# Kichi Mer 21 Fév - 11:24
MITSURIN KICHIROU
"Le messie demande au diable ou je ne sais quel autre fantôme : « Comment t’appelles-tu ? » . A quoi il répondit : « Mon nom est Légion, parce que nous sommes plusieurs »."
i. Information
► Nom : Mitsurin
► Prénom : Kichirou (fils chanceux)
► Taille : 175 cm
► Poids : 75 kg
► Age : 18 ans
► Affinité Primaire : Katon
►Caste : Ninja
► Grade Militaire Souhaité : Chuunin
► Village Souhaité : Jujou
► Religion : Carbonisme
► Grade Religieux Souhaité : adorateur de la flamme
► Particularité : Une cicatrice, une ligne irrégulière et rouge vif qui lui encercle le cou, résultat d’une congestion. Comme si sa tête avait été arrachée puis rattachée tant bien que mal. Il la cache généralement à l’aide d’une écharpe, le plus souvent, couleur bleue claire ou rouge, ou encore par le bandeau du village. Cette tache écarlate est le stigmate d’un passé douloureux. Il a des yeux marrons à la limite du rougeoyants qui rendent encore plus dérangeant son visage taciturne.
Il a de grandes difficultés dans les interactions sociales; mais bénéficie d’une affinité toute particulière avec les animaux.
Accro au café et cuisinier médiocre, il semble éprouver du plaisir au combat, surtout contre les Yuurei.
► Source de l'avatar : Nôzen Shin'ei (Eigthy six)
ii. Que recherches-tu ?
Conscient qu’une bonne tactique et une bonne coordination est la clé d’une mission réussi, il cherche à développer un système de télécommunication à longe distance. Soit par le biais du chakra, soit au moyen d’outils technologique.
En dehors du désir de rembourser sa dette au village pour l’avoir recueilli, il cherche un sens à sa vie. Car, en dehors des livres, du café, et des combats, rien ne semble attirer son attention. Pas même les animaux qui viennent naturellement vers lui.
En dehors du désir de rembourser sa dette au village pour l’avoir recueilli, il cherche un sens à sa vie. Car, en dehors des livres, du café, et des combats, rien ne semble attirer son attention. Pas même les animaux qui viennent naturellement vers lui.
iii. Histoire
Nous y voilà. C’est ma première mission. Enfin, en tant que chef d’équipe. Je ne saurais dire si je l’attendais ou la redoutait. Mais j’y suis. Comment se présente-t-elle ? Je dirais que cela dépend du point de vue. Certains vous dirait que confier une mission de nuit à un jeune chef d’équipe est voué à l’échec. Et le pire, c’est que la majorité de ceux-là le souhaite ardemment. Non pas qu’ils me détestent, mais ils ne comprennent pas pourquoi moi. Je suis encore jeune. Et je dois encore faire mes armes. C’est ce que dise la plupart des femmes…
- Tsss
Cette pensée m’arrache un sourire. Comme si j’étais encore un enfant. Que croient-ils donc ? Quand on grandit à l’orphelinat, nous n’avons pas la vie des enfants ordinaires. Pour nous en sortir convenablement, nous devons nous distinguer. Évoluer rapidement. Il faut dire, que lorsqu’on me regarde, on a l’impression que je suis assez chétif. Je semble maigre, il est vrai, mais je me suis bien entrainé au point de m’être taillé un physique de panthère. L’entrainement m’as aussi permis de de maitriser à la perfection le déplacement du corps et le transfert de force. Ce qui rends mes coups assez efficaces. Il ne manque plus qu’à ajouter du chakra à cela… Enfin quand il y a nécessité. Je n’aime pas la violence pour la violence.
