Le Théâtre. Un endroit dans lequel recèle bien des secrets. Dans ses sous-sols, il y a déjà un local destiné aux créations d'Aoi. Un local bien particulier dans lequel se trouve tout un tas de pantin que le Chuunin s'amuse à réparer, à refaire, dans lesquels il cache des artifices et des pièges en tout genre. Cet endroit est tenu secret et personne ne sait qu'il se trouve ici. En tout cas, pour l'instant. Concernant la Brigade des Marionnettistes, elle se trouve aussi dans le théâtre mais à un tout autre endroit. Au sommet du théâtre se trouve une grande pièce capable de réunir une cinquantaine de personne. Ce lieu fait office de Quartier Général. Pour y pénétrer, il faut obligatoirement faire partie de la Brigade. Hormis le Sakyuukage, aucune autre personne n'est autorisé à pénétrer cet antre.

Mais aujourd'hui, il y a une exception. Deux personnes sont conviés à entrer dans ce lieu sacré pour faire partie de l'élite. Faire partie de la Brigade des Marionnettistes. Les spécialistes du Kugutsu. Deux noms se démarquaient des autres : Hiruko Masato et Gyousha Kuroko. Ces deux individus furent convoqués au sommet du Théâtre pour justement s'entretenir avec Aoi pour intégrer l'équipe.

Pour atteindre le sommet du Théâtre, il faut gravir les étages par une cage d'escalier en bois situé à l'extrémité Nord de l'établissement. Arrivée au sommet, une porte métallique lourde sur lequel se trouve un sceau d'interdiction se dresse face à vous. Ce sceau d'interdiction n'est pas injecté de chakra et permet donc l'ouverture de celui-ci : il s'agit effectivement d'un message d'avertissement. Les Sakyuujins étant de nature obéissante, personne n'est encore passé outre l'ordre. Derrière cette porte, c'est tout bonnement l'extérieur. Vous vous situez sur le toit du théâtre et vous avez une vue dégagée sur quasiment l'ensemble du village. Un petit bâtiment se à l'abri des regards indiscrets se trouve sur ce même toit. Une seconde porte permet de pénétrer la Brigade des Marionnettistes, mais sur celle-ci, un sceau qui doit être activé par l'insufflation de chakra – mais seules les personnes autorisées peuvent y entrer. Le chakra de ces derniers sont analysés par le sceau et permet l'ouverture de la porte.

Une fois à l'intérieur des locaux, vous pouvez voir tout ce qu'il s'y passe. De nombreux pantins sont situés de-ci de-là et prouve que vous ne vous êtes pas trompés d'endroit. Des parchemins se trouvent derrière une énième porte mais celle-ci et fermé et scellé. Seul le Sakyuukage sait précisément ce qui se trouve à l'intérieur de cette pièce. Des rumeurs circulent comme quoi il y aurait des pantins fait à partir de corps humains et sont totalement interdites d'utilisations sous peine de sanctions lourdes – tel qu'enfermé dans les geôles, ou tout simplement mis à mort.

La convocation des deux protagonistes furent envoyés. Aoi se trouvait devant le bâtiment de la Brigade, au sommet du théâtre, et patientait. Une fois que Kuroko et Masato seront présents, les hostilités pourraient commencer... Laissant sa longue veste portait par le vent, le Chuunin avait les bras croisés et attendait ses deux invités...

Quelle nuit horrible, dire qu'après des heures de recherches, de bidouillages et de bricolage rien n'as fonctionné comme prévu... Les petits jouets de Tobu étaient vraiment compliqués à comprendre. Oui une nuit blanche passée pour Kuroko à tenter de desceller les techniques d'assemblages et de fonctionnements des prototypes du Kazekage qu'il a pu "récupérer" de se dernière visite. C'est après avoir vu les premiers rayons du soleils traverser les petites interstices de ses quartiers personnel qu'il se rappela les derniers mots de Tobu avant de se faire mettre à la porte de l'atelier de se dernier.

Kuro , je t'ai organisé une petite entrevue avec quelques autres humains comme toi dès demain au théâtre de marionnette où on s'est rendu la dernière fois tu te souviens ? Rends toi à l'endroit ou je t'ai défendu d'y aller quand je t'ai accompagné je t'y autorise cette fois. Mais n'oublie pas d'y aller aussi tôt que le soleil se lèvera d'accord Kuro?  

