# Tsukimori Gin [Terminée] Ven 27 Mai - 19:06
TSUKIMORI GIN
"La nuit révèle ce que le jour ignore."
i. Information
► Nom : Tsukimori
► Prénom : Gin
► Taille : 169
► Poids : Entre 73 et 77kg
► Age : 70 ans
► Affinité Primaire : Fûton
► Grade Militaire Souhaité : Chuunin ou Jonin, selon ce qui est cohérent
► Grade Religieux Souhaité : Daisouhei
► Temple auquel vous avez été affecté : Temple de la Lune (Toge no Sato)
► Particularité : Des cheveux d'argents depuis sa tendre jeunesse, souvent stylisés en forme de cornes.
► Source de l'avatar : OC Artbreeder
ii. Que recherches-tu ?
- Suivre la voie sacrée de Tsukiyomi et incarner sa mansuétude vis-à-vis des yōkai. Gin cherche sans relâche à approfondir sa compréhension du monde des esprits et sa connexion à ces derniers, tel une ethnologue des yōkai. Elle est convaincue que les yōkai ne sont pas fondamentalement mauvais et déplore leur diabolisation dans la panique de la guerre. L’un de ses sujets d’étude et de comprendre à sa source les origines des conflits opposant yōkai et humains.
- Honorer la mémoire, la posture et l’héritage de Meigetsu Sen. L’ancienne Kisan du Temple de la Lune de Toge a profondément marqué la vie de Gin et sa posture par rapport aux yōkai. Aussi, tout comme Sen, Gin considère que la place des moines n’est pas dans l’armée sous l’égide des puissances impériales. Elle garde un souvenir très amer de la réforme religieuse de 756 et lui attribue la disparition de Sen. Bien que des décennies se soient écoulées, une part d’elle espère encore un jour retrouver la trace de l’ancienne Kisan.
- Honorer la mémoire, la posture et l’héritage de Meigetsu Sen. L’ancienne Kisan du Temple de la Lune de Toge a profondément marqué la vie de Gin et sa posture par rapport aux yōkai. Aussi, tout comme Sen, Gin considère que la place des moines n’est pas dans l’armée sous l’égide des puissances impériales. Elle garde un souvenir très amer de la réforme religieuse de 756 et lui attribue la disparition de Sen. Bien que des décennies se soient écoulées, une part d’elle espère encore un jour retrouver la trace de l’ancienne Kisan.
iii. Histoire
L’air était chaud et Gin sentait la lumière éclatante d’une pleine lune irradier au-delà de ses paupières closes. Sa respiration était lente et profonde, comme si elle prenait le temps de sentir chaque once d’oxygène traverser son être. En réalité, son corps entier se synchronisait à l’espace qui l’entourait, dans une forme de transe sensible à toutes les existences qui y foisonnaient, visibles ou invisibles. Certaines lui insufflaient un mystérieux sentiment de familiarité, semblable à la vue d’un visage cher dans une foule. D’autres soulevaient en elle une irrépressible vague de tristesse et de colère, avant de s’éclipser. Gin les accueillait toutes dans la bienveillance et l’abandon que se doivent de cultiver les adorateur.ice.s de Tsukiyomi. Comme toujours, une partie de son être demeurait à l’affût. En attente. Nourrie de l’espoir de croiser, dans cet océan d’âmes et d’esprits, cette présence depuis longtemps disparue.
Les yeux de Gin s’ouvrirent sur la stèle funéraire qui lui faisait face. Elle s’agenouilla, puis, lentement, sa main vint se poser sur la modeste pierre, la caresser. Ses doigts effleurèrent les charactères y étant gravés, voilés par les ombres de la nuit et le lichen qui en avait fait son berceau.
Meigetsu Sen.
Tant d’années déjà s’étaient écoulées. Les sillons bien logés dans la peau parcheminée de Gin ne pouvaient qu’en témoigner. Mais le nom de l’ancienne Kisan du Temple de la Lune de Toge continuer de résonner en elle comme un mantra, plus fort que son propre cœur.
***
Meigetsu Sen.
Celle qui, suivant la voie sacrée de Tsukiyomi, devint la protectrice des yōkai et fervente artisane d’un monde dans lequel la coexistence pacifique serait possible.
