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# Douleur au soir /ft. K. Kyoumi Lun 20 Juin - 8:18
Une fois encore voici qu’Akari se promène dans les rues de Sakyuu sans réel but. Bien sûr il cherche en réalité à faire trainer ses oreilles un peu partout pour glaner des informations par ici et par là. Mais rien qui ne soit vraiment utile à ses yeux. Il faut dire qu’avant son départ son frère a su maquiller la moindre de ses traces. Est-ce à l’aide de meurtre ou d’un autre moyen, aucune de savoir cela visiblement. D’autant qu’il commence à se faire tard et le garçon semble plus proche de son ancienne demeure et du coin dans lequel réside le culte que proche de la caserne. Il faut dire qu’il ne sait pas trop quoi faire non plus.
Mais aucune chance qu’il se rende jusqu’à la demeure de sa mère. Rien au monde ne pourra l’y forcer. Sauf peut-être si apprend qu’il y a un indice sur son frère et même là encore, il lui sera difficile de faire face à sa mère ou à sa sœur. Quoi qu’il en soit c’est là un cas de figure qu’il ne semble pas se profiler avant longtemps pour ne pas dire jamais. En passant dans la rue il remarque même la présence de sorte de missionnaires. Des individus qui cherchent à en convertir d’autres pour rejoindre leurs idéaux et en l’occurrence ceux du carbonisme. Il est rare de les voir s’afficher autant du moins dans ce coin là de Sakyuu pour sûr.
Eh bien qu’Akari ne voit pas un mal en la nature des yokais, il faut dire que les arguments de ces gens vont dans ce sens. Mais alors pourquoi est-il au service de Jashin et pas de ce culte-là. Certes son passif avec sa famille ne pourra pas l’aider et même au contraire, mais tout de même. Puis il se souvient comme si toute sa vie lui était sortie un instant de la tête de son frère. Le souvenir douloureux lui revenant en tête, c’est presque comme si sa mémoire avait cherché à lui effacer toute cette histoire durant l’espace d’un instant. La peine et la douleur sont si grandes qu’il en vient un bref instant à place sa main sur son crâne, la femme sur un œil. Une larme ? De tristesse ou de douleur ? Même le garçon ne sait pas y répondre.
Retirant sa main il se ressaisit et passe son chemin. Avant en tête ce fameux rire dont il ignore toujours la réalité de la chose et la provenance par la même. C’est là une chose sur laquelle il doit plancher, mais comment faire, peut-être qu’en cherchant dans sa mémoire il pourra peut-être trouver une personne qui lui semble familière. S’arrêtant d’avancer une minute le temps de chercher sa mémoire lui fait défaut, pour autant il est certain d’avoir en tête un indice. Mais ce n’est là peut-être qu’une intuition. Reprenant sa route, il ne fait pas attention et vient heurter une dalle au sol qui le fait trébucher et tomber sur une personne qui se trouve devant lui. Tentant tant bien que mal de s’attraper à quelque chose il ne sait pas vraiment ce qu’il saisit mais parvient à se retenir de toucher le sol. Sans même lever la tête, il réalise qu’il heurter quelqu’un et le temps que l’information monte au cerveau il a le temps de s’équilibrer de nouveau avant de s’excuser.
-Je vous prie de bien vouloir m’excuser monsieur ? madame ? Mademoiselle ? Jeune fille ? Jeune homme ?
Il ne sait pas vraiment, car sans même observer son interlocuteur il s’est directement incliné en guise d’excuse en plus de ses mots.
Mais aucune chance qu’il se rende jusqu’à la demeure de sa mère. Rien au monde ne pourra l’y forcer. Sauf peut-être si apprend qu’il y a un indice sur son frère et même là encore, il lui sera difficile de faire face à sa mère ou à sa sœur. Quoi qu’il en soit c’est là un cas de figure qu’il ne semble pas se profiler avant longtemps pour ne pas dire jamais. En passant dans la rue il remarque même la présence de sorte de missionnaires. Des individus qui cherchent à en convertir d’autres pour rejoindre leurs idéaux et en l’occurrence ceux du carbonisme. Il est rare de les voir s’afficher autant du moins dans ce coin là de Sakyuu pour sûr.
