Les lueurs de l'aube transpercées les feuillages des arbres, la fin de l'été peut se ressentir dans la fraicheur des débuts de matinée, qui elle tardait de plus en plus se lever. Cela fait pratiquement un an à présent, que Sachiyo est arrivé dans le village. Du haut de ses trois pommes, elle n'a pas du tout l'apparence d'une jeune adolescente. Son corps avait en premier lieu besoin de reprendre des forces, la malnutrition ne l'a pas raté.

Très timide et anxieuse dans la vie, la jeune fille avait mis un long moment avant de faire ses premiers pas en dehors du lit. Dame Fuyo lui concoctait des plats équilibré, sans qu'il soit trop lourd pour son estomac. Ne voulant pas la faire forcer sur les tâches à accomplir dans la maison, elle laissa Sachiyo sortir avec pépé pour le regarder s'occuper des parcelles autour du chez eux. Leur magasin est une des rares bâtisse, qui est construite à même le sol. Plutôt atypique à Jujou, ça leur donnait la possibilité d'avoir autour de chez eux une petite plantation médicinale. Même si certaines parcelles étaient en dehors du village, ils étaient positionner dans des terrains plus favorables pour l'épanouissement de certaines variétés.

Le couple d'Apothicaire avait généralement besoin d'une base de plante, pour des remèdes communs dont l'hôpital avait le plus besoin. Que ce soit pommades, infusions, pilules ainsi que potions farfelus. Les plusieurs décennies d'expérience ainsi que leur savoir faire, mis à leurs contributions dans l'avancer médicale du village.

Mais ces derniers temps, l'adolescente désira faire plus qu'à son habitude. Même si elle a encore du mal à s'exprimer, c'est une fille très agréable à vivre qui est même à voir un tantinet trop discrète. Le peu de fois où elle se faisait entendre, c'est quand elle forçait ses parents adoptifs à lui donner le linge à étendre. Repos repos repos, il n'avait que ce mot à la bouche! Souvent agacer par cette situation, elle préférait baisser la tête et ne rien dire. Elle sait qu'elle leur est redevable, mais eux, il ne demande rien en échange. Pour Sachiyo qui avait vécu dans la misère comme une moins que rien à la mort de sa mère, elle ne comprenait pas encore pourquoi, des gens comme eux voulait la sauver. C'était encore dur à assimiler dans sa petite tête, mais une chose était claire: elle refusait de rester là, planter tel un piquer.

C'est alors qu'un matin, Dame Fuyo lui demanda un service, amener les remèdes à hôpital. À l'annonce de cette nouvelle, les yeux de la jeune fille briller. Elle avait enfin l'impression qu'elle allait vraiment servir à quelque chose! Le sourire aux lèvres pépé lui donna un petit parchemin, ou le trajet était tracé pour aller jusqu'au lieu-dit. On lui posa un panier en osier qui est un peu trop grand pour sa taille au dos, ainsi que tous les sachets des remèdes à l'intérieur.

Ni d'une ni deux elle prit la route pour ce qui était pour elle, sa première mission au service du magasin. Elle prit une échelle qui est implantée dans un arbre géant. Montant pour arriver au premier niveau de la ville, une sensation d'excitation parcourue tout son être. Le monde en hauteur était incroyable, les rayons de lumière réchauffer sa peau plus rapidement qu'au sol. Dans l'air on pouvait entendre les oiseaux chanter et qui se nourrissait avant que le soleil soit à son zénith.

Passant le dernier pont, elle admira avec un air béa le lieu: c'est donc ca un hôpital. Se dit elle intérieurement. En rentrant dans son regard allait dans tous les sens, émerveiller par cet endroit elle en oublia presque sa mission. Tellement de nouvelle chose ont été face à ses yeux, toutes les blouses blanches s'animaient pour partir dans des directions différentes, des sièges occuper des patients qui attendaient chacun leurs tours.