Celle qui, reprenant les apprentissages de Hagane Izumo, approfondi l’art de tisser un lien avec les esprits dits « sauvages », dans l’esprit de l’engagement réciproque plutôt que de la domination.
Celle dont les nombreuses observations sur les yōkai et les précieux écrits qui en rendent compte ont grandement avancé la compréhension de ces êtres, non pas comme ennemis à anéantir mais comme altérité à rencontrer.
Celle qui se tint ferme devant la réforme de l’Empereur Minamoto Senka alors que la vocation spirituelle des moines était dévoyée et que les temples devenaient des usines à guerriers.
Quoique préoccupée par l’organisation et les manifestations belliqueuses de certains yōkai, Meigetsu Sen savait pertinemment que ces conflits entre humains et esprits n’allaient que s’enviner dans une guerre nourrie par la peur, l’ignorance et la haine. Cette conviction s’abreuvait à la source même des enseignements de Tsukiyomi. Aussi, elle avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour abriter le Temple de la Lune de cette réforme blasphématoire et empêcher que les moines sous son aile ne deviennent les nouvelles armes du pouvoir impérial. Gin avait été aux premières lignes de ces déchirants de sacrifices.
Adoptée au temple depuis sa petite enfance, Gin s’était vite liée d’amitié avec Sen, qui était de quelques années son aînée. Puis, alors que ses habilités extraordinaires se confirmaient et qu’elle se retrouvait, souvent malgré elle, propulsée dans les responsabilités du temple, Sen devint naturellement un véritable repère spirituel et humain pour Gin. D’aucuns auraient utilisé une telle ascendance pour tracer la ligne entre maître et discipline, transformer un lien organique en un lien hiérarchique. Mais Sen n’avait que faire de telles dynamiques hégémoniques. Ces années-là, passées au Temple de la Lune aux côtés de Sen, demeureraient à jamais les plus précieuses de Gin. Des années à s’épanouir dans l’aura irradiante de Sen, à apprendre de sa posture, de son intuition, de ses découvertes. Des années à la soutenir et l’épauler alors que les responsabilités du Temple se faisaient de plus en plus lourdes. Des années à voir croitre l’intime connexion de leurs êtres au-delà de toute forme de catégorie ou d’étiquette.
La Nuit du Grand Feu et la réforme religieuse qui allait en découler avaient tout bouleversé. D’une piété indéfectible, Sen protégea le Temple de la Lune et sa posture à bout de bras pendant les années qui suivirent les édits impériaux. Gin la vit redoubler d’efforts diplomatiques et politiques afin de sensibiliser l’Empereur au besoin de considérer d’autres approches vis-à-vis des yōkai, de respecter la posture spirituelle de chaque Temple. Cependant, chaque saison amenait son lot croissant de pression, d’épuisement et d’accablement. Gin était rongée d’impuissance alors qu’elle voyait celle qui lui était si chère se débattre dans cette impasse mais Sen n’en démordait pas. Sa foi ne vacillait jamais, si bien que Gin aussi, y croyait.
Puis un jour, Sen disparu sans laisser de traces. Dire que le choc pour Gin fut immense relève de l’euphémisme. Que lui était-il arrivé ? Les forces impériales avaient-elles osé s’en prendre à elle pour assujettir le Temple de la Lune ? Était-elle vivante ? Avait-elle eu un incident ? Avait-elle simplement perdu espoir ? L’a-t-elle véritablement abandonnée sans dire mot ?
Complètement ébranlé, le Temple de la Lune tomba rapidement sous l’égide de la réforme. Plusieurs moines choisirent de se réfugier dans la forêt pour éviter l’armée et poursuivre leur voie spirituelle. Personne n’avait l’aura, la puissance et la légitimité nécessaire pour tenir tête au pouvoir impérial comme l’avait fait Sen.
