# Death becomes her -- Ueda Chinone || terminé Mar 3 Mai - 17:41
Ueda Chinone (血の根)
"Peu importe le comment, seul le résultat compte"
i. Information
► Nom : Ueda
► Prénom : Chinone
► Taille : 160 cm
► Poids : 60 kilos
► Age : 27 ans
► Affinité Primaire : Katon
► Grade Militaire Souhaité : Jonin (chuunin sinon, pas de problème)
► Village Souhaité : Jujou
► Religion : Athée
► Grade Religieux Souhaité : aucun
► Particularité : Ses yeux sont rouges vifs
► Source de l'avatar : Roxana Agriche de The Way to Protect the Female Lead’s Older Brother
ii. Que recherches-tu ?
Il est difficile de déterminer avec exactitude ce que Chinone désire réellement. Se considérant avant tout comme un outil, comme une véritable ninja, elle s’évertue de n’avoir aucun désir - matériel du moins - car malgré tout elle est assoiffée de reconnaissance. Elle désire incarner le paroxysme de ce qu’un ninja doit être.
Si au quotidien, elle ne peut s’empêcher d’éprouver quelques émotions - plus souvent la frustration et la colère qu’autre chose - elle les tue, les repousse avec hargne lorsqu’elle se trouve sur le terrain pour devenir la tueuse qu’elle souhaite tant être. Sa seule ambition connue est sans doute celle de défendre son village et d’être un symbole de terreur dans le cœur de ses ennemis.
Elle ne recherche pas de chaleur humaine (amitié ou quoi que ce soit qui s’y apparente) se serait trop distrayant. Il va donc sans dire qu’elle se trouve des ennemis presque n’importe ou et si elle n’en a pas, ce ne sera pas bien long avant qu’elle s’en fasse quelques-uns.
Si au quotidien, elle ne peut s’empêcher d’éprouver quelques émotions - plus souvent la frustration et la colère qu’autre chose - elle les tue, les repousse avec hargne lorsqu’elle se trouve sur le terrain pour devenir la tueuse qu’elle souhaite tant être. Sa seule ambition connue est sans doute celle de défendre son village et d’être un symbole de terreur dans le cœur de ses ennemis.
Elle ne recherche pas de chaleur humaine (amitié ou quoi que ce soit qui s’y apparente) se serait trop distrayant. Il va donc sans dire qu’elle se trouve des ennemis presque n’importe ou et si elle n’en a pas, ce ne sera pas bien long avant qu’elle s’en fasse quelques-uns.
iii. Histoire
Fille unique d’une mère sans mari, sans conjoint, sans amant connu, l’enfant né d’une mission qui a mal tournée, voilà ce que Chinone est en réalité. Indésirée. Si sa mère avait cultivé une réputation terrifiante, si on l’accusait facilement d’être froide, intolérante et intransigeante. Si elle entraînait avec diligence l’apparence d’un ninja sans émotion, dévouée à sa patrie, l’image d’une femme qu’on n’imaginait pas être mère et, pourtant, dans les confins de sa demeure, elle étai entièrement différente. Attentionnée, douce, maternelle. Elle ne présentait pas le même visage du tout lorsqu’elle se retrouvait seule avec son enfant. En public ne montrait aucunement son affection pour Chinone, mais la fillette n’en avait pas besoin. Elle savait ce que sa mère pensait.
Pour ceux qui observaient la situation, il ne purent qu’être surpris de voir qu’elle avait gardé l’enfant, qu’elle s'élevait et, même, lorsque la situation le demandait, qu’elle savait se montrer particulièrement protectrice. L’étrange affection, bien que discrète que portrait Aiko à cet enfant aux origine obscures dont le père devait être la cible d’une mission ou voir pire, animait les rumeurs, isolant encore plus la femme qui vivait déjà un peu en marge de son village.
