# Les nobles ont-ils vraiment le sang bleu ? Dim 29 Mai - 20:15
Les nobles ont-ils vraiment le sang bleu ?
Pluvieux. Fines gouttes s'écoulaient sur le long des toits des bâtiments, les nuages gris cachait la présence d'Amaterasu et ne laissait qu'un faible lueur blanche éclairer le village de Seizan en cet hiver. Pourtant, dans cette journée des plus maussades, les lumières environnantes des boutiques et habitations donnait un air assez convivial à cette journée. Les familles les plus chanceuses en profitaient pour rester au chaud dans les foyers et trouver des activités intérieure, les villes étaient balayées par ce flot salvateur qui en détachait les impuretés et très peu de personnes se baladaient dans les rues; rendant les stands de rue plutôt appauvris en client en cette matinée.
Le martèlement des gouttes d'eau sur le sol ne faisait pas un bruit si dérangeant, mais sur la sorte d'ombrelle que tenait entre ses doigts Yuiga, il semblait des plus agaçant. Au centre du quartier militaire où se trouvait la plupart des appartements des soldats de l'armée d'Onogoro, la carboniste semblait assez déboussolée, à la recherche d'un enseigne en particulier alors qu'elle s'aventurait dans les ruelles dans un silence morbide; ne laissant que sa respiration faire signe de vie et le bruit de ses bottes à talon dans l'eau sur le sol de pierre. À certains moment, elle croisait le chemin de quelques soldats se dirigeant en mission ou vers les endroits les plus couvert pour éviter la pluie, les saluant simplement avec un sourire et un regard poli. Elle n'était pas d'ici et cela se savait, alors il était certain que certains semblaient réticent à l'idée d'avoir des étrangers dans leurs villages, d'autres curieux, d'autres rassurés car elle venait de Teito.
Mais ceux là ne savaient ni son but, ni ses ascendances douteuse.
Le feu avait toujours guidé ses pas, alors se trouver ainsi entourée de l'eau, elle ne se sentait pas à l'aise. Mais ça n'était pas uniquement le temps qui la mettait dans un état de méfiance, mais plutôt cette solitude. Mais qu'est-ce que. Se rattrapant soudainement contre le mur de pierre d'une des ruelles, elle semble s'éviter une chute douloureuse pour elle, mais pas pour son ombrelle alors qu'une ombre file devant elle, ne daignant se retourner que lorsqu'elle atteint le bout de la ruelle.
─ Fais-gaffe où tu poses tes godasses la riche, faut regarder devant soi quand on marche, ça rend pas plus intelligent d'être riche, foutaise, crache la voix fluette d'un enfant pas plus haut qu'un mètre trente, bousculant la jeune femme qui marchait des les rues de Seizan. À l'accoutrement de Yuiga, il était pas dur de la confondre avec les nobles de Teito, ces parures et ce comportement trahissait cette éducation qui entrait en contradiction avec son sang roturier.
Filant derrière l'ombre des bâtiments, l'enfant disparait et laisse Yuiga rattraper le manche de son ombrelle servant de parapluie non pas sans difficulté. Il semblerait que sa main avait râpé contre le mur et s'était légèrement amochée, laissant germer un filet carmin dans la paume pour signifier la blessure ouverte qui bien que peu douloureuse semblait assez handicapante.
─ Putain de gosse.
Si quelque chose ne la dépaysait pas de Teito, c'était le comportement infâme des humains âgés entre cinq et quinze ans.
Le martèlement des gouttes d'eau sur le sol ne faisait pas un bruit si dérangeant, mais sur la sorte d'ombrelle que tenait entre ses doigts Yuiga, il semblait des plus agaçant. Au centre du quartier militaire où se trouvait la plupart des appartements des soldats de l'armée d'Onogoro, la carboniste semblait assez déboussolée, à la recherche d'un enseigne en particulier alors qu'elle s'aventurait dans les ruelles dans un silence morbide; ne laissant que sa respiration faire signe de vie et le bruit de ses bottes à talon dans l'eau sur le sol de pierre. À certains moment, elle croisait le chemin de quelques soldats se dirigeant en mission ou vers les endroits les plus couvert pour éviter la pluie, les saluant simplement avec un sourire et un regard poli. Elle n'était pas d'ici et cela se savait, alors il était certain que certains semblaient réticent à l'idée d'avoir des étrangers dans leurs villages, d'autres curieux, d'autres rassurés car elle venait de Teito.
Mais ceux là ne savaient ni son but, ni ses ascendances douteuse.