La tête en l'air, ainsi que ses pensées dans les nuages. Un homme dans sa course la bouscula sans faire attention, c'est alors que la jeune fille se retrouva face au sol.

L'étendue de son panier est alors dispersée par terre, confuse elle senti une énorme gêne compresser sa poitrine. Elle ne souhaite qu'une chose à ce moment-la, se mettre dans le troue d'une souris. Sa confusion se transforma alors en anxiété, dans sa tête elle voyait déjà dame Fuyo déçue de son inattention. Les larmes lui monter aux yeux, si elle n'échouait jamais on ne pourrait lui refaire confiance. Qu'aller-t-elle devenir? Les songes ainsi que les voix dans sa tête ce remis alors à lui susurrer : “tu ne sers toujours à rien, regarde comment tu es inutile, tu es un boulet, comment crois-tu survivre si tu ne sais pas obéir aux ordres, tu mérites le bâton.”



Elle redressa timidement la tête, confuse par les émotions qui commencent déjà à la submergé. Une dame c'est accroupît à côté d'elle:





Sachiyo se releva pour poser au sol son panier et aider la dame qui ramassait les sachets éparpiller au sol. Avant de prendre son courage à deux mains, pour s'adresser au monsieur qui tient le fameux courrier.



Elle s'inclina longuement en même temps à ce moment-là, en attendant qu'il dise quelques choses..

Il n'existe pas de plus noble cause que le perfectionnement d'une tâche, d'un métier, d'une activité jusqu'à l'élever au rang d'art. Telle avait été l'une des premières leçons que Kenichi avait reçu, au même titre que tous les Sakamoto qui l'avaient précédé, depuis la création de cette famille. La famille Sakamoto était un clan à part entière, un clan très petit, trop petit pour que sa renommée ne rayonne au-delà des frontières de sa terre natale, mais c'était très bien comme cela. Le clan Sakamoto n'était pas le plus riche, le plus influent ou le plus grand, non. Ces aspirations futiles, les têtes pensantes les laissaient à d'autres familles, car l'aspiration d'un Sakamoto se devait d'être beaucoup plus simple, pure et concentrée.
Sakamoto Toshinori avait été le premier, le Père fondateur de la lignée et, si sa vie avait fini par être oubliée au fil des générations, il avait pavé la voie pour tous les autres qui le suivraient. Il n'était qu'un médecin de campagne, un guérisseur itinérant doté d'une curiosité sans bornes face aux maux auxquels il devait faire face, quotidiennement.  A l’époque la médecin n'était pas aussi avancée qu'aujourd'hui, les échecs souvent plus présents que les victoires, mais c'était de cette sombre époque qu'est né le premier Sakamoto, le premier médecin qui finirait par avoir un fils. Ce fils serait inspiré par la détermination de son père et, désireux de marcher dans ses pas, initierait à son tour un mouvement qui perdurait encore, à ce jour.

Les Sakamotos n'étaient pas des guerriers, des diplomates ou des hommes de foi. La seule foi qu'ils avaient été dans leurs connaissances, et leur volonté de repousser toujours plus loin les limites de la médecine. Si certains s'étaient perdus en cours de route, désirant vaincre la Mort elle-même, les moutons noirs étaient rapidement chassés hors du troupeau, pour ne pas que l'impureté vienne corrompre le travail de plusieurs vies. Kenichi était le dernier nom de cette longue lignée, le premier né de sa génération et celui qui serait chef de son clan, quand son père ne serait plus en mesure de le diriger. C'était le plan au départ et, pour le mériter, il avait travaillé dur toute sa vie. Il vivait médecine, mangeait médecine, dormait médecine et n'aurait pas imaginé d'autre vie que celle-ci.
Du haut de ses 25 années, le beau et fringant Sakamoto faisait tourner des têtes, mais il n'avait d'yeux que pour sa carrière. Non, non, pas sa femme. Sa carrière. Ce jour-là il venait de terminer une opération sur une vieille dame qui s'était bien abîmée en tombant et, alors qu'il terminait de se laver les mains méthodiquement, une collègue en blouse blanche poussa la porte, brisant le silence d'un :

A cette époque Kenichi n'avait pas les cheveux aussi longs que jadis. S'ils lui arrivaient en général aux épaules, il faisait le choix de les coiffer en queue de cheval ou demi-queue de cheval, le plus souvent. Cette sombre crinière venait encadrer son visage, le Sakamoto tourna la tête en entendant son collègue rentrer.



