# Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Dim 8 Mai - 10:18
Découverte des Forges
Voyage vers Seizangakure no Sato, presque comme une obligation pour Kagura, de le faire chaque année. Là-bas, elle n’avait pas d’attache en soi, juste le temple du fer où elle est considérée comme une Totei. De plus, Seizan est le village caché d’origine de sa mère adoptive, Mikazuki Naoko. En se rendant là-bas, elle y va pour faire ses tâches de Totei, mais également, prier pour Naoko afin que les kamis veillent sur elle, peu importe où elle se trouve. Cela dit, le marchand d’information lui a dit que le fameux Oni rouge qu'elle recherche, traîne dans la contrée Sud et si elle a bien compris, elle est sa cible. Après tout, la Mikazuki avait sa corne et ce dernier souhaitait la récupérer dans un combat, sans doute à mort. Or, la Onna-Bugeisha est trop faible pour affronter un tel Yokai et elle avait besoin de s’entraîner. Du coup, Kagu prenait un certain risque en venant à Seizan et dans la même contrée où se trouve sa némésis Yokai. Comme d’habitude, Kagura emprunte le chemin qu’elle avait l’habitude d’utiliser en compagnie de ses mères pour se rendre au village caché des montagnes bleues. Cependant, la Samouraï est seule pour ce voyage et elle utilise du coup, une technique de détection assez basique pour repérer des menaces et chercher à s’en écarter pour voyager en toute sécurité. La brune aurait bien aimé que Yachiru soit présente, mais cette dernière a été demandé à Daichi no Kuni pour aller secourir une équipe de soldats.
Lorsqu’elle est arrivée à Seizan, la jeune femme s’est présentée à l’accueil afin de donner son identité, sa provenance et la raison de sa venue au village. Par chance, ce n’est pas la première fois qu’elle vient au village des montagnes bleues et un habitué l’a reconnu assez facilement. Par la suite, Kagura s’est dirigé vers le Temple du fer pour discuter avec les Fidèles du temple et réaliser quelques tâches en tant que Totei. Pendant deux jours, elle est restée au temple, tout en profitant pour prier pour le bien-être de sa mère, ne sachant pas si elle est encore vivante ou non. Même le marchand d’information n’avait pas de renseignement à propos du destin de Naoko. Pour le moment, il y avait encore de l’espoir de la revoir, peut-être, en vie. Pour aujourd’hui, elle a une journée de tranquillité et la onna-bugeisha pouvait se promener dans Seizan, chose dont elle n’avait pas l’habitude de faire. Généralement, la Mikazuki reste une semaine dans Seizan avant de repartir pour Toge, mais là, elle en a décidé autrement afin de découvrir le village natal de l’une de ses mères adoptives. La bretteuse visite le centre-ville afin de rencontrer de nouvelles têtes et de découvrir certains magasins et lieu où se nourrir. D’ailleurs, cette cité est spécialisée dans l’art de la métallurgie et il doit y avoir des forges intéressantes à visiter.
Dit-elle à un homme se trouvant devant l’entrée des souterrains. Ce dernier semblait attendre quelqu’un avant de se tourner vers Kagura afin de lui répondre. Cela dit, l’homme la regarde de bas en haut avant d’apercevoir son bandeau lié à Toge à son bras droit. Elle n’était donc pas de Seizan, mais soit, l’accès n’était pas interdit au public sinon les forgerons n’arriveront pas à faire du business.
Finit-il avant que la onna-bugeisha le remercie et continue sa .À sa ceinture, elle avait son katana, tandis que son naginata, elle l’avait laissé dans sa chambre, au temple. Il n’était pas nécessaire de se trimballer avec sa lance. Marchant dans les souterrains, elle observe bien des forges, mais elle n’ose pas aller embêter qui ce soit. La brune jette juste un simple coup d’œil, apercevant quelques armes et autres. Elles sont belles, bien forgé et sans doute, bien maniable au combat et peut-être, durables dans leur utilisation. Kagura est un samouraï et dans sa caste, ils sont des maîtres d’armes. Tout jeune, la Mikazuki a appris à maîtriser bien des armes, lié à son éducation militaire, celui des samouraïs. Katana, lance, arc ou encore, le nodachi. Pour le moment, Kagura se trouve à utiliser que deux armes au combat, par manque de place sur elle. La bretteuse pensera à apprendre le Fuuinjutsu pour stocker des armes dans des sceaux plus tard. La jeune femme observe partout, mais difficile de savoir s'il y a un bon forgeron dans le coin qui se détache des autres. Elle ne connaît pas bien les lieux et peut-être qu’une aide ne sera pas de trop pour la guider. D’ailleurs, la Onna-Bugeisha voit une femme et elle décide de se diriger dans sa direction pour quémander de l’aide.
Dit-elle d’un air un peu gêner de devoir déranger quelqu’un pour l’aider.
Lorsqu’elle est arrivée à Seizan, la jeune femme s’est présentée à l’accueil afin de donner son identité, sa provenance et la raison de sa venue au village. Par chance, ce n’est pas la première fois qu’elle vient au village des montagnes bleues et un habitué l’a reconnu assez facilement. Par la suite, Kagura s’est dirigé vers le Temple du fer pour discuter avec les Fidèles du temple et réaliser quelques tâches en tant que Totei. Pendant deux jours, elle est restée au temple, tout en profitant pour prier pour le bien-être de sa mère, ne sachant pas si elle est encore vivante ou non. Même le marchand d’information n’avait pas de renseignement à propos du destin de Naoko. Pour le moment, il y avait encore de l’espoir de la revoir, peut-être, en vie. Pour aujourd’hui, elle a une journée de tranquillité et la onna-bugeisha pouvait se promener dans Seizan, chose dont elle n’avait pas l’habitude de faire. Généralement, la Mikazuki reste une semaine dans Seizan avant de repartir pour Toge, mais là, elle en a décidé autrement afin de découvrir le village natal de l’une de ses mères adoptives. La bretteuse visite le centre-ville afin de rencontrer de nouvelles têtes et de découvrir certains magasins et lieu où se nourrir. D’ailleurs, cette cité est spécialisée dans l’art de la métallurgie et il doit y avoir des forges intéressantes à visiter.
