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Objet: 1 miroir du reset - Armure en fer 1* -2 Armure 2* - 10 bombes - 5 parchemins explosifs - 2 kits de réparation - 2 kodachis - 1 katana ( départ ) - 1 wakizashi ( création ) - 1 épée démoniaque ( Sekitsui) - 1 ambre rouge - 1 morceau de fer de météorite
# Séjour forcé à l'hôpital [ PV Kitai ] Jeu 27 Juil - 23:09
Séjour forcé à l'hôpital
Ce qui devait être une mission importante avait failli tourner à la catastrophe, face à un adversaire à la puissance impressionnante. Kyoshiro avait été dépêché dans un village pour traquer une bête, un monstre, et ce monstre n'était qu'un parasite habitant un pauvre malheureux, un triste sire forcé d'être spectateur des actions de son propre corps. N'y avait-il pas plus cruel traitement que cela ? Plus frustrant que de ne plus pouvoir contrôler le corps dans lequel il était né ? Une partie de l'aveugle se rappelait encore de ce qu'il avait ressenti, alors que ses flammes immaculées touchaient le corps de l'hôte. Il se rappelait de cette tristesse, ce désespoir, cette détresse et cette douleur semblait avoir marqué l'âme de l'aveugle au fer rouge.
Il pouvait faire de son mieux pour l'oublier, pour aller de l'avant mais cette sensation était toujours bien trop présente. Elle hantait la moindre de ses pensées depuis son retour à Seizan. Au vu de ses blessures l'aveugle et son compagnon épéiste furent tous deux menés directement à l'hopital, pour permettre à leurs corps de se reposer, mais le Tadake avait tout de même un rapport complet à effectuer, sur la bête combattue et celui qui était venu voler le précieux butin.
Cela lui prit du temps de dicter l'entièreté de son rapport, pour laisser à un autre le soin de le transmettre au grand patron tandis que lui, de son côté, était consigné à ce fichu lit d'hôpital, le torse complètement couvert de bandages. Combien de plaies et d'os brisés ? Il n'aurait su le dire, mais chaque mouvement était un supplice le poussant à serrer les dents, car admettre sa douleur n'était pas un luxe qu'il pouvait se permettre. Surtout pas maintenant qu'il avait enfin été promu...pas trop tôt !
Durant les premiers jours Kyoshiro repassa la scène dans sa tête, encore et encore. Se demandant comment il aurait pu se battre différemment et se détestant de ne pas avoir trouvé d'autres options. Puis il pensait à cet homme, ce rat, ce voleur et cette seule pensée faisait bouillir le sang de l'aveugle.
Si je retrouve l'autre fils de...
Il tenta bien de se redresser mais la douleur le cloua sur place, le forçant à passer ses bras autour de ses côtés meurtries, en se rappelant qu'il n'était pas seul ici. Il ne devait pas crier, hurler ou se plaindre. Il devait être fort ou au moins paraître l'être. Alors, pour dévier la conversation, l'homme attira l'attention de son camarade de chambrée d'un :
Hey Kitai...t'es encore en vie ?
Joignant le geste à la parole, Kyoshiro attrapa le premier objet à sa portée – un rouleau de bandages dans le cas présent – avant de le lancer en direction du blondinet, sur le lit à sa gauche. La cible allait être ratée à n'en pas douter, cécité oblige, mais c'était le geste qui comptait plus que la précision. Espérant que Kitai soit réveillé, l'aveugle laissa sa curiosité vocaliser la question qu'il se posait depuis qu'il avait vu le petit se battre.
J'ai une question...pour toi. Qui t'a appris à te battre comme...tu l'as fait, là-bas ?
Depuis qu'il l'avait vu se battre Kyoshiro était...intrigué, car il existait un feu en Kitai que le Tadake n'avait que trop rarement ressenti. Ce garçon avait un potentiel certain et le forgeron espérait avoir l'occasion d'en apprendre plus...quand il serait à nouveau sur pieds.
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# Re: Séjour forcé à l'hôpital [ PV Kitai ] Sam 26 Aoû - 23:00
Je vais au plus simple dans le codage, afin d'y sauver du temps et de la motivation. Désolé du retard, mes raisons ne m'accordent que peu d'énergie en ce moment...
Un retour des plus longs et difficiles.
Torturé par son bras évidemment fracturé (Watari-san le lui avait confirmé), l'attelle de fortune n'aidait en rien à soulager son mal. Pourtant, contrairement à ses habitudes, le genin garda pour lui sa colère de devoir rentrer le bras en écharpe, les dents qui grinçaient pour étouffer ses gémissements. Une chance, une fois les frontières des contrées du Sud franchies, le groupe put emprunter des chevaux Temna pour revenir au galop — expérience qui déplut à Kitai, à maudire sa monture cahoteuse qui hennissait en opposition à ses coups de bride ; la mâchoire du blond qui se crispait à chacun des soubresauts.
