# Discipline ? || Ft Okuda Daiki Mar 6 Sep - 18:51
Discipline ?
J’avais passé la journée à revoir différents rapports. Si en général, cela ne m’embête guère, aujourd’hui, cela me semble particulièrement interminable. Je n’attends que de rentrer et ouvrir ma bouteille de saké. La matinée avait mal commencé et m’avais mise sur les nerfs. Une escouade d’incompétents avaient commis une erreur de débutants … Le genre de chose qui n’attise pas ma sympathie, mais plutôt mon irritabilité. Donc, de mauvaise humeur, il avait fallu que je revois les rapports que l’on m’a laissé. Non seulement la tâche n’est pas ma favorite, mais il n’y avait rien d’intéressant à remonter de tout ça.
Enfin, rien qui ne m’intéresse, mais malheureusement il y a bien quelque chose qui demande mon intervention. Un des soldats a commencé à repousser le plus de ses activités habituelles, prétendant être occupé. Si ce n’est qu’un cas de paresse au boulot, il demande qu’on le punisse, mais mon esprit est déjà bien ailleurs. S’il est occupé à autre chose, qu’est-ce que ce ‘’autre chose’’ ?
Si rien ne laisse croire qu’il est un danger pour Jujou, il me faut quand même faire mon enquête. Après tout, c’est souvent ceux qui semblent inoffensifs qui sont les plus dangereux. D’un côté, j’espère avoir mis la main sur quelque chose de gros – les signes précurseurs d’une traîtrise – et ne pas avoir gaspiller mon temps, mais, comme souvent, je ne m’attends pas à grand-chose. S’il est prudent d’enquêter sur le changement de comportement et s’il est prudent de considérer une possible traîtrise, il n’en reste pas moins que c’est tout de même un dénouement rare.
Alors, sous la couverture de la discipline, je pars à la recherche du type en question. Okuda Daiki. Il me faut un certain temps avant de trouver quelqu’un correspondant à sa description. Avant, de l’interpeller, j’étouffe ma présence et mon chakra et l’observe un peu. Il me faut savoir à quel genre de personne j’ai à faire et s’il est réellement ce que je soupçonne – un traître en devenir – d’avoir un peu d’information sur sa personne avant de l’approcher reste la meilleure approche.
Je ne reste cependant pas longtemps cachée dans les ombres, après quelques instants, je sors de ma cachette.
Mon ton est fort, tranchant et ferme. Il est évident que je ne suis pas ici pour rigoler. Je franchis la distance entre lui et moi pour arriver à son niveau avant d’ajouter :
Et je l’étudie. J’attends sa réaction avec un regard avide d’indice, de quoi que ce soit qui me donnerait un indice.
Enfin, rien qui ne m’intéresse, mais malheureusement il y a bien quelque chose qui demande mon intervention. Un des soldats a commencé à repousser le plus de ses activités habituelles, prétendant être occupé. Si ce n’est qu’un cas de paresse au boulot, il demande qu’on le punisse, mais mon esprit est déjà bien ailleurs. S’il est occupé à autre chose, qu’est-ce que ce ‘’autre chose’’ ?
Si rien ne laisse croire qu’il est un danger pour Jujou, il me faut quand même faire mon enquête. Après tout, c’est souvent ceux qui semblent inoffensifs qui sont les plus dangereux. D’un côté, j’espère avoir mis la main sur quelque chose de gros – les signes précurseurs d’une traîtrise – et ne pas avoir gaspiller mon temps, mais, comme souvent, je ne m’attends pas à grand-chose. S’il est prudent d’enquêter sur le changement de comportement et s’il est prudent de considérer une possible traîtrise, il n’en reste pas moins que c’est tout de même un dénouement rare.