Bonjour, excusez-moi. Est-ce par ici où on peut se rendre dans les forges souterraines ?
Dit-elle à un homme se trouvant devant l’entrée des souterrains. Ce dernier semblait attendre quelqu’un avant de se tourner vers Kagura afin de lui répondre. Cela dit, l’homme la regarde de bas en haut avant d’apercevoir son bandeau lié à Toge à son bras droit. Elle n’était donc pas de Seizan, mais soit, l’accès n’était pas interdit au public sinon les forgerons n’arriveront pas à faire du business.
Bonjour, jeune étrangère. En effet, c’est bien par-là. Vous ne semblez pas de Seizan, cet endroit est un labyrinthe pour ceux qui ne sont jamais aventuré dedans. Je serais bien venu avec vous, mais j’attends un ami. Je suis sûr qu’on voudra bien vous guider, si vous demandez à quelqu’un ou si on remarque votre présence avec un air perdu. Bon courage, jeune fille.
Finit-il avant que la onna-bugeisha le remercie et continue sa .À sa ceinture, elle avait son katana, tandis que son naginata, elle l’avait laissé dans sa chambre, au temple. Il n’était pas nécessaire de se trimballer avec sa lance. Marchant dans les souterrains, elle observe bien des forges, mais elle n’ose pas aller embêter qui ce soit. La brune jette juste un simple coup d’œil, apercevant quelques armes et autres. Elles sont belles, bien forgé et sans doute, bien maniable au combat et peut-être, durables dans leur utilisation. Kagura est un samouraï et dans sa caste, ils sont des maîtres d’armes. Tout jeune, la Mikazuki a appris à maîtriser bien des armes, lié à son éducation militaire, celui des samouraïs. Katana, lance, arc ou encore, le nodachi. Pour le moment, Kagura se trouve à utiliser que deux armes au combat, par manque de place sur elle. La bretteuse pensera à apprendre le Fuuinjutsu pour stocker des armes dans des sceaux plus tard. La jeune femme observe partout, mais difficile de savoir s'il y a un bon forgeron dans le coin qui se détache des autres. Elle ne connaît pas bien les lieux et peut-être qu’une aide ne sera pas de trop pour la guider. D’ailleurs, la Onna-Bugeisha voit une femme et elle décide de se diriger dans sa direction pour quémander de l’aide.
Bonjour, madame. Je ne souhaiterai pas abuser de votre temps, mais c’est la première fois que je viens dans les forges souterraines et je me sens un peu perdue. Pourriez-vous m’aider à me faire connaître les lieux et peut-être, un forgeron, si vous avez du temps à me consacrer. S’il vous plaît.
Dit-elle d’un air un peu gêner de devoir déranger quelqu’un pour l’aider.
MESSAGES : 329
XP'S : 1835
XP'S : 1835
Inventaire
Inventaire
Objet: Armure de fer ★ : Armure légère, plume pour écrire héritée de ses parents, Katana ★, un ensemble de kunai
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Mer 15 Juin - 23:56
Forge & Métallurgie
Pour une énième fois, Hotaru prenait le chemin de la forge de Kyoshiro. Elle n’avait pas particulièrement d’armes à commander ou à faire faire par son compagnon, mais elle aimait y être. Elle y allait autant pour passer le temps que d’être avec le colosse forgeron. Cette fois-ci, elle avait apporté avec elle un livre sur l’art de la guerre – preuve qu’elle n’allait sans aucune raison valable voir Kyoshiro alors qu’il travaillait sur ses armes.
Le livre fourrer dans son sac à la va vite, elle se hâta sur le chemin de la forge. Depuis sa rencontre avec Ao, la femme samouraï avait pris l’habitude de porter des vêtements moins vieux, moins usés. Comme son ami lui avait dit que le rouge lui saillait, elle portait bien plus souvent cette couleur. Elle n’était certes pas devenue aussi coquette que son ami, mais elle se permettait de quelques coquetteries de ce genre.
Elle en profitait également pour choisir des tissus plus doux que normalement. Évidemment, lorsque son amant est aveugle, choisir de beaux vêtements n’allaient pas le séduire, car il ne le verrait littéralement pas, alors elle priorisait des vêtements agréables à toucher lorsqu’elle allait à sa rencontre. Cette fois-ci n’y manquait donc pas.
Hotaru, alors qu’elle atteignait l’entrée des forges souterraine, fut intercepté par une demoiselle à la chevelure sombre, clairement pas d’ici si elle ne connaissait pas de forgeron ou simplement une partie conséquente de la forge.
Ça en faisait des gens qu’elle guidait à Kyoshiro … Maintenant qu’elle y pensait, c’était plutôt rigolo. Chose qu’elle marqua d’un rire d’ailleurs.
Prenant les devants, Hotaru la guida au travers du labyrinthe que représentait les forges souterraines. Alors qu’elles se dirigeaient, la samouraï se présenta :
Ce ne fut pas bien long avant que le duo arrivât à la forge du colosse de l’hiver, l’aveugle à la chevelure d’argent et l’équipier d’Hotaru. Cette fois-ci, elle ne se gêna pas, en arrivant, elle alla directement à lui et posa un rapide baiser sur sa joue.