Autant dire qu'à leur arrivée, le genin s'effondra littéralement de sa selle dans les bras des palefreniers, mené d'urgence à l'hôpital pour y traiter son bras et faire baisser la vilaine fièvre qui était apparue dans les derniers jours. Plongé dans un sommeil profond une fois la couette remontée jusqu'au menton, en salle de réveil, Kitai ne garderait du voyage que des souvenirs éphémères et discontinus, entrecoupés des visages masqués des médecins tout en blanc...
Ce fut le chant des oiseaux et la fraicheur de la brise pénétrant par la fenêtre de sa chambre qui le tira enfin de sa torpeur. Clignant d'abord des yeux, confortable et étrangement soulagé de ses maux des derniers jours, il se redressa dans son lit, tirant de sous les couvertures le lourd plâtre qui emprisonnait désormais son bras. Les cheveux ébouriffés du grand dormeur, il prit un moment pour remonter à la réalité. Il était dans un chambre sur l'étage d'hospitalisation, sans doute y avait-il été déplacé pendant qu'il dormait. La chambre n’accueillait que deux lits, séparés par un rideau.
Devant l'incomparable sensation d'être en sécurité, maintenant qu'il était de retour au sein de Seizan, le genin pourrait enfin se reposer. Mais pourtant, lorsqu'il tenta de se lover dans les bras de Morphée, au moment où il quitta des yeux les poutres au plafond, l'intense image d'une vague scélérate s'éleva devant sa silhouette tétanisé. D'un grand respire, il s'extirpa du cauchemar comme celui qui remonte enfin a la surface, après avoir plongé dans les courants.
Il entendit son voisin de chambre s'énerver, ce qui eut rapidement pour effet de le rassurer. Tadake-san était un puissant shinobi et malgré ce qu'avaient pu en dire ceux qu'il avait croisé sur sa route, le fait qu'il avait pu à lui seul maintenir en échec le monstre qu'était devenu le vieillard illuminait l'imaginatif de Kitai de nouvelles histoires à partager à sa mère, lorsqu'il parviendrait à manier une plume de sa mauvaise main...
Derrière son rideau, Kyoshiro s'agitait et l'appelait! Il lança un objet qui s'écrasa dans le tissu qui séparait les chambreurs, d'un son mat avant de tomber au sol, rouler sous les pans pour dévoiler n'être d'un rouleau de bandages. Tout sourire, le genin soudainement bien éveillé oublia ses tracas et cauchemars pour se lever d'un pas prompt de son lit! Retirant la couette d'un large geste, il en fit de même avec le rideau. Même s'il ne voyait pas, Kyoshiro reconnaitrait son air de béatitude au timbre de sa voix égayée! « Senpai! lança d'abord le genin tout sourire, passant le rideau. Jiji m'a fait viv' ben pire, chus cap' d'en prendre plus! »
Kitai piétinait, animé d'une incroyable bonne humeur. Kyoshiro-senpai ne lui avait-il pas dit qu'ils étaient désormais partenaires d'entraînement? Alors, prêts a commencer le vieux? Mais Tadake-san souhaitait plutôt le questionner... Mais qu'avaient donc tous ces jônins à s'intéresser ainsi à lui? « Bah, c'est Jiji qui m'a appris! Mais tsé... J'veux pas t'surprendre mais t'es aveugle nan? Comment ça... m'battre comme j'ai fait là-bas? J'veux dire... T'y vois rien nan? Comment t'as fait pour voir mes enchaînements? T'es sûr qu't'es aveugle?... Pour ça qu't'as refusé la greffe d'yeux d'Watari-san? Moi aussi j'aurais refusé, surtout après not' r'tour... Son attelle tenait à rien, elle bougeait beaucoup trop... Ceux d'maman était beeeeeen plus mieux! Mais bon, faudrait ben qu'je lui écrive d'ailleurs, mais j'ai la main toute prise... Raaaaah, j'aime pas être blessé! Puis ses émotions labiles une fois apaisées : Mais ouais, c'ça, comme j'disais... Ben ça prend beaucoup d'dispill pour parvenir au bout du bout d'l'entraînement des Gekirin, huhuhu... Jiji m'disait toujours que chaqu' épéiste doit découvrir son prop' style, pis que quand tu l'avais, ben t'as comme la sénilité au combat... Bref, j'comprends pas toujours c'qui m'dit, mais tsé j'ai beaucoup beaucoup pratiqué! Dans ses explications, il faisait des gestes de tranche, mais le lourdeur de son bras emplâtré lui donnait une drôle de forme. C'est la première fois que j'vois du feu blanc! Comment tu fais pour en faire? J'peux apprendre?
