# Le calme avant la tempête [Chinone] Jeu 22 Fév - 16:58
Aujourd’hui était jour de repos. Il y avait bien eu l’évacuation du village de Hana vers des camps de Jujou. Une mission pour réglé le problème se montait actuellement au village. Comme il s’agit, à ce que j’ai entendu, de Yukai, il y avait une chance que j’y soit convié moi aussi. A cette mission. En attendant, on m’avait ordonné de me reposer, de prendre l’air. Soit. J’obéis. En tenue civil, avec une écharpe autour du cou en lieu et place de mon bandeau, armé d’un livre et d’une gourde de café froid, je sortais de la caserne. Je n’étais pas seul. Le chat qui me collait lorsque j’étais à la caserne se trouvait sur mes talons.
On avait installé les réfugiés à proximité d’une source d’eau. Malgré ma nature plutôt solitaire, c’est à proximité de ce point d’eau que je décidais de m’installer pour bouquiner. Je n’étais pas particulièrement tranquille de les savoir à cet endroit. Et d’être à proximité me permettrai d’intervenir en cas de problème… Quoi « repos » ? Pourquoi insistez-vous sur ce mot ? Bien sûr que je sais ce que ce mot signifie. Il signifie : … ne rien faire. Ou du moins, lire en buvant du café. Comment cela ce n’est pas différent de mes temps de pause ? Bien sûr qu’il y a une différence. Lorsque je prends mes pauses, je prends un café en lisant. Vous voyez que c’est très différent. Boire du café en lisant un livre n’est pas la même chose que lire un bout de chapitre en buvant un café. Tout se joue dans la quantité et la durée.
Tout était calme dans ce lieu malgré l’installation des réfugiés. J’avais donc commencé par m’allonger pour bouquiner tranquillement dans l’herbe. Mais c’était sans compter sur ce coquin qui m’avait suivi jusqu’ici. Il commença par jouer avec mes pieds. Mais sans réaction de ma part, il me grimpa dessus jusqu’à remonter sur mon épaule. Il tenta d’attraper le livre. J’éloignais l’objet pour l’en empêcher. Pas de trop pour que je puisse continuer de lire, mais suffisamment pour qu’il soit hors de portée de ses pattes. Le chat chuta dans l’herbe et se rua sur le livre que je surélevais, contrant alors ses projets. Je ne comprends pourquoi il s’acharne contre les livres. Même à la caserne, il cherche à les attaquer. S’il ne les aime pas, et sachant que j’en ai toujours un, pourquoi me suis-t-il ainsi ? Vraiment, je ne comprends pas cet animal. Ni les autres d’ailleurs.
Ne parvenant pas à escalader mon bras, car je chasse gentiment ses pattes avec ma main libre, il finit par me monter de nouveau dessus. Cette fois, il se posa sur ma tête, comprenant la moitié de mon visage. Avec ma main libre, je l’attrape calmement par la peau du cou pour le déposer doucement sur le sol dans un miaulement de protestation que je n’écoutais même pas. Puis je me redresse pour qu’il ne recommence pas. Cette fois, je me mets en tailleur, adossé à un arbre. Mes gestes sont effectués avec un détachement qui ne masquait même pas l’indifférence avec laquelle j'appréhende la vie.
Le chat finit par abandonner et s’approcher de l’eau. Sans doute que ses acrobaties lui avaient donné soif. Sans quitter le livre des yeux, je l’observais du coin de l’œil. La terre meuble et humide autour du point d’eau ne résista pas au poids de l’animal qui s’était un peu trop penché pour laper un peu d’eau. Il bascula donc. Ce qui ne manqua pas de me surprendre légèrement et me fit décrocher de mon livre. En dehors de mon regard, rien n’avait bougé, ou presque. J’avais sans doute esquissé un faible sourire après avoir poussé un léger soupir. Mais je ne bougeais pas. A quoi bon ? Ce n’est pas parce que les chats n’aiment pas être mouillés qu’ils ne savent pas nager. Et j’avais déjà vu cette bestiole nager. Donc je ne m’inquiétais pas pour sa vie. Je me replongeais donc dans ma lecture, indifférent à ce qu’il se passait.