Alors, sous la couverture de la discipline, je pars à la recherche du type en question. Okuda Daiki. Il me faut un certain temps avant de trouver quelqu’un correspondant à sa description. Avant, de l’interpeller, j’étouffe ma présence et mon chakra et l’observe un peu. Il me faut savoir à quel genre de personne j’ai à faire et s’il est réellement ce que je soupçonne – un traître en devenir – d’avoir un peu d’information sur sa personne avant de l’approcher reste la meilleure approche.
Je ne reste cependant pas longtemps cachée dans les ombres, après quelques instants, je sors de ma cachette.
« Okuda Daiki ! »
Mon ton est fort, tranchant et ferme. Il est évident que je ne suis pas ici pour rigoler. Je franchis la distance entre lui et moi pour arriver à son niveau avant d’ajouter :
« Il m’est venu à l’oreille que tu délaisses ton devoir. »
Et je l’étudie. J’attends sa réaction avec un regard avide d’indice, de quoi que ce soit qui me donnerait un indice.
# Re: Discipline ? || Ft Okuda Daiki Ven 16 Sep - 16:40
Discipline ?
Aujourd'hui était un jour particulier.
A force d'observer le monde qui t'entourais avec ton nouveau regard, tu avais fini par te rendre compte que tout une myriade de petits éléments existaient et se répondaient, et, certains jours, toutes ses petites choses semblaient comme décalées, perdues, comme si le monde lui même attendait qu'un évènement unique se passe pour qu'il puisse fonctionner de nouveau.
Cela se sentait dans l'air, plus musqué qu'a son habitude car les épines des pins étaient moins sorties qu'a leur habitudes. Cela s'entendait dans les rafales de vent, plus puissantes et entêtées qu'en ces mois d'hiver, comme si tous leurs rivaux se taisaient légèrement, l'espace d'un instant. Cela se voyait dans l'eau, moins trouble car les gouttes d'eau étaient plus uniformes, moins tordues et irrégulières qu'a leur habitude. Cela se palpait dans la terre, ou les éléments plus visqueux côtoyaient ceux qu'ils évitaient d'ordinaire. Cela se ressentait dans le gout des herbes, ou les simples brins semblaient plus opiacés, comme si ils évacuaient moins les déchets de leur métabolisme.
Pendant quelques minutes, quelques heures, le monde retenait son souffle. Et puis, soudainement, tout recommençait à fonctionner comme si de rien n'était, comme si l’éclipse du soleil de leur existence s'était évadée. Et toi, simple spectateur, tu savais que quelque part, à quelques kilomètres ou à l'autre bout du monde, quelque chose s'était passé. Quelque chose qui avait valu la peine pour qu'un instant, la conscience du monde elle même se détourne très légèrement de sa fonction primaire.
C'était en observant l'un de ses phénomènes se passer, tes yeux se perdant dans la contemplation du ruisseau qui passait en bord du village caché de la cime des arbres, le troisième que tu remarquais depuis le début de ton existence, que quelqu'un vint t'interrompre dans ta contemplation. Le nom de ton enveloppe physique résonne, celui que les âmes utilisent pour attirer ton regard, et tu détournes donc tes yeux émeraude pour les poser sur celle qui venait te chercher.
C'était une âme que tu connaissait, et que de nombreuses âmes connaissaient. C’était le genre d'âmes dont le passage laissait une marque derrière elle, celles dont les herbes se souvenait de leur passage ou les arbres chérissaient leur venue. Celles dont le changement et le chaos étaient intrinsèquement liées à leur existence, et, surtout, celle que le serment de ton âme passée te forçait à écouter et obéir.
Tu portes deux doigts à ton cœur que tu vins faire pivoter en sa direction, pour ponctuer ta salutation d'un signe de respect, laissant ta voix calme sortir de tes cordes vocales. Entendant les reproches que l'âme avait à te faire, tu ne bronches pas d'un centimètre, restant parfaitement calme.
Cela était la plus pure vérité, mais pourtant tu sentais que ça n'allais probablement pas être aussi simple. Les âmes sous serment avaient une vision très très limitée du devoir, tout comme celle que ton âme précédente avait. Tu avais depuis compris que le devoir était en réalité bien plus grand, et bien plus global que ce qu'il paraissait. Mais pourras tu le faire comprendre à ton interlocutrice ?