Surpris ? Effectivement l'opération avait été rapide, mais cela voulait simplement dire que Kenichi était rapide et précis dans ses gestes, comme toujours. Ainsi, confiant, un début de sourire suffisant au coin des lèvres, il confirma que :



Bien sûr qu'il mesurait ses performances, la durée de ses opérations, ainsi que tout autre paramètre pertinent pour mesurer l'efficacité de son traitement et sa dextérité. Si la compétition était encouragée au sein du clan, l'évaluation des performances était un point important auquel tous devaient se soumettre, pour séparer la bonne de la mauvaise graine. Kenichi était une bonne graine, le meilleur depuis...longtemps et il le savait. Cependant, comme il était le chef d'orchestre lors d'une opération, et qu'il partageait rarement la couverture, certains collègues étaient surpris de ses performances. Celui-ci ne faisait pas exception.



Oui, oui. Les personnes âges étaient plus à risque. L'autre pensait-il que le Sakamoto était fraîchement sorti de formation ? Désireux de balayer cet avertissement inutile, Kenichi se drapa de son sourire le plus confiant et le plus fier, en ne cachant pas que :



Si certains prenaient cela sur le ton de la rigolade, Kenichi était on ne peut plus sérieux. Qu'on remette en question ses compétences était bien la chose à ne pas faire, avec le médecin. Celui-ci terminant de s'essuyer les mains et, détachant ses cheveux pour les laisser retomber sur ses épaules, il enfila sa blouse blanche et descendit jusqu'à l'accueil, pour prendre une petite pause avant ses prochains patients. Il salua quelques têtes connues en chemin, avant qu'une collègue ne l'interpelle.
Arquant un sourcil de surprise face à la personne qui était venue pour lui, Kenichi posa son regard sur ma maigrelette sans vraiment la reconnaître, avant de lui la lettre qui lui fut tendue. A la lecture tout commença à faire du sens et, affiché un sourire amusé au coin des lèvres, le médecin brisa le silence d'un :



Il était temps qu'elle accepte que quelqu'un ne l'aide, elle n'était plus toute jeune après tout. Soulagé de savoir qu'il y aurait du sang neuf à la boutique, Kenichi se pencha en avant et tendit le bras pour attraper le panier, avant d'inviter la demoiselle à le suivre. Affichant un sourire dont lui seul avait le secret, il l'invita donc :



Il allait tester un échantillon ou deux, pour s'assurer de la qualité des décoctions mais il avait confiance, comme toujours. Quelques escaliers à monter, un tour à gauche, un à droite, un autre à gauche et il serait dans la salle de stockage qu'il allait utiliser. Et, une fois qu'il y serait, il pourrait laisser sa curiosité se tourner vers cette petite demoiselle. Pas un seul centimètre en un an ? C'était le genre de chose qui allait piquer l'intérêt du médecin, en effet.

Sur le moment, Sachiyo ne voulait pas raconter sa petite vie au magasin. Se plaindre n'était pas du tout son genre, au contraire elle était tellement reconnaissante. Souvent, elle se demandait pourquoi son rôle de servante ne lui servait pas au sein de cette famille. Il ne la laissait absolument rien faire, alors bien sûr elle pouvait comprendre qu'il fallait d'abord reprendre des forces. Mais plus le temps défilé et plus il était compliqué pour elle de ne pas avoir l'impression d'être un bouler. Les quartiers des plaisirs n'épargnait en aucun cas les jeunes enfant sans parent et cela même si elle travaillait pour une maison.Ce sentiment d'infériorité était encore marqué dans son schéma de penser.

