# Après l'Aurore || Mission C Sam 27 Avr - 16:28
Après l'Aurore
Cette nuit-là, au-dessus de la cime des arbres, grandiose et spectaculaire s’était dressé le plus magnifique des Kitsune. Probablement le roi qui lui avait été mentionné. Elle l’avait regardé, admiré, révéré alors qu’il semait la destruction. Était-il l’envoyé de Jashin? Vivait-elle à l’époque bénie où le monde serait enfin détruit pour renaître? Elle avait regardé la bête, béate. Le renouveau arrivait. Elle ne bougea pas de sa montagne, mais elle le regarda semer la mort et la destruction comme promis par son dieu. C’était grisant et toute la nuit elle avait rit et célébré. Elle avait même trouvé quelques petits animaux qu’elle avait sacrifiés en les marquant du symbole divin de son dieu.
Le roi de kitsune était l’outil du renouveau. Mais perfides humains incapables de comprendre lorsque la fin arrive, il avait fallu que Seizan se dresse contre la bête. Bien sûr, de la montagne, Junko n’avait rien vu, mais les mouvements de la créature était celle de quelque chose qui se bat.
Contre qui, contre quoi peut lui importait. Junko savait qu’elle n’était pas en mesure d’aider l’envoyé de son dieu. Pas en ce moment du moins. Si ce qu'il affrontait n’était pas mort, c’était qu’il était capable d’au moins faire suer la bête.
Et avant la fin de la nuit, du destructeur de Kaigara, il ne restait rien. Et elle avait maudit ceux qui avaient arrêté le renouveau. Elle espérait cependant qu’il vivait toujours quelque part, puisqu’elle ne voyait pas son corps au sol.
Elle était donc descendue de sa montagne au matin alors que le chaos provoqué par la bête n’avait toujours pas redescendu. Si le combat était fini, le village était en ruine, pas tous n’étaient morts, probablement que les survivants avaient été jugé indigne de l’étreinte de Jashin.
Alors il fallait descendre et leur montrer la voie. Il fallait les aider à reconstruire, enterrer et honorer ceux qu’Il avait appelés à ses côtés.
Elle s'était donc hâtée sur le chemin si familier guidant au village portuaire. Ça lui prit tout son contrôle pour ne pas sourire devant l’ampleur des dégâts. Frisson de plaisir coincé dans l’échine alors qu’elle regardait le monde autour d’elle avec une révérence apparente.
La renaissance par la destruction.
Il lui fallut tout son contrôle d’elle-même pour ne pas sourire devant le spectacle. Une bonne inspiration et elle se concentra pour garder un visage neutre, mais les bras arrachés, les jambes éparpillées et les entrailles perdues rendait cela difficile de garder un air détaché.
Non, ressaisis-toi Junko. On pourrait demander ta tête si on savait.
Et elle se tourna vers les blessés, cherchant à ordonner le chaos. Elle aboya quelques ordres. Qu’on lui apporte ceux qui avait besoin d’attention médicale immédiate. Se faisant, elle installa quelques couvertures comme lit de fortune pour une infirmerie d'urgence. Alors que les rares villageois capable de se mouvoir sans trop de problème lui apportaient les blessés les plus urgents, elle se concentrait à les recoudre et les garder le plus possible en vie. Mais ceux qu’elle savait ne rien pouvoir faire, elle leur offrit un mort rapide. Évidemment, elle expliquait pourquoi elle le faisait.
Certains étaient outrés, d’autres comprenaient, mais c’était un acte de miséricorde. Elle leur épargnait une douloureuse agonie… enfin c’était ce qu’elle disait. Mais une part d’elle se disait que c’était qu’eux aussi avait été appelés par son Seigneur et qu’ils avaient rendez-vous dans l’au-delà avec leur sauveur. Elle passa des heures et des heures attelée au-dessus des corps des blessés avant de décider de prendre un pause bien méritée.
Le plus urgent géré, la voilà à chercher un abri pour la nuit, mais il n’y avait rien. Enfin rien qui puisse réellement être qualifié d’abris. Elle soupira et se tourna vers un de villageois qui tenait encore debout.
