
Tu possèdes également le grade religieux Adepte avec la faction Carbonisme !
Alors comme vu en MP, j'ai bien aimé ta présentation. Cependant, tu n'as pas vraiment montré de choses qui te propulserais au rang de Chuunin. Je te l'ai quand même accepté au vu de l'âge de ton personnage et de la qualité de ta présentation, mais on va dire que c'est très récent in Rp au cas où.
TRAME PERSONNELLE :
Suivant la passion de ton père adoptif du nom de Yukio depuis longtemps, il t’a déjà parlé de matériaux pouvant forger une arme de haut niveau. Son rêve serait de pouvoir en forger au moins une dans sa vie. En écoutant les rumeurs dans les galeries souterraines de Seizan, beaucoup de forgerons pensent que ces pierres sont vraiment d’une extrême rareté. D’autres pensent carrément qu’elles tombent du ciel d’où le nom de pierre de météorite. Les Dieux eux-mêmes livreraient ce genre de pierres de temps en temps afin de permettre à la population de s’élever encore plus. Et si ce nom avait été donné simplement à cause des légendes qu’on raconte sur ce minerai. Et pourtant, si cela était vrai, pourquoi certaines pierres se seraient retrouvées dans des grottes enfouies très en profondeur ? Tout porte à croire qu’elles apparaissent d’une autre manière qu’une pluie de météorites.
TON IMAGE : La borgne
Suivant la passion de ton père adoptif du nom de Yukio depuis longtemps, il t’a déjà parlé de matériaux pouvant forger une arme de haut niveau. Son rêve serait de pouvoir en forger au moins une dans sa vie. En écoutant les rumeurs dans les galeries souterraines de Seizan, beaucoup de forgerons pensent que ces pierres sont vraiment d’une extrême rareté. D’autres pensent carrément qu’elles tombent du ciel d’où le nom de pierre de météorite. Les Dieux eux-mêmes livreraient ce genre de pierres de temps en temps afin de permettre à la population de s’élever encore plus. Et si ce nom avait été donné simplement à cause des légendes qu’on raconte sur ce minerai. Et pourtant, si cela était vrai, pourquoi certaines pierres se seraient retrouvées dans des grottes enfouies très en profondeur ? Tout porte à croire qu’elles apparaissent d’une autre manière qu’une pluie de météorites.
TON IMAGE : La borgne
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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