Dans son ton, il y avait de moquerie, mais c’était leur dynamique à toujours venir se chercher des poux.
Le livre fourrer dans son sac à la va vite, elle se hâta sur le chemin de la forge. Depuis sa rencontre avec Ao, la femme samouraï avait pris l’habitude de porter des vêtements moins vieux, moins usés. Comme son ami lui avait dit que le rouge lui saillait, elle portait bien plus souvent cette couleur. Elle n’était certes pas devenue aussi coquette que son ami, mais elle se permettait de quelques coquetteries de ce genre.
Elle en profitait également pour choisir des tissus plus doux que normalement. Évidemment, lorsque son amant est aveugle, choisir de beaux vêtements n’allaient pas le séduire, car il ne le verrait littéralement pas, alors elle priorisait des vêtements agréables à toucher lorsqu’elle allait à sa rencontre. Cette fois-ci n’y manquait donc pas.
Hotaru, alors qu’elle atteignait l’entrée des forges souterraine, fut intercepté par une demoiselle à la chevelure sombre, clairement pas d’ici si elle ne connaissait pas de forgeron ou simplement une partie conséquente de la forge.
Oui, bien sûr, je vais t’apporter à mon forgeron préféré.
Ça en faisait des gens qu’elle guidait à Kyoshiro … Maintenant qu’elle y pensait, c’était plutôt rigolo. Chose qu’elle marqua d’un rire d’ailleurs.
Désolée, c’est juste que … ces temps-ci, tout le monde semble chercher un forgeron ou Kyo en particulier. Tu dois être la troisième ou quatrième personne que j’apporte là en quelques semaines seulement. Aller suis-moi !
Prenant les devants, Hotaru la guida au travers du labyrinthe que représentait les forges souterraines. Alors qu’elles se dirigeaient, la samouraï se présenta :
Oh ! Au fait, moi c’est Oomori Hotaru, samouraï et Chunin ! Enchantée !
Ce ne fut pas bien long avant que le duo arrivât à la forge du colosse de l’hiver, l’aveugle à la chevelure d’argent et l’équipier d’Hotaru. Cette fois-ci, elle ne se gêna pas, en arrivant, elle alla directement à lui et posa un rapide baiser sur sa joue.
Je t’ai rapporté une nouvelle cliente ! Va falloir que tu commence à me payer pour tout ce travail supplémentaire que ça me fait !
Dans son ton, il y avait de moquerie, mais c’était leur dynamique à toujours venir se chercher des poux.
MESSAGES : 366
XP'S : 2210
XP'S : 2210
Inventaire
Inventaire
Objet: 1 miroir du reset - Armure en fer 1* -2 Armure 2* - 10 bombes - 5 parchemins explosifs - 2 kits de réparation - 2 kodachis - 1 katana ( départ ) - 1 wakizashi ( création ) - 1 épée démoniaque ( Sekitsui) - 1 ambre rouge - 1 morceau de fer de météorite
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Jeu 16 Juin - 0:37
Forge et métallurgie
Quand le jeune homme disait qu'il en avait marre des journées longues et ennuyeuses, il commençait à le regretter. Oh il ne s'agissait pas de sa récente promotion comme chef d'équipe ou des différents changements, certains plus grands que d'autres, mais bien que, aujourd'hui, il ressentait un regain d'activité au niveau des commandes de ses clients. Ce qui signifiait plus de temps à la forge et moins de temps dehors, à pouvoir s'entraîner, mais l'aveugle se rassurait en se disait que ce n'était qu'une passade, et que bientôt il pourrait retourner à sa routine habituelle. Pour l'heure, il était coincé dans sa forge depuis bien avant que le soleil ne se lève et, à peine eut-il terminé une lame que, à présent, il était en train de donner forme à un nodachi, commandé par un de ses nouveaux clients. Depuis l'espadon de Ganryu il aurait pu croire qu'il s'était fait la main, sur les lames grand format, mais force était de constater que, maîtrise ou pas maîtrise, ces satanées lames demandaient bien plus de temps et d'attention que les autres.
Le colosse, fort et ferme, les musclés puissants et bandés, frappait donc la lame de son puissant marteau, jusqu'à ce qu'il soit interrompu par la seule personne qui était autorisée à venir ici, lorsqu'elle le voulait. Certes ce lieu était son temple, l'endroit où il pouvait être lui-même, et autoriser la Oomori ici, aussi régulièrement qu'elle le faisait, signifiait de l'étroit lien qui liait les deux guerriers. La belle arriva donc à sa hauteur, s'annonçant d'un baiser discret sur la joue, avant de prévenir l'aveugle qu'il allait avoir une commande de plus. Décidément, avait-il gagné à la loterie et on avait oublié de le lui dire ? Souriant, ravi de cette nouvelle arrivée autant que de la présence de la demoiselle, ici, le Tadake répondit alors :
Décidément, tu me gâtes en ce moment ! Ta charmante compagnie ET une nouvelle cliente ? Il va vraiment falloir que je te remercie comme il se doit...un peu plus tard.
Quoi ? Était-il supposer bien se comporter, puisqu'il y avait une inconnue dans la même pièce ? Oh c'était bien mal connaître l'enfant de l'hiver. Ce dernier abaissa légèrement son marteau, tenant toujours la lame chauffée par ses pinces, tenues dans sa main gauche. Il tourna la tête vers la nouvelle arrivée, conscient que le fait de ne pas avoir besoin de contact visuel pouvait en décontenancer plus d'un, avant de se présenter, d'un franc :
Tadake Kyoshiro, enchanté. C'est toujours un plaisir de recevoir de nouveaux clients. Alors dites-moi, que puis-je pour vous ? Quelque chose à réparer ou à forger ? A acheter, peut-être ?
