# Les yeux rouges et le scarifié. Lun 9 Mai 2022 - 19:50
Comme tout shinobi qui se respecte,
Mayuri arpentait le quartier des commerces. Il avait récemment perdu son artisan préféré. Le vieil homme avait pris une retraire bien mériter après de longue et dure année de travail, mais lui devait encore continuer. Gloussant à cette idée, le brun réalisait qu’en fait, il était encore au début de sa carrière.
Bref, il devait chercher quelqu’un qui serait capable de lui fournir un matériel fiable et de qualité. De référence en source des plus anodines, ses frères d’armes lui avaient donné des noms, des boutiques ou même des indépendants qui se promenait de caravane en marché et ainsi de suite. Seulement, aucun de ses noms n’avait été à la hauteur de ses exigences, il ne voulait pas d’un kunaï qui brise en morceaux dans ses mains. Comme il se savait dépendant de son équipement pour beaucoup trop de situations, l’urgence de trouver un artiste capable de lui confectionner sur mesure ses armes ne faisait que grandir. L’idée de demander à un marionnettiste lui avait effleuré l’esprit, mais ces gens-là pensait différemment et l’idée d’avoir un compagnon à boulons n’était pas la plus séduisante à son sens. Un bon forgeront ferait donc l’affaire et c’est après plusieurs boutiques que le jeune homme termina sa course, les mains vides.
Assis dans un café, l’homme qui était plus découragé que jamais s’était accordé une pause pour s’éclaircir les idées. Les enfants criaient et jouais dans les rues avec une insouciance qui redonnait espoir au plus marqué de cette génération, les femmes et les hommes travaillait, mais ce qu’il appréciait le plus, c’était l’architecture de cette partie de la ville. Le Bazard était très caractéristique, les murs de terres cuites s’élevaient haut, les tapis et tissus recouvraient diverses surfaces et ne parlons pas encore des dizaines de couleurs qui s’alternait comme un arc-en-ciel.
Sirotant la fin de sa boisson, la vue d’un jeune homme qui entrait dans une petite boutique attira son attention. D’une apparence très particulière, l’homme aux yeux rouges en vint à se demander si celui-ci était un survivant de l’évènement relié aux combustions spontanées. Il semblait brulé de la tête aux pieds, mais celui-ci avait à la ceinture un arsenal d’outils qu’il avait vu tant de fois chez son ancien partenaire d’affaires. Un forgeron !
Sans demander son reste, il déposa une poignée de ryo et fonça en direction de la petite boutique. Le son de la cloche confirma son entrée dans l’entre de la bête et sans perdre une seconde, le balafré se présenta.
-Bonjour, je me nomme Mayuri et je suis à la recherche d’un artisan pour une commande spécialisée !
Mayuri arpentait le quartier des commerces. Il avait récemment perdu son artisan préféré. Le vieil homme avait pris une retraire bien mériter après de longue et dure année de travail, mais lui devait encore continuer. Gloussant à cette idée, le brun réalisait qu’en fait, il était encore au début de sa carrière.
Bref, il devait chercher quelqu’un qui serait capable de lui fournir un matériel fiable et de qualité. De référence en source des plus anodines, ses frères d’armes lui avaient donné des noms, des boutiques ou même des indépendants qui se promenait de caravane en marché et ainsi de suite. Seulement, aucun de ses noms n’avait été à la hauteur de ses exigences, il ne voulait pas d’un kunaï qui brise en morceaux dans ses mains. Comme il se savait dépendant de son équipement pour beaucoup trop de situations, l’urgence de trouver un artiste capable de lui confectionner sur mesure ses armes ne faisait que grandir. L’idée de demander à un marionnettiste lui avait effleuré l’esprit, mais ces gens-là pensait différemment et l’idée d’avoir un compagnon à boulons n’était pas la plus séduisante à son sens. Un bon forgeront ferait donc l’affaire et c’est après plusieurs boutiques que le jeune homme termina sa course, les mains vides.
Assis dans un café, l’homme qui était plus découragé que jamais s’était accordé une pause pour s’éclaircir les idées. Les enfants criaient et jouais dans les rues avec une insouciance qui redonnait espoir au plus marqué de cette génération, les femmes et les hommes travaillait, mais ce qu’il appréciait le plus, c’était l’architecture de cette partie de la ville. Le Bazard était très caractéristique, les murs de terres cuites s’élevaient haut, les tapis et tissus recouvraient diverses surfaces et ne parlons pas encore des dizaines de couleurs qui s’alternait comme un arc-en-ciel.
Sirotant la fin de sa boisson, la vue d’un jeune homme qui entrait dans une petite boutique attira son attention. D’une apparence très particulière, l’homme aux yeux rouges en vint à se demander si celui-ci était un survivant de l’évènement relié aux combustions spontanées. Il semblait brulé de la tête aux pieds, mais celui-ci avait à la ceinture un arsenal d’outils qu’il avait vu tant de fois chez son ancien partenaire d’affaires. Un forgeron !
Sans demander son reste, il déposa une poignée de ryo et fonça en direction de la petite boutique. Le son de la cloche confirma son entrée dans l’entre de la bête et sans perdre une seconde, le balafré se présenta.
-Bonjour, je me nomme Mayuri et je suis à la recherche d’un artisan pour une commande spécialisée !
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Objet: - 1 Marionnette d'entraînement - 1 Armure de fer (4/10 slots)
# Re: Les yeux rouges et le scarifié. Mer 11 Mai 2022 - 12:31
Les choses avançaient pour Masato. Petit à petit, il s'installait et prenait ses marques. Il avait eu l'occasion de se rapprocher de la brigade des marionnettistes et d'y entrer, rejoignant ainsi une équipe spécialisée dans le maniement de marionnette de Sakyuu. Et depuis peu, il avait trouvé une petite boutique dans laquelle il pouvait vendre ses services d'artisan. En effet, l'art des marionnettes l'avait poussé à apprendre à se créer des petits outils et artifices pour les combiner aux pantins.
