La tranquillité de Toge n’est pas sans être des plus agréable lorsque l’on peut bénéficier d’un repos. Loin d’être des vacances, il s’agit simplement de ma juste rétribution pour mon retour de mission. Une rétribution dont je peux bénéficier et cela peu importe qu’il s'agisse d’un échec ou d’une réussite. Aussi le travail étant, ma principale raison de vivre. Je me dois donc consacrer mon repos qu’à l’entrainement et à l’achat de biens nécessaires à ma fonction de jonin. Sans tarder, je me hâte au terrain d’entrainement, où j’en profite pour déboiter quelques mâchoires ou plutôt inculquer les arts martiaux à de jeunes genin. Je vois ça uniquement comme un échauffement pour ma part, alors que pour eux cela doit être un entrainement sévère. Non pas que l’effort soit vraiment difficile. Jeter au sol des genin sortant de l’académie n’a rien de complexe, même en ajoutant le fait de ne pas devoir les blesser C’est là même, quelque chose de presque ennuyeux. Et après quelques séries d’exercices d’une minute pour chacun. Je me rends aux douches pour m’y ôter la saleté du terrain et pouvoir me rendre en ville sous mes atouts de noble. Non pas que cette fonction me tienne à cœur, je me dois cependant, d’avouer que cela présente quelques avantages lors de certaines situations. Bien évidemment il y a aussi des inconvénients. Mais jusqu’à présent j’ai plus connu le premier cas de figure que le second.

Et donc vient la partie de ma journée où je me rends au quartier marchand. Là-bas j’ose espérer y trouver, une nouvelle armure, diverses armes de jet comme à manier au corps-à-corps. Mais je compte bien acheter également, des parchemins de l’encre et d’autres diverses pour me permettre de rédiger des rapports de missions et de notes diverses qui rentrent dans le cadre de ma fonction. Rien de très artistique, mais qu’importe. Il faut bien des gens qui font de la paperasse dans ce monde pour permettre à d’autres de ne pas en faire et je ne vois pas cela comme une corvée. On peut donc dire que c’est un plus pour tout le monde. Et si l’on passe de la zone militaire à celle de la zone marchande. On peut remarquer presque immédiatement la différence. L’une est froide et morose tel l’hiver qui recouvre el monde. Tandis que l’autre symbolise plus l’été ou même le printemps de par ses parfums exotiques venant de tout l’Empire. La diversité de métiers, de religions et de biens que l’on peut y retrouver montre bien les immenses frontières de l’Empire. De quoi faire remonter quelques souvenirs en moi. Des souvenirs venant de l'époque où je travaillais au palais impérial. Peut-être dois-je songer à y retourner. Après tout, Toge n’est pas plus mal, mais elle est loin de pouvoir convenir à mes besoins. Passant entre les effluves de lilas et de roses, mes vêtements ne manquent pas malgré moi d’en prendre les caractéristiques olfactives. De quoi m’offrir sans nul doute un peu plus de présence en tant que noble, bien que cela soit loin de mon idée du moment. La noblesse étant quelque que je méprise presque. Après c’est sans doute cela qui m’a mené à perdre ma mère assez tôt à la suite d’un assassinat.

Mais qu’importe car voici qu’un illustre inconnu vient à me percuter. Bien évidemment, je ne bouge pas d’un poil. Mais bien qu’il soit plus menu ou plus petit que moi, il me surprend, en ne bougeant pas vraiment pour sa part non plus. Et si je compte bien poursuivre ma route pour mes achats, le voici qu’il m’adresse la parole. Me saluant de manière un peu trop amicale et familière, il ne manque pas de poursuivre en me demandant son chemin. Et sa question est digne de celle d’un touriste. Mais qu’importe, au moins c’est ce genre de bonhomme qui fait fonctionner l’économie du village. Ou du moins une partie de cette dernière. Je l'observe un bref instant et je me décide ainsi à lui répondre de la manière la plus amicale dont je peux faire preuve, bien que l’on remarque assez vite que je ne suis pas le genre de bonhomme à rire. Du moins pas sans avoir pris un verre un ou deux dans le gosier.



-Mes salutations, vous trouverez ce quartier plus loin par là.