Torturé par son bras évidemment fracturé (Watari-san le lui avait confirmé), l'attelle de fortune n'aidait en rien à soulager son mal. Pourtant, contrairement à ses habitudes, le genin garda pour lui sa colère de devoir rentrer le bras en écharpe, les dents qui grinçaient pour étouffer ses gémissements. Une chance, une fois les frontières des contrées du Sud franchies, le groupe put emprunter des chevaux Temna pour revenir au galop — expérience qui déplut à Kitai, à maudire sa monture cahoteuse qui hennissait en opposition à ses coups de bride ; la mâchoire du blond qui se crispait à chacun des soubresauts.
Autant dire qu'à leur arrivée, le genin s'effondra littéralement de sa selle dans les bras des palefreniers, mené d'urgence à l'hôpital pour y traiter son bras et faire baisser la vilaine fièvre qui était apparue dans les derniers jours. Plongé dans un sommeil profond une fois la couette remontée jusqu'au menton, en salle de réveil, Kitai ne garderait du voyage que des souvenirs éphémères et discontinus, entrecoupés des visages masqués des médecins tout en blanc...
Ce fut le chant des oiseaux et la fraicheur de la brise pénétrant par la fenêtre de sa chambre qui le tira enfin de sa torpeur. Clignant d'abord des yeux, confortable et étrangement soulagé de ses maux des derniers jours, il se redressa dans son lit, tirant de sous les couvertures le lourd plâtre qui emprisonnait désormais son bras. Les cheveux ébouriffés du grand dormeur, il prit un moment pour remonter à la réalité. Il était dans un chambre sur l'étage d'hospitalisation, sans doute y avait-il été déplacé pendant qu'il dormait. La chambre n’accueillait que deux lits, séparés par un rideau.
Devant l'incomparable sensation d'être en sécurité, maintenant qu'il était de retour au sein de Seizan, le genin pourrait enfin se reposer. Mais pourtant, lorsqu'il tenta de se lover dans les bras de Morphée, au moment où il quitta des yeux les poutres au plafond, l'intense image d'une vague scélérate s'éleva devant sa silhouette tétanisé. D'un grand respire, il s'extirpa du cauchemar comme celui qui remonte enfin a la surface, après avoir plongé dans les courants.
Il entendit son voisin de chambre s'énerver, ce qui eut rapidement pour effet de le rassurer. Tadake-san était un puissant shinobi et malgré ce qu'avaient pu en dire ceux qu'il avait croisé sur sa route, le fait qu'il avait pu à lui seul maintenir en échec le monstre qu'était devenu le vieillard illuminait l'imaginatif de Kitai de nouvelles histoires à partager à sa mère, lorsqu'il parviendrait à manier une plume de sa mauvaise main...
Derrière son rideau, Kyoshiro s'agitait et l'appelait! Il lança un objet qui s'écrasa dans le tissu qui séparait les chambreurs, d'un son mat avant de tomber au sol, rouler sous les pans pour dévoiler n'être d'un rouleau de bandages. Tout sourire, le genin soudainement bien éveillé oublia ses tracas et cauchemars pour se lever d'un pas prompt de son lit! Retirant la couette d'un large geste, il en fit de même avec le rideau. Même s'il ne voyait pas, Kyoshiro reconnaitrait son air de béatitude au timbre de sa voix égayée! « Senpai! lança d'abord le genin tout sourire, passant le rideau. Jiji m'a fait viv' ben pire, chus cap' d'en prendre plus! »
Kitai piétinait, animé d'une incroyable bonne humeur. Kyoshiro-senpai ne lui avait-il pas dit qu'ils étaient désormais partenaires d'entraînement? Alors, prêts a commencer le vieux? Mais Tadake-san souhaitait plutôt le questionner... Mais qu'avaient donc tous ces jônins à s'intéresser ainsi à lui? « Bah, c'est Jiji qui m'a appris! Mais tsé... J'veux pas t'surprendre mais t'es aveugle nan? Comment ça... m'battre comme j'ai fait là-bas? J'veux dire... T'y vois rien nan? Comment t'as fait pour voir mes enchaînements? T'es sûr qu't'es aveugle?... Pour ça qu't'as refusé la greffe d'yeux d'Watari-san? Moi aussi j'aurais refusé, surtout après not' r'tour... Son attelle tenait à rien, elle bougeait beaucoup trop... Ceux d'maman était beeeeeen plus mieux! Mais bon, faudrait ben qu'je lui écrive d'ailleurs, mais j'ai la main toute prise... Raaaaah, j'aime pas être blessé! Puis ses émotions labiles une fois apaisées : Mais ouais, c'ça, comme j'disais... Ben ça prend beaucoup d'dispill pour parvenir au bout du bout d'l'entraînement des Gekirin, huhuhu... Jiji m'disait toujours que chaqu' épéiste doit découvrir son prop' style, pis que quand tu l'avais, ben t'as comme la sénilité au combat... Bref, j'comprends pas toujours c'qui m'dit, mais tsé j'ai beaucoup beaucoup pratiqué! Dans ses explications, il faisait des gestes de tranche, mais le lourdeur de son bras emplâtré lui donnait une drôle de forme. C'est la première fois que j'vois du feu blanc! Comment tu fais pour en faire? J'peux apprendre?
