# Suzuki Ena || Moine stalkeuse || Terminé Jeu 30 Juin - 3:55
Suzuki Ena
"Tout ce que Koko-chan voudra."
i. Information
► Nom : Suzuki
► Prénom : Ena
► Taille : 1m60
► Poids : 58 kg
► Age : 15 ans
► Affinité Primaire : Katon
► Grade Militaire Souhaité : Chunin
► Grade Religieux Souhaité : Souhei
► Temple auquel vous avez été affecté : Temple de la Lune (Toge no Sato)
► Particularité : ---
► Source de l'avatar : Tomoyo CLAMP
ii. Que recherches-tu ?
Koko-chan. La seule chose que je désire c'est Koko-chan. Peu importe ce qu'on en dise ou ce qu'on en pense, elle est si douce si parfaite, si … Elle doit définitivement être une envoyée des Kamis quoi qu'on en dise. Je veux la voir continuer à sourire, à répandre sa gentillesse et sa douceur, écarter le mal et l'horrible d'elle. Je veux la protéger être tout ce qu'elle ne peut être. Et s'il faut que je baigne dans le sang pour le faire, alors soit, car Koko-chan est tout ce qu'il y a de plus beau, tout ce qui manque au monde.
Et si le bien être de Koko-chan est mon ultime but, il me faut une façon de s'y rendre et pour le faire je dois être suffisament forte. Les moines étant membre de l'armée impériale, jamais elle ne sera entièrement en sécurité. C'est pour ça que je m'entraîne, que je m'applique.
Elle est mon phare, mon guide, sa gentillesse et sa compassion n'ont d'égal dans ce monde. Si je ne suis pas la moitié comme elle, je vais m'appliquer à l'être autant que possible. Alors je vais tenter d'être compatissante et gentille, mais, il faut s'en prendre à elle, car je serai ce qu'il y a de plus horrible dans tout Onogoro.
Mes mains ne sont pas faite pour tuer. Je suis une moine, une porteuse de la religion et de la parole divine. Mon plus grand fantasme est monde ou Koko-chan et celles qui lui ressemblent seraient en paix, que la guerre et la violence ne touchent pas. Je rêve d'un monde sécuritaire, ou humains et yokais ne s'entretuent pas. Ou la vie est calme et paisible. D'ici là, je ferai ce que je dois faire pour aspirer à un tel monde.
Et si le bien être de Koko-chan est mon ultime but, il me faut une façon de s'y rendre et pour le faire je dois être suffisament forte. Les moines étant membre de l'armée impériale, jamais elle ne sera entièrement en sécurité. C'est pour ça que je m'entraîne, que je m'applique.
Elle est mon phare, mon guide, sa gentillesse et sa compassion n'ont d'égal dans ce monde. Si je ne suis pas la moitié comme elle, je vais m'appliquer à l'être autant que possible. Alors je vais tenter d'être compatissante et gentille, mais, il faut s'en prendre à elle, car je serai ce qu'il y a de plus horrible dans tout Onogoro.
Mes mains ne sont pas faite pour tuer. Je suis une moine, une porteuse de la religion et de la parole divine. Mon plus grand fantasme est monde ou Koko-chan et celles qui lui ressemblent seraient en paix, que la guerre et la violence ne touchent pas. Je rêve d'un monde sécuritaire, ou humains et yokais ne s'entretuent pas. Ou la vie est calme et paisible. D'ici là, je ferai ce que je dois faire pour aspirer à un tel monde.
iii. Histoire
Enfant de la lune, moniale au service de Tsukyomi, aux paroles frisant l'hérésie, j'ai appris bien jeune quelques préceptes de la vie. Principalement que pas tout le monde ne cherche à faire le bien.
Alors que je n'étais qu'une très jeune enfant, mes parents ont été tués par des hommes. Je ne me souviens pas de ce moment, bien qu'on m'aie dit plus d'une fois que j'y ai assisté. Étais-je trop jeune ou ai-je seulement décidé que c'était trop horrible pour rester dans ma mémoire ? Qu'importe la vérité, car je n'en ai que faire. Du moins, j'aimerais bien le croire, mais je me mens à moi-même, jour après jour et je le sais pertinemment.
La nuit, toutes les nuits, le souvenir me hante. Enfin, je crois que c'est ce souvenir. Éclat de sang, insultes et cris, supplications, pleurs et cette horrible peur qui tétanise tout mon corps.
L'homme n'est pas bon, pas naturellement. Je ne le suis pas non plus. Je sais quelle noiceur se cache dans mon coeur et dans mon esprit. Désir de vengeance, violence et colère … J'ai beau adoré ce qui est doux et bon, il n'en reste pas moins que la cupidité et les ténèbres ont depuis longtemps fait leur chemin dans mon cœur me pourrissant jusqu'à la moelle.
Lorsque l'on regarde ailleurs que soi-même on peut voir la misère, la douleur et le mal du monde, mais nous détournons le regard. Aux pauvres et miséreux, même moi je ne n'offre pas ce que j'ai ou ce que je suis. La générosité sans but n'existe pas. Enfin ... je croyais qu'elle n'existait pas avant Koko-chan.