Eh bien qu’Akari ne voit pas un mal en la nature des yokais, il faut dire que les arguments de ces gens vont dans ce sens. Mais alors pourquoi est-il au service de Jashin et pas de ce culte-là. Certes son passif avec sa famille ne pourra pas l’aider et même au contraire, mais tout de même. Puis il se souvient comme si toute sa vie lui était sortie un instant de la tête de son frère. Le souvenir douloureux lui revenant en tête, c’est presque comme si sa mémoire avait cherché à lui effacer toute cette histoire durant l’espace d’un instant. La peine et la douleur sont si grandes qu’il en vient un bref instant à place sa main sur son crâne, la femme sur un œil. Une larme ? De tristesse ou de douleur ? Même le garçon ne sait pas y répondre.
Retirant sa main il se ressaisit et passe son chemin. Avant en tête ce fameux rire dont il ignore toujours la réalité de la chose et la provenance par la même. C’est là une chose sur laquelle il doit plancher, mais comment faire, peut-être qu’en cherchant dans sa mémoire il pourra peut-être trouver une personne qui lui semble familière. S’arrêtant d’avancer une minute le temps de chercher sa mémoire lui fait défaut, pour autant il est certain d’avoir en tête un indice. Mais ce n’est là peut-être qu’une intuition. Reprenant sa route, il ne fait pas attention et vient heurter une dalle au sol qui le fait trébucher et tomber sur une personne qui se trouve devant lui. Tentant tant bien que mal de s’attraper à quelque chose il ne sait pas vraiment ce qu’il saisit mais parvient à se retenir de toucher le sol. Sans même lever la tête, il réalise qu’il heurter quelqu’un et le temps que l’information monte au cerveau il a le temps de s’équilibrer de nouveau avant de s’excuser.
-Je vous prie de bien vouloir m’excuser monsieur ? madame ? Mademoiselle ? Jeune fille ? Jeune homme ?
Il ne sait pas vraiment, car sans même observer son interlocuteur il s’est directement incliné en guise d’excuse en plus de ses mots.
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# Re: Douleur au soir /ft. K. Kyoumi Mer 22 Juin - 15:59
Douleur Au Soir
Terminant une longue journée à la forge, Kyoumi arpentait les dédales de la cité des Dunes afin de retrouver le confort de son logement. Passant la majorité de son temps au coeur de cette boutique qu'elle avait construite de ses mains, la chuunin de la province du sable chaud s'était agréablement refait une vie depuis son bannissement de l'ordre des Sohei du Kamisuuhai. Fervente croyant dans la flamme divine de Kagutsuchi, la carboniste qui s'affichait haut et fort étaient passé de moine déchu à forgeronnes des terres ensablées. Elle s'était ouvert une petite boutique où elle vendait ses créations qui la rapprochaient petit à petit de cette divinité qu'elle appréciait tant. Il n'y avait rien de plus apaisant, pour cette croyante de la flamme divine, que de passer son temps au côté d'une flamme allant jusqu'à plusieurs centaines de degrés.
Bien entendu, ce genre d'exercice venait avec certains désagréments. D'une part, il faisait si chaud qu'il était impossible pour Kyoumi de ne pas quitter sa boutique, à la fin de la journée, sans avoir sué sa vie. Ses vêtements complètement imbibés dégageaient une légère odeur qui était de toute façon rapidement étouffée par celle de la fumer qui s'incrustait dans ses tissus et ses cheveux. Noircie par le charbon qu'elle utilisait pour alimenter sa forge, elle était loin d'être présentable, mais là n'était pas son objectif de toute façon.
Pas à pas, elle se dirigeait vers sa demeure avec le seul désire d'aller prendre un bon bain chaud. Une routine qui alimentait ses soirées depuis plusieurs mois déjà. Un peu perdue dans ses pensées, elle tournait le coin quand elle fut finalement percutée par un homme si petit qu'elle aurait cru être frappée par un enfant. Dans sa chute, ce dernier parvient avec maladresse à ne pas s'échouer telle une baleine par terre en se retenant après la carboniste.
C'était après des vêtements couverts de suie, de sueur, de charbon et d'éclat d'acier qui à leur tour se transférait sur les mains du maladroit genin.
C'est moi qui vais devoir m'excuser, vos mains son recouvert de déchet par ma faute.
Déclarait-elle un peu gêner par son accoutrement et la piètre qualité de sa présence.
Kawaguchi Kyoumi, ravi de faire votre connaissance. Sieur ?