La vie n’a pas toujours été simple à Mitsurin. Mais ce n’était pas l’enfer non plus. Mitsurin est l’orphelinat du village caché de Jujou. J’y suis rentré alors que j’étais tout jeune. J’ignore si je suis né au village ou si une âme charitable m’y a ramené. Mais c’est ici que j’ai grandis. Je n’ai pratiquement pas de souvenir d’avant mon arriver à l’orphelinat. Si ce n’est quelques flammes. Il est vrai que je peux passer des heures à les contempler. Elles dansent avec grâce. S’élèvent pour cracher de la lumière et retourne puiser sa force au cœur du foyer… Elles n’ont jamais le même mouvement, la même ondulation, la même force. Mais elles sont la beauté incarnée. Les nuances de bleus, rouge et jaune qu’elles peuvent prendre… Toujours de manière fugace. On jurerait que les couleurs sont vivantes. Et nous les observons le mieux en pleine nuit…
La nuit, oui. Cette même nuit sombre que maintenant. Mais le temps n’est pas à la beauté des flammes. Abrité sous le porche, j’attends, j’observe. Une lumière vacille légèrement sous le porche en face. C’est ma mission. Pas la lumière ! L’individus qui se trouve à l’intérieur bien sûr. A l’intérieur de la demeure… Vous me prenez pour un illuminé à croire qu’un homme peut vivre dans une flamme ? Vraiment ? Je ne suis que ça pour vous ?
Je lève les yeux et aperçoit mes compagnons. Eux aussi sont dissimulés dans les recoins de la bâtisse ou dans les arbres alentour. Nous devons rester discrets. Nous fondre dans le paysage. Ne faire qu’un avec lui. Ne nous plaignons pas. Pour le moment, nous ne sommes pas les plus mal lotit. D’accord la pluie de cette chaude nuit d’été est plutôt pénétrante. Nos vêtements nous collent à la peau. Mais il ne fait pas froid. Et la pluie a le mérite de cacher la pleine lune. Ça me plait, ça. Cela veut dire une visibilité plus faible pour nos ennemis. Si tant est que nos ennemis disposent encore de vision. Cela, rien ne le prouve. Mais je pars du principe qu’avec une telle pénombre, une lueur spectrale est plus facilement repérable que des humains ne dégageant aucune lumière. Et que par conséquent, c’est à notre avantage. Je vais donc pouvoir m’amuser. J’esquisse un sourire à cette pensée. Livré bataille face à l’inconnu est plutôt divertissant.
Cette aubaine est-elle le fruit du hasard ? Oui est non. Laissez-moi vous conter comment nous en somme arrivé à cette chaude nuit d’été pluvieuse. Et surtout, la raison de ma présence dehors.
- Tsss
Cette pensée m’arrache un sourire. Comme si j’étais encore un enfant. Que croient-ils donc ? Quand on grandit à l’orphelinat, nous n’avons pas la vie des enfants ordinaires. Pour nous en sortir convenablement, nous devons nous distinguer. Évoluer rapidement. Il faut dire, que lorsqu’on me regarde, on a l’impression que je suis assez chétif. Je semble maigre, il est vrai, mais je me suis bien entrainé au point de m’être taillé un physique de panthère. L’entrainement m’as aussi permis de de maitriser à la perfection le déplacement du corps et le transfert de force. Ce qui rends mes coups assez efficaces. Il ne manque plus qu’à ajouter du chakra à cela… Enfin quand il y a nécessité. Je n’aime pas la violence pour la violence.
La vie n’a pas toujours été simple à Mitsurin. Mais ce n’était pas l’enfer non plus. Mitsurin est l’orphelinat du village caché de Jujou. J’y suis rentré alors que j’étais tout jeune. J’ignore si je suis né au village ou si une âme charitable m’y a ramené. Mais c’est ici que j’ai grandis. Je n’ai pratiquement pas de souvenir d’avant mon arriver à l’orphelinat. Si ce n’est quelques flammes. Il est vrai que je peux passer des heures à les contempler. Elles dansent avec grâce. S’élèvent pour cracher de la lumière et retourne puiser sa force au cœur du foyer… Elles n’ont jamais le même mouvement, la même ondulation, la même force. Mais elles sont la beauté incarnée. Les nuances de bleus, rouge et jaune qu’elles peuvent prendre… Toujours de manière fugace. On jurerait que les couleurs sont vivantes. Et nous les observons le mieux en pleine nuit…
La nuit, oui. Cette même nuit sombre que maintenant. Mais le temps n’est pas à la beauté des flammes. Abrité sous le porche, j’attends, j’observe. Une lumière vacille légèrement sous le porche en face. C’est ma mission. Pas la lumière ! L’individus qui se trouve à l’intérieur bien sûr. A l’intérieur de la demeure… Vous me prenez pour un illuminé à croire qu’un homme peut vivre dans une flamme ? Vraiment ? Je ne suis que ça pour vous ?