Le feu avait toujours guidé ses pas, alors se trouver ainsi entourée de l'eau, elle ne se sentait pas à l'aise. Mais ça n'était pas uniquement le temps qui la mettait dans un état de méfiance, mais plutôt cette solitude. Mais qu'est-ce que. Se rattrapant soudainement contre le mur de pierre d'une des ruelles, elle semble s'éviter une chute douloureuse pour elle, mais pas pour son ombrelle alors qu'une ombre file devant elle, ne daignant se retourner que lorsqu'elle atteint le bout de la ruelle.
─ Fais-gaffe où tu poses tes godasses la riche, faut regarder devant soi quand on marche, ça rend pas plus intelligent d'être riche, foutaise, crache la voix fluette d'un enfant pas plus haut qu'un mètre trente, bousculant la jeune femme qui marchait des les rues de Seizan. À l'accoutrement de Yuiga, il était pas dur de la confondre avec les nobles de Teito, ces parures et ce comportement trahissait cette éducation qui entrait en contradiction avec son sang roturier.
Filant derrière l'ombre des bâtiments, l'enfant disparait et laisse Yuiga rattraper le manche de son ombrelle servant de parapluie non pas sans difficulté. Il semblerait que sa main avait râpé contre le mur et s'était légèrement amochée, laissant germer un filet carmin dans la paume pour signifier la blessure ouverte qui bien que peu douloureuse semblait assez handicapante.
─ Putain de gosse.
Si quelque chose ne la dépaysait pas de Teito, c'était le comportement infâme des humains âgés entre cinq et quinze ans.
C y a l a n a
# Re: Les nobles ont-ils vraiment le sang bleu ? Lun 30 Mai - 15:16
LES NOBLES ONT-ILS VRAMENT LE SANG BLEU ?
Avec Munashisa Yuiga ─ Seizan ─ Hiver 805
Avec Munashisa Yuiga ─ Seizan ─ Hiver 805
Il était des temps où il fallait mieux rester chez soi. Il pleuvait des cordes, c'était un temps qu'il détestait. La pluie, quelle horeur. Hisao préférait évidemment les temps ensoleilles, ces temps là permettaient aux femmes de s'habiller moins. Quand il pleuvait ou faisait froid, les femmes préféraient enfiler des vêtements plus amples et ces vêtements n'embrassaient pas leur formes à la perfection. Un long soupir s'échappa de ses lèvres.
Dans le centre ville, il venait tout juste de quitter le domaine clanique afin d'acheter quelques denrées plus ou moins importantes. Il n'en eut que pour très peu de temps, finalement. Il était encore trop tôt pour rentrer chez lui, et la pluie commençait doucement à se calmer. Ainsi, l'archer commença à voguer vers d'autres horizons, il arrivait d'ailleurs vers le quartier militaire.
Parfois, parmi les soldats impériaux, il y avait quelques perles rares. Hisao regardait ce qu'il se passait autour de lui, son regard s'arrêta sur une femme portant une ombrelle. Elle avait un certain style, un charme intéressant et le cadet des Tenma se voyait mal passer à côté de telle beauté.
- C'est vrai que les gosses sont... chiants.
Annonça-t-il, tout en s'approchant de l'inconnue. Il remarqua rapidement la blessure de la jeune femme, tendant sa main vers elle, il proposa.
- Est ce que je peux ?
Qu'elle lui tende la main, il avait les capacités pour la soigner et que tout soit comme de rien était.
Dans le centre ville, il venait tout juste de quitter le domaine clanique afin d'acheter quelques denrées plus ou moins importantes. Il n'en eut que pour très peu de temps, finalement. Il était encore trop tôt pour rentrer chez lui, et la pluie commençait doucement à se calmer. Ainsi, l'archer commença à voguer vers d'autres horizons, il arrivait d'ailleurs vers le quartier militaire.
Parfois, parmi les soldats impériaux, il y avait quelques perles rares. Hisao regardait ce qu'il se passait autour de lui, son regard s'arrêta sur une femme portant une ombrelle. Elle avait un certain style, un charme intéressant et le cadet des Tenma se voyait mal passer à côté de telle beauté.
- C'est vrai que les gosses sont... chiants.
Annonça-t-il, tout en s'approchant de l'inconnue. Il remarqua rapidement la blessure de la jeune femme, tendant sa main vers elle, il proposa.
- Est ce que je peux ?
Qu'elle lui tende la main, il avait les capacités pour la soigner et que tout soit comme de rien était.
CEYLAN
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