Le disciple de l'art du Kugutsu s'empressa alors de partir avec un attirails à peines rangé convenablement de la manière la moins discrète possible c'est à dire : en courant comme un imbécile qui serait poursuivie par un chien enragé. Mais depuis sont intronisation au Grade de Genin ceux qui l'avait déjà croisé n'ont pas été surpris du tout, consternant n'est-ce pas ? Mais c'est une des facette du mystère qu'est Gyousha Kuroko après tout !

Une fois arriver à destination Kuroko ne se rendit pas vraiment là ou il était attendu, il passa par les coulisses du théâtre en crochetant la serrure  jeter un œil aux pantins, décors et autres petits artifices utilisé par les artistes laissé là en attendant la prochaine représentation. Après une multitude de "hoho" et "Haha" il tomba sur une pièces ressemblant à celle qu'il passa la nuit à étudier, mais cette dernière était bien moins intéressante et élaborer que celle du Kazekage seul l'esthétique était similaire, en jetant la pièce par dessus son épaule de manière désintéressé afin de passer à une autre il senti comme un courant d'air dans son dos comme lorsque Tobu arrive brusquement gronder Kuro. Alors que la dernière scène de tabassage de bouche des pantins de Tobu sur Kuro lui revenait à l'esprit il se rappela qu'il était venu pour passer ses escaliers bizarre de la dernière fois !

Ni une ni deux, le Bandé sautilla de mur en mur tout en s'aidant du plafond pour passer ces escaliers, sans même y poser un pieds du coups. Il arriva alors devant une porte métallique grande ouverte laissant le soleil pénétrer le théâtre. Après l'avoir passé la vue était magnifique et son regard sur les habitants de la haut semblait si drôle qu'il ne put s'empêcher de faire le pitre de la haut... Après être passer à un cheveu de se retrouver aux pieds du théâtre  il aperçu alors une petit bâtisse qu'il n'avait jamais vu avec où se trouvait un sceau sur la porte, il s'approcha alors de cette dernière et lorsqu'il arriva devant approcha son oeil un quelques centimètre du sceau

Kuro encore trouvé un dessin de Tobu ! Kuro faire comme la dernière fois pour entrer alors !

Oui, bien qu'il soit doué pour beaucoup de choses, même des choses que certains de ses ainés sont encore incapable Kuro à encore bien du mal avec les principes et le lexique des arts shinobi ce qui peut parfois porter à confusion. Une fois passer cette porte en y insufflant son chakra comme on lui avait enseigné il se retrouva fasse à une multitude de pantins pour son plus grand plaisir ! Il commença a aller de droite à gauche comme un enfant dans un magasin de jouet puis d'un coup, se retrouva nez à nez avec deux autres individus dont l'apparences étaient loin d'être habituel, Kuroko ayant pour habitude d'être le seul à sortir du lot avec son accoutrement.

Kuro trouve qu'elles sont bizarres les deux nouvelles marionnettes de Tobu. Kuro trouve pas drôle que Tobu se cache pour jouer avec ses marionnettes !

Le Brigade des Marionnettistes commençait à prendre forme. Actuellement, au sein du village, seulement deux personnes s'étaient démarquées. Il s'agissait des deux protagonistes qui se trouvaient désormais devant Aoi – qui était debout face à eux, les bras croisés et son regard émeraude sévère. Rejoindre le Brigade n'était pas un voyage agréable. L'escouade a des ambitions. Il faut tirer l'équipe vers le haut, et permettre à celle-ci de briller au sein du village. Il faut que, lorsque l'on stipule le nom de la Brigade, les ennemis frissonnent à l'idée de se retrouver face à elle.

Pour que puisse être réalisable, le Chuunin avait demandé à Masato et Kuroko de rejoindre ce-dernier sur le toit du théâtre, à l'intérieur du QG de la Brigade. Désormais tous réuni, c'est avec une voix rauque qu'Aoi débuta les hostilités. Tout en rebroussant chemin pour se mettre à un bureau, derrière lequel se trouvait une grande vitre dont la vue sur le village était prenante, il se mit assis sur une chaise présente à ses côtés tandis qu'il croisa les mains sur ce meuble.