Je lève les yeux et aperçoit mes compagnons. Eux aussi sont dissimulés dans les recoins de la bâtisse ou dans les arbres alentour. Nous devons rester discrets. Nous fondre dans le paysage. Ne faire qu’un avec lui. Ne nous plaignons pas. Pour le moment, nous ne sommes pas les plus mal lotit. D’accord la pluie de cette chaude nuit d’été est plutôt pénétrante. Nos vêtements nous collent à la peau. Mais il ne fait pas froid. Et la pluie a le mérite de cacher la pleine lune. Ça me plait, ça. Cela veut dire une visibilité plus faible pour nos ennemis. Si tant est que nos ennemis disposent encore de vision. Cela, rien ne le prouve. Mais je pars du principe qu’avec une telle pénombre, une lueur spectrale est plus facilement repérable que des humains ne dégageant aucune lumière. Et que par conséquent, c’est à notre avantage. Je vais donc pouvoir m’amuser. J’esquisse un sourire à cette pensée. Livré bataille face à l’inconnu est plutôt divertissant.
Cette aubaine est-elle le fruit du hasard ? Oui est non. Laissez-moi vous conter comment nous en somme arrivé à cette chaude nuit d’été pluvieuse. Et surtout, la raison de ma présence dehors.
~~ Flash Back ~~
Alors que je me divertissais sobrement devant la caserne, en un mot : que je lisais un livre, en évitant les attaques mollement curieuse d’un chat s’étant réfugié sur mes genoux, un supérieur m’aborda et me demanda de le suivre dans son bureau. Il avait une mission à me confier et m’attribua des coéquipiers en me plaçant chef d’équipe. La belle affaire. Il tenta de me convaincre que c’était une promotion pour toutes mes missions exécutées auparavant. Lesquelles ? Les chasse aux Yuurei ? Ces fléaux emprunts de rancune envers les vivants ? J’hoche la tête, impassible. J’écoutais la mission d’une oreille distraite, le livre à la main. Ma pensée allait vers ce petit chat qui était resté à la porte du bâtiment.
- Ils t’attendront devant la caserne pour la mise en place, Kichi.
A ce diminutif, je levais mes yeux marrons rougeoyants vers lui. Je me nomme Kichirou, littéralement un fils chanceux. Et il me réduit simplement à « chanceux » ? Très bien. Si cela lui plait. Il est vrai que pour un orphelin, « fils » est peut-être de trop. Ce prénom m’a été donné par le village quand j’y ai été recueilli. Mes parents n’étaient pas là. Ils m’avaient peut-être abandonné, où ils étaient morts. Je ne sais pas. Et à vrai dire. Cela n’a pas d’importance. De ce passé dont je me fiche me reste une cicatrice au niveau du cou que je cache avec une écharpe ou mon bandeau de ninja. Visiblement, quelqu’un avait tenté de me tuer. Je me demande même si je ne suis pas mort à ce moment. Le seul souvenir que j’ai de cet instant s’apparente à des flammes. C’est peut-être à cause de cela que j’ai une certaine admiration pour cet élément.
Le supérieur soupira.
- Et essaye d’être un peu plus expressif. Tu fais peur à tout le monde en ayant cette attitude… Ah et j’oubliais, essaye de ne pas rentrer seul.
Cette dernière remarque me fit tiquer. Je grimaçais même, montrant mon agacement, l’espace d’un court instant.
- J’imagine que je n’aurais pas mieux en terme d’expression…
Soupira-t-il. Je repris alors une expression stoïque. Je m’étais laissé aller devant lui.