Alors, sous ses instructions ceux qui pouvaient encore bouger, mirent la main à la pâte. Un après les autres rassemblant tout ce qu’ils pouvaient trouver. Petit à petit, avec l’aide des villageois, Junko assembla un premier abri, pour servir d’infirmerie. Pas tout le monde ne pourrait y rentrer, mais au moins les blessés.
Une fois cela fait, elle alla arpenter la forêt et les environs du village à la recherche d’indices sur l’envoyé de son seigneur, sous guise de vouloir piéger les environs pour protéger des prédateurs. Piège après cependant, elle ne trouva rien. Et ne rentre que minuit passé à son infirmerie de fortune.
Lorsqu’elle se leva le lendemain, se fut plus ou moins la même routine. Blessés, abris, pièges. Le troisième journée, la situation semblait un peu plus sous contrôle du côté des blessés et les cas les plus urgents demandaient moins de supervision de sa part. Cependant, un autre problème compliquait les choses : les corps des victimes appelaient les charognards et augmentaient les risques d’épidémie. Il fallait y voir immédiatement.
Elle fabriqua donc quelques pelles de fortunes avec qu’elle distribua aux aux villageois prêts à aider. Alors qu’ils creusaient pour les tombes des heureux élus, un des villageois pris la parole.
“C’est… C’était tellement surprenant. Je veux dire, un kitsune de cette taille… et- et il a tout rasé comme si ce n’était rien du tout. Comme si les humains n’étaient rien… Je ne sais même s’il nous remarquait ou… Aiko… Aiko, ma soeur… il l’a écrasé avec sa patte. Comme si elle était un insecte… Comment est-ce que c’est possible?”
La voix du peuvre jeune homme était brisée. Il ne comprennait toujours pas vraiment ce qui c’était passé et encore moins pourquoi.
Oh mon Jashin que ta justice est douce. Mais Junko garda ces pensées pour elle-même. Un petit sourire franchit ses lèvres alors qu’elle posait sa pelle une seconde.
De la soeur, Junko réalisa qu’il ne restait pas grand chose et elle soupira alors qu’elle décollait des décombres les bout d’organes et de chaire putride la gamine. Pour les mettre dans une petite boite.
Jashin avait épargné a l’inocente une vie de souffrance dans un monde corrompu, il était un dieu miséricordieux. Puis, elle enterra les restes de la fillette près d’un autre enfant qui avait été touché par la grâce de son Seigneur.
“Madame Junko … vous nous aidez toujours quand on a des problèmes… même aujourd’hui…”
La faucheuse caressa la tête de l’enfant tendrement.
Dit-elle tendrement. C’était vrai, elle était toujours là pour aider Kaigara à se relever, enfin, tant qu’elle vit. Le petit village était non seulement un endroit propice pour ses affaires, mais il renfermait tellement de ses souvenirs d’enfance comme ceux qu’elle avaient de son époux.
Alors qu’elle était encore à réunir les corps, l’un d’eux… l’un d’eux était familier. Ils l’étaient tous un peu, mais celui-ci… Celui-ci elle se souvenait. Elle avait marchander avec le petit pour le soigner après l’attaque des yokais requins. Il était si pur si tendre.
Il était dans les bras de Jashin maintenant, enfin loin de la douleur, mais quelque chose… Quelque chose dans sa mort lui pinçait le coeur, de la même façon qu’il s’était serré lorsqu’elle avait elle-même envoyé son fils dans les bras de son dieu.
Elle essuya une larme sur sa joue et se pencha au-dessus du petit sans vie, repoussant ses cheveux imbibés de sang séché de son visage.
Tu le méritais tellement. Je l’aurais fait moi-même si j’aurais pu, mais… Mais je ne pouvais le risquer.
Merci Jashin. Merci de ta miséricorde. Ton jugement est sans égal.
