Ce rapport fait suite aux évènements survenus dans la Province d’Insen no Kuni.

Si notre arrivée ne connut aucune complication particulière, les lieux en eux-mêmes se présentaient sous la pantomime d’une scène de destruction totale. La montagne comportait des marques de section nette ; comme si quelque chose ou quelqu’un avait usé d’une lame aux dimensions magistrales pour la découper en plusieurs fragments.
Fragments qui après leur chute dans le lac, provoquèrent des inondations sur l’ensemble des zones côtières englobant les régions d’Insen et Hyonamori.
En approchant de la zone d’éboulement, nous avons été rejoints par un binôme de Shinobi dépêché par Jujou ; la Jônin Ueda Chinone, et son Genin Koga Rei, dont la mission d’investigation s’avéra similaire à la nôtre, nous amenant à faire cause commune.

Le glissement de terrain a révélé la présence d’une cavité souterraine qui s’enfonçait dans les profondeurs de la montagnes. Si au départ nous avons cru à une formation naturelle, les conjonctures qui suivront tendront à démontrer le contraire.

Après avoir investi l’endroit, nous nous sommes heurtés à plusieurs inconvénients ; le premier se manifesta sous la forme d’une porte scellée qu’il nous a fallu démolir, le second par la présence d’une créature saurienne, postée aux aguets dans une chambre adjacente, et qui fut immédiatement identifiée comme un Yōkai.
Massive, d’une taille approximative de quatre, peut-être cinq mètres, la chose se tenait sur quatre pattes griffues, arborait un manteau d’écaille de la même couleur que la terre, une large gueule capable d’engloutir un animal de la taille d’un bœuf, et une longue queue en balancier.
Elle nous a attaqué à vue. Non pas avec ses attributs physiques, mais bien avec du Ninjutsu de type Doton : la capacité de cracher des projectiles de pierre, couplée à la création d’un mur de boue protecteur.
Je n’avais jamais rien vu de tel.
Même à quatre, l’écart de puissance était trop grand pour permettre un affrontement qui s’étendrait sur la durée, mais à défaut de ne pouvoir la tuer, sa lenteur nous a permis de lui échapper pour poursuivre dans les souterrains.

Le désagrément qui suivit fut de taille, et faillit nous coûter la vie sans l’intervention d’un cinquième protagoniste.

Cela a d’abord commencé par des appelles au secours.
Si la perspective d’un piège a été soulevée, nous avons toute fois aboutit à la décision unanime de prendre acte des cris de détresse.
Bien mal nous en pris.
À notre arrivé, la zone était quasi-déserte et ressemblait à une salle de geôles désaffectée. Néanmoins, un détail retint mon attention ; le fond de la pièce comportait une sorte d’autel voué à un culte que je n’ai pas réussi à identifier. L’assemblage ne présentant aucunes marques ni symboles spécifiques.
Plus loin, l’une des cellules contenait quelque chose que nous primes pour un corps affaissé, mais qui s’avéra être un mannequin de bois. Le désastre suivit lorsque nous nous en approchâmes.
Une silhouette se détacha du plafond pour fondre sur nous. Plus grande qu’une homme, sa taille évoquait celle d’une chauve-souris géante. Elle-aussi se montra hostile, mais il y eut une différence conséquente par rapport au premier Yōkai ; ce monstre-ci était capable de s’exprimer avec des mots, au point de simuler un appel au secours, et s’avéra être beaucoup plus dangereux que son prédécesseur.
Lorsque nous comprimes que nous venions de tomber dans un piège, il était trop tard.
Le combat n’en fut pas vraiment un. Capable d’utiliser le Ninjutsu pour transformer le son en « arme », et de le combiner à des techniques Fuuton, elle nous tint rapidement à sa merci.

Ce fut là que le cinquième protagoniste entra en lice.

Il y eut d’abord une vague de chakra pure -que je supposerai plus tard être une variante de la compétence Néo-Samurai-, puis une explosion de chaire réduite à l’état de pulpe lorsque la créature fut découpée en quartiers.
Nous fûmes abordés par notre « bienfaiteur » qui nous annonça être à la recherche de « quelque chose » qu’il ne pouvait pas récupérer seul.
L’homme avait donc besoin de nous.
D’emblé, la technique utilisée -d’une puissance démesurée- me conduit au postulat que cet homme était peut-être à l’origine du cataclysme. Chose qui serait confirmée plus tard, au terme d’un épilogue funeste.
J’y reviendrai.