Elle n'avait pour l'instant pas encore pu réellement participer aux récoltes ainsi qu'aux fabrications des remèdes, mais une chose était sûr, elle analysait constamment tout ce que ce couple âgé dans leurs tâches. Elle était toujours émerveillée par leurs expériences, le village avait beaucoup de chance de les avoirs. Elle en avait énormément aussi, mais plus le temps passer plus le poids de la culpabilité s'installait sur ses épaules. Ils la rassuraient constamment en lui disant qu'elle n'avait pas à accomplir des tâches dans la maison et qu'elle n'était plus une servante, mais c'était au-de-là de ces compétences pour l'instant. Souvent elle avait l'impression que son cerveau avait été mis en pause depuis la mort de sa mère. Mais grâce à pépé et dame Fuyo, elle commençait à reprendre goût à la vie.

Elle admira le sourire de l'homme pendant un long moment, il dégageait ce genre d'aura qui met les gens confiance. Vous savez, ce genre de personne sur qui vous avez envie de laisser votre vie entre leurs mains sans le moindre problème. La vie devait être sous un autre angle quand on était aussi grand et classe... Bien sûr, elle se garda de dire ce genre de commentaire à haut voix. Il devait sûrement bien manger à la cantine, dame Fuyo lui disait tout le temps ça. Que les gens en bonne santé ont une alimentation riche et saine, il devait bien avoir une part de vérité la dedans.

Perdue dans ses pensées elle avait pris le pas en oubliant complètement qu'il fallait rentrer à la maison. En même temps il voulait tester la marchandise, ça serait si impolie de partir aussi vite. Puis pour une fois qu'elle allait enfin pouvoir quelqu'un d'autres faire des teste. Le docteur porte son panier en osier avec une telle facilité. Sa curiosité ainsi que sa soif de savoir, avait complètement pris le dessus sur la raison. Son visage se heurta sur quelque chose, c'était la blouse du doc, la honte! Alors qu'il lui fait un sourire dont il est le seul à avoir le mode d'emploi, Gênée elle baissa les yeux.

Elle voulut s'excuser, mais trop timide elle se souvint aussi de dame Fuyo qui lui dit “je suis désolée, on dirait que tu ne connais que ça t'excuser! Un peu de dignité voyons!!”Non clairement il était temps de changer, mais elle n'arrivait simplement pas à passer le pas... Elle décida alors de s'incliner pour s'excuser puis en relevant la tête elle déglutit avant de poser sa première question:



Il lui sourit de nouveau avant de rentrée dans la salle, avec une pointe de malice dans son regard. Mais d'où sort donc ce monsieur? La curiosité de la jeune fille est mis à l'épreuve c'est pour dire, cet homme était un nid à mystère et elle adore ça. Alors qu'elle rentre dans la pièce elle fût émerveillée, les rayons du soleil rentre à travers la fenêtre et on peut voir quelques tables ainsi que des étagères avec toute sorte d'objet, elle n'en connaissait aucun sauf le mortier qui sert à piler les plantes sèchent ou préparer des mixtures.

Alors qu'il pose le panier sur une des tables, Sachiyo est encore trop petite pour pouvoir jeter un œil sur ce qui se passe sans être sur la pointe des pieds. Elle prit l'initiative de tirer une chaise pour se mettre dessus, elle commence à sortir les remèdes, les éparpiller tous en faisant des tas par catégorie sur la table.