Elle prit l’enfant dans ses bras et posa un baiser sur son front, le serrant dans une dernière étreinte. Elle l’apporta près des autres enfants qu’elle avait enterré plus tôt. La mort de celui-ci particulièrement lui apportait réconfort … et douleur. Elle allait lui offrir un enterrement digne, une pierre tombale juste pour une âme si pure, si belle.
Il lui fallut le reste de la journée pour le mettre en terre et lui préparer une pierre tombale digne. Elle ne put cependant retenir les larmes silencieuse sur son visage. Si elle adulait la mort et son sens, cela ne changeait à la perte qu’elle ressentai à les voir périr.
“Madame Shinsetsu… Est-ce que vous savez pourquoi?”
“Pourquoi nous?”
“C’est toujours nous.”
Et selon elle, c’était eux qui méritaient le plus d’être sauvé par le renouveau.
Suite à cette conversation elle retourna à l’infirmerie de fortune. Elle surpris une discussion entre les deux adolescents qu’elle avait rencontré lors de sa visite suite à l’attaque des requins. Ils parlaient de Seizan. À quel point les samouraïs qui étaient venus avaient la classe. Était-ce eux qui avaient affronté l’Envoyé du Seigneur lui-même?
Elle secoua la tête. Les jours qui suivirent, elle les passa à travailler le bois, assembler mobilier de fortune, à s’assurer que les pièges autour du village soient toujours en état de protéger le village.
Le roi de kitsune était l’outil du renouveau. Mais perfides humains incapables de comprendre lorsque la fin arrive, il avait fallu que Seizan se dresse contre la bête. Bien sûr, de la montagne, Junko n’avait rien vu, mais les mouvements de la créature était celle de quelque chose qui se bat.
Contre qui, contre quoi peut lui importait. Junko savait qu’elle n’était pas en mesure d’aider l’envoyé de son dieu. Pas en ce moment du moins. Si ce qu'il affrontait n’était pas mort, c’était qu’il était capable d’au moins faire suer la bête.
Et avant la fin de la nuit, du destructeur de Kaigara, il ne restait rien. Et elle avait maudit ceux qui avaient arrêté le renouveau. Elle espérait cependant qu’il vivait toujours quelque part, puisqu’elle ne voyait pas son corps au sol.
Elle était donc descendue de sa montagne au matin alors que le chaos provoqué par la bête n’avait toujours pas redescendu. Si le combat était fini, le village était en ruine, pas tous n’étaient morts, probablement que les survivants avaient été jugé indigne de l’étreinte de Jashin.
Alors il fallait descendre et leur montrer la voie. Il fallait les aider à reconstruire, enterrer et honorer ceux qu’Il avait appelés à ses côtés.
Elle s'était donc hâtée sur le chemin si familier guidant au village portuaire. Ça lui prit tout son contrôle pour ne pas sourire devant l’ampleur des dégâts. Frisson de plaisir coincé dans l’échine alors qu’elle regardait le monde autour d’elle avec une révérence apparente.
La renaissance par la destruction.
Il lui fallut tout son contrôle d’elle-même pour ne pas sourire devant le spectacle. Une bonne inspiration et elle se concentra pour garder un visage neutre, mais les bras arrachés, les jambes éparpillées et les entrailles perdues rendait cela difficile de garder un air détaché.
Non, ressaisis-toi Junko. On pourrait demander ta tête si on savait.
Et elle se tourna vers les blessés, cherchant à ordonner le chaos. Elle aboya quelques ordres. Qu’on lui apporte ceux qui avait besoin d’attention médicale immédiate. Se faisant, elle installa quelques couvertures comme lit de fortune pour une infirmerie d'urgence. Alors que les rares villageois capable de se mouvoir sans trop de problème lui apportaient les blessés les plus urgents, elle se concentrait à les recoudre et les garder le plus possible en vie. Mais ceux qu’elle savait ne rien pouvoir faire, elle leur offrit un mort rapide. Évidemment, elle expliquait pourquoi elle le faisait.
“Non seulement mes soins seront entièrement inutiles dans leur cas, mais à quoi bon prolonger leur souffrance s’il n’y a rien que nous ne puissions faire?”