Nous pûmes en apprendre plus sur son identité ; Gekirin Kurai, et sur les origines de cet endroit qui n’était pas une formation naturelle mais un sanctuaire abritant un secret ancien.
En manœuvrant un peu, je pu également lui soutirer une information qui pourrait peut-être trouver matière à exploitation. Kurai m’a révélé être le descendant d’une lignée de Samouraïs (peut-être notoire, vu ses capacités) et dont certains des membres seraient encore en vie puisqu’il est le père d’un garçon qui, d’après ses dires, serait en âge de manier son héritage ; « Kyoubou Sokkou » (litt. Frénésie Foudroyante).
J’ignore cependant s’il s’agit d’un Seizanjin, mais si tel est le cas, je préconise que ce dernier soit retrouvé et placé sous surveillance car il pourrait être en danger, ou en constituer un lui-même s’il décidait de marcher sur les traces de son père.

En progressant, nous arrivâmes devant plusieurs portes scellées par un Fûinjutsu (deux parchemins qui nécessitaient d’être arrachés en même temps sous peine de détruire les informations dont recelait cet endroit). Étant un homme seul, et n’ayant pas la capacité de produire des clones de chakra, Kurai évolua de concert avec notre escouade pour pallier cette difficulté.
Ce fut Chinone qui s’en chargea.

La dernière étape nous donna accès à deux salles évoquant simultanément un bureau ou une bibliothèque, et un laboratoire.
Dans la première nous trouvâmes une lettre (que vous pourrez consulter en retranscription dans les annexes de cette missive) écrite de la main d’un érudit ayant foulé Onogoro à l’aube de la création des Village, et qui s’y serait manifestement opposé. Renketsu Ichiban.
La seconde fut plus intéressante ; nous pûmes exhumer une seconde lettre (également consultable en annexes) qui mentionnait un procédé exorable à la création d’un tout nouveau type d’arme ; les armes « Nephilim », ainsi que deux composantes potentiellement propices à leur fabrication.
Deux ambres rouges, et un réceptacle hermétiquement fermé qui contenait une substance organique de type inconnue.
J’ai pu mettre la main sur l’une des gemmes que je souhaiterai mettre à l’étude en association avec plusieurs forgerons du Village, si vous m’y autorisez.
Ueada Chinone est reparti avec le réceptacle et la seconde ambre, mais Ganryu-san lui a soumis l’adjuration de nous faire part du résultat de ses recherches.

Enfin, la salle contenait un dernier artefact ; un fragment d’écaille de couleur argenté ayant appartenu à une créature disparue, qui constituait le but de la présence de Gekirin Kurai.

Et puis les choses ont dégénéré.

Après avoir empoché l’objet, Kurai a abattu Koga Rei sans sommation. Nous révélant que sa présence ici n’était pas de son fait, mais mû par la directive d’un « maître ».
Il s’est désigné par le sobriquet de la « Colère » et a mentionné un certain Shunzui que Rei aurait rencontré par le passé.

"Shunzui m’avait parlé d’un Koga Rei… Shunzui n’a pas d’amis."

Ce qui m’a conduit à deux postulats.
Le premier étant que Rei, par l'intermédiaire de ce Shunzui, devait sans doute être en possession d’informations assez capitales pour entraîner sa mise à mort.
Le second, que ce même Shunzui serait potentiellement le « maître » mentionné par Kurai.

Toute poursuite conduisant à une éventuelle arrestation se révéla impossible.

Je ne suis pas sûre de pouvoir dire si cette mission fut une réussite, mais j’ai le sentiment que ces évènements en présage d’autres, et que nous sommes à l’aube d’un basculement qui pourrait s’avéré être une menace tangible pour Seizan, voir Onogoro tout entier, sur une échelle plus obscure.

Ganryu-san et moi avons fais halte à Beppu pour panser nos blessures. Nous rejoindrons Seizangakure dans les plus brefs délais.

Je reste votre obligé.

Ils ont commencé les recherches des enfants comme moi doté de chakra. Les premiers villages se construisent et je n’ai aucunement envie d’être l’esclave de tout cela.
Mes recherches seront souillées, mes découvertes bafouées pour ces futurs soldats. Jamais ! J’ai pris l’initiative de vivre en ermite et de construire cet endroit sous la montagne. Je vivrais selon mes convictions !

