# La Piste de l'Eau et du Ciel Mer 17 Avr - 2:44
La piste de l'Eau et du Ciel
ft. Kato Kanon.
Voilà des jours que Byakuren consacrait son temps libre à l'étude de ce mystérieux parchemin crypté, assorti de cette estampe et d'une étrange carte du ciel, semblant représenter une constellation. Des documents qui de par leur nature énigmatique avaient immédiatement saisi son intérêt, lorsqu'il les retrouva avec Kanon au cours de l'une de leur mission conjointe ; des archives abandonnées qui n'avaient toutefois que peu enjaillé son partenaire, particulièrement sceptique à l'idée qu'elles puissent revêtir un quelconque intérêt. La persévérance du prince se révéla toutefois payante, lorsque de plus amples recherches lui permirent de recouper ces indices avec une légende ancestrale : celle d'un esprit primordial des eaux, portant le nom de Seiryu.
C'est avec une grande excitation que le responsable du Pôle Renseignements du Bureau d'Etude accueillit cette découverte, se demandant naturellement si elle était en lien avec les Yôkais, et particulièrement les Yôkais aquatiques, sur lesquels il avait justement concentré la plupart de son travail récent. Une piste qu'il se devait absolument d'explorer, tant par intérêt personnel, qu'au regard de l'avancée des connaissances humaines que pouvait potentiellement engendrer une telle investigation. Certes, rien ne garantissait que cette dernière se révèlerait fructueuse, mais ne point l'explorer apparaissait aux yeux du Jounin comme de la négligence, bien déterminé à faire toute la lumière sur ce récit des plus intrigants.
Il ne comptait cependant réaliser un tel périple seulement par lui-même. Après tout, c'est en compagnie de Kanon que le tandem avait pu mettre la main sur ces anciens parchemins, et le Souhei espérait par ailleurs lui prouver l'importance ou le bienfondé d'une telle entreprise. Il fallait dire que le Genin n'avait jamais vraiment accordé le moindre crédit à ces histoires, mais peut-être que si l'une d'entre elles s'avérait fondée, tout en en étant personnellement témoin, il réviserait son jugement ! Dans cette hypothèse, il était même envisageable qu'il rejoigne finalement le Bureau d'Etude ! Une idée qui n'était guère pour déplaire à l'impérial, qui se surprenait à être désormais presque autant habitué à travailler avec le shinobi que sa propre sœur...
Suivant les traces de la légende, le duo se mit ainsi en route, bravant les différentes embûches qui se dressaient sur leur chemin. Si les voyages en Onogoro comportaient toujours leur part de risque, c'est bien leur arrivée à Insen no Kuni qui présenta face eux les difficultés les plus notables. Nul humain incapable de manipuler le chakra n'aurait été en mesure de suivre jusqu'au bout le parcours qu'empruntèrent les Togejins ; au grand dam du Genin qui plusieurs fois, tenta de convaincre Byakuren de rebrousser chemin ! Ce chemin de croix, aux endroits dissimulés et difficilement atteignables, expliquait probablement pourquoi personne n'avait jusqu'à présent pu confirmer ou infirmer ce que suggéraient ces manuscrits. Sans compter la menace des Yôkais autochtones, dont la présence se faisait de plus en plus importante à mesure que le binôme se rapprochait de sa destination finale.
Après de longues semaines de voyage, ils touchaient enfin au but. C'est dans la région des Sources chaudes sauvages qu'ils découvrirent le dernier repère qui s'offrit à eux : une stèle gravée de la constellation de leur parchemin, à partir de laquelle les étoiles les guidèrent jusqu'à un site isolé, où se profilait une étendue d'eau caractéristique de la topologie locale. Tout autour se trouvait un paysage a priori classique, de la végétation jusqu'au sol qui les avait vues naître. Avaient-ils fait chou blanc ? S'étaient-ils égarés, ou l'objet de leur quête avait-il depuis longtemps disparu ? Force était de constater que rien d'ostentatoire ne se présentait spontanément au regard des Togejins, si bien que Byakuren ressentait d'ores-et-déjà le jugement silencieux de plus en plus prononcé de Kanon...