# Re: Le calme avant la tempête [Chinone] Dim 14 Avr - 7:31
Le calme avant la tempête
Le danger dans la province de Mitsu no kuni est bien loin d’être réglé. Faisant des aller-retour entre le village d’Hana, et les autres petits hameaux de la province et mon village, je me retrouve rapidement avalée par le travail. Obsession malsaine avec les fées et ce que je pourrais découvrir d’elles. Lorsque je ne suis pas appelée à faire autre chose, je supervise les évacuations, consigne les rapports et vérifie toutes les informations que nous avons au sujet des fées.
Je soupire et repousse mes rapports un moment frottant l’arrête de mon nez en soupirant. J’ai beau y passer des heures, j’ai toujours cette sensation qu’il me manque cruellement d’informations à leur sujet. Pourtant, je suis définitivement celle qui en sait le plus à leur sujet.
Je déteste faire quoi que ce soit si je n’ai pas un minimum d’information, mais malheureusement, tant que nous n’entrons pas dans leur repère, je doute que nous découvrirons quoi que ce soit de plus.
C’est rageant. Entièrement, rageant. Cependant, je n’ai pas le choix. Si je veux avoir une chance d’en savoir plus, il me faudrait être là-bas… Ou questionner quelqu’un qui y a été plus longtemps que moi.
Un petit sourire en coin apparait sur mon visage alors que l’idée prend forme dans ma tête. Évidemment, comment ai-je fait pour ne pas y penser plus tôt?
Sans perdre une minute de plus, je me hâte au camp de réfugiés de Mitsu no kuni. Peut-être pourrais-je les interroger et obtenir quelques petites informations supplémentaires? Les probabilités ne sont pas hautes, mais au moins c’est mieux que de relire les mêmes documents sans arrêt dans l’espoir de trouver un détail qui m’aurait échappé.
Ça ne me prend pas bien longtemps avant d’arriver près de ma destination, mais avant que je ne puisse commencer, j'aperçois un de nos shinobis lisant et se battant avec un chat que j’aurais probablement tuer à la seconde tentative d’approche de sa part si j’avais été à la place de l’autre.
Fait-il de la surveillance? Garde-t-il le camp? Je n’espère pas, il serait un très mauvais garde si c’était le cas.
Je détache mon attention du garçon avant de continuer mon chemin vers le camp.
Je soupire et repousse mes rapports un moment frottant l’arrête de mon nez en soupirant. J’ai beau y passer des heures, j’ai toujours cette sensation qu’il me manque cruellement d’informations à leur sujet. Pourtant, je suis définitivement celle qui en sait le plus à leur sujet.
Je déteste faire quoi que ce soit si je n’ai pas un minimum d’information, mais malheureusement, tant que nous n’entrons pas dans leur repère, je doute que nous découvrirons quoi que ce soit de plus.
C’est rageant. Entièrement, rageant. Cependant, je n’ai pas le choix. Si je veux avoir une chance d’en savoir plus, il me faudrait être là-bas… Ou questionner quelqu’un qui y a été plus longtemps que moi.
Un petit sourire en coin apparait sur mon visage alors que l’idée prend forme dans ma tête. Évidemment, comment ai-je fait pour ne pas y penser plus tôt?
Sans perdre une minute de plus, je me hâte au camp de réfugiés de Mitsu no kuni. Peut-être pourrais-je les interroger et obtenir quelques petites informations supplémentaires? Les probabilités ne sont pas hautes, mais au moins c’est mieux que de relire les mêmes documents sans arrêt dans l’espoir de trouver un détail qui m’aurait échappé.
Ça ne me prend pas bien longtemps avant d’arriver près de ma destination, mais avant que je ne puisse commencer, j'aperçois un de nos shinobis lisant et se battant avec un chat que j’aurais probablement tuer à la seconde tentative d’approche de sa part si j’avais été à la place de l’autre.
Fait-il de la surveillance? Garde-t-il le camp? Je n’espère pas, il serait un très mauvais garde si c’était le cas.