- Ce n’est pas de ma faute si les jeunes recrues que tu me colle ne suivent pas les instructions…
Répondis-je d’une voix calme et détachée, un poil désinvolte. Je n'allais pas assumer cette responsabilité. Je faisais mon devoir. Rien de plus. J’arrachais un nouveau soupir à mon interlocuteur avec cette réponse. Me trouvait-il exaspérant ? C’est possible. Mais cela m’étais égale. J’accomplirais ma mission. Et oui, comme d’habitude, je veillerais sur mes compagnons. Enfin dans la mesure où ils respecteront les instructions. S’ils vont à la mort, je ne peux rien pour eux… L’idéal, serait que je mène cette mission, seul. Mais c’est parce que j’ignorais alors certaines choses. A 18 ans, on ne peut pas dire que l’on connait tout. Et comme toute personne de mon âge, j’ai des lacunes. Je suis doué pour les arts de la guerre, mais médiocre en interaction sociale. Je pensais que cela me suffirait dans la vie. Mais c’était sans compter sur ses aléas…
Je lâchais un soupir avant de me retirer. J’avais encore un peu de temps pour me détendre avant la mission. J’allais donc me prendre un petit café et nourrir ce petit chat qui m’attendais dehors.
Dès mon enrôlement dans l’armée, j’avais opté pour occuper une chambre à la caserne. Il ne me servait à rien de retourner à l’orphelinat. Et je ne voyais pas l’intérêt d’avoir un logement personnel. Au moins, à la caserne, je n’avais que les horaires de repas à respecter. Pas même de cuisine à faire. Pour ce que je suis doué…
Plus tard, lorsque je m’appétais à rejoindre mes coéquipiers, je ne pus qu’entendre leur conversation.
- Vraiment, c’est un manque de chance. On se retrouve avec Kichirou.
- Avec un nom pareil, il doit avoir beaucoup de chance.
- Lui, oui, mais ses coéquipiers, beaucoup moins. On dit qu’aucun n’est jamais revenu vivant de leur chasse au Yuurei. Si ça se trouve, c’est lui qui les tue.
- Vous dites n’importe quoi. Il fait tout pour que tout le monde revienne vivant. Vous verrez bien.
La dernière voix qui venait de parler ne m’était pas inconnue. J’étais déjà partie en mission avec cette fille. Nous étions les seuls rescapés. Mais la mission était accomplie. Je ne pus pas m’empêcher d’esquisser un sourire de soulagement. Au moins une personne qui avait confiance en moi. Le sourire disparu sitôt que je leur fis face avec ma froideur habituelle. Je leur expliquais les enjeux de la mission et la stratégie à appliquer. Je voyais bien à leur air boudeur qu’ils avaient l’impression que je les exposais au danger. Mais contrairement à ce qu’ils croyaient, je les préservais.
C’est ainsi qu’on se retrouva à garder cette demeure isolée en cette nuit pluvieuse.
- Ils t’attendront devant la caserne pour la mise en place, Kichi.
A ce diminutif, je levais mes yeux marrons rougeoyants vers lui. Je me nomme Kichirou, littéralement un fils chanceux. Et il me réduit simplement à « chanceux » ? Très bien. Si cela lui plait. Il est vrai que pour un orphelin, « fils » est peut-être de trop. Ce prénom m’a été donné par le village quand j’y ai été recueilli. Mes parents n’étaient pas là. Ils m’avaient peut-être abandonné, où ils étaient morts. Je ne sais pas. Et à vrai dire. Cela n’a pas d’importance. De ce passé dont je me fiche me reste une cicatrice au niveau du cou que je cache avec une écharpe ou mon bandeau de ninja. Visiblement, quelqu’un avait tenté de me tuer. Je me demande même si je ne suis pas mort à ce moment. Le seul souvenir que j’ai de cet instant s’apparente à des flammes. C’est peut-être à cause de cela que j’ai une certaine admiration pour cet élément.
Le supérieur soupira.
- Et essaye d’être un peu plus expressif. Tu fais peur à tout le monde en ayant cette attitude… Ah et j’oubliais, essaye de ne pas rentrer seul.