Quoi que cela puisse être, il trouverait bien le temps de le faire. Le nodachi n'était pas prévu pour tout de suite, il avait souhaité le mettre en pause, mais il pourrait plonger la lame dans l'eau et la chauffer, à nouveau, un peu plus tard. Il n'aimait pas laisser un travail inachevé, certes, mais il pouvait faire des exceptions de temps en temps, surtout pour quelqu'un amené par Hotaru. Attendant une réponse, le jeune homme reporta donc son attention sur la lame chaude, posée sur l'enclume. Levant son marteau, le fracassant contre la lame, laissant quelques étincelles venir fugacement éclairer son visage, il précisa alors, sur un ton volontairement léger et amusé !
Allez-y, je vous écoute. Je finis simplement ça, en même temps. Pas d'inquiétude, j'ai beau être un homme, je suis assez incroyable pour faire deux choses en même temps.
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Jeu 16 Juin - 12:15
Forge et Métallurgie
Kagura s’était aventuré dans les souterrains marchands de Seizan, afin de connaître les forges de la cité. Cependant, comme on lui avait indiqué avant d’y pénétrer, cet endroit est un véritable labyrinthe. N’étant pas de Seizangakure ni même habituée à cet endroit, la Mikazuki se perd un peu et difficile de trouver un guide sur le moment. En effet, la brune ne souhaitait pas déranger qui ce soit, au risque de se perdre, encore plus. À moment ou un autre, il faudra que la Onna-bugeisha puisse prendre son courage à deux mains et se rapprocher de quelqu’un qui puisse l’aider. D’ailleurs, la bretteuse ne perd pas son temps et se dirige vers une femme afin de demander son assistance afin de la guider. De plus, elle a pu voir quelques ateliers de forgeron et même si certains sont intéressants, elle ne semble pas attirer par leur ouvrage pour autant. La saluant, cette dernière semble d’accord pour l’emmener à son forgeron favori, peut-être que là-bas, elle pourra trouver quelque chose.
Dit-elle tout simplement en la suivant sans poser de questions. Kagura a beaucoup de chance d’avoir pu trouver quelqu’un, dès sa première tentative. Cette dernière semble élégante et comme si elle venait d’une famille noble. Enfin, c’est la première impression qu’avait la Togejin en la voyant. Peut-être qu’elle se trompe et que ce n’était pas du tout cela. Étrangement, la femme se met à rigoler pour une raison totalement inconnue. Cela dit, la Dame se met à expliquer la raison de son rire. Apparemment, tout le monde semble chercher un forgeron et précisément, ce fameux Kyo dont elle ne connaissait pas du tout. D’après ses dires, ça fait au moins, la troisième ou quatrième personne qu’elle emmène le voir.
Kagura continue à la suivre, elle a l’air d’être une bonne personne. En plus de cela, elle fait de la bonne publicité pour son ami et l’aide à avoir des clients. Cette femme semble être quelqu’un de fiable et de fidèle envers ses proches. D’ailleurs, cette dernière se présente à Kagura et il est vrai que la Togejin a oublié ses bonnes manières.
Dit-elle d’un air discipliné. Après quelques minutes de marche, Oomori et Mikazuki arrivent toutes les deux à destination. Kagura reste un peu derrière son aînée avant de la voir aller vers l’homme en question. En les observant bien, ils ont l’air vraiment très proche et elle comprend mieux pourquoi Dame Oomori aide Kyo. Étaient-ils en couple ? Ou juste des amis proches ? Difficile de le savoir, mais elle ne se permettra pas de se mêler de leur vie. L’homme semblait bosser sur un équipement, mais soit, elle n’aimait pas déranger les gens à la base. Elle attend patiemment qu’on s’intéresse à sa présence jusqu’à ce que ce dernier se présente à Kagura. Ce dernier pose pas mal de questions tout en continuant à bosser un peu à côté, il était capable de faire deux choses en même temps, selon ses dires.
Dit-elle avançant un peu dans la forge et observant la pièce, voyant certaines trouvailles. Curieuse, elle l’était et à voir selon ses prix, ce qu’il pouvait faire à la Onna-Bugeisha. En effet, la brune n’a pas beaucoup de ryôs sur elle et ça pourrait peut-être bloquer. Mais, autant tenter et voir ce qui en sortira de leur discussion.
Demande-t-elle d’un ton calme.
Arigato !
Dit-elle tout simplement en la suivant sans poser de questions. Kagura a beaucoup de chance d’avoir pu trouver quelqu’un, dès sa première tentative. Cette dernière semble élégante et comme si elle venait d’une famille noble. Enfin, c’est la première impression qu’avait la Togejin en la voyant. Peut-être qu’elle se trompe et que ce n’était pas du tout cela. Étrangement, la femme se met à rigoler pour une raison totalement inconnue. Cela dit, la Dame se met à expliquer la raison de son rire. Apparemment, tout le monde semble chercher un forgeron et précisément, ce fameux Kyo dont elle ne connaissait pas du tout. D’après ses dires, ça fait au moins, la troisième ou quatrième personne qu’elle emmène le voir.
Oh je vois. Ce fameux Kyo semble être très demandé, apparemment. Je ne pensais pas à lui, vu que je ne connais pas bien la réputation des forgerons de Seizan. Cela dit, je serais honorée de le rencontrer.
Kagura continue à la suivre, elle a l’air d’être une bonne personne. En plus de cela, elle fait de la bonne publicité pour son ami et l’aide à avoir des clients. Cette femme semble être quelqu’un de fiable et de fidèle envers ses proches. D’ailleurs, cette dernière se présente à Kagura et il est vrai que la Togejin a oublié ses bonnes manières.