Kenichi avait beaucoup de qualités, selon lui, mais il savait que le travail en équipe n'en faisait pas partie. Oh il savait se synchroniser avec les autres, s'accorder aux mouvements des uns et des autres, mais il était né dans une fosse aux lions, où l'excellence était le minimum requis. Il avait le sens de la compétition dans ses veines, ce qui l'avait poussé à être l'homme qu'il était aujourd'hui, mais il savait que certains collègues avaient du mal à accepter sa forte personnalité. Une question demeurait : pourquoi s'en soucier ? Il pouvait très bien travailler tout seul, quand la situation l'exigeait, et son sourire rassurait tous les patients qui passaient entre ses mains. N'était-ce pas là, la marque de l'excellence ?
Kenichi avait conscience que l'hôpital était autant un sanctuaire, qu'un lieu de soin ou qu'une école. C'était ici que les médecins en devenir venaient, année après année, pour parfaire leurs connaissances et compétences, en vue de devenir des guérisseurs à part entière. Et ainsi, année après année, Kenichi se coltinait des élèves qu'il jugeait de plus en plus stupide, pas par plaisir mais par obligation. Si cela ne tenait qu'à lui il partagerait son temps entre opérations et recherches mais, malheureusement, son métier était un peu plus compliqué et varié que cela.

C'était ainsi. Il avait accepté qu'il ne pouvait pas tout avoir, et préférait ne pas trop y penser. La lettre de la vieille Fuyo ne l'enchantait guère, car le Sakamoto avait d'autres choses de prévues, mais il savait reconnaître et récompense le bon travail. La vieille n'avait-il pas fourni que de bons produits à cet établissement ? En effet, oui, raison pour laquelle Kenichi ne déchira pas la lettre qui lui fut tendu. Il devait bien cela à la vieille, et découvrir si quelqu'un avait des capacités pour suivre la voie de la médecin était toujours un défi intéressant. Ainsi, en chemin, lorsque la demoiselle l'interrogea, le Sakamoto tourna sa tête en demandant :



Ils devaient s'assurer de la qualité de ce qu'ils donnaient à leurs patients, c'était bien la moindre des choses, non ? Ainsi, pas après pas, le duo pénétra dans une pièce qui servait, en général, de stockage mais aussi d'expérimentations. Chaque pièce avait un rôle bien précis, et celui-ci était de s'assurer de la qualité de ce que le personnel allait pouvoir utiliser, pour ses patients. Alors qu'il posait le panier sur une table, Kenichi remarqua – d'un air amusé – la demoiselle user d'une chaise pour se mettre à sa hauteur, avant de commencer à détailler les éléments dans le panier.
En d'autres circonstances le Sakamoto lui aurait coupé la parole, avançant qu'il n'avait pas besoin d'aide pour une tâche aussi simple, mais observer les descriptions de la demoiselle faisait aussi partie de l'évaluation qu'il menait, silencieusement. Était-elle faite du même bois qui composait les plus grands médecins, comme lui ? C'était encore trop tôt pour le dire, mais il avait encore du temps devant lui. Elle semblait volontaire en tout cas, un bon point pour elle.

Quand la timidité de la demoiselle reprit le dessus, Kenichi ne put s'empêcher de sourire, amusé, avant de reprendre les choses en main d'un simple :



Ce n'était pas toujours lui qui le faisait, mais il en avait suffisamment l'habitude pour que ce soit rapide. Ainsi, d'une main experte il étala le contenu du panier devant la table et, avec une organisation née de l'expérience, sépara les produits bien distinctement. Il n'avait pas tous les tester évidemment, mais juste un échantillon ou deux de chaque produit, pour s'assurer de la qualité générale du lot, comme à chaque fois. Commençant déjà à analyser les mélanges de plante, déterminant la taille et la qualité générale pour voir lesquelles feraient un échantillon représentatif, Kenichi commença à s'atteler à l'autre tâche qui lui fut donnée. Ainsi, laissant parler sa curiosité, il demanda :



Kenichi était de curieux de connaître sa vie avant d'arriver ici, mais ce n'était pas réellement la tâche qui lui avait été confiée. Terminant de faire son travail, il approcha la situation d'un angle différent, en demandant finalement si :



Si elle acceptait, alors il commençait à lui présenter les plantes, une par une, ainsi que les effets des potions et des pommades étalées sur la table. Une occasion de tester les capacités de professeur du Sakamoto.