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Inventaire
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Objet: 1 pilule Sens aiguisé - 3 pilules Nyctalopie - 1 pilule stimulant - 1 pilule coloration - 1 arc - 1 morceau de fer de météorite - 1 arme mécanique - 1 appat à yokai
# Sakamoto Kenichi [Terminé] Jeu 20 Oct - 19:39
SAKAMOTO KENICHI
"Interminable est le chemin de la rédemption. Courir après elle revient à courir contre le temps. "
i. Information
► Nom : Sakamoto
► Prénom : Kenichi
► Taille : 1m85
► Poids : 80 kg
► Age : 35 ans
► Affinité Primaire : Doton
►Caste : Ninja
► Grade Militaire Souhaité : Chuunin – Membre de la brigade d'interrogation
► Village Souhaité : Jujougakure no Sato
► Religion : Anciennement Kamisuuhai. Aujourd'hui ? En questionnement.
► Grade Religieux Souhaité : /
► Particularité : Tatouage de dragon tout le long du bras et de l'épaule gauche.
► Source de l'avatar : Hanzo – Overwatch
ii. Que recherches-tu ?
Jadis Kenichi était à la recherche de l'excellence dans son art, à la recherche de nouvelles avancées dans le domaine médical, pour laisser sa marque dans le monde comme tous ses ancêtres avant lui. Mais aujourd'hui ? Aujourd'hui il aspire à se faire pardonner par la seule personne qui ne pourra jamais le faire.
Aujourd'hui, Kenichi aspire à la rédemption au travers de son devoir. Il aspire à soigner qui peut l'être, réparer ce qui peut encore l'être et, ainsi, trouver un semblant de paix intérieur, si cela lui est permis.
Kenichi n'a aucune ambition personnelle si ce n'est d'être meilleur combattant, meilleur médecin qu'il ne le fut jadis. Aider son prochain, telle devrait toujours être la seule aspiration d'un médecin, et voilà à quoi il essaye de se tenir.
Aujourd'hui, Kenichi aspire à la rédemption au travers de son devoir. Il aspire à soigner qui peut l'être, réparer ce qui peut encore l'être et, ainsi, trouver un semblant de paix intérieur, si cela lui est permis.
Kenichi n'a aucune ambition personnelle si ce n'est d'être meilleur combattant, meilleur médecin qu'il ne le fut jadis. Aider son prochain, telle devrait toujours être la seule aspiration d'un médecin, et voilà à quoi il essaye de se tenir.
iii. Histoire
Cette maison de bois était grande. Elle en avait vu passer des vies mais, aujourd'hui, une seule âme errait encore entre ces mûrs, le craquement du plancher faisant écho à chacun de ses mouvements. L'homme qui était là avait grandi ici, était devenu un homme ici mais, aujourd'hui, cette maison n'était que le réceptacle d'une existence qui n'était plus la sienne.
L'homme était là, à genoux, au milieu du salon, à se remémorer ce lieu et tout ce qu'il représentait pour lui. Cet homme-là était né, plus de trois décennies plus tôt, au sein d'une famille qui, à défaut de ne pas être immense, avait toujours eu à cœur de fournir à Jujou certains des médecins les plus talentueux et dévoués du monde : cette famille était le clan Sakamoto. Cet homme-là, prénommé Kenichi, était le premier fils de Sakamoto Kenta et Sakamoto Misaki, celui qui devrait un jour hériter de la maison à la mort de son père : le tatouage de dragon, sur son bras gauche, était d'ailleurs le symbole éternel du rôle qui, aujourd'hui, n'était plus le sien.
Sur un coin de table, Kenichi repérait quelques livres sur l'étude du corps humain, lui rappelant la vie qui était la sienne, une existence consacrée à la médecin et la découverte de ses mystères. Il était fait pour être médecin et, bien sûr, ce fut sans surprise que son chakra fut repéré tôt, très tôt, plus tôt que n'importe lequel de ses ancêtres, ce qui devait le promettre à un brillant avenir. Il fut donc formé dans l'armée de Jujou, formé comme ninja et, avec l'apprentissage de la maîtrise de son chakra, il devint au fil des ans un étudiant puis un médecin brillant, comme on l'attendait de lui.