Enchantée également, Oomori-sempai. Je m’appelle Mikazuki Kagura, Genin de Toge, Totei du Temple du Fer et Samouraï également. C’est un honneur de faire votre connaissance.
Dit-elle d’un air discipliné. Après quelques minutes de marche, Oomori et Mikazuki arrivent toutes les deux à destination. Kagura reste un peu derrière son aînée avant de la voir aller vers l’homme en question. En les observant bien, ils ont l’air vraiment très proche et elle comprend mieux pourquoi Dame Oomori aide Kyo. Étaient-ils en couple ? Ou juste des amis proches ? Difficile de le savoir, mais elle ne se permettra pas de se mêler de leur vie. L’homme semblait bosser sur un équipement, mais soit, elle n’aimait pas déranger les gens à la base. Elle attend patiemment qu’on s’intéresse à sa présence jusqu’à ce que ce dernier se présente à Kagura. Ce dernier pose pas mal de questions tout en continuant à bosser un peu à côté, il était capable de faire deux choses en même temps, selon ses dires.
Ah…euh…Enchantée, Takeda-san. Je m’appelle Mikazuki Kagura, je suis une Onna-Bugeisha, une Samouraï. Je suis Genin et je viens de Togegakure. Je ne connaissais pas trop les forges de Seizan. Je dois avouer que c’est un endroit impressionnant. Je n’étais pas trop venue de base pour acheter ou réparer l’une de mes armes, ni qu’on me forge quoi ce soit. Cela dit, je suis parvenue à me laisser tenter par l’un de ses choix.
Dit-elle avançant un peu dans la forge et observant la pièce, voyant certaines trouvailles. Curieuse, elle l’était et à voir selon ses prix, ce qu’il pouvait faire à la Onna-Bugeisha. En effet, la brune n’a pas beaucoup de ryôs sur elle et ça pourrait peut-être bloquer. Mais, autant tenter et voir ce qui en sortira de leur discussion.
Est-ce que vous fabriquez de tous ? Armure ? Arme en tous genre ? Pour ma part, je pourrais me laisser tenter par une armure assez résistante. Pour les armes, j’ai déjà mon katana et une naginata. Cela dit, tout dépend du prix pour les armures que vous avez à proposer, Takeda-san. Et ça ne vous dérange pas si je vous pose quelques questions sur le métier de forgeron, mais également sur les armes démoniaques ?
Demande-t-elle d’un ton calme.
MESSAGES : 329
XP'S : 1835
XP'S : 1835
Inventaire
Inventaire
Objet: Armure de fer ★ : Armure légère, plume pour écrire héritée de ses parents, Katana ★, un ensemble de kunai
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Jeu 16 Juin - 13:10
Forge & Métallurgie
Alors qu'elles marchaient encore en direction de la forge de Kyoshiro, l'étrangère mentionna ne pas avoir d'idée de la réputation des forgeron de Seizan. Un immense sourire se plaquage sur son visage alors qu'elle répondit à la jeune femme sur un ton des plus enjoué :
Puis lorsque le duo arriva à la forge, Hotaru se rendit aux côtés de son amant à qui elle embrassa la joue en le saluant. La réponse de ce dernier fit monter une teinte de rouge écarlate aux joues de la demoiselle qui ne s'était apparemment pas encore remise de leur dernière aventure. Elle se racla la gorge, visiblement embarrassée. Elle s'agita un peu sur place avant de chercher quelque chose pour y dévouer son attention. Peut-être que s'ils avaient été seuls, elle auraient saisi la perche et répliquer, mais pour l'heure … pour l'heure, devant publique, elle n'osait pas. Son regard se perdit sur les armes déjà prêtes, rangées soigneusement. Elle prétendit un instant être absorbée par son observation alors qu'elle se donnait le temps de se calmer quelques instants.
En entendant la jeune femme se tromper sur le nom de Kyoshiro, la première fois Hotaru ne fit que sourire, se disant que c'était normal de faire l'erreur. Elle détacha son regard des armes pour se rapprocher du forgeron et de sa nouvelle cliente. La seconde fois qu'elle se trompe, la samouraï jugea bon d'intervenir. Souriant gentiment, elle se pencha à l'oreille de sa comparse et lui chuchotant :
Elle ria encore un peu, sans malice, et définitivement plus amusée qu'autre chose. Elle tourna son attention vers le forgeron et son travail.
Elle se moquait bien ouvertement faisant référence à un de leur moment passé ensemble et elle y prenait visiblement bien trop de plaisir à lui rappeler son incident. Elle lui offrit un sourire bien qu'il ne puisse le voir et ajouta sur un ton un peu plus doux :
C'est simple : nos forgerons sont les meilleurs ! Et Kyo a une rigueur incroyable dans son travail, ses armes sont magnifiques. Tu serais étonnée !
Puis lorsque le duo arriva à la forge, Hotaru se rendit aux côtés de son amant à qui elle embrassa la joue en le saluant. La réponse de ce dernier fit monter une teinte de rouge écarlate aux joues de la demoiselle qui ne s'était apparemment pas encore remise de leur dernière aventure. Elle se racla la gorge, visiblement embarrassée. Elle s'agita un peu sur place avant de chercher quelque chose pour y dévouer son attention. Peut-être que s'ils avaient été seuls, elle auraient saisi la perche et répliquer, mais pour l'heure … pour l'heure, devant publique, elle n'osait pas. Son regard se perdit sur les armes déjà prêtes, rangées soigneusement. Elle prétendit un instant être absorbée par son observation alors qu'elle se donnait le temps de se calmer quelques instants.