Rapidement, je ne devais pas avoir plus de sept ans, on a senti que j'étais de ceux qui pouvaient faire des miracles, de ceux qui pouvaient plier le chakra à leur volonté.
Pourtant, j'ai toujours été attirée par la religion et avant même que je ne comprenne réellement, j'étais au temple de la création à Teito.
Et il y avait cette fille, plus douce que la rosée matinale, plus gentille qu'un papillon, plus humaine que n'importe qui d'autre, au cœur fait de ce qui semble le plus beau dans ce monde. Une fleur fragile qui pousse dans la boue et l'horrible.
J'étais incapable de résister, incapable de me tenir loin. Différente de toutes les autres, elle brillait plus que l'astre solaire, elle m'attirait plus que la mystérieuse lune. Elle était le beau dans le laid, l'espoir dans le désespoir.
Elle était tout ce que je ne serais jamais. Si fragile pourtant. Et ceux qui osaient venir s'en prendre à elle … Ceux qui osaient goûtaient mon courroux. Pourtant, je n'ai jamais osé l'approcher. Je lui ai jamais dit tout ce qu'elle était. Sa simple existence était un baume sur ma douleur, une lumière à ma noirceur.
Un jour, il vint le temps de nos assignments. Évidemment, je l'ai suivie. Le choix n'était pas mien. Elle ne le connaissait pas et elle ne le sait toujours pas, mais elle avait choisi ma voie, tout mon avenir. Je lui appartenais toute entière.
Et je suis moine dans l'armée. Guerrière en devenir. Du moins, c'était ce qu'on espérait. Mes étaient trop menues pour mener à bien cette tâche, mon coeur trop faible, mais l'homme est cupide et de sa cupidité il avait arraché et détourné les dévots pour en faire des soldats et il me fallait être ce que je n'étais pas. Pas immédiatement en arrivant à Toge, certes, mais il me faudrait grandir à le devenir.
Si mes mains et mes bras n'avaient pas la force de faire mon devoir, je trouvai une autre façon d'arriver à mes fins. Alors j'appris les arts ninjas, les illusions et la déception.
Je n'ai jamais été fan du peuple d'Ebisu et me suis toujours quelque peu sentie en marge. Peut-être n'est-ce que le résultat de mon adolescence trouble ou de mon obsession envers Konomi - oui je savais et pouvais pleinement admettre que ce n'était pas sain, mais je ne voulais pas changer, alors l'admettre tout haut était sans importance - mais je n'étais pas à l'aise parmi les miens. Je ne croyais pas qu'ils me comprenaient et je ne les comprenais pas non plus. Ce n'était pas non plus comme si j'en faisais l'effort après tout. Tant que j'étais près de Koko-chan je n'avais besoin de personne d'autre.
Je le gardais dans mon coeur, secret jalousement gardé, mais toujours fut-il que je croyais fermement que Konomi était une grâce divine, un cadeau des dieux pour remercier les fidèles, une promesse d'une meilleur lendemain ou le peuple Ebisu pourrait sincèrement devenir bon sans arrière pensée sans agenda secret. Évidemment, ce n'était pas l'avis du clergé alors mieux valait ne pas exprimer tout haut cette pensée, de peur de se faire considérer telle une parias comme les fidèles de Jashin.
À 15 ans, j'étais recluse, gardais encore mes distances de Koko-chan avec aucune autre raison que je perdais mes moyens à la simple pensée de l'approcher. Je veillais sur elle de loin et ça m'allait. J'avais peu d'amis et rêvais de dompter la nature et de pactiser avec un kaminotsukai, voir un yokai avec de la chance.
Alors que je n'étais qu'une très jeune enfant, mes parents ont été tués par des hommes. Je ne me souviens pas de ce moment, bien qu'on m'aie dit plus d'une fois que j'y ai assisté. Étais-je trop jeune ou ai-je seulement décidé que c'était trop horrible pour rester dans ma mémoire ? Qu'importe la vérité, car je n'en ai que faire. Du moins, j'aimerais bien le croire, mais je me mens à moi-même, jour après jour et je le sais pertinemment.
La nuit, toutes les nuits, le souvenir me hante. Enfin, je crois que c'est ce souvenir. Éclat de sang, insultes et cris, supplications, pleurs et cette horrible peur qui tétanise tout mon corps.
L'homme n'est pas bon, pas naturellement. Je ne le suis pas non plus. Je sais quelle noiceur se cache dans mon coeur et dans mon esprit. Désir de vengeance, violence et colère … J'ai beau adoré ce qui est doux et bon, il n'en reste pas moins que la cupidité et les ténèbres ont depuis longtemps fait leur chemin dans mon cœur me pourrissant jusqu'à la moelle.
Lorsque l'on regarde ailleurs que soi-même on peut voir la misère, la douleur et le mal du monde, mais nous détournons le regard. Aux pauvres et miséreux, même moi je ne n'offre pas ce que j'ai ou ce que je suis. La générosité sans but n'existe pas. Enfin ... je croyais qu'elle n'existait pas avant Koko-chan.