Prodige, avec une compréhension impressionnante du corps humain et une maîtrise étonnante du chakra, le jeune Sakamoto fut assigné à l’hôpital de Jujou, dés la fin de sa formation, là où ses talents pourraient être mieux mis à profit. Arrogant ? Il l'était, oui, comme bon nombre de médecins dans les mains de qui des vies leurs étaient quotidiennement confiées. Il était bon et il le savait. Jeune, grand, beau, riche et talentueux : qu'est-ce qui pourrait bien lui résister, après tout ? Il était confiant et, bien sûr, avec l'arrivée de l'âge adulte, après plusieurs années d'attente, ses parents organisèrent un mariage, pour lier leur premier né à une autre famille influente dans le domaine médical. Ainsi, à l'âge de 24 ans, Kenichi fut marié à Ryoko qui portait très bien son prénom.
En relevant les yeux, le trentenaire posa son regard noisette sur un tableau des deux mariés, le jour célébrant leur union officielle. Ryoko était sans doute la plupart belle femme qui lui ait été donné de voir et, s'ils étaient des étrangers l'un pour l'autre, au départ, rapidement leur foyer vint accueillir une nouvelle vie, en la personne de la toute jeune Emi, fruit de l'union de ces deux époux. Ce jour-là, le jour où son premier cri résonna dans cette large maison, ce lieu vint à se remplir d'une chaleur nouvelle.
Kenichi avait beau être un professionnel, la naissance de sa fille vint à l'attendrir quelque peu, le poussant parfois à diminuer son activité pour passer plus de temps avec elle. Il aimait sa femme, évidemment, mais sa fille...sa fille, ce qu'il ressentait pour elle ne pouvait être décrit avec des mots. Elle était sa chair et son sang, son avenir, la prunelle de ses yeux, et les 6 premières années de sa vie furent remplies d'un bonheur inégalé.
Arrogant, le Sakamoto était méconnaissable lorsqu'il venait à s'occuper de sa fille. Tout papa gâteau qu'il était, il ne ratait jamais une occasion de sortir avec elle, et c'était à l'occasion d'une de ses sorties que Emi demanda à son père de lui acheter ce masque en bois, celui qui trônait sur cette table, dans un coin de cette pièce vide et aujourd'hui si...glacée.
Quand il était là, avec sa femme et sa fille, plus rien n'avait d'importance. Au diable sa famille, leurs attentes, ou les exigences de son travail. Seules ses deux femmes comptaient pour lui, et il s'était promis de tout faire pour que son mariage perdure, pour que cette famille perdure...jusqu'à ce que ne soit plus le cas.
Cela avait commencé par un rhume et une fièvre chez la petite Emi, rien d'alarmant pour ses parents et surtout pour le père, médecin réputé de son état. Il traita donc sa fille mais, au cœur des semaines suivantes, les symptômes revinrent, accompagnés de nombreuses toux, et ce fut lorsque la petite commença à cracher du sang et à montrer d'étranges tâches sur son corps que la panique s'installa au sein du couple. A l'annonce de ces nouveaux symptômes, le monde tout entier de Kenichi sembla vouloir s'écrouler, face à un simple constat : il n'avait aucune idée de l'origine ou l'identité de l'affliction qui diminuait sa fille, de jour en jour. Mais il était Sakamoto Kenichi, fier descendant de la famille Sakamoto : il ne laisserait pas la maladie l'emporter !
Tous les jours il était au chevet de sa fille, à étudier, comprendre, expérimenter et, tous les jours, devant l'absence d'avancée, Ryoko suppliait son mari d'appeler le reste de sa famille, afin qu'ils puissent l'aider. Cependant, dans son arrogance aveugle, Kenichi coupa la conversation plus d'une fois, en avançant qu'il s'agissait de sa propre fille, et qu'il était donc le seul à pouvoir l'aider. Il continua à le croire...jusqu'à ce que cela soit trop tard et, ce matin de printemps, à peine trois semaines après que la petite Emi ait fêté son sixième anniversaire, elle poussa son dernier soupir dans les bras de ce père dont le monde fut anéanti.