En entendant la jeune femme se tromper sur le nom de Kyoshiro, la première fois Hotaru ne fit que sourire, se disant que c'était normal de faire l'erreur. Elle détacha son regard des armes pour se rapprocher du forgeron et de sa nouvelle cliente. La seconde fois qu'elle se trompe, la samouraï jugea bon d'intervenir. Souriant gentiment, elle se pencha à l'oreille de sa comparse et lui chuchotant :
Tadake, son nom c'est Tadake.
Elle ria encore un peu, sans malice, et définitivement plus amusée qu'autre chose. Elle tourna son attention vers le forgeron et son travail.
Attention tu vas finir par te frapper la main encore une fois si tu fais deux choses à la fois.
Elle se moquait bien ouvertement faisant référence à un de leur moment passé ensemble et elle y prenait visiblement bien trop de plaisir à lui rappeler son incident. Elle lui offrit un sourire bien qu'il ne puisse le voir et ajouta sur un ton un peu plus doux :
Dis, sur quoi tu travailles en ce moment ? Va falloir que je repasse commande bientôt pendant que j'y pense …
MESSAGES : 366
XP'S : 2210
XP'S : 2210
Inventaire
Inventaire
Objet: 1 miroir du reset - Armure en fer 1* -2 Armure 2* - 10 bombes - 5 parchemins explosifs - 2 kits de réparation - 2 kodachis - 1 katana ( départ ) - 1 wakizashi ( création ) - 1 épée démoniaque ( Sekitsui) - 1 ambre rouge - 1 morceau de fer de météorite
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Jeu 16 Juin - 18:30
Forge et métallurgie
En dehors de ses clients, l'aveugle ne recevait jamais de visiteur ici. Tous passaient et venaient, en l'espace de quelque minutes, le temps de passer ou de récupérer leur commande, mais personne ne restait jamais vraiment. Qui le voudrait, d'ailleurs ? Ce lieu était clos, sombre, suffoquant de chaleur, ce qui expliquait pourquoi l'aveugle se sentait si bien ici. Il avait été surpris, au départ, de voir Hotaru revenir dans sa forge, sans commande particulière en tête. Il lui avait été difficile, au début, d'accepter que sa présence pouvait être tolérable aux yeux d'un autre être vivant mais, avec le temps, une routine s'était installée.
Hotaru venait ici de temps en temps, lorsqu'elle avait besoin de se couper du monde et de changer d'air. Parfois elle restait là à l'admirer, elle apportait un livre et lui faisait parfois la lecture, pendant qu'il donnait vie à certains de ses plus belles créations. C'était...simple. Et simple était justement ce dont il avait besoin, en ce moment. Mais aujourd'hui la belle avait une surprise pour lui, une nouvelle cliente qui ne tarda pas à se présenter, à expliquer que rien de tout ceci n'avait été prévu, au départ, mais qu'elle s'était tout de même laissée tenter. Souriant, amusé, le jeune homme répondit alors :
Eh bien, bienvenue là où opère la magie. Là où le talent et le feu donnent vie aux meilleures armures et armures du monde. Vous avez bien fait de vous laisser tenter.
Fidèle à elle-même, la Oomori ne manqua pas de plaisanter, rappelant au jeune homme que, la dernière fois qu'il avait essayé de parler et forger en même temps, sa main s'en souvenait encore. C'était vrai, certes, mais il n'avait pas besoin qu'on crie son manque d'attention sur tous les toits.
Oh ça va. Ce sont les risques du métier. Et puis ça te donne une excuse, pour prendre soin de moi.
La nouvelle venue était curieuse. Curieuse de savoir ce que le colosse pouvait forger et, surtout, à quel prix. Avait-elle les poches vides ? Si c'était le cas, l'enfant de l'hiver préférait le savoir, dés à présent, pour ne pas lui donner de faux espoirs. Il expliqua donc :
Armes, armures et outils. Tout ce dont vous pourriez avoir besoin. Si c'est une armure qui vous tente, ça devrait être dans mes cordes, tout dépend du budget que vous avez.
Il ne faisait pas la charité mais, comme avec Ganryu, parfois l'aveugle était prêt à faire quelques rabais, pour pouvoir fidéliser un client. Cependant cette cliente n'était pas d'ici, il n'était donc pas prêt de la revoir après aujourd'hui, voilà pourquoi il mentionna le prix d'entrée de jeu, histoire de ne pas avoir de malentendu. Cependant, ce que bien le sujet des armes démoniaques qui intrigua le plus de colosse. Demandait-elle cela, car elle savait qu'il en avait une, ou bien parce qu'il était forgeron et qu'il devait avoir quelques informations dessus ? Curieux, il invita donc la demoiselle à poser ses questions.
Allez-y, je suis là pour ça. Qu'est-ce que vous voudriez savoir.
En attendant une réponse, Hotaru s'engouffra dans la brèche, profitant de ce silence pour demander au colosse ce qu'il était en train de faire, actuellement. Tenant toujours la lame chauffée avec sa pince, dans sa main gauche, il s'écarta légèrement sur le côté, pour montrer la longue lame qui serait bientôt un nodachi, avant d'expliquer :
Un jeune samouraï s'est dit que, comme première arme, ce serait suuuuper classe de me commander un nodachi. Comme si la taille était le seul critère à prendre en compte, en combat. Alors me voilà coincé, à forger une lame qu'il va sans doute trouver moyen de casser, en quelques jours. Tu veux voir ? Et pour ta commande, tu sais que tu passes quand tu veux. Au moins je sais que cette commande sera utilisée à bon escient, pas comme ce nodachi.