Quelques années plus tard, lors d’une mission, elle périt comme bien d’autres avant elle. Ce n’était pas surprenant, même les meilleurs shinobi perdaient leur vie en mission. C’était leur destin. Si la nouvelle avait brisé le cœur de la petite fille et avait fait naître en elle une rancœur des plus intenses à l’égard du métier qu'exerçait sa mère, mais également l’envie irrépressible de suivre dans ses pas, de la venger un jour, de se rapprocher d’elle, de la garder, à jamais, gravée dans son être. Exercer le même métier était donc la meilleure façon de faire. Mais elle ne savait pas par où commencer. Heureusement, le destin lui tendit la main et offrit une solution pour lui permettre d’accomplir ce but.
Il n’avait suffit que d’une semaine avant que le maître de sa mère ne la trouva. Il lui dit honnêtement : ‘’ jamais ta mère n’a souhaité ça pour toi. Elle me gardait aussi loin que possible. Selon elle, tu n’es pas née pour être ninja, mais ce n’est pas ce que je crois. Je sais que tu t'élèveras encore plus haut qu’elle ne pouvait même l’espérer.’’ Et avec ces simples mots, Chinone comprit qu’elle n’avait pas le choix. Elle devait devenir ninja, parce que sa mère ne le voulait pas, parce qu’elle avait le potentiel, parce qu’elle devait se prouver, parce qu’il lui fallait une raison d’être, parce que … C’était son devoir. Sa mère n’était plus là, elle l’avait abandonnée. Le choix lui avait été arraché à ce moment-là. Elle deviendrait tout ce que sa mère n’avait pu devenir, sans refaire ses erreurs. Elle apprendrait à prendre sa place.
Et les années passèrent, une après l’autre, dans une monotonie froide. Il s’avérait que l’enseignant de sa mère était un homme froid qui ne croyait pas en l’humain. Un vieux paranoïaque bouché qui avait une vision étroite de ce qu’un ninja était. Il était probablement l’un des plus grands adeptes du code encore vivant. Un ninja était une arme qui n’avait le droit d’éprouver quoi que ce soit. Froid, tranchant, rationnel, inhumain. Sa vision d’un ninja, il l’imposa à l’esprit malléable de l’enfant qu’il avait recruté, celle qui remplaçait son ancien disciple. Il la forma aux arts les plus sombres du métiers, enseignant comment faire des coups bas les uns que les autres, à gagner à tout prix, fit d’un enfant naïf et doux, une créature assoiffée de victoire, sans honte, sans honneur. Brisant son esprit et ses rêves, il lui enseigna ce que la réalité était, l’horrible réalité. Il fit d’elle une adepte du code au même titre que lui, allant même jusqu’à dire que ceux qui ne le respectait pas n’était pas réellement des ninjas, qu’ils étaient autre chose, mais qu’ils ne méritaient en rien le titre qu’on leur donnait.
Chinone le laissa faire. Elle le laissa la changer, faire d’elle ce qu’il désirait. Elle en vint même à respecter la femme qu’elle devenait.
Former quelqu’un à devenir ce qu’elle était, ne créait en rien des liens. L’homme était et resterait à jamais rien de plus qu’un mentor. Il ne devint jamais le parents qu’elle espérait avoir ou même son ombre, il ne devint jamais plus que celui qui avait fait d’elle un ninja. Si l’apprentie ninja avait un enseignant, elle n’avait ni famille, ni ami. Et la solitude avait un goût amer.
Les tensions étaient omniprésentes entre elle le vieux maître. Il n’était pas un enfant de cœur, il formait des ninjas, des vrais, pas ceux qui faillaient en mission. Non, ceux qui gardaient la tête froide, ceux qui gagnaient. Dans le processus, ils les déconstruisaient et les remontaient comme bon lui semblait, jetant le superflus, gardant que le plus horrible de la nature humaine. Il créait des tueurs et il les traitait comme tel.
Aussitôt qu’elle n’eut plus besoin de lui, Chinone coupa les ponts. Il avait rempli sa part du marché et elle, elle ferait honneur à son nom. Elle représenterait les ninjas comme ils se devaient d’être.