Alors il était là, dans cette maison vide, à se demander comment il pouvait en être arrivé là, plus de cinq ans après la disparition de la perle de son existence. Sa femme avait fini par le quitter, incapable de le regarder en face sans être prise de dégoût et de colère. Sa famille, choquée par ce comportement indigne de sa position, par son absence de bon sens, décida de renier totalement Kenichi.
Combien de temps erra t-il de la sorte ? Combien de temps resta t-il là, paralysé, à terre ? Plusieurs semaines ou plusieurs mois, peut-être, avant de faire un effort surhumain, un matin, pour se lever. Le père éploré ravala ses larmes, sa culpabilité et son anéantissement, conscient qu'il ne lui restait désormais plus que son travail. Alors que faire ? Repartir et s'occuper de patients, tous les jours, pour des bobos n'ayant rien de grave ? Non, il décida plutôt de donner un tournant à sa vie, en se rappelant qu'il était autant médecin que ninja, aujourd'hui.
Aujourd'hui il n'était plus que l'ombre de lui-même. Toute arrogance et tout sourire avait disparu de son visage, au profit d'une expression de froide neutralité, de jour comme de nuit. Il décida donc de quitter son bureau et de devenir ninja, sur le terrain, ce qui lui valu sa première promotion car, au final, détruit ou non, il avait tout de même la médecine dans le sang. La confrontation avec la réalité fut...violente, en tout cas, mais le Sakamoto démontra un sang-froid à toute épreuve, jusqu'à ce que ses compétences médicales ne soient repérés par la brigade d'interrogation, approximativement au cours de l'hiver 805.
Alors oui, l'homme agenouillé par terre n'était plus le même que jadis. Il était le responsable de la destruction de son propre monde, pour avoir laissé son arrogance guider ses décisions. Il avait brisé bon nombre de règles en pensant pouvoir sauver sa fille, en pensant que la fin justifiait les moyens mais, aujourd'hui, il était le membre d'une famille d'une seule personne. Il ne lui restait plus que son travail, comme un moyen de trouver la rédemption, de trouver le pardon de sa fille...un pardon qu'il ne recevrait jamais.
L'homme était là, à genoux, au milieu du salon, à se remémorer ce lieu et tout ce qu'il représentait pour lui. Cet homme-là était né, plus de trois décennies plus tôt, au sein d'une famille qui, à défaut de ne pas être immense, avait toujours eu à cœur de fournir à Jujou certains des médecins les plus talentueux et dévoués du monde : cette famille était le clan Sakamoto. Cet homme-là, prénommé Kenichi, était le premier fils de Sakamoto Kenta et Sakamoto Misaki, celui qui devrait un jour hériter de la maison à la mort de son père : le tatouage de dragon, sur son bras gauche, était d'ailleurs le symbole éternel du rôle qui, aujourd'hui, n'était plus le sien.
Sur un coin de table, Kenichi repérait quelques livres sur l'étude du corps humain, lui rappelant la vie qui était la sienne, une existence consacrée à la médecin et la découverte de ses mystères. Il était fait pour être médecin et, bien sûr, ce fut sans surprise que son chakra fut repéré tôt, très tôt, plus tôt que n'importe lequel de ses ancêtres, ce qui devait le promettre à un brillant avenir. Il fut donc formé dans l'armée de Jujou, formé comme ninja et, avec l'apprentissage de la maîtrise de son chakra, il devint au fil des ans un étudiant puis un médecin brillant, comme on l'attendait de lui.
Prodige, avec une compréhension impressionnante du corps humain et une maîtrise étonnante du chakra, le jeune Sakamoto fut assigné à l’hôpital de Jujou, dés la fin de sa formation, là où ses talents pourraient être mieux mis à profit. Arrogant ? Il l'était, oui, comme bon nombre de médecins dans les mains de qui des vies leurs étaient quotidiennement confiées. Il était bon et il le savait. Jeune, grand, beau, riche et talentueux : qu'est-ce qui pourrait bien lui résister, après tout ? Il était confiant et, bien sûr, avec l'arrivée de l'âge adulte, après plusieurs années d'attente, ses parents organisèrent un mariage, pour lier leur premier né à une autre famille influente dans le domaine médical. Ainsi, à l'âge de 24 ans, Kenichi fut marié à Ryoko qui portait très bien son prénom.