Je détache mon attention du garçon avant de continuer mon chemin vers le camp.
# Re: Le calme avant la tempête [Chinone] Lun 15 Avr - 16:07
Comme je m’en doutais, le chat sait nager et remonte facilement à la surface. Il prend le temps de se secouer pour éjecter un maximum d’eau. Toujours un œil à l’observer et un œil sur mon livre, je le regarde amusé. Mon livre raconte les aventure d’un chat qui accomplit des exploits après avoir été chaussé de bottes. Comment suis-je arrivé à lire ce compte pour enfant ? Je l’ignore. J’ai trouvé ce livre sur mon lit ce matin. En bon lecteur, je l’ai pris pour aujourd’hui.
Mais à peine ébroué, il se met à feuler. Je ferme alors mon livre et regarde dans la direction qui semble le préoccuper. J’aperçois alors une kunoichi du village. La blonde est connue au village. Une femme froide et accros au travail qui s’est élevée au grade de jonin. En général, j’essaie d’éviter de croiser ce genre d’individu. Je ne suis pas particulièrement à l’aise avec les humains, alors ceux qui dégagent une certaine hostilités… Le chat l’a d’ailleurs ressenti. Alors; pour éviter de déclencher la fureur de cette blonde, je me lève et enlève mon écharpe après avoir glisser le livre dans poche de mon pantalon. La cicatrice autour de mon cou est alors visible, bien trop. Mais ce n’est pas ma priorité en cet instant. Les grognements du chat à l’encontre de la femme sont bien plus dérangeant en cette instant. Elle a la réputation d’être impitoyable. Je ne veux pas qu’elle s’attaque à la pauvre bête. J’enroule soigneusement mon écharpe autour du chat et prend le tout dans mes bras. Je prends soin d’empêcher le chat de voir la kunoichi en le maintenant contre moi et tente de le caresser. Ainsi j’espère qu’il puisse se calmer un peu.
Mais l’animal n’en fait rien. Sans doute ressent-il mon inquiétude. Après avoir mordu ma main, il s’échappe de mon emprise pour retourner feuler après la blonde.
Mais à peine ébroué, il se met à feuler. Je ferme alors mon livre et regarde dans la direction qui semble le préoccuper. J’aperçois alors une kunoichi du village. La blonde est connue au village. Une femme froide et accros au travail qui s’est élevée au grade de jonin. En général, j’essaie d’éviter de croiser ce genre d’individu. Je ne suis pas particulièrement à l’aise avec les humains, alors ceux qui dégagent une certaine hostilités… Le chat l’a d’ailleurs ressenti. Alors; pour éviter de déclencher la fureur de cette blonde, je me lève et enlève mon écharpe après avoir glisser le livre dans poche de mon pantalon. La cicatrice autour de mon cou est alors visible, bien trop. Mais ce n’est pas ma priorité en cet instant. Les grognements du chat à l’encontre de la femme sont bien plus dérangeant en cette instant. Elle a la réputation d’être impitoyable. Je ne veux pas qu’elle s’attaque à la pauvre bête. J’enroule soigneusement mon écharpe autour du chat et prend le tout dans mes bras. Je prends soin d’empêcher le chat de voir la kunoichi en le maintenant contre moi et tente de le caresser. Ainsi j’espère qu’il puisse se calmer un peu.
Mais l’animal n’en fait rien. Sans doute ressent-il mon inquiétude. Après avoir mordu ma main, il s’échappe de mon emprise pour retourner feuler après la blonde.
C1 : Vélocité + esprit libre
Je m’élance derrière le chat, mon écharpe à la main. Je le rattrape juste au moment où il s’arrête à une distance raisonnable de la jonin. Je l’attrape avec mon écharpe, l’empêchant de bondir sur la kunoichi tout en le protégeant. Pour se faire, j’effectue une roulade avant pour arrêter ma course aux pieds de la jeune femme
Avant de me relever, je m’applique à n’offrir aucune possibilité au chat de s’éclipser en maintenant les extrémités du tissu dans mon poing. Une fois cette assurance prise, je me redresse calmement, tenant mon écharpe comme un sac qui emprisonne le petit animal. On peut voir l’animal se débattre en observant la déformation du tissu aux endroits où il donne des coups de pattes et de tête en même temps que l’on entend ses cris de protestations.