Cette dernière remarque me fit tiquer. Je grimaçais même, montrant mon agacement, l’espace d’un court instant.
- J’imagine que je n’aurais pas mieux en terme d’expression…
Soupira-t-il. Je repris alors une expression stoïque. Je m’étais laissé aller devant lui.
- Ce n’est pas de ma faute si les jeunes recrues que tu me colle ne suivent pas les instructions…
Répondis-je d’une voix calme et détachée, un poil désinvolte. Je n'allais pas assumer cette responsabilité. Je faisais mon devoir. Rien de plus. J’arrachais un nouveau soupir à mon interlocuteur avec cette réponse. Me trouvait-il exaspérant ? C’est possible. Mais cela m’étais égale. J’accomplirais ma mission. Et oui, comme d’habitude, je veillerais sur mes compagnons. Enfin dans la mesure où ils respecteront les instructions. S’ils vont à la mort, je ne peux rien pour eux… L’idéal, serait que je mène cette mission, seul. Mais c’est parce que j’ignorais alors certaines choses. A 18 ans, on ne peut pas dire que l’on connait tout. Et comme toute personne de mon âge, j’ai des lacunes. Je suis doué pour les arts de la guerre, mais médiocre en interaction sociale. Je pensais que cela me suffirait dans la vie. Mais c’était sans compter sur ses aléas…
Je lâchais un soupir avant de me retirer. J’avais encore un peu de temps pour me détendre avant la mission. J’allais donc me prendre un petit café et nourrir ce petit chat qui m’attendais dehors.
Dès mon enrôlement dans l’armée, j’avais opté pour occuper une chambre à la caserne. Il ne me servait à rien de retourner à l’orphelinat. Et je ne voyais pas l’intérêt d’avoir un logement personnel. Au moins, à la caserne, je n’avais que les horaires de repas à respecter. Pas même de cuisine à faire. Pour ce que je suis doué…
Plus tard, lorsque je m’appétais à rejoindre mes coéquipiers, je ne pus qu’entendre leur conversation.
- Vraiment, c’est un manque de chance. On se retrouve avec Kichirou.
- Avec un nom pareil, il doit avoir beaucoup de chance.
- Lui, oui, mais ses coéquipiers, beaucoup moins. On dit qu’aucun n’est jamais revenu vivant de leur chasse au Yuurei. Si ça se trouve, c’est lui qui les tue.
- Vous dites n’importe quoi. Il fait tout pour que tout le monde revienne vivant. Vous verrez bien.
La dernière voix qui venait de parler ne m’était pas inconnue. J’étais déjà partie en mission avec cette fille. Nous étions les seuls rescapés. Mais la mission était accomplie. Je ne pus pas m’empêcher d’esquisser un sourire de soulagement. Au moins une personne qui avait confiance en moi. Le sourire disparu sitôt que je leur fis face avec ma froideur habituelle. Je leur expliquais les enjeux de la mission et la stratégie à appliquer. Je voyais bien à leur air boudeur qu’ils avaient l’impression que je les exposais au danger. Mais contrairement à ce qu’ils croyaient, je les préservais.
C’est ainsi qu’on se retrouva à garder cette demeure isolée en cette nuit pluvieuse.