Une ombre passa dans ton regard en comprenant que c'était hautement improbable.
A force d'observer le monde qui t'entourais avec ton nouveau regard, tu avais fini par te rendre compte que tout une myriade de petits éléments existaient et se répondaient, et, certains jours, toutes ses petites choses semblaient comme décalées, perdues, comme si le monde lui même attendait qu'un évènement unique se passe pour qu'il puisse fonctionner de nouveau.
Cela se sentait dans l'air, plus musqué qu'a son habitude car les épines des pins étaient moins sorties qu'a leur habitudes. Cela s'entendait dans les rafales de vent, plus puissantes et entêtées qu'en ces mois d'hiver, comme si tous leurs rivaux se taisaient légèrement, l'espace d'un instant. Cela se voyait dans l'eau, moins trouble car les gouttes d'eau étaient plus uniformes, moins tordues et irrégulières qu'a leur habitude. Cela se palpait dans la terre, ou les éléments plus visqueux côtoyaient ceux qu'ils évitaient d'ordinaire. Cela se ressentait dans le gout des herbes, ou les simples brins semblaient plus opiacés, comme si ils évacuaient moins les déchets de leur métabolisme.
Pendant quelques minutes, quelques heures, le monde retenait son souffle. Et puis, soudainement, tout recommençait à fonctionner comme si de rien n'était, comme si l’éclipse du soleil de leur existence s'était évadée. Et toi, simple spectateur, tu savais que quelque part, à quelques kilomètres ou à l'autre bout du monde, quelque chose s'était passé. Quelque chose qui avait valu la peine pour qu'un instant, la conscience du monde elle même se détourne très légèrement de sa fonction primaire.
C'était en observant l'un de ses phénomènes se passer, tes yeux se perdant dans la contemplation du ruisseau qui passait en bord du village caché de la cime des arbres, le troisième que tu remarquais depuis le début de ton existence, que quelqu'un vint t'interrompre dans ta contemplation. Le nom de ton enveloppe physique résonne, celui que les âmes utilisent pour attirer ton regard, et tu détournes donc tes yeux émeraude pour les poser sur celle qui venait te chercher.
C'était une âme que tu connaissait, et que de nombreuses âmes connaissaient. C’était le genre d'âmes dont le passage laissait une marque derrière elle, celles dont les herbes se souvenait de leur passage ou les arbres chérissaient leur venue. Celles dont le changement et le chaos étaient intrinsèquement liées à leur existence, et, surtout, celle que le serment de ton âme passée te forçait à écouter et obéir.
Ueda-sama.
Tu portes deux doigts à ton cœur que tu vins faire pivoter en sa direction, pour ponctuer ta salutation d'un signe de respect, laissant ta voix calme sortir de tes cordes vocales. Entendant les reproches que l'âme avait à te faire, tu ne bronches pas d'un centimètre, restant parfaitement calme.
Je ne vis pourtant que pour accomplir mon devoir, Ueda-sama.
Cela était la plus pure vérité, mais pourtant tu sentais que ça n'allais probablement pas être aussi simple. Les âmes sous serment avaient une vision très très limitée du devoir, tout comme celle que ton âme précédente avait. Tu avais depuis compris que le devoir était en réalité bien plus grand, et bien plus global que ce qu'il paraissait. Mais pourras tu le faire comprendre à ton interlocutrice ?
Une ombre passa dans ton regard en comprenant que c'était hautement improbable.
# Re: Discipline ? || Ft Okuda Daiki Ven 23 Sep - 7:10
Discipline ?
