La femme ne manque toujours pas de se faire critique à l’égard d’Akari. Mais dans un sens on peut voir cela comme une aide et non comme une manière de sanctionner le garçon. Car à n’en point douter c’est là des domaines que ne maitrise pas le garçon et dont elle aurait pu profiter de cet avantage pour l’humilier. A l’inverse elle avait su faire preuve de patience. Et même s’il n’était pas tout à fait d’accord avec elle sur certains points plus ou moins assez nombreux. Il pouvait reconnaitre une gentillesse en elle, quand bien même elle voulait faire croire que ce n’était que dans son intérêt ou pour son image.



Suggérant qu’il était trop jeune encore pour voir, c’est à dire comprendre le monde qu’il l’entoure. La femme ne manque pas de continuer son propos auprès d’Akari. Parler de n’avoir jamais pu rencontrer qui que ce soit de désintéressé, elle en avait pourtant un devant elle. Même si lui-même l’ignorait dans un sens et que par rare moment lorsqu’il s’agit de son frère, il se montrait égoïste. Car oui nul n’est parfait et en cela elle avait raison à sa manière.

Elle enchaine en annonçant qu’elle trouve Akari assez sympathique. Une drôle de chose que voici à laquelle le jeune homme ne s’y attendait pas vraiment.



-Eh bien je ne sais quoi dire, si ce n’est que je ressens la même chose à votre égard certainement. Après tout vous avez voulu enseigner quelque chose à un inculte.



Dit Akari sans aucune gêne devant l’ensemble de l’assemblée et d’une voix bien distincte comme pour signifier son départ la teneur des propos évoqués. Et écoutant les consignes de la femme, le jeune homme vint à rendre la tenue qu’il portait à l’homme. Avant que finalement le duo ne se sépare juste aux abords de l’établissement. Akari ne manque pas ainsi de laisser un sourire en dernière image de lui à la dame.