Gin était alors partie à sa recherche. D’abord frénétique et désespérée, cette recherche l’amena à ratisser le continent, obsédée par cette lumière évanouie sans explications. Mais aucune piste ne se présentait à elle, aucune réponse n’apaisait sa douleur. Tout n’était qu’énigme. Aussi, alors que le vertige du vide et de l’absence menaçait de l’engloutir, sa recherche se mua en quête existentielle et spirituelle. Des années d’errance s’en suivirent. Puis, au plus profond de cette obscurité, la clarté céleste de Tsukiyomi lui apparu avec plus de distinctivité que jamais. C’est dans la nuit que pouvait résider son salut, dans la connaissance de ses phénomènes et de ses créatures qu’elle pourra retrouver des fragments de celle qui y a disparu. A partir de cet instant, la compréhension du monde des yōkai et l’approfondissement de sa connexion avec ces derniers canalisa tout son être. De longues années durant, elle s’attela sans relâche à leur étude et leur rencontre, à la connaissance de leurs modes de communication comme d’organisation, à la manière d’une ethnologue des yōkai. Ses carnets se remplirent de croquis et de notes - de réponses comme de nouvelles questions. Bien sûr, cette entreprise regorgeait de risques et Gin dû apprendre à désamorcer des situations périlleuses alors qu’un yōkai ou un autre menaçait de la faucher. Jamais cependant n’a-t-elle dérogé sa posture. Un yōkai belliqueux demeurait un yōkai souffrant que Tsukiyomi lui intimait de comprendre.
Puis un jour, près de quarante années plus tard, Gin se sentit loin. Loin du Temple qui l’avait vue grandir, loin du territoire qui avait nourri et porté ses moments de félicité auprès de Sen, loin des nombreux écrits de cette dernière. A ce vibrant sentiment de distance s’ajoutait une pointe de curiosité. Les temps semblaient avoir évolué à Toge no Sato. Tout récemment encore, quelques voyageurs lui avaient même parlé de la création d’un Bureau d’étude des yōkai. Est-ce du fait du nouveau Kage ? Quelle était sa posture? Il était peut-être temps de rentrer. D’arrêter de fuir et d’affronter les spectres du passé. De continuer l’œuvre de Sen là même où elle l’avait commencée. Au Temple de la Lune.
***
Gin posa ses deux mains à plat devant elle et s’inclina profondément devant la stèle commémorant silencieusement celle dont elle n’avait su retrouver la trace. Lorsqu’elle se redressa, ses yeux luisaient des années écoulées et des larmes qui les avaient habitées.
Les yeux de Gin s’ouvrirent sur la stèle funéraire qui lui faisait face. Elle s’agenouilla, puis, lentement, sa main vint se poser sur la modeste pierre, la caresser. Ses doigts effleurèrent les charactères y étant gravés, voilés par les ombres de la nuit et le lichen qui en avait fait son berceau.
Meigetsu Sen.
Tant d’années déjà s’étaient écoulées. Les sillons bien logés dans la peau parcheminée de Gin ne pouvaient qu’en témoigner. Mais le nom de l’ancienne Kisan du Temple de la Lune de Toge continuer de résonner en elle comme un mantra, plus fort que son propre cœur.
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Meigetsu Sen.
Celle qui, suivant la voie sacrée de Tsukiyomi, devint la protectrice des yōkai et fervente artisane d’un monde dans lequel la coexistence pacifique serait possible.
Celle qui, reprenant les apprentissages de Hagane Izumo, approfondi l’art de tisser un lien avec les esprits dits « sauvages », dans l’esprit de l’engagement réciproque plutôt que de la domination.
Celle dont les nombreuses observations sur les yōkai et les précieux écrits qui en rendent compte ont grandement avancé la compréhension de ces êtres, non pas comme ennemis à anéantir mais comme altérité à rencontrer.
Celle qui se tint ferme devant la réforme de l’Empereur Minamoto Senka alors que la vocation spirituelle des moines était dévoyée et que les temples devenaient des usines à guerriers.
Quoique préoccupée par l’organisation et les manifestations belliqueuses de certains yōkai, Meigetsu Sen savait pertinemment que ces conflits entre humains et esprits n’allaient que s’enviner dans une guerre nourrie par la peur, l’ignorance et la haine. Cette conviction s’abreuvait à la source même des enseignements de Tsukiyomi. Aussi, elle avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour abriter le Temple de la Lune de cette réforme blasphématoire et empêcher que les moines sous son aile ne deviennent les nouvelles armes du pouvoir impérial. Gin avait été aux premières lignes de ces déchirants de sacrifices.
