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    Forum RPG inspiration Naruto - Ambiance médiéval japonais et Yōkai - Géré via Discord
    Nul ne sait depuis quand les Yōkai existent. Depuis les premières ères de l’humanité, leur magie, issue de ce qui sera appelé plus tard le chakra, fait trembler le peuple Ebisu de terreur. Incapable de repousser ses créatures les Hommes durent subir le joug de leurs attaques pendant plusieurs siècles avant de voir apparaître l’Espoir d’un Salut dans la naissance d’enfants dotés des mêmes capacités que les démons. Des enfants capables d’user du chakra à leur tour, une énergie remarquablement efficace contre les Yōkai. Rapidement, l’Empire décide de les enrôler dans l’armée de Onogoro et leur donne le nom de Shinobis (忍び), désignant alors par ce terme la volonté de faire de ses nouveaux soldats les principaux Chasseurs des Yōkai. Si la naissance de cette nouvelle Humanité reste un mystère, elle démontre toutefois son efficacité à combattre les démons. Très vite certains Yōkai semblent se rassembler autour d’un leader, un Chef de meute dont la montée en puissance est heureusement stoppée lors de la Guerre des Ours d’il y a 65 ans. Aujourd’hui encore les démons attaquent les villages et sont de plus en plus organisés dans leur raid, la menace de l’émergence de plusieurs chefs de meute ou d’un Leader suprême rallient les espèces, planant toujours au-dessus de l’Humanité.
    20.04.2024 : Patch 2.0 ici
    18.11.2023 : Passage à la Saison 2 ici
    10.07.2023 : Seizan ouvre ses portes aux indépendants ici
    01.01.2023 : Mises à jour effectuées, retrouvez le patch 1.1 ici
    29.11.2022 : Débarquement du Calendrier de l'avent ici
    29.11.2022 : Arrivé du premier SNK Magazine de Novembre ici, encore merci à Karā Saki pour cette surprise et n'hésitez pas à réagir ici
    08.10.2022 : Passage à la Saison 1, retrouvez le patch 1.0 ici
    25.06.2022 : Ouverture du forum, mises à jour effectuées, retrouvez le patch 0.2 ici
    15.05.2022 : Mises à jour effectuées, retrouvez le patch 0.1 ici
    16.04.2022 : Préouverture du forum.
    Dans des ruines austères, un homme aux yeux améthystes ourdit un plan longuement médité dans les ombres. Le monde, prêt à le couronner d'une nouvelle autorité, l'accueille. Sa main effleure les pierres millénaires, témoins d'un espoir déchu. Malgré les siècles écoulés, l'humanité décline inexorablement.

    Il s'est entouré d'alliés partageant sa vision, des idéalistes prêts à briser les chaînes de l'oppression impériale. Des ordres secrets sont donnés, et deux membres partent en quête d'objets uniques détenus par des soldats à la capitale. C’est à Teito, que le premier duo se confronte aux groupes de shinobis, alertant les forces armées. La vérité demeure insaisissable, permettant aux principaux suspects de s'échapper.

    L'Assemblée des Ombres, réunion des Kage, discute de l'émergence du groupe Mugen. Les affrontements éclatent à travers le pays, les artefacts recherchés suscitant des craintes quant à leur dessein.

    Dans cette période d'incertitude, Onogoro se prépare à affronter une adversité grandissante, où les enjeux sont considérables.
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    dit Kyuugeki, Jonin de Seizan
    Fumiri Kunao
    dit Kyuugeki, Jonin de Seizan
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    Fumiri Kunao
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      Objet: - Armure de fer ★★ - Un katana simple ★. - Un Katana Télescopique - Tantô ★ - Yakusha 訳者 (litt. Traducteur) - Miroir de Reset - Bois d'eden
    Flashback - Qui vole en oeuf...
    Avec Des gens ─ Kuma No Kuni - 799



    Couchée sur un banc de fortune, près des vagues attendris de la mer si mystérieuse, je regardais le ciel qui se constellait de nuages... Nous étions en début d'après midi et je rentrais d'une mission assez éprouvante physiquement : Une escorte qui avait fini en tête-à-tête avec un ours, la sale bête avait bien essayé de me croquer, mais ma lame s'était interposée miraculeusement entre ses crocs et moi. Quelle aubaine...
    Je gardais toutefois sur ma veste une grande griffure qui perçait jusqu'à ma peau, nue et entamée par les griffes acérée de l'ursidé. À côté de moi, contre la structure de mon reposoir, mon katana attendait bien sagement que je le récupère pour continuer ma route. Avec ma blessure, j'étais plus enclin à manipuler mon arme de l'autre bras.