~~~~
L’individu qui était hébergé dans cette demeure se disait poursuivit par des Yuurei. Il nous fallait vérifier ses dires sans mettre le reste de la population en danger. Les Yuurei ne sont rien de plus que des fantômes devenus tangibles. On raconte que l’accès au Royaume de Yomi leur a été interdit ou qu’ils s’en sont échappé. Je suis plutôt pragmatique et j’ai du mal à croire cette hypothèse. Le fait étant qu’ils sont un fléau et nous devons les éradiquer. Pour la plupart ils s’agissent d'anciens ninja ou humain doté de chakra qui possèdent une forte tristesse ou rancœur envers le monde des vivants. Ils peuvent prendre une apparence physique comme spectrale. Leur forme tangible reste proche de l'apparence des êtres qu'ils étaient auparavant. La différence reste la froideur de leur peau et les capacités qu'ils peuvent avoir. D’un individu à l’autre, ils peuvent changer. La majorité du temps, ils sont insensible à la douleur. Mais il arrive que certains soient dotés d’autres capacités rendant leur élimination plus complexes. C’est lorsque je rencontre ce genre de Yuurei que je perds mes compagnons. Ils n’ont pas mon expérience et se paniquent rapidement. Sans compter qu’on ne peut pas les atteindre tout le temps. Quand ils décident de prendre une forme intangible ils sont alors hors de notre porté. L’avantage, c’est que cette situation est réciproque. Nous sommes nous aussi hors de leur porté. Certains sont intelligent et usent de cette capacité. Il faut donc capter le bon moment pour frapper. S’il on en est incapable, ils nous tuent. Et autre point non négligeables, ils ont tendance à aimer agir de nuit. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
- Hum ? Il avait raison le vieux… Quelqu’un au-delà de la mort lui porte une rancune tenace. A nous de jouer…
Marmonnais-je à moi-même avant de faire signe à mes compagnons que l’action allait enfin commencer.
- Hum ? Il avait raison le vieux… Quelqu’un au-delà de la mort lui porte une rancune tenace. A nous de jouer…
Marmonnais-je à moi-même avant de faire signe à mes compagnons que l’action allait enfin commencer.
~~~~
Le combat fut assez difficile. Pour une fois, mes camarades ont à peu près respecter les consignes. A peu près. Si certains les ont scrupuleusement respectés et, sont pour ainsi dire rester presque en dehors des combats, ceux qui ont bougés n’ont pas été totalement inutiles, à ma grande surprise. Seul un n’a pas pris en compte le réel potentiel de dangerosité de ces Yokai. Il a voulu faire ami-ami et discuter avec eux pour les raisonner.
Je m’approche de lui. Il agonise sur le sol. Il est dans un état lamentable. Nous ne pourrons jamais le soigner, son état est trop grave. Nous n’avons pas de quoi soulager sa douleur ici, et le trajet jusqu’au village lui sera trop douloureux.
- Tu souffre ?
De son visage tordu par la douleur ne lui restait que les yeux pour communiquer. Je lâchais un soupir emplis de tristesse. Je n’aimais pas faire ce que je m’apprêtais à faire. Mais je ne pouvais pas le laisser souffrir. Il serait capable alors de revenir en tant que Yuurei.
- C’est bientôt fini. Tu t’es bien battu. Tout ira bien maintenant.
Penché sur son corps, je continuais de lui parler jusqu’à ce que je le sente un peu apaisé. Il savait très bien ce que j’allais faire. Avec mon kunai, j’abrégeai ses souffrances sous les regards médusés de mes autres compagnons. Ils savaient pourtant qu’il n’y avait pas d’autres solutions. Mails ils n’auraient jamais eu le courage de le faire, le laissant agoniser dans la douleur. Après quoi, je me relevais, aussi stoïque et froid qu’à l’accoutumé. Cette nuit, je n’avais perdu qu’un seul compagnon, je ramenais les autres et notre client, vivants. Ceux-là même qui me jugeais au travers de mes états de services quelques heures plus tôt, me souriait, contents de n’avoir pas eu la lourde tâche d’abréger les souffrances de notre compagnon ou de ne pas avoir à le regarder agoniser, impuissants. En tant que chef d'équipe, ce fardeau, est le mien, et je l'assume parfaitement.
Je m’approche de lui. Il agonise sur le sol. Il est dans un état lamentable. Nous ne pourrons jamais le soigner, son état est trop grave. Nous n’avons pas de quoi soulager sa douleur ici, et le trajet jusqu’au village lui sera trop douloureux.
- Tu souffre ?
De son visage tordu par la douleur ne lui restait que les yeux pour communiquer. Je lâchais un soupir emplis de tristesse. Je n’aimais pas faire ce que je m’apprêtais à faire. Mais je ne pouvais pas le laisser souffrir. Il serait capable alors de revenir en tant que Yuurei.