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Lun 20 Juin - 12:04
Forge et Métallurgie
Selon Oomori, les forgerons de Seizan sont les meilleurs et elle voue une certaine admiration pour le travail de Kyo. Du coup, Kagura avait hâte de le rencontrer et de découvrir ses œuvres. En plus de cela, elle verra s’il y a quelque chose l’intéresse. De base, elle n’était pas venue pour acheter, mais cela pouvait changer. Dans l’atelier de Tadake, la jeune femme pouvait observer ses créations, tout comme la complicité des deux Seizanjin, à croire qu’ils étaient en couple. Peut-être que la Togejin se fait des idées, mais elle n’était pas là pour cela. Sans s’en rendre compte, la kunoichi s’est trompé dans le nom du forgeron et il ne semblait pas en prendre de compte. Elle avoue même à l’homme que son objectif en venant en ces lieux, ce n’était ni pour l’achat, la vente, la réparation ou se voir forger une arme ou un autre équipement. Or, comme elle l’avait pressenti, elle allait se laisser tenter par l’une des créations de l’individu. Or, elle était curieuse sur certains points dont les armes démoniaques. La Onna-Bugeisha se met à poser des questions à l’aveugle sur bien des choses pour lancer une conversation avec lui. Cela dit, Hotaru se met à murmurer à la Mikazuki qu’elle se trompait sur le nom de famille de l’homme et elle lui rappelle son nom.
Kagura se sentait un peu gênée sur le moment, à cause de son erreur. Heureusement, l’homme n’y a pas fait trop attention et Oomori semble en rire. Cela décompresse un peu la Mikazuki sur sa faute.
Excuse faite, cela pourrait peut-être permettre de repartir sur de bonne base entre eux, car ce n’est pas son genre de faire de telle erreur. Les erreurs arrivent à tout le monde, même au plus prudent. En tout cas, Kyoshiro souhaite la bienvenue à Kagura dans sa forge avec une manière de présenter son lieu de travail avec compliment. L’homme faisait de tout, arme, armure et outil, mais tout dépendait du portefeuille de la Togejin. Là-dessus, elle ne doutait pas qu’il faille faire pleurer son portefeuille pour s’acheter une armure. En effet, la jeune femme possède déjà deux armes dont elle maîtrise assez bien. La brune n’avait pas besoin d’en avoir autant surtout que ça pourrait l’encombrer dans un voyage ou un combat. Et pour ses questions sur la forge et les armes démoniaques, il était là pour cela. Apparemment, ça ne le dérangeait pas que la Onna-Bugeisha lui pose des questions.
Dit-elle dans un premier temps. Il ne fallait pas tout mélanger et par la suite, elle allait poser ses questions sur les renseignements qui l’intéresseraient sur le coup. En espérant obtenir des réponses intéressantes.
Pour le métier de forgeron, les questions ont été posé et il fallait maintenant s’attaquer aux armes démoniaques. Il est connu dans le monde que Seizan est une cité liée à la métallurgie et à la création d’arme de toutes sortes. Il ne serait pas surprenant que ces derniers connaissent un moyen de créer des armes démoniaques et/ou connaître quelqu’un en possession d’une telle arme. Cela titille la Mikazuki et ça serait bien de commencer ses recherches, là où à Toge, elle s’est retrouvé face à un mur malgré l’aide d’une Jônin, Doji Ayane.
Dit-elle d’un air calme avant de voir qu’il parle d’un client voulant un nodachi et la mentalité du client. Cela désespère Kagura de voir que certains demandent à forger ou à acheter une telle arme juste parce qu’elle est imposante et impressionnante. Et cela, sans tenir compte de bien des choses. Franchement, certains n’ont pas du tout suivi correctement les enseignements aux armes de leur maître ou on ne leur a rien appris.
Dit-elle d’un air sérieux.
Kagura se sentait un peu gênée sur le moment, à cause de son erreur. Heureusement, l’homme n’y a pas fait trop attention et Oomori semble en rire. Cela décompresse un peu la Mikazuki sur sa faute.
Oh, gomenasai ! Une personne à Toge a un nom de famille assez proche du sien, c’est pour cela que je me trompe. Veuillez m’excusez, Tadake-san !
Excuse faite, cela pourrait peut-être permettre de repartir sur de bonne base entre eux, car ce n’est pas son genre de faire de telle erreur. Les erreurs arrivent à tout le monde, même au plus prudent. En tout cas, Kyoshiro souhaite la bienvenue à Kagura dans sa forge avec une manière de présenter son lieu de travail avec compliment. L’homme faisait de tout, arme, armure et outil, mais tout dépendait du portefeuille de la Togejin. Là-dessus, elle ne doutait pas qu’il faille faire pleurer son portefeuille pour s’acheter une armure. En effet, la jeune femme possède déjà deux armes dont elle maîtrise assez bien. La brune n’avait pas besoin d’en avoir autant surtout que ça pourrait l’encombrer dans un voyage ou un combat. Et pour ses questions sur la forge et les armes démoniaques, il était là pour cela. Apparemment, ça ne le dérangeait pas que la Onna-Bugeisha lui pose des questions.
Alors pour l’armure, tant qu’elle est résistante, ça me paraît intéressante. Que puis-je avoir comme type d’armure avec 330 ryô ? S’il vous plaît.
Dit-elle dans un premier temps. Il ne fallait pas tout mélanger et par la suite, elle allait poser ses questions sur les renseignements qui l’intéresseraient sur le coup. En espérant obtenir des réponses intéressantes.