J’ai déjà caché toutes les pierres ou autres choses en ma possession à travers l’Onogoro avant même les premières fondations de ces foutus villages.
Je serai un fier descendant du peuple Ebisu jusqu’à la fin. À celui qui trouvera un jour ce message, j’ai vécu bien plus que je ne l’aurai imaginé. Je laisse mon trésor derrière cette porte à celui qui le trouvera. Faites en bon usage.

Avec ces pierres et ces cellules, il est possible pour un “Sculpteur” de créer 2 armes “Nephilim”. Des armes aux corps à corps aux pouvoirs bien spécifiques pouvant rivaliser avec ces abominables épées démoniaques.

À l'intention de Udezuku Heizen, Seizankage, dit "le géant des montagnes".

Dans un mois, je serai aux portes de Seizan. Je demanderai à voir le Kage. J'ai en ma possession des informations importantes sur les Oni. Veuillez, s'il vous plait, accepter de me recevoir à ce moment là. Renseignez-vous sur moi, vous verrez que je n'ai que des bonnes intentions. Demander au village de Kaigara et vous verrez. Sur ce, rendez-vous dans un mois.

Bien à vous,

Heizen,

Les ombres sont au courant pour Jujou. S’il vous plait, augmentez la sécurité au village de Seizan pendant votre future absence.

Fait preuve de prudence sur ta route.

Suite à une mission de mes subordonnés, un homme s'est présenté à eux sous la fausse identité de Lee Yen. Par la suite il a révélé sa véritable identité dans un rouleau adressé à mon nom et se présente donc comme Tetsu Ryuuza. Il m’a révélé des informations de la plus haute importance, toutefois j’émet un doute sur sa crédibilité. Dans sa missive il me dit être un ancien membre de Seizan, un “indépendant” comme ses gens là aime s’appeler, et que vous le connaitriez personnellement.

Pouvez-vous me confirmer la véracité de ses propos et m’en dire plus sur cette personne ? Pouvons-nous lui faire confiance quand il dit avoir des informations importantes ?

Merci par avance de votre aide,
Avec tout mon respect,

Je vous invite à me rejoindre à Jujou no Sato pour une réunion avec vos compatriotes Kages. Les temps n’ont jamais paru aussi troubles et je possède des informations de la plus haute importance que je souhaiterais vous communiquer de vive voix sans passer par un quelconque intermédiaire. L’Empereur a lui-même accepté notre entrevue. Je ne peux que vous inviter à la plus grande prudence lors de votre voyage.

À bientôt,

Je t'envoie ce message après être intervenu suite à la catastrophe survenue dans la chaine de montagne d'Insen no Kuni. Accompagné de Yugure Urumi et d'une escouade jujoujin dirigée par Ueda Chinone, nous nous sommes enfoncés dans ce qui ressemblait à un étrange temple souterrain particulièrement ancien. L'entrée semblait avoir été dévoilé suite au ravage mystérieux de la zone. Une fois à l'intérieur nous avons du faire face à plusieurs Yokais. Le premier, une sorte de lézard rocheux géant, ne s'est pas montré trop agressif et nous l'avons contourné. En nous enfonçant encore plus loin dans la roche, nous avons été attaqué par un second yokais. Une sorte de chauve souris géante capable de parler le langage des hommes. Elle a bien failli nous tuer mais nous avons été sauvé par un certain Gekirin Kuraï. Il s'est débarassé du yokai avec facilité avant de nous avouer être le responsable du cataclysme ayant eu lieu à Insen. Et ce dans le but d'exhumer un trésor présent dans ce temple enfoui.  

Après qu'il nous ait forcé la main pour l'aider, nous sommes parvenus dans une sorte de salle au trésor. Dans la dernière salle, Gekirin a récupéré une drôle d'écaille géante. Et puis il s'est retourné contre nous, tuant même le jeune Koga Rei qui accompagnait Chinone. Je l'ai poursuivi mais en vainc, il était bien trop rapide. Cet homme a apparemment des liens avec le village. Je ne connais pas bien le passé de Seizan.... Mais cet homme possède une force inexplicable. Il est particulièrement dangereux et dois être mis hors d'état de nuire très vite. Si jamais il continue de se balader librement, d'autres gens vont mourir.