    Cela picotait, mais j'avais vu pire.

    Bref, en rentrant, j'avais pris la décision de me reposer un peu au village de pêcheur de la région des ours... Évidemment, si tous les représentants de l'espèce étaient comme celui que j'avais abattu, il valait mieux se tourner vers la mer, et fissa. Malheureusement, seule les femmes s'occupait des entrées et sorties dans l'onde pure bleutée : L'apnée leur permettait de récupérer des coquillages et faire de la petite pêche, de quoi survivre en gros... Mais il fallait oublier les aventures en mer, cela faisait bien longtemps qu'on avait plus construit de bateau. Tournant la tête, j'observais un instant le courant marin qui se répercutait, immuable, sur la plage près de moi... Le bruit était apaisant, mais au fond des abysses, il y avait des dangers incroyables. Mordant ma joue, je reprenais ma contemplation du ciel... Certains horizons étaient plus compliqués à pratiquer que d'autres.
    À Seizan, on était si près du ciel que cela devenait un jeu que de regarder les étoiles. J'avais appris assez vite les constellations et certains soirs, je restais des heures à copiner avec les lumières célestes. Le toit de ma maison était autrement plus élevé que ce modeste banc, mais je devais avouer qu'actuellement cela faisait un très bon lit. Laissant mes pensées vagabonder, je m'endormis comme une loque.

    Le réveil fut comme un retour à la réalité, alors que je chutais en me tournant... Le banc n'était pas infini, mais le sol me rappela à lui. Grognant, je me relevais péniblement, ne prenant appui sur ma main droite, malheureusement celle du membre qui était blessé. Serrant les dents, m'insultant mentalement, je changeais de bras pour anéantir cette sensation inconfortable. Le soleil avait passé quelques nuages, depuis, et je pensais vivement que j'avais dormi une bonne heure, ou deux... Loin était la fin de l'après-midi. Baillant et décontractant mon dos et mes bras endormis, toujours, je me mis en quête de mon sabre pour repartir... Une affaire facile puisqu'il était posé sur...

    - Quoi ? A l'endroit exact où devait reposer le fourreau de mon arme, le vide si horripilant. Clignant des yeux, je cherchais autour de mon lit de fortune, mais aucune trace...

    "C'est quoi ce bordel ?"

    Mon sang ne fit qu'un tour et le sommeil encore un peu présent dans mon organisme disparu face à la rage, l'urgence et la honte de m'être fait voler mon arme, l'extension de mon être et la représentation de mon âme dans le bushido. Un piètre samouraï pouvait perdre son katana, mais seul un guerrier indigne pouvait se le faire voler en faisant la sieste.

    - Merde merde merde... Paniquant, un vif instant, je courus partout autour du banc pour chercher entre les galets noirs si le vent avait poussé un objet aussi gros sur la plage, comme un miracle, mais rien ne me sauva...

    Je m'étais fait dérober mon arme.

    Respirant une grande bouffée d'air pour me calmer, je courrais vers le village pour commencer mon enquête et retrouver mon épée si chère...
    CEYLAN



    Jonin de Seizan / Garde de la Flamme Noire dans le Carbonisme
    Kaname Honoka
    Jonin de Seizan / Garde de la Flamme Noire dans le Carbonisme
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    Kaname Honoka
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    Qui vole un oeuf... Feat  Fumiri Kunao & Midô Tsukuyomi - An 799

    C'était une autre époque, une époque où j'étais une autre femme dont on aurait presque du mal à imaginer qu'elle fut moi. Pourtant, ce n'était pas comme s'il y avait un gouffre d'année qui me séparait de cette période de ma vie, juste un enchainement de malheur, d'erreur et de bêtise. Du haut de vingt-trois ans, je ne me rendais pas compte que j'allais au devant des emmerdes et que l'objet de la mission que j'avais dans mon sac était ce qui me coûterait une partie de mon âme...