Jamais elle ne se laissait envahir par ses émotions lorsqu’elle était en fonction, mais aussitôt qu’elle ne l’était plus, c’était la tempête. Enfermée chez elle, elle se laissait aller. Bouteille après bouteilles de Saké, jusqu’à ne plus rien sentir, jusqu’à ne plus être.
Un fois n’était pas coutume … c’était ce qu’elle c’était dit, un soir où elle était particulièrement accablée par la solitude. Un fois n’était pas coutume. Elle laissa un craque dans son masque, permettant à un jeune moine d’entrevoir une partie de l’abysse qui l’habitait. Une fois n’était pas coutume …
Mais il semblerait que ce l’était, car depuis ce jour-là, lorsque le silence devient trop lourd, Une bouteille de son meilleur Saké à main, Chinone retrouve le jeune moine avec qui elle partage le poids du silence. Un silence partagé, elle avait réalisé, était bien mieux que lorsque son poids écrasant l’étouffait seule entre les murs de sa demeure.
Il était rare qu’elle fasse appel aux services d’étranger en mission, mais il lui avait fallu un coup de main pour faire passer une couverture. Un homme à la forte stature, un ronin apparemment, avait eu à remplir le rôle d’escorte le temps d’une soirée. Une fois son objectif accompli, la soirée s'était terminée dans une taverne du coin.
Quelque chose chez lui était différent, différent d’elle, mais de tout le reste du monde aussi. Enfin, de ceux qu’elle connaissait. Peut-être était-ce parce qu’il était un étranger ? Ou peut-être était-ce simplement quelque chose dans son regard ou même dans son honnêteté choquante, mais elle avait apprécié les quelques heures passées à boire en sa compagnie.
Et lorsque les choses avaient dérapé, elle n’avait pas tenté de les arrêter. Après tout, ce n’était pas une première fois pour elle et puis … si l’espace de quelques instants elle se sentait moins seule … Elle s’attendait pourtant à se réveiller seule, qu’au matin il ait plié bagage après avoir eu ce qu’il désirait. C'était un homme après tout. Pourtant, il était encore là. Elle n’avait pas bouger, préférant à la place l’admirer dormir quelques instants.
Jamais elle n’avait ressentit quelque chose comme ça. Craignant avoir fait une erreur, craignant d'avoir découvert une nouvelle faiblesse, Chinone prit peur. Les semaines qui suivirent, elle chercha activement à l’éviter. N’était-ce pas une idée stupide ? l’homme n’était même pas de la région … Malheureusement, la jeune réalisa rapidement que c’était une folle idée, vouée à l’échec. Plus elle tentait de l’éviter, plus elle voulait le revoir. Il fallait se rendre à l’évidence. Depuis, elle le revis un bon nombre de fois. Rencontres teintées de maladresse et d’incertitudes, Chinone ne savait pas exactement ce qu’elle vivait, mais elle en savourait chaque minute.
Pour ceux qui observaient la situation, il ne purent qu’être surpris de voir qu’elle avait gardé l’enfant, qu’elle s'élevait et, même, lorsque la situation le demandait, qu’elle savait se montrer particulièrement protectrice. L’étrange affection, bien que discrète que portrait Aiko à cet enfant aux origine obscures dont le père devait être la cible d’une mission ou voir pire, animait les rumeurs, isolant encore plus la femme qui vivait déjà un peu en marge de son village.
Quelques années plus tard, lors d’une mission, elle périt comme bien d’autres avant elle. Ce n’était pas surprenant, même les meilleurs shinobi perdaient leur vie en mission. C’était leur destin. Si la nouvelle avait brisé le cœur de la petite fille et avait fait naître en elle une rancœur des plus intenses à l’égard du métier qu'exerçait sa mère, mais également l’envie irrépressible de suivre dans ses pas, de la venger un jour, de se rapprocher d’elle, de la garder, à jamais, gravée dans son être. Exercer le même métier était donc la meilleure façon de faire. Mais elle ne savait pas par où commencer. Heureusement, le destin lui tendit la main et offrit une solution pour lui permettre d’accomplir ce but.