- C’est bientôt fini. Tu t’es bien battu. Tout ira bien maintenant.
Penché sur son corps, je continuais de lui parler jusqu’à ce que je le sente un peu apaisé. Il savait très bien ce que j’allais faire. Avec mon kunai, j’abrégeai ses souffrances sous les regards médusés de mes autres compagnons. Ils savaient pourtant qu’il n’y avait pas d’autres solutions. Mails ils n’auraient jamais eu le courage de le faire, le laissant agoniser dans la douleur. Après quoi, je me relevais, aussi stoïque et froid qu’à l’accoutumé. Cette nuit, je n’avais perdu qu’un seul compagnon, je ramenais les autres et notre client, vivants. Ceux-là même qui me jugeais au travers de mes états de services quelques heures plus tôt, me souriait, contents de n’avoir pas eu la lourde tâche d’abréger les souffrances de notre compagnon ou de ne pas avoir à le regarder agoniser, impuissants. En tant que chef d'équipe, ce fardeau, est le mien, et je l'assume parfaitement.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin à 73 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Magashi.
► Quel âge as-tu ? 36 (A y est)
► Comment nous as-tu trouvé ? top site
► Comment trouves-tu le forum ?
► T'as un autre compte? Lequel ? Neko Yuri
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? peut être plus tard
► Quel âge as-tu ? 36 (A y est)
► Comment nous as-tu trouvé ? top site
► Comment trouves-tu le forum ?
► T'as un autre compte? Lequel ? Neko Yuri
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? peut être plus tard
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Kichi Mer 21 Fév - 15:50
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Jujou no Satô au grade de Chuunin !
Tu es également Adorateur de la flamme dans le Carbonisme.
J'ai beaucoup aimé l'histoire je trouve que ce côté Rp rend très bien et ça met bien en valeur le personnage. On comprend tout de suite comment il fonctionne et la longueur de l'histoire était parfaite (il fallait pas t'en inquiéter).
TRAME PERSONNELLE :
À force de rencontrer des Yuurei tu t'es rendu compte qu'ils étaient nettement différents. Les légendes sont nombreuses et il est parfois difficile de démêler le vrai du faux. Lors de tes pérégrinations tu es tombé sur le chemin d'un moine qui pense mieux connaître ses créatures que quiconque et qui te fait par de sa théorie. Les Yuurei seraient organisés, ils disposeraient d'une hiérarchie comme les Hommes, si bien qu'il y aurait des Yokai plus fort que d'autres que l'on nommerait les Piliers du monde spirituel. Des esprits uniques capables de décimer des villages entiers et qui font figure de légende. Pourtant le moine te le chuchotes à l'oreille : "ils sont parmi nous cachés sous des faux sourires". Sans doute que l'herbe que fume ce moine ne l'aide pas à garder les idées claires, en tout cas c'est une théorie qui ne t'a pas échappé.
À force de rencontrer des Yuurei tu t'es rendu compte qu'ils étaient nettement différents. Les légendes sont nombreuses et il est parfois difficile de démêler le vrai du faux. Lors de tes pérégrinations tu es tombé sur le chemin d'un moine qui pense mieux connaître ses créatures que quiconque et qui te fait par de sa théorie. Les Yuurei seraient organisés, ils disposeraient d'une hiérarchie comme les Hommes, si bien qu'il y aurait des Yokai plus fort que d'autres que l'on nommerait les Piliers du monde spirituel. Des esprits uniques capables de décimer des villages entiers et qui font figure de légende. Pourtant le moine te le chuchotes à l'oreille : "ils sont parmi nous cachés sous des faux sourires". Sans doute que l'herbe que fume ce moine ne l'aide pas à garder les idées claires, en tout cas c'est une théorie qui ne t'a pas échappé.
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son Carnet d'aventure et ta Boîte à rouleaux. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord également.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé.
En terme de compétences tu disposes après ta validation en tant que nouvel arrivant (hors reroll) de 7 C1 ou 5 C1 et 1 C2 + un bonus de 90 xp's à dépenser comme tu le souhaites.
N'oublie pas de regarder les Annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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