« Messieurs, bien le bonjour dans le Quartier Général de la Brigade des Marionnettistes. » D'un revers de bras, il démontra le QG. « Vous l'aurez remarqué, la Brigade est en pleine construction : aussi bien au niveau de l'infrastructure, qu'au niveau de l'équipe elle-même. » Tout en remettant en place une pile de papier du bout de ses doigts, il marqua une légère pause avant de reprendre. « Si vous acceptez de venir au sein de cette escouade, il faut comprendre que vous allez être – ensemble – la pierre angulaire d'une équipe à l'ambition très élevé ! » Son regard se jeta sur l'un, puis sur l'autre. Son discours était parsemé de petit silence pour appuyer l'ensemble de ses propos. « Mais avant que l'on parle d'ambition ou de projet, j'aurais besoin de savoir à qui j'ai à faire. »

Il était difficile de lire en ces deux individus. L'un, mutilé au regard nonchalant semblait vide de tout sentiment. Il donnait l'impression d'être un pantin alors qu'en réalité il s'agissait clairement d'une personne à part entière. Le second était indescriptible. Momifié, on ne pouvait lire aucunement en lui. D'autant plus que ces gestes aléatoires, et ses paroles insensées rendait la lecture d'autant plus difficile. Son caractère un peu schizophrène rendait le personnage très intriguant. Le Chuunin au masque de chair reprit la parole.

« Je ne veux pas de faible ici. Je veux des personnes capables de risquer leur vie pour ses confrères. Je veux de la loyauté. » Le regard d'Aoi jouait au ping-pong : un coup l'un, un coup l'autre. « Des secrets ? Entre nous, il ne doit pas y en avoir. Les secrets seront entre ces murs. »

Aoi se leva en faisant glisser sa chaise provoquant un long grincement très désagréable à l'oreille. Un Capitaine doit être exemplaire. C'est à lui de montrer la marche à suivre. C'est la ligne directrice d'une équipe. Il se devait d'être un modèle pour ceux rejoignant l'escouade. Quand bien même le Chuunin était particulièrement déviant psychologiquement – tant l'envie de se faire une armée de pantin de chair était présente – il voulait vouer son corps et son âme à la Brigade.

« Maintenant, dites-moi, vous deux ! » Son index désigna l'ensemble de l'auditoire. « Dites-moi pourquoi vous voulez rejoindre la Brigade. Dites-moi ce qui vous fait vibrer. Dites-moi vos motivations ! Vos ambitions ! » Sa voix s'était légèrement emporté mais il calmait l'intonation pour reprendre plus calmement, plus posément. « Je veux tout savoir de vous. »

En voilà des pantins bizarres. En général Tobu a meilleur gout en ce qui concerne ses pantins bien que certaines ressemble à des monstres en faire des monstre humanoïde n'était pas dans ses habitudes. Car la vraiment si cela devait être un casting pour la maison hantée de la kermesse ces deux la aurait eut un rôle sans aucun problème ! Entre celui habillé comme un traqueur avec un masque de chair et l'autre qui devraient porter plainte contre son chirurgien y avait de quoi se demander si ce n'était pas une blague de les rassemblait tout les trois vu la dégaine de Kuroko !

Quoi qu'il en soit après un moment de doute, les yeux de Kuroko allaient presque sortir de leur orbite quand ce qu'il cru être un pantin se mit à parler d'une voix aussi lugubre que son accoutrement. Mais qu'est ce qu'il raconte celui-là ? Kuro ne comprenait qu'un mot sur deux vu sa concentration défaillante du fait qu'il parle, lui , le truc qui ressemblait à une marionnette jeté à la poubelle. Faible ? Confrères ? Loyauté ? Secrets ? Tant de mot nécessitant que les neurones de Kuroko se réveillent qu'il marmonna sous sa cape comme si il parler avec quelqu'un d'autre :

Kuro comprend pas vraiment ce qu'il veut la non marionnette avec un masque. Kuro devraient peut-être répondre à chaque mots tu en penses quoi ?