J’en profite à la fin de ma phrase pour lui pointer la direction dont j’entends parler par mes rapides mots



-Puis-je vous aider d’une quelconque autre manière que ce soit ?

Après mes indications, l’homme se présente. Tout d’abord sous son nom et prénom, soit Yukikawa Takashi, puis son grade militaire celui de Chunin. Précisant par la même qu’il sert au secteur de Seizan. N’étant pas du genre calculateur ou méfiant, je ne me demande même pas s’il cherche à attirer ma sympathie par cet acte ou bien s’il cherche autre chose. Mais voici que rapidement il demande déjà un service. L’accompagner jusqu’à ce quartier ? Je pourrais demander pourquoi cela, mais dans la foulée il ne manque pas de préciser la chose. Il cherche une épouse pour un ami.

Voilà qui n’est pas sans me surprendre même si mes traits de visages ne dévoilent qu’une profonde sévérité et une nuance de jugement.

Car, il faut l’avouer. C’est là une drôle d’idée que de chercher à prendre une femme à la petite vertu dont le métier et d’aller voir ailleurs. Est-ce une blague pour son ami ? Si oui, elle est de très mauvais goût, eh bien évidemment je ne compte pas laisser se faire ceci. Si la femme a choisi de vendre son corps c’est par besoin et non envie la plupart du temps et vendre son corps ne veut pas dire vendre son âme. Il y a donc un minimum de respect à avoir.



-C’est là, une question pour le moins assez suspecte. Et que vous en conveniez ou non. Veuillez me suivre on va juste se mettre sur le côté.



Il faut bien évidemment qu’à chacun de mes courts congés, je tombe sur ce genre de problème. Et comme toujours aucun soldat dans le coin hormis mon humble personne. Le mieux étant donc de ne pas faire trop de vague et d’éviter de gêner le trafic des passants de cette avenue marchande.



-Et donc si vous pouviez mieux m’expliquer votre projet. Car je dois admettre que la chose dite comme vous l’avez dit, tient plus d’une blague de mauvais goût qu’autre chose.



Il est vrai que je n’ai pas vraiment de second degré, mais c’est à prévoir chez la plupart des membres de Toge où tout est toujours sérieux. Et donc si cela s’avère être une manière détournée que de cherche une femme pour l’accompagner le temps d’un soir, il a très mal choisi ses mots le chunin.



-Tout d’abord, pourquoi c’est à vous de rechercher une compagne pour votre ami ? Puis dans un deuxième temps, pourquoi vous recherchez une femme dans ce quartier précis ? Les femmes et hommes qui il n’y trouvent non pas que ça à faire et c’est là un métier qu’ils pratiquent.



Croisant les bras pour montrer ma sévérité, j’attends là paisiblement une réponse de sa part. Et si l’affaire semble basique, je n’hésiterai pas un seul instant à la faire monter très haut en cas de besoin.

L’homme de son propre aveu, dit en effet que la demande parait étrange. Et en réalité c’est peu dire de ce qu’il demande, surtout à un militaire qui n’a que faire de ce genre de chose, mais c’est là une chose qu’il ne peut pas réellement deviner. Mais sans faire preuve de sentiments particuliers tels que la gêne ou bien la confusion. Il annonce d’autres choses.

Et peut-être ne s’en rend-t-il pas compte ou bien s’est-il mal exprimé mais tout devient plus confus encore pour Ryujin. L’homme commence par parler de trouver une femme dans un quartier de joie. Non pas pour une passade d’une nuit, mais pour une histoire d’une vie. Sauf qu’il évoque à présent la carte de la culture. En évoquant notamment l’expérience unique que cela constitue. A nul doute nul crainte, cet homme se révèle d’autant plus étrange. Et comme pour gâcher son temps de repos ce dernier a décidé de venir l’aborder lui. C’est pourquoi, Ryujin ne compte pas le lâcher aussi facilement que cela.



-Je crains que vous ne vous embrouilliez l’esprit. Je dois avouer ne plus trop comprendre ce que vous recherchez. Vous me parler dans un premier temps de mariage puis à présent de culture. Tout ceci n’a plus vraiment aucun sens. Et que quand grand bien me fasse du mal, mais je me dois de vérifier à présent toute cette histoire. Noblesse oblige comme on dit ici. Veuillez me suivre s’il vous plait.