    En attendant, alors que je m'apprêtais à me rendre du côté de sakyuu et sa région, j'arrivais la bouche en cœur dans le village de Kaigara. J'étais pleine d'orgueil, enthousiasme, une grande gueule qui imaginait que rien ne pouvait m'atteindre, je me pensais assez maline parce que je n'avais jamais véritablement connu d'échec qui aurait pu m'ébranler. Oh, j'étais certainement pas parfaite, très loin même, pour ne pas dire une enfant terrible. J'étais bornée, j'obéissais tout en clamant que ça me gonflait, un peu rebelle, un peu joueuse. Je me plaisais à jouer avec les limites sans les dépasser. J'étais pétrie dans mes idéaux, ma vision héroïque du samuraï, la fierté au corps et au cœur. Notons que j'étais pas complètement débile non plus... juste pas mature finalement. Parce que je n'avais pas envie de l'être, parce que je ne voulais pas être un de ses soldats blasés. Ironique comme quoi ce genre de chose pouvait vous rattraper, hein ?

    Voilà ce que j'étais : une femme fière, le sourire aux lèvres, le regard brillant d'une résolution qui me semblait inviolable. La prétention de l'armure, la prétention d'avoir un bras qui n'avait jamais failli. J'avais toujours été sûre de moi. Trop. Beaucoup trop et c'était ce qui allait rendre la chute violente, surtout pour mon égo. Mais si j'étais là, dans son coin de Kuma no kuni, ce n'était que parce que j'avais décidé d'en faire une étape de mon voyage. J'avais besoin de vivre, de flemmarder un peu aussi et contrairement à ma nouvelle légende, absolument pas pour passer dans une taverne. Ce vice-là, il viendrait à moi plus tard pour m'y noyer.

    Je sortais de chez un commerçant, les emplettes faites, que je me décidais de poser mon délicat popotin sur un banc du village. Je supposais que normalement, c'était plutôt destiné aux vieux, mais comme il n'y avait personne, c'était l'occasion parfaite pour moi de me préparer un peu plus pour la suite. À l'époque, je portais à ma ceinture un katana différent de celui que je brandissais maintenant : Komaimu no Tsume, " la griffe du lion protecteur ". Un fourreau noir et rouge, un effet qui rappelait la couleur des flammes, et surtout une lame que j'étais parvenue à forger en lui donnant un effet irisant légèrement rougeâtre. Encore un objet de fierté que je portais à la ceinture... mais que je finirais par ne plus utiliser après la "fameuse" mission. Uchida Manabu, ma cible, était un fauteur de trouble qui avait visiblement décidé de fomenter un mini coup d'État contre le seigneur de son village. C'était déjà un petit salop notoire, un type sans manière et sans scrupules qui n'avaient pour lui qu'une gueule et du bagout. J'étais persuadée que débarrasser l'Onogoro d'un type pareil, c'était la meilleure chose à faire. D'autant qui filait la frousse aux civils.

    " T'inquiète Manabu... maman vient te botter le cul. "

    J'avais notamment l'intention de faire en sorte que sa tête roula par terre. C'était ça, l'objet de la mission. Pour protéger, je devais dézinguer, accepter de me salir les mains. J'étais certaine d'avoir les épaules pour ça, et je le pensais toujours. J'étais pas une femme naturellement habitée par les regrets, je m'en étais toujours protégée. L'avantage du port de l'armure quand on était samuraï, c'était pas juste pour la classe.

    Mais tandis que mes yeux se perdaient sur la lecture de mon parchemin de mission - je n'étais pas encore borgne et je ne fumais pas encore beaucoup - je vis un drôle de type se pavaner avec un katana. Il avait le sourire d'un mec fier de son coup et moi, je devais avouer que je savais reconnaître la gueule d'un petit con voleur. Est-ce que je devais intervenir ?

    " Mmmm ? Faut être un mort ou un peu con pour se faire voler son arme. "

    C'était clairement pas mes affaires. C'était qu'une demi-heure plus tard que je vis un drôle de gamin arriver en panique à Kaigara. J'étais loin de me douter que c'était lui le mini-samuraï qui venait de se faire avoir. J'y voyais qu'un marmot et je pensais qu'il avait perdu sa mère.

    Midô Tsukuyomi
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    Midô Tsukuyomi
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      Qui vole un oeuf...
      Feat
      Kaname Honoka/Fumiri Kunao



      Stress... Jamais Tsukuyomi s'était attendu a cette décision de la part de son père. Divisant la caravane en deux, le vieux lion des Midô avait décidé de charger son jeune fils de passer par le village de Kaigara connu principalement pour ses ressources côtières. Au vu du modèle commercial des caravanes, cela semblait être une mauvaise idée de passer par un village dont la principale ressource était les fruits de mer. Néanmoins, les fruits de mer avait une particularité... c'était de produire des perles.