Puis après une jolie parodie de la scène d'une pièce datant de l'antiquité mal interprété il se remit à parler pour demander aux recousu et Kuro pourquoi il devait intégrer la Brigade. De vagues souvenir lui revint alors quand Tobu lui en avait parlé sur cette escouade de personne qui était comme lui intéressé par l'art des pantins. Motivations ? Ambitions ? Encore des mots étranges mais qui cette fois avaient une réponse car Kuroko avait par le passé déjà répondu à cette question avant de passer son examen et il s'en souvenait parfaitement !

Après quelques minutes où l'homme aux multiples scarifications dévoila ses motivations envers l'art du Kugutsu il ajouta que certaines marionnette étaient plus humaines que d'autre et pour en avoir vu Kuro ne pouvait qu'affirmer et encore plus en ayant cru que ces deux là en faisaient parti ! Puis se dernier se tourna vers cet excentrique de Kuro en le fixant de manière à l'inciter à parler à son tour, l'autre type semblait en faire de même. C'est alors que Kuroko se pointa lui même du doigt en les regardant comme il regarderais la balle d'une partie de tennis avant de prendre parole.

Kuro s'appelle Kuro. Kuro est venu ici parce que Tobu à obligé c'est tout. Kuro aime beaucoup jouer avec les marionnettes et faire de jolie spectacle. Kuro pas faible et pas de frère non plus. Ah oui Kuro doit chercher jolie bois pour aider Tobu, sinon Kuro juste aimer voir plein de pantins rigolos qui font Slash, Crunch, Paf et Boom !

Alors qu'il s'efforcer de faire une sorte de mime pour chaque onomatopées il aperçu une magnifique marionnette de Bunraku avec un visage en colère dont la mâchoire était articulé et démontée. Il s'arrêta alors de gesticuler et bondit au plafond de façon a avoir son visage face au pantin et commença à la rafistoler sans faire attention aux deux autres...

Cette pièce renferme trois protagonistes totalement différent mais Ô combien semblable sur la forme. Tout trois ont des accoutrements à faire pâlir le diable. Tout trois ont des spécificités mentales hors norme. Tout trois sont marionnettistes et vont être dans la même escouade. Ces traits de caractère de chacun est une immense aubaine pour la Brigade. La première impression est cruciale. C'est la première chose que l'on voit d'une personne. Avec ce genre de physique atypique, les trois confrères ont un avantage certain !

Aoi écoute ses futurs coéquipiers avec concentration. Son but étant – à terme – de prendre la possession de ce village en y inculquant les arts Kugutsu et faire de cette patrie, un immense pays de marionnettiste. Le Scarifié venait de terminer son discours. La fin est intéressante : il parle de pantin plus humaine qu'on ne pourrait le croire. Sous le masque du Chuunin, un sourire qu'il n'avait pas eu depuis longtemps. Le second énergumène est une... Interrogation. Ses paroles, ses gestes... Tout est aléatoire et semble confus. Mais une fois qu'ils eurent fini leur discours, c'est au tour du Macabre de parler.

« Bien. » Dit-il en prenant un instant de réflexion. « Une chose est claire : nous ne sommes pas du genre commun, et nous sommes plutôt hors des cases de cette société. » Fit Aoi sans cacher son mépris pour le peuple.

Il se retourne, et ramasse la chaise qu'il avait fait tomber. Il se place dessus, prend la pile de papier qu'il met dans le tiroir de son bureau. Les notes qu'il avait prises sont finalement pas intéressantes. Il a pu voir à qui il avait affaire et le Chuunin pense pouvoir leur faire confiance – ou en tout cas, leur confier des missions. Quoi que. Pour Kuroko, c'est un peu particulier. Aoi ressent plus de difficultés avec lui mais il n'arrive pas à se méfier de lui. Il possède une aura très intéressante. Son regard se posa sur Masato. Le vert émeraude de ses yeux pénétra le bleu azur de son interlocuteur.