Une demande qui n’en est pas une. Car en réalité l’homme se voit presque obligé de le suivre sans quoi ce n’est pas un garde qui va poser une question, mais deux en salle d’interrogatoire. Après tout, la période ne prête pas clémence aux personnages extravagant. Ryujin le conduit un peu loin de l’avenue marchande pour l’orienter dans une ruelle bien moins fréquentée. Qui curieusement rapproche le duo du quartier des plaisirs, même si ce dernier en pleine journée n’est que moins actif.



-Et donc. Je vous prie de bien vouloir mieux expliquer à propos de toute cette affaire. Je crains de ne pas trop saisir le tenant et les aboutissants de tout ceci.



Si Ryujin avait été un sabreur en cet instant, il aurait posé sa main sur le pommeau de son arme. Mais tant il est un manipulateur de ninjutsu et de taijutsu que cela ne le concerne pas vraiment. Aussi il se limite à croiser les bras comme en signe d’écoute, mais une écoute vigilante. Tel un tigre il se prépare à bondir sur sa proie à chaque instant. Même s’il faut plus comparer le ninja à un crocodile pour ce qui est de son caractère. Le jonin espère juste que l’inconnu se montrera plus clair au point que cela puisse se terminer sans le moindre problème.

L’homme se met alors à sourire malgré la situation qui peut être assez particulière dans laquelle il se trouve. Et Ryujin étant plus que méfiant en vient à se poser quelques questions. Pour ce choix d’expression, là où il faut montrer son sérieux. Si cela se trouve l’homme est un blagueur et aime se jouer de chaque situation. Un genre que le géant n’apprécie pas vraiment, mais il n’est pas certain de ranger le bonhomme dans cette dernière. L’homme semble trop impeccable pour laisser penser cela. Si bien que Ryujin se met à faire ce qu’il n’aime pas faire soit être attentif au moindre détail, la réflexion n’était pas son fort dans l’ordre de ses envies.

L’homme avance un propos fortement fallacieux. Car en réalité si ce qu’il dit peut-être vrai dans un sens, il est faux dans un autre. Et sur ses arguments faux il en déduit des vérités. Mais des vérités connues de tous si bien que la deuxième partie de l’argumentation du militaire de Seizan laisse Ryuijin un temps sur la touche tant la chose est grosse. Mais se reprenant rapidement il répond alors à l’autre.



-Comment dire que je peux aussi être tombé sur quelqu’un qui ne sait pas cacher ses buts. Cela arrive les gens qui ne savent mentir ou avoir une éloquence digne de convaincre le plus méfiant des kage. En ce qui concerne la sécurité du village, en temps normal elle ne me concerne pas du moins pour aujourd’hui, car c’est mon jour de repos. Mais il a fallu que vous me paraissiez suspect pour m’ôter cela. Aussi je compte bien avoir le fin mot de cette histoire. Si je suis méfiant assurément, surtout au vu de la situation qui est assez connue de tous les militaires j’imagine. Cela m’étonne que vous me parliez de sécurité renforcée. Avec le culte de Jashin, les yokais plus actifs enfin bon.



Croisant les bras en laissant l’un d’eux plus haut pour pouvoir poser son menton sur sa paume. Le géant est comme dans une réflexion. Il ne comprend pas vraiment comme une rencontre hasardeuse a pu finir comme cela. C’est comme-ci l’homme a cherché cela depuis le début pour lui. Si bien qu’il parait d’autant plus suspicieux.



-Au vu des faits je peux vous proposer de me suivre et nous allons éclaircir la raison de votre présence dans un lieu plus adéquate.



Bien évidemment en disant cela, il sous-entend une salle d’interrogatoire de l’armée.



-Vous n’avez rien fait de mal, mais vous paraissez bien trop étrange au vu de vos dires pour n’être là pour quelques affaires dirons-nous. Comme-ci vous cachiez quelque chose. Et avec le culte de comme j’ai pu le citer, tout le monde est enclin à être une menace. On peut éviter de nous y rendre si vous parvenez à me convaincre sur la raison de votre présence, mais je doute que vous y parveniez. D’autant qu’il faudra confirmer avec votre village toutes vos informations. Une simple procédure de routine. Dans les faits ne vous en faites pas vous n’êtes pas en état d’arrestation pour le moment. Mais il est plus que bien venue une coopération de votre part.