Une pointe d'appréhension traversait l'esprit du prêtre d'Amaterasu, confronté à la perspective de plus en plus réaliste de faire face à une possible impasse. Des réminiscences de son pèlerinage dans la région de Seizan, aux côté de Hyouren, commençaient à s'insinuer parmi ses pensées, comme si ce long périple s'apprêtait à devenir un souvenir similaire, sans qu'il ne soit couronné d'une trouvaille spécifique. Cependant, le Minamoto n'avait encore pas dit son dernier mot : ils avaient parcouru bien trop de chemin, et trop d'éléments semblaient s'aligner aussi fluidement que les étoiles de cette constellation, pour abandonner si tôt ! Maintenant qu'ils avaient atteint cet endroit, leur meilleure chance était de le fouiller du mieux qu'ils le pouvaient... C'est alors que Byakuren se remémora les mots exacts de cette légende ancienne.
Canalisant son chakra Doton, le Souhei commençait à soulever la terre environnante, cherchant ainsi à creuser méthodiquement la terre sur une surface relativement large, sans prendre le risque d'aller trop vite et de manquer un indice. De longues minutes défilèrent, au cours desquelles l'espoir et l'enthousiasme dansaient avec la résignation dans le cœur du jeune homme, conscient qu'il s'agissait là de l'une des toutes dernières cartouches dont disposait leur tandem. Mais tandis que la terre s'agglomérait sur les extrémités du site, et que les chances d'une découverte s'amenuisait au fil du temps, une petite boîte émergea enfin à la vue des Togejins !
Cette spontanéité plus informelle reflétait toute l'euphorie contenue de l'impérial, se saisissant de cet artefact dont il s'apprêtait à dévoiler le contenu !
C'est avec une grande excitation que le responsable du Pôle Renseignements du Bureau d'Etude accueillit cette découverte, se demandant naturellement si elle était en lien avec les Yôkais, et particulièrement les Yôkais aquatiques, sur lesquels il avait justement concentré la plupart de son travail récent. Une piste qu'il se devait absolument d'explorer, tant par intérêt personnel, qu'au regard de l'avancée des connaissances humaines que pouvait potentiellement engendrer une telle investigation. Certes, rien ne garantissait que cette dernière se révèlerait fructueuse, mais ne point l'explorer apparaissait aux yeux du Jounin comme de la négligence, bien déterminé à faire toute la lumière sur ce récit des plus intrigants.
Il ne comptait cependant réaliser un tel périple seulement par lui-même. Après tout, c'est en compagnie de Kanon que le tandem avait pu mettre la main sur ces anciens parchemins, et le Souhei espérait par ailleurs lui prouver l'importance ou le bienfondé d'une telle entreprise. Il fallait dire que le Genin n'avait jamais vraiment accordé le moindre crédit à ces histoires, mais peut-être que si l'une d'entre elles s'avérait fondée, tout en en étant personnellement témoin, il réviserait son jugement ! Dans cette hypothèse, il était même envisageable qu'il rejoigne finalement le Bureau d'Etude ! Une idée qui n'était guère pour déplaire à l'impérial, qui se surprenait à être désormais presque autant habitué à travailler avec le shinobi que sa propre sœur...
Suivant les traces de la légende, le duo se mit ainsi en route, bravant les différentes embûches qui se dressaient sur leur chemin. Si les voyages en Onogoro comportaient toujours leur part de risque, c'est bien leur arrivée à Insen no Kuni qui présenta face eux les difficultés les plus notables. Nul humain incapable de manipuler le chakra n'aurait été en mesure de suivre jusqu'au bout le parcours qu'empruntèrent les Togejins ; au grand dam du Genin qui plusieurs fois, tenta de convaincre Byakuren de rebrousser chemin ! Ce chemin de croix, aux endroits dissimulés et difficilement atteignables, expliquait probablement pourquoi personne n'avait jusqu'à présent pu confirmer ou infirmer ce que suggéraient ces manuscrits. Sans compter la menace des Yôkais autochtones, dont la présence se faisait de plus en plus importante à mesure que le binôme se rapprochait de sa destination finale.