Pour le métier de forgeron, je ne suis pas une expert, mais que pouvez-vous me conseiller si je souhaite débuter dans ce métier ? Quelle méthode devrais-je me tourner pour confectionner des armes et des armures ? Que me faudra-t-il dans mon atelier pour bien réussir ? Disons que je doute pouvoir réussir à faire mieux que vous et les autres forgerons de Seizan, si je devais aussi me lancer dans ce métier à Togegakure no sato.
Pour le métier de forgeron, les questions ont été posé et il fallait maintenant s’attaquer aux armes démoniaques. Il est connu dans le monde que Seizan est une cité liée à la métallurgie et à la création d’arme de toutes sortes. Il ne serait pas surprenant que ces derniers connaissent un moyen de créer des armes démoniaques et/ou connaître quelqu’un en possession d’une telle arme. Cela titille la Mikazuki et ça serait bien de commencer ses recherches, là où à Toge, elle s’est retrouvé face à un mur malgré l’aide d’une Jônin, Doji Ayane.
Pour ce qui est des armes démoniaques, j’aimerai savoir si vous ou un autre forgeron savent comment en créer ? Quelles sont les matériaux pour y parvenir ? Et comment en obtenir ? Cela fait pas mal de question, mais si on peut obtenir des armes plus efficaces pour lutter contre les Yokai les plus hostiles alors l’Empire pourra connaître un sentiment de sécurité surtout durant les voyages de villages à un autre. Et est-ce qu’il y a des bretteurs démoniaques à Seizan ? Je suis curieuse de savoir comment fonctionne une telle arme.
Dit-elle d’un air calme avant de voir qu’il parle d’un client voulant un nodachi et la mentalité du client. Cela désespère Kagura de voir que certains demandent à forger ou à acheter une telle arme juste parce qu’elle est imposante et impressionnante. Et cela, sans tenir compte de bien des choses. Franchement, certains n’ont pas du tout suivi correctement les enseignements aux armes de leur maître ou on ne leur a rien appris.
Certains n’ont pas conscience que d’utiliser un nodachi n’a rien de simple. Ils croient qu’il s’agit d’agiter sa lame pour espérer toucher une cible. Le nodachi est une arme à deux mains et longue dont faisant son poids. Ce n’est pas à la portée de tous et demande beaucoup d’entraînement et surtout physique, vu qu’il est réservé au Samourai les plus forts physiques et d’une grande taille. J’espère pour lui qu’il s’entraînera avant de l’utiliser bêtement sur le champ de bataille et qu’il en prendra soin. Un nodachi est difficile à forger, car la lame est plus grande qu’un katana standard. Il y a beaucoup de points à prendre en compte pour manier un nodachi et pour en prendre soin. J’espère que par respect pour vous, il ne brisera pas la lame de son arme.
Dit-elle d’un air sérieux.
MESSAGES : 329
XP'S : 1835
XP'S : 1835
Inventaire
Inventaire
Objet: Armure de fer ★ : Armure légère, plume pour écrire héritée de ses parents, Katana ★, un ensemble de kunai
# Re: Forge & Métallurgie [Pv : Oomori Hotaru & Tadake Kyoshiro] Dim 26 Juin - 13:03
Forge & Métallurgie
j'ai pas besoin d'excuse pour ça
Lui rappela-t-elle un sourire au visage et un clin d'œil malicieux. Bien sûr, il ne pouvait le voir, mais il pouvait l'entendre à son timbre de voix amusé. Non, elle n'avait pas besoin d'excuse pour s'occuper de lui. Pas depuis bien un bon moment. Lorsque Kyoshiro lui répondit quant à ce qu'il faisait, la samouraï se retint de rire une fois de plus.
Alors qu'ils semblent commencer à parler affaires et vente, Hotaru commence à s'installer sur la chaise où elle passe la majorité du temps à lire ou simplement à discuter en observant le colosse. Elle sortit son livre de son sac l'instant sur la petite table à côté d'elle. Elle prenait vraiment ses aisés dans la forge de son compagnon. Évidemment, elle allait rester sur place lorsque la transaction avec la Samouraï de Toge serait terminée.
Puis lorsque la jeune femme mentionna vouloir ouvrir son atelier à Toge, posant quelques questions sur ce dont elle avait besoin pour réussir, Hotaru se permit de tendre l'oreille sans grande discrétion alors qu'elle s'affairait encore à fouiller dans so sac pour sortir multiple différents objets - collation, gourdes, bidules pour occuper les mains. Puis vint une question qui força Hotaru à rebondir.
Évidemment qu'il y en a ! C'est ce pourquoi notre Village est reconnue. Notre escouade de bretteurs démoniaques est la meilleure de tout Onogoro!
Elle n'ajoute pas être elle-même intéressée à s'en procurer une dans un futur rapproché. Peut-être en glissera-t-elle un mot plus tard à Kyoshiro … en fait certainement qu'elle le ferait, après tout, il savait comment elle se battait et pourrait définitivement la conseiller lorsque le temps viendrait. Mais, même si Hotaru avait un intérêt marqué pour les armes démoniaques, elle n'avait pas vraiment d'idée sur leur processus de fabrication, alors elle ne se prononça pas une fois de plus.
Le fameux dilemme de la taille contre le talent.
Elle n'ajoute à cela rien de plus malgré les quelques dizaines de mauvaises blagues qui lui vint en tête. Elle n'était pas une femme de subtilité et en général elle ne mâchait pas ses mots, mais par respect pour la femme qu'elle ne connaissait qu'à peine Hotaru se garda d'en ajouter plus que nécessaire.
La togejin rebondit, beaucoup plus sérieusement sur les propos de Kyoshiro, prennent hotaru par surprise alors qu'elle marmonna un
Maintenant je vais avoir l'air bête si ça parle détails techniques