Rapidement, je ne devais pas avoir plus de sept ans, on a senti que j'étais de ceux qui pouvaient faire des miracles, de ceux qui pouvaient plier le chakra à leur volonté.
Pourtant, j'ai toujours été attirée par la religion et avant même que je ne comprenne réellement, j'étais au temple de la création à Teito.
Et il y avait cette fille, plus douce que la rosée matinale, plus gentille qu'un papillon, plus humaine que n'importe qui d'autre, au cœur fait de ce qui semble le plus beau dans ce monde. Une fleur fragile qui pousse dans la boue et l'horrible.
J'étais incapable de résister, incapable de me tenir loin. Différente de toutes les autres, elle brillait plus que l'astre solaire, elle m'attirait plus que la mystérieuse lune. Elle était le beau dans le laid, l'espoir dans le désespoir.
Elle était tout ce que je ne serais jamais. Si fragile pourtant. Et ceux qui osaient venir s'en prendre à elle … Ceux qui osaient goûtaient mon courroux. Pourtant, je n'ai jamais osé l'approcher. Je lui ai jamais dit tout ce qu'elle était. Sa simple existence était un baume sur ma douleur, une lumière à ma noirceur.
Un jour, il vint le temps de nos assignments. Évidemment, je l'ai suivie. Le choix n'était pas mien. Elle ne le connaissait pas et elle ne le sait toujours pas, mais elle avait choisi ma voie, tout mon avenir. Je lui appartenais toute entière.
Et je suis moine dans l'armée. Guerrière en devenir. Du moins, c'était ce qu'on espérait. Mes étaient trop menues pour mener à bien cette tâche, mon coeur trop faible, mais l'homme est cupide et de sa cupidité il avait arraché et détourné les dévots pour en faire des soldats et il me fallait être ce que je n'étais pas. Pas immédiatement en arrivant à Toge, certes, mais il me faudrait grandir à le devenir.
Si mes mains et mes bras n'avaient pas la force de faire mon devoir, je trouvai une autre façon d'arriver à mes fins. Alors j'appris les arts ninjas, les illusions et la déception.
Je n'ai jamais été fan du peuple d'Ebisu et me suis toujours quelque peu sentie en marge. Peut-être n'est-ce que le résultat de mon adolescence trouble ou de mon obsession envers Konomi - oui je savais et pouvais pleinement admettre que ce n'était pas sain, mais je ne voulais pas changer, alors l'admettre tout haut était sans importance - mais je n'étais pas à l'aise parmi les miens. Je ne croyais pas qu'ils me comprenaient et je ne les comprenais pas non plus. Ce n'était pas non plus comme si j'en faisais l'effort après tout. Tant que j'étais près de Koko-chan je n'avais besoin de personne d'autre.
Je le gardais dans mon coeur, secret jalousement gardé, mais toujours fut-il que je croyais fermement que Konomi était une grâce divine, un cadeau des dieux pour remercier les fidèles, une promesse d'une meilleur lendemain ou le peuple Ebisu pourrait sincèrement devenir bon sans arrière pensée sans agenda secret. Évidemment, ce n'était pas l'avis du clergé alors mieux valait ne pas exprimer tout haut cette pensée, de peur de se faire considérer telle une parias comme les fidèles de Jashin.
À 15 ans, j'étais recluse, gardais encore mes distances de Koko-chan avec aucune autre raison que je perdais mes moyens à la simple pensée de l'approcher. Je veillais sur elle de loin et ça m'allait. J'avais peu d'amis et rêvais de dompter la nature et de pactiser avec un kaminotsukai, voir un yokai avec de la chance.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Yin 60%
v. Personnalité
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Kame, Sayu, Hotaru ...
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? huéhuéhué
► Comment trouves-tu le forum ? hypant, c'est pour ça que je repasse par ici !
► T'as un autre compte? Lequel ? Oomori Hotaru et Ueda Chinone
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pourquoi pas ?
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? huéhuéhué
► Comment trouves-tu le forum ? hypant, c'est pour ça que je repasse par ici !
► T'as un autre compte? Lequel ? Oomori Hotaru et Ueda Chinone
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pourquoi pas ?
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Suzuki Ena || Moine stalkeuse || Terminé Jeu 30 Juin - 12:42
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Chuunin !
Tu possèdes également le grade religieux Souhei avec la faction Kamisuuhai !
Tout d'abord, j'espère que tu tiendras ton TC. Il n'y a pas de trame pour les TC. On considère que tu es assez à l'aise avec le système. Mais la trame de Koko est ta trame mdrrrr.
Bref, pour la prez, je me disais bon une suiveuse etc, un truc un peu standard, mais du coup j'ai bien aimé en continuant de lire, sur le fait que ben c'était pour l'instant que dans un sens, et que tu n'osais pas l'approcher. Ca sera cool à développer in rp de tenter de te faire autant aimer de son côté.
TON IMAGE : L'observatrice
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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