Adoptée au temple depuis sa petite enfance, Gin s’était vite liée d’amitié avec Sen, qui était de quelques années son aînée. Puis, alors que ses habilités extraordinaires se confirmaient et qu’elle se retrouvait, souvent malgré elle, propulsée dans les responsabilités du temple, Sen devint naturellement un véritable repère spirituel et humain pour Gin. D’aucuns auraient utilisé une telle ascendance pour tracer la ligne entre maître et discipline, transformer un lien organique en un lien hiérarchique. Mais Sen n’avait que faire de telles dynamiques hégémoniques. Ces années-là, passées au Temple de la Lune aux côtés de Sen, demeureraient à jamais les plus précieuses de Gin. Des années à s’épanouir dans l’aura irradiante de Sen, à apprendre de sa posture, de son intuition, de ses découvertes. Des années à la soutenir et l’épauler alors que les responsabilités du Temple se faisaient de plus en plus lourdes. Des années à voir croitre l’intime connexion de leurs êtres au-delà de toute forme de catégorie ou d’étiquette.
La Nuit du Grand Feu et la réforme religieuse qui allait en découler avaient tout bouleversé. D’une piété indéfectible, Sen protégea le Temple de la Lune et sa posture à bout de bras pendant les années qui suivirent les édits impériaux. Gin la vit redoubler d’efforts diplomatiques et politiques afin de sensibiliser l’Empereur au besoin de considérer d’autres approches vis-à-vis des yōkai, de respecter la posture spirituelle de chaque Temple. Cependant, chaque saison amenait son lot croissant de pression, d’épuisement et d’accablement. Gin était rongée d’impuissance alors qu’elle voyait celle qui lui était si chère se débattre dans cette impasse mais Sen n’en démordait pas. Sa foi ne vacillait jamais, si bien que Gin aussi, y croyait.
Puis un jour, Sen disparu sans laisser de traces. Dire que le choc pour Gin fut immense relève de l’euphémisme. Que lui était-il arrivé ? Les forces impériales avaient-elles osé s’en prendre à elle pour assujettir le Temple de la Lune ? Était-elle vivante ? Avait-elle eu un incident ? Avait-elle simplement perdu espoir ? L’a-t-elle véritablement abandonnée sans dire mot ?
Complètement ébranlé, le Temple de la Lune tomba rapidement sous l’égide de la réforme. Plusieurs moines choisirent de se réfugier dans la forêt pour éviter l’armée et poursuivre leur voie spirituelle. Personne n’avait l’aura, la puissance et la légitimité nécessaire pour tenir tête au pouvoir impérial comme l’avait fait Sen.
Gin était alors partie à sa recherche. D’abord frénétique et désespérée, cette recherche l’amena à ratisser le continent, obsédée par cette lumière évanouie sans explications. Mais aucune piste ne se présentait à elle, aucune réponse n’apaisait sa douleur. Tout n’était qu’énigme. Aussi, alors que le vertige du vide et de l’absence menaçait de l’engloutir, sa recherche se mua en quête existentielle et spirituelle. Des années d’errance s’en suivirent. Puis, au plus profond de cette obscurité, la clarté céleste de Tsukiyomi lui apparu avec plus de distinctivité que jamais. C’est dans la nuit que pouvait résider son salut, dans la connaissance de ses phénomènes et de ses créatures qu’elle pourra retrouver des fragments de celle qui y a disparu. A partir de cet instant, la compréhension du monde des yōkai et l’approfondissement de sa connexion avec ces derniers canalisa tout son être. De longues années durant, elle s’attela sans relâche à leur étude et leur rencontre, à la connaissance de leurs modes de communication comme d’organisation, à la manière d’une ethnologue des yōkai. Ses carnets se remplirent de croquis et de notes - de réponses comme de nouvelles questions. Bien sûr, cette entreprise regorgeait de risques et Gin dû apprendre à désamorcer des situations périlleuses alors qu’un yōkai ou un autre menaçait de la faucher. Jamais cependant n’a-t-elle dérogé sa posture. Un yōkai belliqueux demeurait un yōkai souffrant que Tsukiyomi lui intimait de comprendre.