Au cœur du chemin solaire qu’effectue l’Astre. L’homme à la vocation mystérieuse se refuse à suivre Ryujin. De quoi le laisser assez perplexe. Si en temps ordinaire les propos que peut tenir l’autre homme son juste, il y a une chose qu’i n’a pas pris en compte. Cette chose n’étant autre que la présence de Jashin en chaque lieu. S’agitant dans les ténèbres et sortant de temps à autre de l’ombre pour venir saisir une opportunité. Perçant la moindre faille de la sécurité et venant commettre de multiple massacre. Et le souffle chaud qui caresse el cou de l’homme vient à lui donner la chair de poule. Bien que cela ne soit pas de la faute de l’air, mais l’intellect de l’homme qui n’est pas sans lui remémorer son enfance. Un doux souvenir dans le long fleuve de pensée parcourt un fleuve pourpre. On dit bien qu’un monde de bonheur ne peut naitre que dans un monde de souffrance, mais pour Ryujin ce n’est depuis le début qu’une longue route amenant une lente agonie. Comme si l’on vient à lui serrer la gorge un peu plus à chaque bon moment qu’il vit.



-La paix règne ? Entre les provinces on peut, sûrement, le dire. Mais en réalité le mal ronge chaque place et nul n’est à l’abri des maux qui ne vont pas tarder à déchainer leur haine sur ces terres. Or vous vous venez telle une guêpe cherchant à butiner des fleurs sous le masque d’une abeille. Vous êtes un militaire et vous devriez comprendre pourtant à quel point vous paraissez suspect. Vous n’avez rien enfreint et vous pouvez vous en aller, mais je ne manquerais pas de vous suivre pour m’assurer que vous ne soyez pas un tueur. Car j’ai déjà eu affaire à un tueur de fille de joie à la capitale et je ne souhaite pas revoir cela ici. Pire encore vous pourriez bien faire partie du culte de Jashin. Et sans la moindre compréhension de votre part, je ne saurais me montrer que plus méfiant à votre encontre.



Ne formulant aucune accusation, mais que des suppositions qui sont pour le moins offensantes. Le but de Ryujin, n’est pas nécessairement d’obtenir la vérité de la bouche de l’homme. Mais simplement de le jauger. Bien qu’un peu de sincérité de sa part ne serait pas sans facilité tout ceci et même y mettre fin en laissant chaque homme partir de son côté. Une chose plus que souhaitable pour Ryujin qui ne souhaite que profiter de son congé.



-Toutefois, si vous le souhaitez je peux vous adresser à une patrouille. Qui devant ce problème n’aura d’autre choix que de faire appel à un supérieur. Supérieur qui ne sera pas loin ou en congé comme ma personne et de fait vous perdrez votre journée si ce n’est plus ailleurs que là où vous vouliez vous rendre.



La balle est dans le camp de cet homme du village des montagnes bleues. Et Ryujin espère que ce dernier face preuve de discernement.

La discussion ne va pas dans le sens que souhaite Ryujin lui qui voulait en terminer rapidement. Voici que l’inconnu se montre plus que familier avec lui. Pire encore, ce dernier souhaite se montrer malin en exposant sa soi-disant science qu’elle peut hors contexte quand on regarde la situation de l’Empire et le récents décrets mis en vigueur. Il ose même parler en mettant des points à ses arguments. Comme si ces derniers se trouvent aussi nombreux que pertinents. Le premier argument étant si bancale qu’il ne manque d’arracher un rire à l’homme qui se contient malgré tout pour écouter la suite. Et là où il ne faut pas croire ce que l’on voit, c’est que ce rire est en quelque sorte le dernier rempart de diplomatie dont fait preuve le jonin avant de ne se décider à agir.