Après de longues semaines de voyage, ils touchaient enfin au but. C'est dans la région des Sources chaudes sauvages qu'ils découvrirent le dernier repère qui s'offrit à eux : une stèle gravée de la constellation de leur parchemin, à partir de laquelle les étoiles les guidèrent jusqu'à un site isolé, où se profilait une étendue d'eau caractéristique de la topologie locale. Tout autour se trouvait un paysage a priori classique, de la végétation jusqu'au sol qui les avait vues naître. Avaient-ils fait chou blanc ? S'étaient-ils égarés, ou l'objet de leur quête avait-il depuis longtemps disparu ? Force était de constater que rien d'ostentatoire ne se présentait spontanément au regard des Togejins, si bien que Byakuren ressentait d'ores-et-déjà le jugement silencieux de plus en plus prononcé de Kanon...
« Hmm... Toutes les indications convergent vers cet endroit. Nous serions à la recherche d'un esprit des eaux, peut-être devrions-nous poursuivre en plongeant ? »
Une pointe d'appréhension traversait l'esprit du prêtre d'Amaterasu, confronté à la perspective de plus en plus réaliste de faire face à une possible impasse. Des réminiscences de son pèlerinage dans la région de Seizan, aux côté de Hyouren, commençaient à s'insinuer parmi ses pensées, comme si ce long périple s'apprêtait à devenir un souvenir similaire, sans qu'il ne soit couronné d'une trouvaille spécifique. Cependant, le Minamoto n'avait encore pas dit son dernier mot : ils avaient parcouru bien trop de chemin, et trop d'éléments semblaient s'aligner aussi fluidement que les étoiles de cette constellation, pour abandonner si tôt ! Maintenant qu'ils avaient atteint cet endroit, leur meilleure chance était de le fouiller du mieux qu'ils le pouvaient... C'est alors que Byakuren se remémora les mots exacts de cette légende ancienne.
« En y réfléchissant, il est possible qu'il ne soit pas tant question de Seiryu, mais de cet homme, dont le courage aurait été enfoui et cristallisé en ces lieux. En tant que manieur du Shôton, je ne peux m'empêcher d'y voir une drôle de synchronicité. Je vais tenter de déblayer minutieusement les environs. »
Canalisant son chakra Doton, le Souhei commençait à soulever la terre environnante, cherchant ainsi à creuser méthodiquement la terre sur une surface relativement large, sans prendre le risque d'aller trop vite et de manquer un indice. De longues minutes défilèrent, au cours desquelles l'espoir et l'enthousiasme dansaient avec la résignation dans le cœur du jeune homme, conscient qu'il s'agissait là de l'une des toutes dernières cartouches dont disposait leur tandem. Mais tandis que la terre s'agglomérait sur les extrémités du site, et que les chances d'une découverte s'amenuisait au fil du temps, une petite boîte émergea enfin à la vue des Togejins !
« Kanon, viens voir ! »
Cette spontanéité plus informelle reflétait toute l'euphorie contenue de l'impérial, se saisissant de cet artefact dont il s'apprêtait à dévoiler le contenu !
MADE BY @ICE AND FIRE.