En relevant les yeux, le trentenaire posa son regard noisette sur un tableau des deux mariés, le jour célébrant leur union officielle. Ryoko était sans doute la plupart belle femme qui lui ait été donné de voir et, s'ils étaient des étrangers l'un pour l'autre, au départ, rapidement leur foyer vint accueillir une nouvelle vie, en la personne de la toute jeune Emi, fruit de l'union de ces deux époux. Ce jour-là, le jour où son premier cri résonna dans cette large maison, ce lieu vint à se remplir d'une chaleur nouvelle.
Kenichi avait beau être un professionnel, la naissance de sa fille vint à l'attendrir quelque peu, le poussant parfois à diminuer son activité pour passer plus de temps avec elle. Il aimait sa femme, évidemment, mais sa fille...sa fille, ce qu'il ressentait pour elle ne pouvait être décrit avec des mots. Elle était sa chair et son sang, son avenir, la prunelle de ses yeux, et les 6 premières années de sa vie furent remplies d'un bonheur inégalé.
Arrogant, le Sakamoto était méconnaissable lorsqu'il venait à s'occuper de sa fille. Tout papa gâteau qu'il était, il ne ratait jamais une occasion de sortir avec elle, et c'était à l'occasion d'une de ses sorties que Emi demanda à son père de lui acheter ce masque en bois, celui qui trônait sur cette table, dans un coin de cette pièce vide et aujourd'hui si...glacée.
Quand il était là, avec sa femme et sa fille, plus rien n'avait d'importance. Au diable sa famille, leurs attentes, ou les exigences de son travail. Seules ses deux femmes comptaient pour lui, et il s'était promis de tout faire pour que son mariage perdure, pour que cette famille perdure...jusqu'à ce que ne soit plus le cas.
Cela avait commencé par un rhume et une fièvre chez la petite Emi, rien d'alarmant pour ses parents et surtout pour le père, médecin réputé de son état. Il traita donc sa fille mais, au cœur des semaines suivantes, les symptômes revinrent, accompagnés de nombreuses toux, et ce fut lorsque la petite commença à cracher du sang et à montrer d'étranges tâches sur son corps que la panique s'installa au sein du couple. A l'annonce de ces nouveaux symptômes, le monde tout entier de Kenichi sembla vouloir s'écrouler, face à un simple constat : il n'avait aucune idée de l'origine ou l'identité de l'affliction qui diminuait sa fille, de jour en jour. Mais il était Sakamoto Kenichi, fier descendant de la famille Sakamoto : il ne laisserait pas la maladie l'emporter !
Tous les jours il était au chevet de sa fille, à étudier, comprendre, expérimenter et, tous les jours, devant l'absence d'avancée, Ryoko suppliait son mari d'appeler le reste de sa famille, afin qu'ils puissent l'aider. Cependant, dans son arrogance aveugle, Kenichi coupa la conversation plus d'une fois, en avançant qu'il s'agissait de sa propre fille, et qu'il était donc le seul à pouvoir l'aider. Il continua à le croire...jusqu'à ce que cela soit trop tard et, ce matin de printemps, à peine trois semaines après que la petite Emi ait fêté son sixième anniversaire, elle poussa son dernier soupir dans les bras de ce père dont le monde fut anéanti.
Alors il était là, dans cette maison vide, à se demander comment il pouvait en être arrivé là, plus de cinq ans après la disparition de la perle de son existence. Sa femme avait fini par le quitter, incapable de le regarder en face sans être prise de dégoût et de colère. Sa famille, choquée par ce comportement indigne de sa position, par son absence de bon sens, décida de renier totalement Kenichi.