Avant de me relever, je m’applique à n’offrir aucune possibilité au chat de s’éclipser en maintenant les extrémités du tissu dans mon poing. Une fois cette assurance prise, je me redresse calmement, tenant mon écharpe comme un sac qui emprisonne le petit animal. On peut voir l’animal se débattre en observant la déformation du tissu aux endroits où il donne des coups de pattes et de tête en même temps que l’on entend ses cris de protestations.
Je vous prie de bien vouloir l’excuser. Il n’est pas encore habitué à voir beaucoup d’humains…
J’essaie de fournir une explication plausible au comportement de ce chat. Même si je ne suis pas convaincu de mes propres paroles, c’est ce qui me semble le plus logique. J’avoue ne pas être un expert en animal de compagnie.
Je regarde la blonde, droit dans les yeux, en me tenant droit malgré la charge que je tiens dans la main. Mon cou devêtu laisse apparaitre la cicatrice qui l’encercle de manière ostentatoire. Elle forme une ligne irrégulière d’un rouge vif comme si ma tête avait été arrachée puis rattachée tant bien que mal. Je n’aime pas la voir dans le miroir, et encore moins la laisser paraitre aux yeux des autres. Mais je n’ai plus rien pour la cacher. D'autant plus que, pour l’heure, il ne s’agit que d’un détail.
Si mon livre qui dépassait négligemment de ma poche de pantalon était resté en place durant ma course, la roulade avait ébranlé sa position et mon redressement avait eu raison de son emplacement. Mais je ne me rends pas encore compte, trop occupé par la sécurité de mon compagnon à quatre pattes.
Git donc, entre la jonin et moi, le livre dont il est représenté, sur la couverture, un chat roux coiffé d’un chapeau noir orné d’une plume blanche. Ce chat porte des bottes et un ceinturon en brandissant une fine épée.
Je regarde la blonde, droit dans les yeux, en me tenant droit malgré la charge que je tiens dans la main. Mon cou devêtu laisse apparaitre la cicatrice qui l’encercle de manière ostentatoire. Elle forme une ligne irrégulière d’un rouge vif comme si ma tête avait été arrachée puis rattachée tant bien que mal. Je n’aime pas la voir dans le miroir, et encore moins la laisser paraitre aux yeux des autres. Mais je n’ai plus rien pour la cacher. D'autant plus que, pour l’heure, il ne s’agit que d’un détail.
Si mon livre qui dépassait négligemment de ma poche de pantalon était resté en place durant ma course, la roulade avait ébranlé sa position et mon redressement avait eu raison de son emplacement. Mais je ne me rends pas encore compte, trop occupé par la sécurité de mon compagnon à quatre pattes.
Git donc, entre la jonin et moi, le livre dont il est représenté, sur la couverture, un chat roux coiffé d’un chapeau noir orné d’une plume blanche. Ce chat porte des bottes et un ceinturon en brandissant une fine épée.
# Re: Le calme avant la tempête [Chinone] Mar 16 Avr - 19:42
Le calme avant la tempête
Alors que je continues vers le camp de réfugiés, je remarque qu’on s’apporche de moi. Sans attendre je me retourne, la main posée sur mon tessen, pour voir le jeune shinobi de plus tôt, maintenant à quelques pas de moi, tennant un chat mouillé et désagréable dans son écharpe. Accrobaties et tour de passe-passe pour m’éviter une attaque féline. C’est pour ça que je n’ai pas d’animal.
Mais des papillons? Ce n’est pas la même chose.
Si j’étais du genre à faire la conversation, peut-être uqe je poserais des question sur la cicatrices, ou le livre ou même le chat débile, mais je ne le suis pas. Je ne l’ai jamais été. Je me contente de regarder la bête qui feule à ma présence, toute hostile qu’elle soit.
Dis-je sans état d’âme. Évidemment, par-là, j’entends que je l’aurais tuer. Probablement que c’était ce que voulait éviter le garçon. Mais si la bête est assez inconsciente pour m’attaquer, elle le mérite.