# Re: La Piste de l'Eau et du Ciel Dim 21 Avr - 17:10
La piste de l'eau et du ciel
An 806, printemps
Lieu: Insen no Kuni, Les sources chaudes sauvages
Kato Kanon: #9D5008Feat. @Minamoto Byakuren, le Chef
Lieu: Insen no Kuni, Les sources chaudes sauvages
Kato Kanon: #9D5008Feat. @Minamoto Byakuren, le Chef
Kanon ne savait pas quelle mouche avait piqué Byakuren depuis qu’ils avaient trouvé ce curieux parchemin chiffré, cette jolie estampe et cette carte du ciel. Quels étaient leurs intérêts ? Ces trouvailles ne les aideraient pas dans leurs missions de shinobi, ne les aideraient pas purifier ce monde gangrené par la corruption des haut placées, et puis surtout : ça ne se mangeait pas, ou ne mènerait pas à quelque chose de mangeable. Cerise sur le gâteau, quand le Jonin lui parla de suivre les traces de la légende d’un certain Seiryu, Kanon crut être tombé sur la tête. Le Prince était-il bien réveillé ? Il l’avait connu bien plus sensé…
Mais il était vrai que ce dernier était également un prêtre, ce que le Genin avait tendance à oublier. Un prêtre avec ses croyances et histoire qui faisaient office de vérité. Kanon soupira. C’était à Frère, l’apprenti moine parfait, qu’il fallait parler de légende, pas à lui… Peut-être avait-il aussi usé de ces dites légendes pour entraîner Frère dans ses tours qui indignaient tant les prêtres de Teito, il ne s’en souvînt plus clairement. Une chose était sûre, cependant : sans le savoir, Byakuren avait présenté à Kanon un argument suffisamment pertinent, le poussant à accepter de suivre le Jonin dans ses investigations. Une opportunité de retomber en enfance, loin de la réalité de la vie ? Toujours ! Et puis, si le Chef était en réalité malade, il fallait quelqu’un pour le surveiller…
Oh oui, il fallait définitivement le surveiller ! Si Kanon s’était montré de bonnes volontés en quittant Toge, plus le temps passait, plus le Genin fut convaincu qu’il était malade. Pourquoi emprunter ces chemins escarpés et tordus, alors qu’il y avait une route juste à côté qui mènerait à destination ? Pourquoi se compliquer la vie à chercher des passages cachés par les éléments naturels − et les abîmer au passage ? Le Kato avait beau essayer de convaincre le Jonin de faire demi-tour, que nenni ! Têtu comme il l’était, Byakuren fonçait droit devant. Un peu comme lors de leur rencontre avec Poils Bleus… Chef était doté d’une imprudence naturelle, qui l’inquiétait, comment ne l’avait-il pas vu plus tôt ? Mais ce n’était pas comme si Frère, toujours raisonnable, ne lui reprochait pas exactement la même chose quand il était encore là ; alors autant essayer de se détendre et de s’en amuser. Essayer. Parce que retomber en enfance était bien, mais c’était sacrément dangereux avec tous les dangers qui pourraient se présenter sur leur route. Bandits, Yokai, catastrophe naturelle…
Arrivé à Insen no Kuni, la région des sources chaudes, Kanon eut une lueur d’espoir : et si cette mascarade n’était qu’un prétexte pour passer des vacances à se prélasser dans un Onsen ? Un espoir vain, quand Byakuren le guida devant une stèle gravée d’un amas d’étoiles, avant de décider que c’était là-bas, dans cet endroit isolé, que se trouvait un « trésor ». D’où le prêtre pouvait-il détenir une telle imagination ? La sienne l’avait quitté en même temps que l’enfance. Pire, quand le Jonin se demanda à voix haute qu’il fallait peut-être plonger dans l’eau pour récupérer le-dit trésor… Kanon ne dit rien, parce qu’il voulait garder sa tête sur les épaules − Byakuren était Prince, et certaines manières nobles l’habitaient toujours, bien qu’il soit sans doute « mieux pensant » par rapport à tous les autres…
Kanon regarda Byakuren fouiller seul à la recherche de son dit « trésor », amusé. Qu’il creuse, qu’il creuse, le Genin était persuadé à un canular. Aucun « trésor » ne pouvait être caché ici… Et ceux, même lorsque le prêtre l’invita à venir voir la boîte qu’il avait finie par trouver.
− Vraiment ?
Ce fut plus sa curiosité envers l’enthousiasme de Byakuren, que le contenu de la boîte elle-même, qui poussa Kanon à s’approcher du « trésor ». S’il n’y avait rien dans la boite, il éclaterait de rire − parce que ce serait drôle de voir le visage déconfit de Byakuren. Et s’il y avait quelque chose, ce serait difficilement quelque chose de plus précieux que sa liberté.