Il y avait aussi deux autres gemmes rouges et une sorte de liquide étrange dans la salle au trésor. Le liquide a été confié à Jujou. Je leur ai demandé de nous envoyer les résultats de leurs recherches une fois qu'ils l'auront analyser dans leur laboratoire.  Ils ont aussi gardé l'une des gemmes. La dernière nous revenait et je l'ai confié à Urumi. Il est peut être déjà de retour au village.  J'ai du m'arrêter en route pour panser mes blessures et régler une affaire. Je serait bientôt de retour à Seizan. J'espère que tu auras des réponses à propos de ce Kurai boss... Car si tu veux mon avis, tout ceci n'est que le début.

Cher Monsieur Kage,

Je reviens d'une drôle d'expérience. J'ai fais l'acquisition d'un croc particulier dans un magasin. J'ai voulu faire en sorte de faire des recherches dessus. J'ai obtenue des informations auprès d'un vieil homme à Teito particulier. Il a expliqué que ce croc venait d'un monstre légendaire. Ena, une jeune prêtresse d'un autre village a sous-entendu une histoire de Yamato-Orochi. Je ne connais pas grand-chose à cette légende. La suite était un brin plus compliqué, une organisation du nom de Mugen on tenter de nous le voler ou même de l'acheter. Ils nous ont attaqué en plein milieu de la capitale, on s'en est sortie tout juste. Je ne sais pas pourquoi et qui est Mugen, mais je souhaiterai tenter de créer des armes avec cet artefact. J'aimerai votre aval. Et faire ce compte-rendu ? Pardonnez mon imprécision, mais je ne suis guère douer pour les mots.

Respectueusement,
Dabi Kaji.

Je suis navré de devoir vous écrire si promptement alors que nous venons de nous quitter il y a si peu de temps, toutefois une affaire urgente réclame votre attention. Durant les festivités liés à notre assemblée l’un de vos soldats à été capturé suite à une tentative d’assassinat sur un civil. Son nom est @Shirô Ishii. Bien que le mobile de son acte ne semble pas compréhensible, les preuves semblent toutefois accablantes. Naturellement votre homme se trouve dans les prisons de Jujou à l’heure où vous lisez cette lettre et je serais en droit d’appliquer ma propre justice. Toutefois nous visons à établir une parfaite collaboration entre nos villages et je vous prouve donc ma bonne foie en vous écrivant cette missive. Je vous joint également le rapport de mon Jonin sur la situation et vous prie de bien vouloir me dire ce que vous souhaitez que l’on fasse de ce bougre.

Seizankage, si vous lisez ces mots, c’est déjà une certaine victoire pour le simple genin que je suis. Je me nomme Watari Kasumi et si mon clan et certains de ses membres vous sont familiers, je doute que vous ne me connaissiez particulièrement. Jusqu’à présent, j’ai œuvré simplement, accomplissant les tâches qui m’étaient confiées. Seulement, la dernière mission qui m’a été confiée ainsi qu’à deux autres de mes pairs, Tadake Kyoshiro et Gekirin Kitai s’est soldée par un final qui laissa plus de questions que de réponses. Je ne saurais dire dans quelle mesure le rapport de notre chef de mission Tadake Kyoshiro fait état de la situation, mais au terme de cette dernière, nous avons récolté des cellules étranges « gracieusement offertes » par celui qui se fait appeler « La Paresse » au sein du Mugen. J’ai pris soin d’étudier ceci en détail cependant, les résultats ne sont guère concluants, manquant de ressources, de moyens et d’informations pour parvenir à un résultat satisfaisant. J’ai donc entrepris de poursuivre mes recherches par divers moyens pour finalement me retrouver face à une vérité que je souhaite partager aujourd’hui. Je ne suis qu’un genin et n’ai sûrement pas une vision suffisamment large de la complexité de la géopolitique de notre village, mais force est de constater que dans un avenir plus ou moins proche, notre village déclinera si nous n’envisageons pas d’autres voies d’extension.

En effet, aujourd’hui, notre force principale reconnue vient de nos armes démoniaques, mais face à la guerre qui se profile face au Mugen, cela ne fait nul doute vu les velléités de ce groupuscule ou d’autres menaces comme les Jashinistes, il est malheureusement à prévoir des pertes. Cela en résulterait au mieux de n’avoir personne en mesure de manier de telles armes, au pire, qu’elles passent entre les mains de nos ennemis. C’est donc une décrépitude qui nous attend, même si nos forges sont les meilleures du pays.