Offris-je en explication. Certains disent qu’elles sont plus sensible et qu’elles sont capable de savoir qui est bon et qui ne l’est pas. La voir aussi inquiète en ma présence me donne presque envie de rire. Elle aurait raison.
Je détourne mon attention vers le shinobi.
Question simple qui n’est pas des plus importantes, mais la curiosité l’emporte. Il n’Est pas exactement là où on s’attendrait de voir un ninja qui n’a rien à faire. Le terrain d’entraînemement ou même n’importe où d’autre en ville, mais ici? Peut-être est-ce un attachement à la province du miel et de ses habitants, dans quel cas, ce pourrait m’être pratique, ou peut-être n’est-ce rien.
Quoi qu’il en soit ce n’est pas important.
Mais des papillons? Ce n’est pas la même chose.
Si j’étais du genre à faire la conversation, peut-être uqe je poserais des question sur la cicatrices, ou le livre ou même le chat débile, mais je ne le suis pas. Je ne l’ai jamais été. Je me contente de regarder la bête qui feule à ma présence, toute hostile qu’elle soit.
“J’aurais pu m’en occuper.”
Dis-je sans état d’âme. Évidemment, par-là, j’entends que je l’aurais tuer. Probablement que c’était ce que voulait éviter le garçon. Mais si la bête est assez inconsciente pour m’attaquer, elle le mérite.
“Les bêtes ne m’ont jamais aimée”
Offris-je en explication. Certains disent qu’elles sont plus sensible et qu’elles sont capable de savoir qui est bon et qui ne l’est pas. La voir aussi inquiète en ma présence me donne presque envie de rire. Elle aurait raison.
Je détourne mon attention vers le shinobi.
“Qu’est-ce que tu fais ici?”
Question simple qui n’est pas des plus importantes, mais la curiosité l’emporte. Il n’Est pas exactement là où on s’attendrait de voir un ninja qui n’a rien à faire. Le terrain d’entraînemement ou même n’importe où d’autre en ville, mais ici? Peut-être est-ce un attachement à la province du miel et de ses habitants, dans quel cas, ce pourrait m’être pratique, ou peut-être n’est-ce rien.
Quoi qu’il en soit ce n’est pas important.
“Si c’est ta bête, je t’encourage à lui apprendre les bonnes manières.”
# Re: Le calme avant la tempête [Chinone] Ven 19 Avr - 15:21
Finalement je n’ai lu qu’un bout de chapitre sans toucher à mon café. Ce dernier est resté à l’endroit où je me trouvais avant que le chat ne s’en prenne à la jonin.
A la première remarque de la jeune femme je ne peux qu’hocher la tête. Je sais bien qu’elle pouvait se défendre, et le sors qu’elle lui aurait réservé. Mais je préfère éviter une telle extrémité. Nous sommes vraiment trop près du camp des réfugier. D’autant plus que ma présence n’a pas attiré la curiosité que de cette femme, à moins que notre rencontre soit purement le hasard… Quel coquin celui-là… Toujours à me mettre dans des situations que je préfère éviter… Enfin… Tout ça pour dire que des enfants m’observe depuis quelques minutes. A moins que leur attention ne se porte réellement sur le chat. Il se trouvent de l’autre côté de cette source d’eau par rapport à la kunoichi et moi. Tuer un chat sous leurs yeux n’aurait pas été judicieux. Bien que je doute que la jonin s’en soucie vraiment. Je reconnais ne pas être douer pour les contacts humains, mais, autant que possible, je préfère préserver les faibles. Est-ce si présomptueux de ma part ? Possible.
Elle avoue ensuite que les animaux ne l’ont jamais appréciée. Elle est donc tout mon opposer à ce sujet. Mais je ne suis pourtant pas d’accord sur le fait qu’il faille tuer les animaux pour autant. Pas plus que je suis d’accord avec le comportement de ce chat. Si je ne peux pas sermonner une supérieure, je peux toujours essayer d’éduquer le chat. Cependant, ce n’est ni le lieu, ni l’endroit de le faire.