Lorsqu’il se retourne pour me faire face, son visage me semble familier. Il n’y a rien d’étonnant, j’ai eu à faire à la plupart de la force militaire de Jujou à ce point-ci dans ma carrière. Je le fixe un instant et plus je le fixe, plus il me dit quelque chose. Son nom … Ah oui, je me rappelle. Mais la dernière fois que je l’ai vu … Il n’avait rien à voir avec le genre de plaintes que j’ai reçues. Il me reconnait immédiatement, mais je ne pas surprise. Il est rare qu’on m’oublie.
Sa réponse me donne envie de grincer des dents et de lui en mettre en plein visage, mais … mais je ne bouge pas, je retiens mon soupir. Vraiment ? C’est le genre de tactique que l’on voit bien trop souvent.
Ma réponse se fait du tact au tact, sans aucune hésitation. Je ne suis pas dans son esprit, je ne peux garantir que ce que je dis sois la réalité, mais j’ai l’habitude de travailler avec des réponses de ce genre, des réponses qui ne sont pas un mensonge et qui jouent que sur la perception d’autrui vis-à-vis d’un sujet donné.
C’est simple et pourtant ce ne l’est pas. Quelque chose a changé très apparemment, quoi, je ne sais pas et malheureusement pour la suite des événements, il me faudra aller fouiller que cela ne plaise ou non. L’habitude de jouer directement de mon statut ou de ma réputation pour avoir ce que je veux au cœur du village, je choisis cependant de faire comme lorsque je suis en mission et feindre que ce qu’il ait à dire m’intéresse.
J’offre alors un sourire à Daiki et de mon ton le plus curieux – que je suis capable de faire dans ces circonstances – je reprends la parole :
J’insinue beaucoup. Il faudrait être bête pour ne pas comprendre ce que je dis vraiment : ‘’Si tu ne fais pas ton devoir, celui de ninja, quel devoir fais-tu ?’’ Je reste donc là sans ajouter de mot, mon regard le défiant un juste assez d’essayer de me faire croire qu’il fait ce qu’il a faire comme il se doit et que les plaintes que j’ai eues ne sont que mensonges.
Sa réponse me donne envie de grincer des dents et de lui en mettre en plein visage, mais … mais je ne bouge pas, je retiens mon soupir. Vraiment ? C’est le genre de tactique que l’on voit bien trop souvent.
« Alors ta conception du devoir n’est pas la même que la mienne. »
Ma réponse se fait du tact au tact, sans aucune hésitation. Je ne suis pas dans son esprit, je ne peux garantir que ce que je dis sois la réalité, mais j’ai l’habitude de travailler avec des réponses de ce genre, des réponses qui ne sont pas un mensonge et qui jouent que sur la perception d’autrui vis-à-vis d’un sujet donné.
C’est simple et pourtant ce ne l’est pas. Quelque chose a changé très apparemment, quoi, je ne sais pas et malheureusement pour la suite des événements, il me faudra aller fouiller que cela ne plaise ou non. L’habitude de jouer directement de mon statut ou de ma réputation pour avoir ce que je veux au cœur du village, je choisis cependant de faire comme lorsque je suis en mission et feindre que ce qu’il ait à dire m’intéresse.
J’offre alors un sourire à Daiki et de mon ton le plus curieux – que je suis capable de faire dans ces circonstances – je reprends la parole :
« Je pensais que ton devoir était l’entraînement et les tâches qui viennent avec ton grade … Est-ce que je me trompe ? »
J’insinue beaucoup. Il faudrait être bête pour ne pas comprendre ce que je dis vraiment : ‘’Si tu ne fais pas ton devoir, celui de ninja, quel devoir fais-tu ?’’ Je reste donc là sans ajouter de mot, mon regard le défiant un juste assez d’essayer de me faire croire qu’il fait ce qu’il a faire comme il se doit et que les plaintes que j’ai eues ne sont que mensonges.
# Re: Discipline ? || Ft Okuda Daiki Sam 19 Nov - 15:46
Discipline ?
Tu clignes des yeux, une fois, deux. Lentement. Tu te sentais comme face à un prédateur, qui n'attendais qu'une faille de ta part pour venir se saisir de toi à la gorge. Cela ne te faisait pas peur, non, mais t'emplissais de tristesse.