Certains étaient outrés, d’autres comprenaient, mais c’était un acte de miséricorde. Elle leur épargnait une douloureuse agonie… enfin c’était ce qu’elle disait. Mais une part d’elle se disait que c’était qu’eux aussi avait été appelés par son Seigneur et qu’ils avaient rendez-vous dans l’au-delà avec leur sauveur. Elle passa des heures et des heures attelée au-dessus des corps des blessés avant de décider de prendre un pause bien méritée.
Le plus urgent géré, la voilà à chercher un abri pour la nuit, mais il n’y avait rien. Enfin rien qui puisse réellement être qualifié d’abris. Elle soupira et se tourna vers un de villageois qui tenait encore debout.
“Il nous faut du bois, du tissu, des planches, peu importe ce que vous pouvez trouver. Sinon non seulement les blessés, mais nous tous serons à la merci des éléments. Maladies et infections rendront cela encore plus difficile pour se remettre. Mieux vaut éviter une épidémie.”
Alors, sous ses instructions ceux qui pouvaient encore bouger, mirent la main à la pâte. Un après les autres rassemblant tout ce qu’ils pouvaient trouver. Petit à petit, avec l’aide des villageois, Junko assembla un premier abri, pour servir d’infirmerie. Pas tout le monde ne pourrait y rentrer, mais au moins les blessés.
Une fois cela fait, elle alla arpenter la forêt et les environs du village à la recherche d’indices sur l’envoyé de son seigneur, sous guise de vouloir piéger les environs pour protéger des prédateurs. Piège après cependant, elle ne trouva rien. Et ne rentre que minuit passé à son infirmerie de fortune.
Lorsqu’elle se leva le lendemain, se fut plus ou moins la même routine. Blessés, abris, pièges. Le troisième journée, la situation semblait un peu plus sous contrôle du côté des blessés et les cas les plus urgents demandaient moins de supervision de sa part. Cependant, un autre problème compliquait les choses : les corps des victimes appelaient les charognards et augmentaient les risques d’épidémie. Il fallait y voir immédiatement.
Elle fabriqua donc quelques pelles de fortunes avec qu’elle distribua aux aux villageois prêts à aider. Alors qu’ils creusaient pour les tombes des heureux élus, un des villageois pris la parole.
“C’est… C’était tellement surprenant. Je veux dire, un kitsune de cette taille… et- et il a tout rasé comme si ce n’était rien du tout. Comme si les humains n’étaient rien… Je ne sais même s’il nous remarquait ou… Aiko… Aiko, ma soeur… il l’a écrasé avec sa patte. Comme si elle était un insecte… Comment est-ce que c’est possible?”
La voix du peuvre jeune homme était brisée. Il ne comprennait toujours pas vraiment ce qui c’était passé et encore moins pourquoi.
Oh mon Jashin que ta justice est douce. Mais Junko garda ces pensées pour elle-même. Un petit sourire franchit ses lèvres alors qu’elle posait sa pelle une seconde.
“Si vous voulez nous pourrons lui offrir une prière.” dit-elle d’un ton doux, cherchant à cacher l’excitation qui lui courait les veines.
De la soeur, Junko réalisa qu’il ne restait pas grand chose et elle soupira alors qu’elle décollait des décombres les bout d’organes et de chaire putride la gamine. Pour les mettre dans une petite boite.
Jashin avait épargné a l’inocente une vie de souffrance dans un monde corrompu, il était un dieu miséricordieux. Puis, elle enterra les restes de la fillette près d’un autre enfant qui avait été touché par la grâce de son Seigneur.
“Madame Junko … vous nous aidez toujours quand on a des problèmes… même aujourd’hui…”
La faucheuse caressa la tête de l’enfant tendrement.
“C’est pour ça que je suis là, toujours. N’hésite jamais à venir me chercher même si je suis ne suis pas ici.”
Dit-elle tendrement. C’était vrai, elle était toujours là pour aider Kaigara à se relever, enfin, tant qu’elle vit. Le petit village était non seulement un endroit propice pour ses affaires, mais il renfermait tellement de ses souvenirs d’enfance comme ceux qu’elle avaient de son époux.