Il n’avait suffit que d’une semaine avant que le maître de sa mère ne la trouva. Il lui dit honnêtement : ‘’ jamais ta mère n’a souhaité ça pour toi. Elle me gardait aussi loin que possible. Selon elle, tu n’es pas née pour être ninja, mais ce n’est pas ce que je crois. Je sais que tu t'élèveras encore plus haut qu’elle ne pouvait même l’espérer.’’ Et avec ces simples mots, Chinone comprit qu’elle n’avait pas le choix. Elle devait devenir ninja, parce que sa mère ne le voulait pas, parce qu’elle avait le potentiel, parce qu’elle devait se prouver, parce qu’il lui fallait une raison d’être, parce que … C’était son devoir. Sa mère n’était plus là, elle l’avait abandonnée. Le choix lui avait été arraché à ce moment-là. Elle deviendrait tout ce que sa mère n’avait pu devenir, sans refaire ses erreurs. Elle apprendrait à prendre sa place.
Et les années passèrent, une après l’autre, dans une monotonie froide. Il s’avérait que l’enseignant de sa mère était un homme froid qui ne croyait pas en l’humain. Un vieux paranoïaque bouché qui avait une vision étroite de ce qu’un ninja était. Il était probablement l’un des plus grands adeptes du code encore vivant. Un ninja était une arme qui n’avait le droit d’éprouver quoi que ce soit. Froid, tranchant, rationnel, inhumain. Sa vision d’un ninja, il l’imposa à l’esprit malléable de l’enfant qu’il avait recruté, celle qui remplaçait son ancien disciple. Il la forma aux arts les plus sombres du métiers, enseignant comment faire des coups bas les uns que les autres, à gagner à tout prix, fit d’un enfant naïf et doux, une créature assoiffée de victoire, sans honte, sans honneur. Brisant son esprit et ses rêves, il lui enseigna ce que la réalité était, l’horrible réalité. Il fit d’elle une adepte du code au même titre que lui, allant même jusqu’à dire que ceux qui ne le respectait pas n’était pas réellement des ninjas, qu’ils étaient autre chose, mais qu’ils ne méritaient en rien le titre qu’on leur donnait.
Chinone le laissa faire. Elle le laissa la changer, faire d’elle ce qu’il désirait. Elle en vint même à respecter la femme qu’elle devenait.
Former quelqu’un à devenir ce qu’elle était, ne créait en rien des liens. L’homme était et resterait à jamais rien de plus qu’un mentor. Il ne devint jamais le parents qu’elle espérait avoir ou même son ombre, il ne devint jamais plus que celui qui avait fait d’elle un ninja. Si l’apprentie ninja avait un enseignant, elle n’avait ni famille, ni ami. Et la solitude avait un goût amer.
Les tensions étaient omniprésentes entre elle le vieux maître. Il n’était pas un enfant de cœur, il formait des ninjas, des vrais, pas ceux qui faillaient en mission. Non, ceux qui gardaient la tête froide, ceux qui gagnaient. Dans le processus, ils les déconstruisaient et les remontaient comme bon lui semblait, jetant le superflus, gardant que le plus horrible de la nature humaine. Il créait des tueurs et il les traitait comme tel.
Aussitôt qu’elle n’eut plus besoin de lui, Chinone coupa les ponts. Il avait rempli sa part du marché et elle, elle ferait honneur à son nom. Elle représenterait les ninjas comme ils se devaient d’être.
Jamais elle ne se laissait envahir par ses émotions lorsqu’elle était en fonction, mais aussitôt qu’elle ne l’était plus, c’était la tempête. Enfermée chez elle, elle se laissait aller. Bouteille après bouteilles de Saké, jusqu’à ne plus rien sentir, jusqu’à ne plus être.