Dans son deuxième commentaire, il évoque encore une chose qui s’avère bien plus bancale si ce n’est niaise. Et Ryujin se demande si l’homme est un novice et que son manque d’expérience parle ou bien s’il ne connait que les cas d’école et ne sait pas faire preuve d’une intelligence moyenne afin de lui permettre de se mettre dans la peau des méchants. Mais qu’importe, car le sourire sur son visage s’efface pour ne plus laisser place qu’à une expression assez révélatrice quant aux faits qu’il commence à être exaspéré devant ses arguments présents.

Et voici le petit trois de l’homme, précisant qu’il porte un sac, en disant que peu importe ce qu’il contient. Comme ci cela est un défi que de voir ce qui s’y trouve ou bien comme une forme d’interdiction par crainte de n’y trouver que des choses que l’on peut utiliser comme preuve. Au lieu de se dédouaner il vient presque à affirmer être dangereux en soumettant à l’intrigue un objet de mystère. Puis il parle d’infiltration ou de n’importe quelle autre bêtise.

Mais le pire reste la conclusion de l’étranger. Qui en plus de menacer le jonin vient à lui parler d’autant plus familièrement en lui proposant un bar à hôtesse qui n’est pas dans les goûts du jonin. Sa paye n’allant pas auprès de femme, à l’inverse de l’homme qui lui fait face en toute vraisemblance. Mais maintenant que l’étranger de Seizan a pu finir son petit speech, le jonin ne manque pas de lui répondre.



-Je me demande si vous êtes vraiment un militaire à présent au vu de votre compétence et de vos connaissances. Mais qu’importe j’imagine que je vais devoir répondre à votre argumentaire assez menu. Pour votre petit un, un nom peut aussi bien être faux qu’inutile. Il est déjà arrivé que des gens le donnent pour paraitre innocents et parfois cela fonctionne même. Et le fait d’user d’un faux nom n’est pas vraiment rare. Aussi si vous réfléchissez un peu plus, si je dois vérifier votre nom, vous allez devoir me suivre jusqu’à un lieu où je devrais le vérifier. Autant dire que cela va l’encontre de votre que de me suivre n’est-ce pas ?



Ryujin se met à serrer son poing alors en le faisant craquer, le bruit étant plus que perceptible tandis qu’il ne fait que le serrer sans le moindre objet dans sa paume.



-Pour le petit deux, vous pensez vraiment que des membres de jashin ou des déserteurs vous à coup sûr venir rayer leur bandeau. Je m’en excuse, mais c’est être niais que de penser cela. Autant marquer sur le front qu’ils sont des criminels. Pour le petit trois cela revient au même que pour le reste, on peut vouloir se fondre en faisant des achats. Tout comme tous les ninjas ne sont pas les mêmes, certains sont doués pour l’infiltration comme vous le soulignez et d’autres pour taper. Ce qui est un peu plus mon cas pour tout vous dire.



Dit Ryujin en laissant son chakra commencer à se concentrer au niveau de son poing. Comme pour une démonstration de force, bien que là ne sont idée. C’est plus l’inverse, une manière comme une autre de montrer les limites à sa diplomatie.



-Pour ce qui est de vos insinuations et potentielles menaces. J’estime qu’il est normal pour un jonin d’être au fait des menaces qui pèsent sur son village et honte à vous si vous ne connaissez pas les menaces qui pèsent sur votre village. Pour toute plainte je vous invite à vous adresser au Kage de Toge c’est lui mon supérieur direct. Aussi je vais vous donner un petit conseil, et je me le permets sans votre accord. Menacer un militaire dans son propre village des faits que l’on vous reproche n’est pas vraiment la meilleure manière de se sortir d’un mauvais pas. Pas plus que se montrer impoli avec un inconnu ne l’est. Et devant cette grossièreté je me vois contrains de refuser votre offre, d’autant que je ne fréquente pas vraiment ce genre de lieu. Cependant, vous pouvez être heureux, vos propos ont au moins pu me permettre de remarquer votre inexpérience ou votre niaiserie comme vous le souhaitez. Et vous plus suspect, vous êtes juste spécial. Et comme qui dirait à la porte du village, circulez à présent.



Aussi Ryujin laisse l’homme dans son coin. Ce dernier n’étant clairement plus une menace au vu de sa bêtise.