Alors qu’elle était encore à réunir les corps, l’un d’eux… l’un d’eux était familier. Ils l’étaient tous un peu, mais celui-ci… Celui-ci elle se souvenait. Elle avait marchander avec le petit pour le soigner après l’attaque des yokais requins. Il était si pur si tendre.
Il était dans les bras de Jashin maintenant, enfin loin de la douleur, mais quelque chose… Quelque chose dans sa mort lui pinçait le coeur, de la même façon qu’il s’était serré lorsqu’elle avait elle-même envoyé son fils dans les bras de son dieu.
Elle essuya une larme sur sa joue et se pencha au-dessus du petit sans vie, repoussant ses cheveux imbibés de sang séché de son visage.
“Tu es en paix maintenant, toi aussi.”
Tu le méritais tellement. Je l’aurais fait moi-même si j’aurais pu, mais… Mais je ne pouvais le risquer.
Merci Jashin. Merci de ta miséricorde. Ton jugement est sans égal.
Elle prit l’enfant dans ses bras et posa un baiser sur son front, le serrant dans une dernière étreinte. Elle l’apporta près des autres enfants qu’elle avait enterré plus tôt. La mort de celui-ci particulièrement lui apportait réconfort … et douleur. Elle allait lui offrir un enterrement digne, une pierre tombale juste pour une âme si pure, si belle.
Il lui fallut le reste de la journée pour le mettre en terre et lui préparer une pierre tombale digne. Elle ne put cependant retenir les larmes silencieuse sur son visage. Si elle adulait la mort et son sens, cela ne changeait à la perte qu’elle ressentai à les voir périr.
“Madame Shinsetsu… Est-ce que vous savez pourquoi?”
“Pourquoi quoi?”
“Pourquoi nous?”
“Non, mais quelque chose me dit que ce devait arriver, que c’était nécessaire.”
“C’est toujours nous.”
“Il y a un proverbe qui dit que les gens bons sont toujours ceux qui ont le plus de mal dans la vie.”
Et selon elle, c’était eux qui méritaient le plus d’être sauvé par le renouveau.
Suite à cette conversation elle retourna à l’infirmerie de fortune. Elle surpris une discussion entre les deux adolescents qu’elle avait rencontré lors de sa visite suite à l’attaque des requins. Ils parlaient de Seizan. À quel point les samouraïs qui étaient venus avaient la classe. Était-ce eux qui avaient affronté l’Envoyé du Seigneur lui-même?
Elle secoua la tête. Les jours qui suivirent, elle les passa à travailler le bois, assembler mobilier de fortune, à s’assurer que les pièges autour du village soient toujours en état de protéger le village.
- Mission:
- Après l'Aurore (Mission Rang C)
Depuis l'attaque dévastatrice de Kyūbi sur le village de Kuma no Kuni, de nombreux habitants ont perdu leur foyer et des proches, ils sont dans le besoin. Les rues sont jonchées de débris et de restes de cadavres, les maisons détruites laissent derrière elles des familles sans abri et sans futur. La panique persiste dans l'air. En tant que shinobi solitaire, tu es chargé(e) de fournir une assistance humanitaire immédiate et de contribuer à la reconstruction de la communauté.
Informations
- Ton objectif principal est d'apporter une aide humanitaire aux habitants sinistrés de Kuma no Kuni après l'attaque de Kyūbi.
-Participer à la construction d'abris temporaires et à la réparation des infrastructures endommagées.
-Distribuer des fournitures de première nécessité telles que de la nourriture, de l'eau potable, des vêtements et des médicaments aux habitants dans le besoin.
-Assurer la sécurité des habitants en protégeant la zone de pillages éventuels et en évaluant les dangers potentiels.
-Créer un environnement de soutien psychologique en écoutant les récits des survivants et en offrant un réconfort émotionnel
-En apprendre plus sur l'événement qui est à l'origine de ce drame.
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