      Les humains ayant peur de s'aventurer en mer pour des raisons spécifiques et honnêtement compréhensibles. Tsukuyomi avait entendu de nombreuses histoires parlant de yokai ressemblant a des humains poissons et des superbes femmes dont le corps finissaient en réalité par des queues de poissons, noyant et dévorant les pauvres marins s'en étant épris. C'est pour cette raison que ce village était une destination incontournable pour les Midô, une fois arrivés a Teito les bijoutiers se bousculaient aux portes du domaines pour acheter a prix fort les perles récupérées par les braves Ama.


      "Ginji-san? Peux tu monter le pavillon ici? Je recevrai les notables par ici. A part Hamagawa-san et Imari-san qui seront de garde, les autres sont libres aujourd'hui de vaquer au village. Les prochains a surveiller les marchandises seront tirés au sort."


      "Bien jeune maître. "


      Si les perles des terres de l'ours n'étaient pas la majorité de leurs revenus, cela représentait quand même une somme confortable a négocier et derrière sa façade de confiance, le pré-adolescent était terrifié de la responsabilité que lui avait confié son père. Seul face a une cuvette d'eau propre, il opte pour une toilette rapide et enfiler des vêtements de ville, confortable et solides, n'importe quel oeil pouvait voir qu'ils étaient de facture supérieure, un moyen de montrer son statut de noble sans avoir a le préciser toutes les deux phrases et surtout rendre son statut social crédible. Une épée a ceint a son flanc pour finir d'achever le costume. S'il ignorait que le futur lui offrirait la possibilité de manier le chakra, il n'était pour l'instant qu'un simple civil adroit de sa lame.

      "Jeune maître! Hamagawa a été retrouvé assommé! J'ai pris la liberté de rappeler nos hommes et de commencer un inventaire. "


      Tsukuyomi s'étrangle alors qu'il buvait sa tasse de thé. Un vol? Dire que personne n'essayait était un mensonge mais rares étaient ceux arrivant a dérober quelque chose sous le nez des samouraïs de la noble maison Midô. Reposant sa tasse sur le rondin de bois a côté de lui qui lui servait de banc devant le feu de camp, le jeune homme soupire...

      "Qu'est ce qui manque?"


      "Nous n'avons pas fini mais... pour l'instant juste l'épée commandée par un des nombreux enfants du seigneur Usui."


      Le lunaire pâlit. Cette lame était un petit trésor forgée par les maîtres forgerons de Seizan filée d'or et qui avait pour but de servir d'ornement a la cour. Dire que le pré-adolescent appréciait les fils de catin du seigneur Usui était un mensonge, mais ils avaient un contrat avec eux et leur réputation a la cour en souffrirait. Il y avait deux solutions pour Tsukuyomi, c'était soit d'outrepasser la légitimité de Seizan et d'user de son escorte pour trouver le voleur, ou de collaborer si des shinobis étaient sur place. La deuxième option était probablement la meilleure, le lunaire doutait que le maire du village apprécie voir sa ville être retournée par les samouraïs... puis son père aussi... Reprenant calmement la tasse, il la porte a ses lèvres.

      "Je vais aller trouver des Shinobis pour mener l'enquête, nous ne pouvons nous permettre d'outre passer l'autorité de Seizan. Donne l'ordre a nos hommes de procéder comme d'habitude, laisse juste quatre gardes et pas deux. Interdiction de mentionner le vol aux locaux. Pour les perles, je te laisse négocier Ginji, le katana est plus important. Le prix ne doit pas dépasser les trois ryos la perle. Je veux juste avant ça que t'envoies un rapace a père pour l'avertir de la situation."


      Revêtant sa cape noire de voyage sur les épaules, l'adolescent marche d'un pas décidé. Elevé pour prendre ce genre de décision et suivant son père sur les routes depuis quelques années, Tsukuyomi ignorait s'il prenait les bonnes mais au moins il prenait des décisions et c'était ça le plus important. Sous son air de confiance, il était a deux doigts de céder a une crise de panique... Cela faisait beaucoup trop pour un gamin de douze ans... fin c'est pas comme si a seize certains nobles étaient déjà mariés et devaient assumer des responsabilités...

      Assise sur un banc dos a lui, une crinière blanche et un bout de tissu ressemblant a celui d'un chuunin du village de Seizan. C'est donc ainsi que l'adolescent aux yeux émeraude vient faire face a l'inconnue assise sur son banc, droit, dans une parfaite imitation de la posture de son père visant a dégager autorité et force... Sauf qu'il faisait qu'un mètre cinquante a tout casser a cet âge la. D'un ton impérieux il s'adresse a la jeune femme:

      "La maison noble Midô a besoin de vous shinobi. Veuillez me suivre s'il vous plaît."