De cette façon, il n'avait plus besoin de les acheter en boutique puisqu'il se les fabriquaient tout en pouvant laisser son imagination améliorer les objets tous les jours. Sans compter qu'il se faisait une petite rente sur le surplus d'outils qu'il fabriquait en les revendant à ceux qui passaient dans sa boutique.
Et ce jour-ci à peine rentré dans sa boutique qu'un homme lui embraya le pas, laissant retentir la petite clochette une fois la porte ouverte. Un certains Mayuri qui recherchait un artisan pour une commande "spéciale". Le jeune homme derrière son comptoir se retourna et fut directement intrigué par la couleur rouge des yeux de son homologue. D'un air nonchalant comme à son habitude, limite blasé il lui répondit.
- "Bienvenue.. Une commande spéciale ? Je t'écoute"
Accoudé sur le comptoir, il tapotait son index sur le bois tout en attendant la demande de son nouveau client. Lui qui n'avait pas fait de pub pour sa boutique, celle-ci commençait à attirer de plus en plus de shinobis, ce qui devait aussi venir des prix attrayant que l'homme mutilé avait mis en place.
De cette façon, il n'avait plus besoin de les acheter en boutique puisqu'il se les fabriquaient tout en pouvant laisser son imagination améliorer les objets tous les jours. Sans compter qu'il se faisait une petite rente sur le surplus d'outils qu'il fabriquait en les revendant à ceux qui passaient dans sa boutique.
Et ce jour-ci à peine rentré dans sa boutique qu'un homme lui embraya le pas, laissant retentir la petite clochette une fois la porte ouverte. Un certains Mayuri qui recherchait un artisan pour une commande "spéciale". Le jeune homme derrière son comptoir se retourna et fut directement intrigué par la couleur rouge des yeux de son homologue. D'un air nonchalant comme à son habitude, limite blasé il lui répondit.
- "Bienvenue.. Une commande spéciale ? Je t'écoute"
Accoudé sur le comptoir, il tapotait son index sur le bois tout en attendant la demande de son nouveau client. Lui qui n'avait pas fait de pub pour sa boutique, celle-ci commençait à attirer de plus en plus de shinobis, ce qui devait aussi venir des prix attrayant que l'homme mutilé avait mis en place.
# Re: Les yeux rouges et le scarifié. Mer 11 Mai 2022 - 15:45
Ne passons pas par quatre chemins,
Mayuri afficha un sourire carnassier en voyant avec quel aplomb son nouvel ami l’invitait à sauter à table. Aux yeux du grand brulé, il ne devait avoir l’air que d’un simple shinobi qui venait pour faire le plein d’arme commune. Une partie de lui espérait donc toucher la passion de l’artisan avec cette commande. Il sortit donc de sa besace l’un de ses kunaï personnalisé et le mit en équilibre sur son indexe pour démontrer le point de ballants de l’arme alors que son autre main apportait sur le comptoir le parchemin que lui avait léguer l’ancien fabriquant. Une recette bien particulière qui contrairement à la fabrication normale, donnait l’impression que l’arme était bien plus lourde dans la lame qu’à la normale.
-Alors, voici la première demande. Je cherche quelqu’un capable de sortir des sentiers battus et je m’attends à ce que notre conversation reste entre nous, par souci d’efficience bien entendu. Donc cette arme doit avoir l’apparence de tout kunaï de manufacture, seulement le secret de cette arme est dans son centre gravitationnel décalé. Dans une main d’amateur, l’arme semblera au premier coup d’œil être un simple couteau de lancer, alors qu’en réalité son poids et la façon de la lancée devront être différents pour avoir le même résultat.
D’un côté, il s’assurait de pouvoir reconnaitre son arme entre mille, ainsi s’il se voyait dans une situation ou l’illusion devait prendre le dessus sur la réalité, nul n’aurait l’idée de modifier la sensation qu’avait l’arme dans son esprit. C’était là une façon bien habile de contourner une petite probabilité de la vie d’un ninja. Ensuite, si jamais son arme devait se retourner contre lui, un simple lancer dévierait de sa course originelle due au manque d’expérience via la fabrication unique de celle-ci. La trajectoire ne serait pas complètement fausse, mais juste assez pour lui permettre de reprendre l’avantage.
-Ensuite, j’aimerais commander des protections pour mes avant-bras. Quelque chose de léger, mais robuste qui se glisse sans laisser de trace sous une tunique. Pour le reste, je prendrais quelques parchemins explosifs et si tu as quelque chose qui sorte de l’ordinaire, je suis toujours ouvert à voir ce que tu aurais derrière le comptoir.
Alors qu’il sortait sa bourse de Ryo pour payer la commande, l’homme aux yeux rouges se rappela une dernière chose.
-Oh et j’ai également obtenu des plans pour créer une petite créature automatisée, un copain de longue date, marionnettiste m’en a fait cadeau et m’as suggéré de fabriquer l’objet, or je n’ai pas les compétences. Je pensais donc modifier les brassards pour en faire des mille-pattes capables de bouger afin de pouvoir bénéficier d’un petit avantage sur le champ de bataille. Leur exosquelette leur permettrait une grande mobilité et leur carapace une certaine défense.
Un deuxième plan rejoignit le premier, sur celui-ci était indiqué la marche à suivre pour améliorer un objet du quotidien en arme automatisé à l’allure robotique.
-Est-ce que ces projets peuvent t’intéresser ?
Dit-il tout sourire en attendant de voir la réaction du marchand.
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