Puis un jour, près de quarante années plus tard, Gin se sentit loin. Loin du Temple qui l’avait vue grandir, loin du territoire qui avait nourri et porté ses moments de félicité auprès de Sen, loin des nombreux écrits de cette dernière. A ce vibrant sentiment de distance s’ajoutait une pointe de curiosité. Les temps semblaient avoir évolué à Toge no Sato. Tout récemment encore, quelques voyageurs lui avaient même parlé de la création d’un Bureau d’étude des yōkai. Est-ce du fait du nouveau Kage ? Quelle était sa posture? Il était peut-être temps de rentrer. D’arrêter de fuir et d’affronter les spectres du passé. De continuer l’œuvre de Sen là même où elle l’avait commencée. Au Temple de la Lune.
***
Gin posa ses deux mains à plat devant elle et s’inclina profondément devant la stèle commémorant silencieusement celle dont elle n’avait su retrouver la trace. Lorsqu’elle se redressa, ses yeux luisaient des années écoulées et des larmes qui les avaient habitées.
Je suis de retour, Sen. Puisses-tu continuer à éclairer ma voie.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin à 80%
v. Personnalité
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Zenobia
► Quel âge as-tu ? 30
► Comment nous as-tu trouvé ? Top site
► Comment trouves-tu le forum ? Intriguant... et beau !
► T'as un autre compte? Lequel ? Non
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Non, faute de temps...
► Quel âge as-tu ? 30
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C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Tsukimori Gin [Terminée] Mar 31 Mai - 17:03
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Chuunin !
Tu possèdes également le grade religieux de Souhei avec la faction Kamisuuhai !
Une très belle fiche. Le grade Daisouhei est beaucoup trop haut actuellement pour être obtenu malgré l'âge du personnage (qui en passant est assez âgé tout de même) J'aurais tendance à la mettre aux alentours d'une soixantaine d'années, pour qu'elle puisse tout de même comprendre petite ce qui s'est passé en 756. Dernière chose, ton avatar j'aimerais que ce soit plus une illustration qu'une image 3D, cela me gêne beaucoup. Merci.
TRAME PERSONNELLE :
Inconsciemment, tu portes toujours dans ton cœur cette personne qui t’a permis d'emprunter le chemin de la foi. Sen de son nom. Elle t’a guidé depuis toujours, et tu pourrais même encore entendre sa voix résonner dans ta tête dictant tous les préceptes qu’un moine doit suivre. Alors que tu es une habituée des sorties de nuit pour prier Tsukuyomi, tu entends la voix de Sen au loin. Sur le coup, tu crois encore que c'est ton esprit qui te joue des tours. Mais pour la première fois cela semblait complètement réel. Tu ne veux pas forcément y penser, et tu te dis que c’est impossible depuis tout ce temps, mais au fond de toi, un espoir s’illumine. Et si elle était encore en vie ? Et si c’était le signe que tu attendais depuis tout ce temps ? Pouvait-elle être encore en vie ? Ou sinon qui cela pouvait bien être ?
TON IMAGE : L'érudit
Inconsciemment, tu portes toujours dans ton cœur cette personne qui t’a permis d'emprunter le chemin de la foi. Sen de son nom. Elle t’a guidé depuis toujours, et tu pourrais même encore entendre sa voix résonner dans ta tête dictant tous les préceptes qu’un moine doit suivre. Alors que tu es une habituée des sorties de nuit pour prier Tsukuyomi, tu entends la voix de Sen au loin. Sur le coup, tu crois encore que c'est ton esprit qui te joue des tours. Mais pour la première fois cela semblait complètement réel. Tu ne veux pas forcément y penser, et tu te dis que c’est impossible depuis tout ce temps, mais au fond de toi, un espoir s’illumine. Et si elle était encore en vie ? Et si c’était le signe que tu attendais depuis tout ce temps ? Pouvait-elle être encore en vie ? Ou sinon qui cela pouvait bien être ?
TON IMAGE : L'érudit
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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