Mais il était vrai que ce dernier était également un prêtre, ce que le Genin avait tendance à oublier. Un prêtre avec ses croyances et histoire qui faisaient office de vérité. Kanon soupira. C’était à Frère, l’apprenti moine parfait, qu’il fallait parler de légende, pas à lui… Peut-être avait-il aussi usé de ces dites légendes pour entraîner Frère dans ses tours qui indignaient tant les prêtres de Teito, il ne s’en souvînt plus clairement. Une chose était sûre, cependant : sans le savoir, Byakuren avait présenté à Kanon un argument suffisamment pertinent, le poussant à accepter de suivre le Jonin dans ses investigations. Une opportunité de retomber en enfance, loin de la réalité de la vie ? Toujours ! Et puis, si le Chef était en réalité malade, il fallait quelqu’un pour le surveiller…
Oh oui, il fallait définitivement le surveiller ! Si Kanon s’était montré de bonnes volontés en quittant Toge, plus le temps passait, plus le Genin fut convaincu qu’il était malade. Pourquoi emprunter ces chemins escarpés et tordus, alors qu’il y avait une route juste à côté qui mènerait à destination ? Pourquoi se compliquer la vie à chercher des passages cachés par les éléments naturels − et les abîmer au passage ? Le Kato avait beau essayer de convaincre le Jonin de faire demi-tour, que nenni ! Têtu comme il l’était, Byakuren fonçait droit devant. Un peu comme lors de leur rencontre avec Poils Bleus… Chef était doté d’une imprudence naturelle, qui l’inquiétait, comment ne l’avait-il pas vu plus tôt ? Mais ce n’était pas comme si Frère, toujours raisonnable, ne lui reprochait pas exactement la même chose quand il était encore là ; alors autant essayer de se détendre et de s’en amuser. Essayer. Parce que retomber en enfance était bien, mais c’était sacrément dangereux avec tous les dangers qui pourraient se présenter sur leur route. Bandits, Yokai, catastrophe naturelle…
Arrivé à Insen no Kuni, la région des sources chaudes, Kanon eut une lueur d’espoir : et si cette mascarade n’était qu’un prétexte pour passer des vacances à se prélasser dans un Onsen ? Un espoir vain, quand Byakuren le guida devant une stèle gravée d’un amas d’étoiles, avant de décider que c’était là-bas, dans cet endroit isolé, que se trouvait un « trésor ». D’où le prêtre pouvait-il détenir une telle imagination ? La sienne l’avait quitté en même temps que l’enfance. Pire, quand le Jonin se demanda à voix haute qu’il fallait peut-être plonger dans l’eau pour récupérer le-dit trésor… Kanon ne dit rien, parce qu’il voulait garder sa tête sur les épaules − Byakuren était Prince, et certaines manières nobles l’habitaient toujours, bien qu’il soit sans doute « mieux pensant » par rapport à tous les autres…
Kanon regarda Byakuren fouiller seul à la recherche de son dit « trésor », amusé. Qu’il creuse, qu’il creuse, le Genin était persuadé à un canular. Aucun « trésor » ne pouvait être caché ici… Et ceux, même lorsque le prêtre l’invita à venir voir la boîte qu’il avait finie par trouver.
− Vraiment ?
Ce fut plus sa curiosité envers l’enthousiasme de Byakuren, que le contenu de la boîte elle-même, qui poussa Kanon à s’approcher du « trésor ». S’il n’y avait rien dans la boite, il éclaterait de rire − parce que ce serait drôle de voir le visage déconfit de Byakuren. Et s’il y avait quelque chose, ce serait difficilement quelque chose de plus précieux que sa liberté.
# Re: La Piste de l'Eau et du Ciel Lun 22 Avr - 0:23
À l'intérieur de cette boîte repose une pilule cristallisée d'une teinte distincte, reconnaissable pour ceux qui ont déjà goûté aux pilules militaires. De plus, accompagnant cette pilule se trouve un petit morceau de papier portant ces mots :
Vous avez découvert l'une des 7 pilules de cristal. Tel un samouraï, j'ai parcouru Onogoro à la recherche d'un but. En tant qu'indépendant, j'ai aspiré à une existence libre, refusant d'être asservi par les villages qui exploitent les enfants doués de chakra, entravant ainsi mes quêtes et découvertes. Telles étaient mes convictions ; vivre libre comme un fier descendant du peuple Ebisu.
Renketsu Ichiban
Pilule de cristal :
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