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# Re: Douleur au soir /ft. K. Kyoumi Jeu 23 Juin - 7:27
Les mains noire et le visage face à la terre, son faciès est si proche du sol que l’on presque jurer qu’il est face contre terre. La personne qu’il a percutée est une dame ou une damoiselle d’après sa voix. Il n’est pas sûr, mais que peut-il y faire si ce n’est se relever. Et l’informe être tout autant navré de la chose de part les déchets dont il est recouvert. Des déchets ? Se demande le garçon avant de comprendre à la suite d’une légère réflexion. Il détache les mains de son corps alors qu’elle longe ce dernier. Puis se redressant à peine peu pour mieux visualiser ces dernières il remarque la noirceur de ces dernières. Une chose étrange que voici et qu’il ne parvient pas à expliquer avant de poser son regard sur la personne qu’il a percuté. Couverte de la même substance, il ne sait pas vraiment comment décrire la substance.
Puis elle vint lui offrir son nom, une chose à laquelle il ne s’attend pas. Après tout il ne lui a jamais demandé cela. Mais par politesse et même par devoir, car il est fautif à ses yeux dans cette affaire. Il se doit de lui rendre la politesse.
-Je me nomme Akari, juste Akari je n’ai plus de nom depuis un moment déjà. Enchanté de vous connaitre mademoiselle Kawaguchi. Je vous prie de bien vouloir me pardonner une fois encore ma maladresse dans notre rencontre plus que sauvage.
Un excès de politesse qui ne s’explique que par le fait qu’il est ainsi avec tout le monde. Akari ne juge pas les gens aux vêtements qu’ils portent, même si parfois il lui arrive de le faire pour juger de s’il doit intervenir ou aider les personnes en question. Quoi qu’il en soit, il ne tient pas vraiment rigueur de l’apparence noirâtre de la dame et ne se concentre que sur sa personnalité qui pour l’heure semble assez amicale.
-Je suis navré de vous demander ceci, mais peut-être que vous connaissez un endroit dans lequel je puis me rincer les mains ? Je n’aimerais pas venir à me salir plus encore ou même à salir autrui. Non pas que j’estime que soyez sale, simplement je présume que c’est là la marque de votre dur labeur.
Hésitant étant donné sa timidité, il finit par se redresser complétement pour se tenir face à la demoiselle, plus grande que lui. Un fait qui n’est pas rare, car au vu de sa taille on peut dire aisément que la plupart des gens du village sont plus grands que lui. Et pourtant, ça ne l’empêche pas d’exercer sa profession. Et en parlant de cela il se demande qu’elle est celle de la dame pour qu’elle puisse finir ainsi. Peut-être travaille-t-elle dans une mine, se dit-il.
-Si je puis me permettre je me donne quel métier vous exercer pour vous retrouver dans un état aussi sombre ? Je me disais que cela est comparable aux mines bien qu’en définitive cela ne soit pas logique de vous retrouver aussi tôt dans la journée dans un tel lieu.
Puis elle vint lui offrir son nom, une chose à laquelle il ne s’attend pas. Après tout il ne lui a jamais demandé cela. Mais par politesse et même par devoir, car il est fautif à ses yeux dans cette affaire. Il se doit de lui rendre la politesse.
-Je me nomme Akari, juste Akari je n’ai plus de nom depuis un moment déjà. Enchanté de vous connaitre mademoiselle Kawaguchi. Je vous prie de bien vouloir me pardonner une fois encore ma maladresse dans notre rencontre plus que sauvage.
Un excès de politesse qui ne s’explique que par le fait qu’il est ainsi avec tout le monde. Akari ne juge pas les gens aux vêtements qu’ils portent, même si parfois il lui arrive de le faire pour juger de s’il doit intervenir ou aider les personnes en question. Quoi qu’il en soit, il ne tient pas vraiment rigueur de l’apparence noirâtre de la dame et ne se concentre que sur sa personnalité qui pour l’heure semble assez amicale.
-Je suis navré de vous demander ceci, mais peut-être que vous connaissez un endroit dans lequel je puis me rincer les mains ? Je n’aimerais pas venir à me salir plus encore ou même à salir autrui. Non pas que j’estime que soyez sale, simplement je présume que c’est là la marque de votre dur labeur.
Hésitant étant donné sa timidité, il finit par se redresser complétement pour se tenir face à la demoiselle, plus grande que lui. Un fait qui n’est pas rare, car au vu de sa taille on peut dire aisément que la plupart des gens du village sont plus grands que lui. Et pourtant, ça ne l’empêche pas d’exercer sa profession. Et en parlant de cela il se demande qu’elle est celle de la dame pour qu’elle puisse finir ainsi. Peut-être travaille-t-elle dans une mine, se dit-il.
-Si je puis me permettre je me donne quel métier vous exercer pour vous retrouver dans un état aussi sombre ? Je me disais que cela est comparable aux mines bien qu’en définitive cela ne soit pas logique de vous retrouver aussi tôt dans la journée dans un tel lieu.
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