Le chat se débat toujours dans sa prison de fortune jusqu’au moment où plusieurs de ses griffes s’agrippent au tissus cotonneux, l’immobilisant partiellement. Je n’ai pas le temps de le libérer d’un tel piège. Et je ne suis pas idiot pour faire pareil affront à un être qui dégage autant d’animosité.
A la première remarque de la jeune femme je ne peux qu’hocher la tête. Je sais bien qu’elle pouvait se défendre, et le sors qu’elle lui aurait réservé. Mais je préfère éviter une telle extrémité. Nous sommes vraiment trop près du camp des réfugier. D’autant plus que ma présence n’a pas attiré la curiosité que de cette femme, à moins que notre rencontre soit purement le hasard… Quel coquin celui-là… Toujours à me mettre dans des situations que je préfère éviter… Enfin… Tout ça pour dire que des enfants m’observe depuis quelques minutes. A moins que leur attention ne se porte réellement sur le chat. Il se trouvent de l’autre côté de cette source d’eau par rapport à la kunoichi et moi. Tuer un chat sous leurs yeux n’aurait pas été judicieux. Bien que je doute que la jonin s’en soucie vraiment. Je reconnais ne pas être douer pour les contacts humains, mais, autant que possible, je préfère préserver les faibles. Est-ce si présomptueux de ma part ? Possible.
Elle avoue ensuite que les animaux ne l’ont jamais appréciée. Elle est donc tout mon opposer à ce sujet. Mais je ne suis pourtant pas d’accord sur le fait qu’il faille tuer les animaux pour autant. Pas plus que je suis d’accord avec le comportement de ce chat. Si je ne peux pas sermonner une supérieure, je peux toujours essayer d’éduquer le chat. Cependant, ce n’est ni le lieu, ni l’endroit de le faire.
Le chat se débat toujours dans sa prison de fortune jusqu’au moment où plusieurs de ses griffes s’agrippent au tissus cotonneux, l’immobilisant partiellement. Je n’ai pas le temps de le libérer d’un tel piège. Et je ne suis pas idiot pour faire pareil affront à un être qui dégage autant d’animosité.
On m’a dit de me reposer…
Ma réponse est courte, mais assez explicite. Repos signifie ni travail, ni entrainement. Juste du temps libre à occuper si on n’a pas besoin de dormir plus. Mais c’est plus fort que moi. Je ne peux juste pas m’isoler pour m’occuper. Je m’isole pour me reposer. Mais mes occupations sont plutôt de l’ordre de l’utilité pour le village. J’aurais pu me distraire, c’est vrai. Mais sans Kaori, je n’en vois aucunement l’intérêt. Je n’en éprouverai aucun plaisir. Elle sort de prison demain. En attendant, je m’occupe. Et si je peux me rendre utile.
Je concède qu’entre lire pour me reposer enfermé dans le dortoir et lire pour m’occuper à l’extérieur, mais à l’écart des autres, la différence n’est pas bien grande. Si ce n’est que je garde un œil sur ce qui se passe autour de moi dans la seconde configuration. Mais je doute que la jonin fasse la différence.
Bref, j’avais répondu cela comme si je le prenais pour une sanction ou une contrainte.
Je concède qu’entre lire pour me reposer enfermé dans le dortoir et lire pour m’occuper à l’extérieur, mais à l’écart des autres, la différence n’est pas bien grande. Si ce n’est que je garde un œil sur ce qui se passe autour de moi dans la seconde configuration. Mais je doute que la jonin fasse la différence.
Bref, j’avais répondu cela comme si je le prenais pour une sanction ou une contrainte.
Je penses plutôt que je suis son humain… C’est lui qui me suit.
Je note quand même qu’elle se dirigeait vers le campement. Et risque une question.
Y a-t-il un problème avec les réfugiés ?
Ma voix, neutre jusqu’à présent, laisse apparaitre une pointe d’inquiétude. Je ne veux pas qu’il y ait le moindre incident entre les réfugiés et les villageois. La sécurité et le bien-être de tous m’importe bien plus que je ne le laisse paraitre.
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