Combien de temps erra t-il de la sorte ? Combien de temps resta t-il là, paralysé, à terre ? Plusieurs semaines ou plusieurs mois, peut-être, avant de faire un effort surhumain, un matin, pour se lever. Le père éploré ravala ses larmes, sa culpabilité et son anéantissement, conscient qu'il ne lui restait désormais plus que son travail. Alors que faire ? Repartir et s'occuper de patients, tous les jours, pour des bobos n'ayant rien de grave ? Non, il décida plutôt de donner un tournant à sa vie, en se rappelant qu'il était autant médecin que ninja, aujourd'hui.
Aujourd'hui il n'était plus que l'ombre de lui-même. Toute arrogance et tout sourire avait disparu de son visage, au profit d'une expression de froide neutralité, de jour comme de nuit. Il décida donc de quitter son bureau et de devenir ninja, sur le terrain, ce qui lui valu sa première promotion car, au final, détruit ou non, il avait tout de même la médecine dans le sang. La confrontation avec la réalité fut...violente, en tout cas, mais le Sakamoto démontra un sang-froid à toute épreuve, jusqu'à ce que ses compétences médicales ne soient repérés par la brigade d'interrogation, approximativement au cours de l'hiver 805.
Alors oui, l'homme agenouillé par terre n'était plus le même que jadis. Il était le responsable de la destruction de son propre monde, pour avoir laissé son arrogance guider ses décisions. Il avait brisé bon nombre de règles en pensant pouvoir sauver sa fille, en pensant que la fin justifiait les moyens mais, aujourd'hui, il était le membre d'une famille d'une seule personne. Il ne lui restait plus que son travail, comme un moyen de trouver la rédemption, de trouver le pardon de sa fille...un pardon qu'il ne recevrait jamais.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
v. Personnalité
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Kyoshiro
► Quel âge as-tu ? 35 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? C'est mon petit doigt qui me l'a dit
► Comment trouves-tu le forum ? Alors, si je fais un second compte, à votre avis ?
► T'as un autre compte? Lequel ?Tadake Kyoshiro
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Non merci, pas pour le moment.
► Quel âge as-tu ? 35 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? C'est mon petit doigt qui me l'a dit
► Comment trouves-tu le forum ? Alors, si je fais un second compte, à votre avis ?
► T'as un autre compte? Lequel ?Tadake Kyoshiro
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Non merci, pas pour le moment.
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Sakamoto Kenichi [Terminé] Lun 24 Oct - 23:28
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Jujou no Satô au grade de Chuunin !
Je te valide également au sein de la Brigade d'interrogation.
J'ai beaucoup aimé ta fiche, assez simple et précise, avec une plume que tu maîtrise toujours aussi bien.
TRAME PERSONNELLE :
Tu admires ton ancienne demeure, musé de cette ancienne vie à laquelle tu essaye d’échapper. Pourtant quand tu vois les portraits de cette famille autrefois heureuse et unie tu ne peux t’empêcher de repenser à cette erreur. Décision d’un égo surdimensionné qui t’a fait négliger ta famille et ta vocation médicale. Pourtant même maintenant tu ne peux t’empêcher de penser que de tels symptômes auraient pu passer inaperçu même pour les membres de ta famille. Que ce n’est pas vraiment ton erreur et pour cause, la Jujoukage elle-même t'a confortée dans cette décision. Le secret est toutefois bien lourd à porter.
TON IMAGE : L'attristé
Tu admires ton ancienne demeure, musé de cette ancienne vie à laquelle tu essaye d’échapper. Pourtant quand tu vois les portraits de cette famille autrefois heureuse et unie tu ne peux t’empêcher de repenser à cette erreur. Décision d’un égo surdimensionné qui t’a fait négliger ta famille et ta vocation médicale. Pourtant même maintenant tu ne peux t’empêcher de penser que de tels symptômes auraient pu passer inaperçu même pour les membres de ta famille. Que ce n’est pas vraiment ton erreur et pour cause, la Jujoukage elle-même t'a confortée dans cette décision. Le secret est toutefois bien lourd à porter.
TON IMAGE : L'attristé
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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