« Effectivement Masato. Les pantins de bois que nous concevons ne sont pas la limite de notre création. » Ses bras s'ouvrent pour démontrer le monde qui les entoure. « Chaque être humain que l'on croise, chaque homme, chaque femme... Et même... » Il s'arrêta, son visage descendit légèrement. A travers la peau de son masque, un sourire est visible. « Chaque enfant, est un pantin de choix que l'on peut utiliser. » Son dos se posa sur son siège qui recula de quelques centimètres. « L'avantage de cet art, est que l'on peut utiliser le chakra du pantin humain que l'on a conçu. »

Après tout, ils sont tout trois membres de la même escouade. Dire ce genre d'information est une preuve de confiance. C'est aussi une façon de tester ses futures acolytes. Aoi regarde ensuite Kuroko, qui – après avoir gesticulé dans tous les sens – s'était arrêté sur un pantin dont le visage reflétait la méchanceté. La mâchoire était d'ailleurs articulé, mais ce pantin n'était pas fini. Avec bienveillance, Aoi se lève et s'approche de cette marionnette. Sans la toucher, il dit à Kuroko.

« Kuro, n'est-ce pas ?! » Il marqua une pause. « Je te donne cette marionnette. Fais-en bon usage. » Il se retourne ensuite vers Masato. « Concernant les pantins humanoïdes, je travaille actuellement dessus. Je ne comprends pas encore tout, mais c'est en bonne voie. » Il retourna à son bureau puis il décida de poser une dernière question. Une question qu'Aoi estime cruciale. « Avez-vous des questions ? »

Après toutes ces révélations Aoi semblait à la fois satisfait et surpris de ses nouvelles recrues. Il fallait bien l'admettre cette escouade n'avait rien de banale ! les trois membres actuels de cette dernière étaient tous dotés d'une personnalité bien différentes et uniques en son genre. L'homme au masque expliqua alors à Masato plusieurs choses interressante concernant des pantins qui aurait été conçu à partir d'une base humaine et qui seraient réceptifs au chakra. Toutes ces choses Kuro en avait déja entendu parlé par Tobu sans s'y être réellement penché dessus car le Kazekage semblait vouloir prendre ce sujet et ce type de manipulation avec des pincettes car ce n'est pas le premier venu qui pourra en faire usage et le nombre de ceux qui le peuvent seraient d'après lui sur le fil de tomber dans l'hérésie.

Aoi se tourna alors vers Kuro qui était en pleine admiration des marionnettes exposées, dont une plus particulièrement. Voyant la passion qui anime le bandé le chef de l'escouade lui donna cette marionnette en cadeau. Le moyen le plus simple et efficace de s'attirer les faveurs et la loyauté de Kuro en soit. Les yeux brillant Kuro attrapa la marionnette et l'enlaça comme une mère à son enfant.

Kuro très content du cadeau M.tête de masque ! Euh pardon Kuro voulait dire Merci Aoi-sama ! Merci Merci Merci ! Yaouhou !

Kuro commença alors à jouer avec son nouveau pantin comme un enfant le faisant virevolter dans tous les sens et se deplacant avec dans toutes la pièce comme un bambin jouant avec son avion en bois. C'est alors que Masato repris la parole et demanda au Chunin ses motivation à vouloir monter une tel équipe. En soit cela n'était pas d'une importance capital pour le bandé tant qu'il pouvait laisser libre cours à sa passion. Un point du discours de Masato attira l'oreille de Kuro : "Je n'ai confiance en aucun de vous deux, vous avez l'air tout autant détraqué que moi". Kuroko répliqua alors après ceci.

Kuro sait qu'il ne faut pas faire confiance aux humains. Kuro n'as confiance qu'en vers les pantins et ceux qui aiment les pantins. Alors Kuro beaucoup de confiance pour Tobu-sama, Aoi-sama et toi aussi Masato-sama !

Après ce jolie petit discours le Genin reparti dans ses délires et continua de jouer comme un enfant. Mais un enfant qui utilisait maintenant des fils de chakra pour faire une manipulation de cette marionnette pourtant simple dans sa conception et lui faire faire des bonds, des sauts et acrobaties digne d'un shinobi aguerri. Il ne faisait aucun doute que malgré son apparence et sa mentalité, manipuler une marionnette était bien la chose qui pousse ses trois jeunes gens à devenir ninja et le talent en la matière de Kuro n'était pas à mettre en doute.