      Après tout... il n'y avait pas beaucoup de raisons pouvant pousser un chef temporaire de caravane a faire appel aux shinobis locaux. En tout cas, soit il avait réussi son coup et irradiait la noblesse, soit le jeune noble était absolument ridicule devant la samouraï...


      dit Kyuugeki, Jonin de Seizan
      Fumiri Kunao
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        Objet: - Armure de fer ★★ - Un katana simple ★. - Un Katana Télescopique - Tantô ★ - Yakusha 訳者 (litt. Traducteur) - Miroir de Reset - Bois d'eden
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      Avec Des gens ─ Kuma No Kuni - 799


      "Merde merde merde."

      Dans la rue, mes yeux allaient de droite à gauche en quête d'un signe magistral de la présence de mon katana... Il était tout simple, tout beau, et rien ne pouvait le dissocier d'une autre arme à part quelques marques sur le pommeau, représentant les jours de labeurs pour un mouvement juste et précis. À une certaine distance, toutefois, ce n'était pas la première chose qu'on voyait... Il fallait se rapprocher, et examiner avec attention ce qui dépassait du fourreau, mais le voleur n'allait pas se laisser faire.
      Une vague de colère me saisit : Qui volait ainsi l'arme d'un soldat ? Sans doute quelqu'un qui avait profité de sa sieste... Honteusement, je nourrissais ma rage avec le remords d'avoir été ainsi dépossédé si facilement.

      Les visages passaient, marqué par l'innocence d'autres activités dans la journée... J'étais persuadé que l'auteur du larcin allait être auréolé de mauvaises intentions, mais jusqu'à maintenant rien n'allait dans ce sens. Les quelques guerriers que je croisais portés des armes bariolées d'un emblème qui m'était étrangé. Ce n'était clairement pas le mien. Serrant les dents, je continuais ma poursuite fâcheuse alors que j'entendais des mercenaires s'affoler, marchant rapidement dans la rue. Curieux, je les suivis du regard avant de les interroger :

      - Eh ! Qu'est-ce qui se passe ?
      L'un s'arrêta, cherchant la source de l'intrusion, et il baissa les yeux sur ma petite silhouette. J'étais jeune certes, mais quand même ! je n'étais pas si petit !
      - Qu'est-ce que tu veux, garçon ? Le dernier mot, comme une insulte, me fit rager intérieurement.
      - Je veux savoir pourquoi vous courrez dans la rue ! Croisant les bras, je cherchais toute la contenance et la dignité dont j'étais capable !
      - En quoi ça te regarde ? Pour le coup, la question était logique. Je gardais ainsi le silence alors qu'il se retournait vite, sans doute occupé à autre chose qu'à parler à un idiot mutique.
      - Eh ! Attendez ! Et ils étaient partis.

      Je restais ainsi planté au milieu de la rue, un peu livide, car aucune option ne se présentait à moi pour trouver mon précieux katana... Alors, je courus à la suite des mercenaires, pour au moins avoir quelque chose à faire. Peut-être qu'en prenant connaissance de la raison de leur empressement, j'allais tenir un indice pour mon problème ?
      Collant aux talons des hommes en armure, j'arrivais devant une petite procession de chariot dont les quatre coureurs gardaient jalousement les accès... La main sur leur fourreau, ils étaient prêts à frapper quiconque s'approcher. Ils étaient en alerte maximum ? Pourtant, autour de nous, il n'y avait nul danger... Fronçant les sourcils, je me demandais s'ils ne cherchaient pas plutôt à faire peur. C'était la tactique habituelle des surveillants ? L'un des golems me remarqua et je pus sentir, sous son casque d'acier, un peu de colère ou de suspicion à mon égard.