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# Re: Séjour forcé à l'hôpital [ PV Kitai ] Lun 28 Aoû - 12:24
Séjour forcé à l'hôpital
Si on lui avait laissé le choix, une partie de l'aveugle aurait sans doute préféré être seul dans une chambre. Certes il avait de la compagnie, ce qui pouvait lui permettre de se changer les idées mais, en ce moment, se changer les idées était la dernière chose qu'il voulait faire. Il devait se concentrer pour repenser à la mission, repenser au combat, à ce qu'il bien ou mal fait afin que, la prochaine fois, il puisse tirer des leçons de ses erreurs. N'était-ce pas ainsi que l'on pouvait avancer, grandir, évoluer ? Certes, admettre qu'il avait failli se faire battre à plate couture lui laissait un goût amer au fond de la bouche, d'autant plus qu'il avait dû en faire un rapport officiel au grand patron, mais il devait accepter que son glorieux parcours serait forcément semé d’embûches.
Il devait donc ronger son frein en attendant d'avoir le feu vert du personnel soignant de l'hôpital, et la patience n'était clairement pas l'une de ses vertus. Si Hotaru était là, elle lui dirait de prendre son mal en patience, de laisser à son corps le temps de guérir alors que lui, tout ce qu'il voulait c'était de sortir de ce mouroir et retourner s'exercer à nouveau. Il savait que ce n'était pas sain mais, pour lui, l'inactivité était la mort de l'âme, et il n'était pas encore prêt à mourir.
Son camarade de chambrée semblait de bonne humeur aujourd'hui et, quand il le mit au défi de lui lancer d'autres choses, Kyoshiro éclata d'un franc :
Oh, ne me teste pas !
Bien sûr qu'il en était capable mais, pour l'heure, il était plus intéressé par les capacités de son camarade. Ce dernier semblait surpris, comme s'il pensait que Kyoshiro n'avait rien pu voir ou ressentir de ses exploits en combat. Arquant un sourcil de surprise, l'aveugle se redressa difficilement sur son lit, commentant :
Penses-tu vraiment que je serai au poste où je suis, aujourd'hui, si je n'étais pas capable de voir à ma façon ? De compenser ma cécité, par un autre moyen ? Je ne suis pas juste un aveugle, Kitai.
Ego blessé ? Pas vraiment, il était simplement surpris que tout le monde pense qu'il ne voyait véritablement rien et que, par extension, il était incapable de se repérer dans l'espace. Le grand patron ne faisait pas la charité, et n'aurait pas offert une promotion à Kyoshiro s'il n'était pas un combattant exemplaire, avec sa propre façon de percevoir le monde qui l'entourait. Bien sûr qu'il ne pouvait pas tout voir, mais suffisamment pour se débrouiller en tout cas. Il continua donc d'écouter son camarade expliquer qu'il s'était durement entraîné pour arriver là où il en était aujourd'hui et, bien humblement, le Tadake dû admettre que :
Et ton entraînement a porté ses fruits, de toute évidence.
Puis vint alors la fameuse question sur son feu blanc. Kitai n'était pas le premier à venir s'enquérir de l'origine de ce feu et, surtout, à essayer de savoir comment l'acquérir. Comment est-ce que Kyoshiro pouvait l'expliquer, alors que tout ce qu'il avait fait était de s'exercer encore et encore, jusqu'à ce que la sensation ne soit différente ? Ne désirant pas mener Kitai en bateau, il expliqua aussi franchement que possible :
C'est difficile à dire, en fait. A force de m'entraîner, au bout d'un moment une...porte s'est ouverte, pour ainsi dire. Une sensation différente, comme si ce feu avait d'autres propriétés. Par contre, je serai incapable de te dire précisément comment j'ai fait. J'imagine que c'est un processus qui est propre à chacun. Tu finiras peut-être par découvrir ton propre élément, un jour.
Bien sûr qu'il n'allait rien dire sur le fait que son feu lui avait permis de ressentir les émotions de l'hôte, déjà parce que cela l'avait grandement perturbé, mais aussi parce qu'il souhaitait garder ce petit secret pour lui et lui seul, pour le moment. C'était quelque chose d'assez utile, mais il allait devoir continuer à s'exercer, en mission, pour pouvoir s'habituer à ces pensées intrusives et suffocantes.
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