Tu n'aimais pas blesser. Le mensonge t'étais étranger, ainsi que toute haine ou colère. Tout ce que tu pouvais ressentir, c'était la peine que tu ressentait en en provoquant malgré toi. Quoi qu'il arrive, tu avais déjà fait le mal. Et tu sentais que, malgré toute ta volonté, ce qui sortirais de ta bouche ne pourrait que causer plus de dommages que ceux que tu souhaitais infliger.
Alors, après quelques secondes d'hésitation, tu te décidas à répondre à celle dont la fureur, même cachée, faisait se charger l'air d'électricité.
Le grade que tu avais obtenu, dans ta vie passée, était venu avec son lot de contraintes que tu avais alors embrassé pleinement. Mais, c'était avant que le monde ne s'éclaire... plus rien n'était pareil.
Et tu ne pouvais revenir en arrière.
Tu te retournes doucement pour laisser tes yeux se perdre dans le ruisseau, ne souhaitant plus soutenir le regard de l'être qui venait te reprocher tes manquements.
Tu inspires un grand coup, sachant pertinemment que tout ce qui se dégagerait de ta prochaine phrase ne serait rien de plus que de l'incompréhension, de la folie.
Tu t'accroupis, laissant quelques doigts de ta main s'immerger dans l'eau.
Tu n'ajoutes rien, sentant que tout mot supplémentaire pourrait probablement te mettre encore plus dans le danger que tu ne l'es maintenant. Tu ne sais de toute façon pas comment l'âme furibonde pourrait réagir... et tu ne souhaites pas l'anticiper.
Comme tout ce qui rythmais ton existence, tu n'avais au final qu'a attendre afin de pouvoir enfin voir.
Tu n'aimais pas blesser. Le mensonge t'étais étranger, ainsi que toute haine ou colère. Tout ce que tu pouvais ressentir, c'était la peine que tu ressentait en en provoquant malgré toi. Quoi qu'il arrive, tu avais déjà fait le mal. Et tu sentais que, malgré toute ta volonté, ce qui sortirais de ta bouche ne pourrait que causer plus de dommages que ceux que tu souhaitais infliger.
Alors, après quelques secondes d'hésitation, tu te décidas à répondre à celle dont la fureur, même cachée, faisait se charger l'air d'électricité.
Cela est rigoureusement exact, Ueda-sama.
Le grade que tu avais obtenu, dans ta vie passée, était venu avec son lot de contraintes que tu avais alors embrassé pleinement. Mais, c'était avant que le monde ne s'éclaire... plus rien n'était pareil.
Et tu ne pouvais revenir en arrière.
Tu te retournes doucement pour laisser tes yeux se perdre dans le ruisseau, ne souhaitant plus soutenir le regard de l'être qui venait te reprocher tes manquements.
J'ai simplement du revoir mes priorités. Je ne sais pas si vous pouvez me croire... Non, je ne pense pas que vous me croirez. Mais je ne peux vous mentir pour autant.
Tu inspires un grand coup, sachant pertinemment que tout ce qui se dégagerait de ta prochaine phrase ne serait rien de plus que de l'incompréhension, de la folie.
Quelque chose se prépare, quelque chose qui pourrait probablement changer le destin de ce monde. Je ne peux l'anticiper... je ne peux qu'attendre que cela se produise. Car, au moment où cela arrivera, je le verrai.
Tu t'accroupis, laissant quelques doigts de ta main s'immerger dans l'eau.
Mon devoir... est donc de veiller.
Tu n'ajoutes rien, sentant que tout mot supplémentaire pourrait probablement te mettre encore plus dans le danger que tu ne l'es maintenant. Tu ne sais de toute façon pas comment l'âme furibonde pourrait réagir... et tu ne souhaites pas l'anticiper.
Comme tout ce qui rythmais ton existence, tu n'avais au final qu'a attendre afin de pouvoir enfin voir.
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