      - Qu'est-ce que tu fais encore là ? Il s'avança vers moi, levant la main pour attraper mon col ou bien ma manche, mais je l'esquivais bien vite. Il avait l'avantage de la résistance, mais toutes les couches de métal sur son dos le ralentissaient pas mal.
      - Je voulais savoir ce qui vous faisait courir !
      - Mais on s'en fout ! Une nouvelle tentative qui se solda par un échec. T'es un rapide toi, un petit chapardeur peut-être ? Fronçant les sourcils, je ne pus que murmurer...
      - Quoi ? Avant qu'une main gantée m'attrape l'épaule, venant d'un autre soldat qui arrivait derrière moi.
      - Où tu as caché l'épée ? Clignant des yeux, je ne compris pas dans quoi je m'étais fourré en suivant ces messieurs... Alors c'était comme ça que commençaient les kidnappings ? L'épée pour le seigneur Usui !
      - Je cherche mon katana, moi ! Je vais pas prendre celui d'un autre ! Du grain à moudre pour leur théorie fumeuse, on me ceintura avant de me soulever et de me coller contre le bois dur du chariot.

      J'étais piégé, entouré de grands gaillards qui voulaient me faire parler... "Mince."

      CEYLAN



      Jonin de Seizan / Garde de la Flamme Noire dans le Carbonisme
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      Qui vole un oeuf... Feat  Fumiri Kunao & Midô Tsukuyomi - An 799

      J'avais remis mon nez dans mon parchemin après avoir vu le gamin courir, quand subitement je sentis comme une ombre. J'aurais pu croire qu'il s'agissait simplement d'un nuage de passage, mais raté. Une voix d'un gamin qui venait à peine de muer me sortit de mes pensées, et autant vous dire que je ne pus retenir un râle.

      " Pardon ? "

      Je pliais mon parchemin avant de lentement lever la tête pour m'apercevoir que j'avais un petit nobliau en face de moi. Tout guindé, tout strict, tout raide. Encore un qui devait vivre une jeunesse de folie. Je me redressais un peu, posant mes yeux sur lui et le reluqua de haut en bas, mon air blasé par la façon dont il s'adressait à moi. Il y avait bien des choses qui me gonflaient dans le monde, et celui-là tapait dans le mille à tous les niveaux.

      " Alors pour commencer, je ne suis pas une shinobi. Si tu te servais de tes yeux pour regarder, tu verrais que j'ai un katana à ma ceinture et il est pas là pour faire joli. "

      Je rangeais mon ordre de mission dans ma besace.

      " Deuxièmement, je n'ai aucun ordre à recevoir ni obligation envers quiconque qui n'est pas de Seizan. "

      Ce fut à cet instant où je décidais de me redresser, me tenant devant lui, debout, baissant les yeux sur son petit minois de gringalet.

      " Troisièmement, tu peux appartenir à la famille que tu veux, je n'en ai rien à cirer. Alors tes ordres, tu peux te les foutre au cul. "

      Reprenant mes affaires pour dégager vite fait de là, j'en rajoutai une couche en bousculant volontairement le noble adolescent dont les petits airs me gonflaient d'avance. Que voulez-vous ? On se refaisait pas. J'avais un problème avec les aristocrates. Mais ce fut à ce moment-là que je me retournais encore vers lui en imitant une courbette de bourgeois.

      " Ha! J'ai oublié la formule de politesse : avec toute ma considération. "

      Bien évidemment, l'ironie et le cynisme de mon ton étaient plus qu'évident. Il fallait être benêt pour pas avoir noté mon irritation. Du coup, la seule bonne chose qui me restait à faire était de m'éloigner des emmerdes... alors qu'en réalité j'allais droit devant. Parce que oui, on aurait pu croire que l'histoire s'arrêterait là, sauf que je me pointais sans le savoir vers les hommes de Midô, qui eux, étaient en proie avec un autre adolescent.

      Normalement, ma politique avait toujours été : chacun sa merde. Je ne m'étais jamais attendu à quoique ce soit de la part des autres, je ne savais pas convenablement collaborer et j'aimais pas que l'on se mêla de mes affaires. En partant de ce principe, je ne m'occupais donc jamais d'autrui. Mais des fois, et je disais bien que "des fois", j'étais pourvue de quelques scrupules. Je vous en donnais dans le mille, quand je vis un gamin se faire malmener par une bande de plusieurs adultes...

      " Et bien, et bien... des adultes armés qui s'en prennent courageusement à un mioche sans arme... on peut dire que la bonne société s'est bien éduqué ses garçons, hein ? "

      Je portais naturellement ma main sur ma garde, le regard toujours blasé malgré que le geste put sembler un peu menaçant.

      " Généralement, ça fait moche sur le C.V. mais je peux vous donner une chance : soit vous lâchez le gamin et vous vous en retournez vous palucher entre vous, soit je vous donne la fessée... noter que je serais pas responsable si vous aimez ça. "

      Et j'espérais que j'aurais pas à dégainer. Trop la flemme.

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