En revanche, les autres pays œuvrent entre autres à améliorer leurs connaissances sur d’autres terrains, comme les yokais, la science ou encore la médecine. Et dans ces trois domaines, nous sommes aujourd’hui largement en retard. Ainsi, afin de poursuivre les recherches sur un sujet qui touche de prêt le Mugen, afin de rattraper un retard certain sur certains domaines importants de notre société, je vous demande humblement de réfléchir à la possibilité de saisir l’opportunité de mettre en place un laboratoire ou tout autre organisme de recherche médicale tant d’un point de vue humain qu’en ce qui concerne les yokais.

Votre temps est précieux et vous en avez suffisamment perdu à la lecture de cette modeste et effrontée demande, cependant, je serais plus que motivé à répondre à votre convocation afin d’échanger davantage sur un sujet qui à terme touchera tous les habitants du village.

Bonjour. Vous trouverez ci-joint à cette lettre le rapport concernant l'escorte des chiens du fils du Daimyo du Kuma No Kuni, dans le cadre du maintien des bonnes relations entre la noblesse de la zone et les soldats de Seizan, ainsi que tout les évènements s'y étant déroulés. J'en profite également pour émettre un signalement à propos du Genin Watari Kasumi.

Lors de notre mission, son comportement aurait pu déclencher un incident diplomatique, par l'utilisation de techniques shinobi directement sur les animaux qui étaient ceux que nous devions protégés. Bien que cette mission en soit peu agréable et valorisante, elle reste nécessaire et j'estime qu'un tel comportement est une honte pour Seizan. Ce n'est néanmoins pas la réelle raison de ce message. Ce comportement est selon moi le reflet de limites morales presque inexistantes, ainsi qu'un mépris particulier pour la vie et sa dignité. Tout ces éléments sont particulièrement suspicieux et ne m'inspirent rien de bon pour l'avenir.

Je vous conseillerais fortement de le mettre sous surveillance. En raison des antécédents entre le clan Watari et Karā, je ne pourrais pas me charger de cette tâche, au risque de voir mes conclusions remisent en question.

PS: Soyez prudent. Il pourrait être plus fort qu'il ne le laisse croire.




@Udezuku Heizen

Je me permets de vous écrire cette lettre devant l’impossibilité manifeste de pouvoir vous rencontrer afin de défendre le cas de ma famille, du clan de Seizan qui est les Watari, du soutiens mutuel dont nous avons pu faire part depuis maintes générations. J’en suis fort peinée de votre décision de traiter tous les membres d’une famille qui ont tôt fait d’aider Seizan a grandir et évolué dans le bon sens après toutes ses années de bonnes collaborations. Vous mettrez fin alors suite à cette décision a une famille noble, a un mariage d’importance qui aurait pu tant apportée à Seizan et sa région. Je n’aurais d’autres choix que d’agir de la manière dont je pourrais afin de défendre ma famille. En tant qu’héritière du clan Watari et la fatigue de mon grand oncle, de diriger les affaires.

La trahison de Kasumi me blesse en mon sein plus que tout ce que vous pouvez imaginer. Ne dit-on que l’on ne peut être trahi que par ses proches ? Jamais notre famille n’aurait pu croire que mon propre frère jumeau aurait pu choisir de détruire ce monde au nom de Jashin. Je vous remercie de cette révélation, car depuis ce jour, je ne considère plus Kasumi comme mon frère, mais un ennemi de l’état. Je le tuerais moi-même et rapporterait sa tête à l’Empereur si nécessaire devant l’impossibilité de revenir sur les terres qui m’ont vu naître. Ce sera ma rédemption afin de n’avoir pas pu vu en lui qui il pouvait être.

Je ne cautionnerais jamais un groupuscule qui désire réduire à néant un monde dans l’espoir qu’un nouveau sera meilleur. Je n’ai eu de cesse que de combattre ce genre de personnes. Je poursuivrais ainsi seule cette tâche. Si jamais ma voix compte encore un tant soit peu, je ne peux que vous absoudre de poursuivre le rapprochement avec Toge que je n’ai eu de cesse de faire pour Seizan. La clé des compréhensions des yokais sera d’une grande aide dans le futur et les épreuves dont nous allons avoir à affronter. Cependant, qui suis-je pour vous donner ce genre de conseil ?

Avec mes amitiés les plus sincères,