Un fois n’était pas coutume … c’était ce qu’elle c’était dit, un soir où elle était particulièrement accablée par la solitude. Un fois n’était pas coutume. Elle laissa un craque dans son masque, permettant à un jeune moine d’entrevoir une partie de l’abysse qui l’habitait. Une fois n’était pas coutume …
Mais il semblerait que ce l’était, car depuis ce jour-là, lorsque le silence devient trop lourd, Une bouteille de son meilleur Saké à main, Chinone retrouve le jeune moine avec qui elle partage le poids du silence. Un silence partagé, elle avait réalisé, était bien mieux que lorsque son poids écrasant l’étouffait seule entre les murs de sa demeure.
Il était rare qu’elle fasse appel aux services d’étranger en mission, mais il lui avait fallu un coup de main pour faire passer une couverture. Un homme à la forte stature, un ronin apparemment, avait eu à remplir le rôle d’escorte le temps d’une soirée. Une fois son objectif accompli, la soirée s'était terminée dans une taverne du coin.
Quelque chose chez lui était différent, différent d’elle, mais de tout le reste du monde aussi. Enfin, de ceux qu’elle connaissait. Peut-être était-ce parce qu’il était un étranger ? Ou peut-être était-ce simplement quelque chose dans son regard ou même dans son honnêteté choquante, mais elle avait apprécié les quelques heures passées à boire en sa compagnie.
Et lorsque les choses avaient dérapé, elle n’avait pas tenté de les arrêter. Après tout, ce n’était pas une première fois pour elle et puis … si l’espace de quelques instants elle se sentait moins seule … Elle s’attendait pourtant à se réveiller seule, qu’au matin il ait plié bagage après avoir eu ce qu’il désirait. C'était un homme après tout. Pourtant, il était encore là. Elle n’avait pas bouger, préférant à la place l’admirer dormir quelques instants.
Jamais elle n’avait ressentit quelque chose comme ça. Craignant avoir fait une erreur, craignant d'avoir découvert une nouvelle faiblesse, Chinone prit peur. Les semaines qui suivirent, elle chercha activement à l’éviter. N’était-ce pas une idée stupide ? l’homme n’était même pas de la région … Malheureusement, la jeune réalisa rapidement que c’était une folle idée, vouée à l’échec. Plus elle tentait de l’éviter, plus elle voulait le revoir. Il fallait se rendre à l’évidence. Depuis, elle le revis un bon nombre de fois. Rencontres teintées de maladresse et d’incertitudes, Chinone ne savait pas exactement ce qu’elle vivait, mais elle en savourait chaque minute.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin 86 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Kame, Sayu, Hotaru
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? huhuhu.
► Comment trouves-tu le forum ? Hypant. C'est déjà mon deuxième passage dans les présentation.
► T'as un autre compte? Lequel ? Oomori Hotaru
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pourquoi pas
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? huhuhu.
► Comment trouves-tu le forum ? Hypant. C'est déjà mon deuxième passage dans les présentation.
► T'as un autre compte? Lequel ? Oomori Hotaru
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pourquoi pas
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Death becomes her -- Ueda Chinone || terminé Mar 3 Mai - 22:51
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins jujou no Satô au grade de Jonin !
Très belle fiche d'une indésirée.
TRAME PERSONNELLE :
Ton grade de Jonin au sein du village de Jujou te permet d’accéder à la brigade d’interrogatoire. Tout ce que tu as pu subir au fil de ta vie, ta permis de devenir un shinobi hors pair, où les sentiments, les émotions, etc ne sont pas des choses qui t’effraie. Tu as au fil du temps pu récupérer quelques informations et secrets militaires. Nagai Kaleah, la Jujoukage, te fais assez confiance pour t’avoir révéler quelques secrets.
TON IMAGE : Froideur écarlate
Ton grade de Jonin au sein du village de Jujou te permet d’accéder à la brigade d’interrogatoire. Tout ce que tu as pu subir au fil de ta vie, ta permis de devenir un shinobi hors pair, où les sentiments, les émotions, etc ne sont pas des choses qui t’effraie. Tu as au fil du temps pu récupérer quelques informations et secrets militaires. Nagai Kaleah, la Jujoukage, te fais assez confiance pour t’avoir révéler quelques secrets.
TON IMAGE : Froideur écarlate
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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