# Les habitants de la montagne || PV Kara Saki Lun 4 Mar - 19:57
Les habitants de la montagne
Akimitsu travaillait dans la forge, au fond de leur jardin. Le son de son marteau qui frappait le fer rythmait l’air et l’activité dans la petite demeure des Shinsetsu. Un endroit sobre, isolé de tout. Le couple l’avait construit lui-même en revenant s’y installé après leur vagabondage. Tous deux habiles de leur même, ils tout le mobilier était sculpté et assemblé par eux, comme tout ce qu’ils possédaient. S’il ne pouvait le fabriquer, ils ne le possédaient pas. Enfin, pour la plupart des choses. Ils achetaient leur nourriture dans les villages avoisinant échangeant services et fabrications contre leur pain du jour ainsi que quelques matérieaux nécessaire à la fabrication de leur essentiels.
C’était une vie paisible, calme, qui demandait un dur labeur, mais également une discipline incroyable. Ils ne dépendaient de personne et de rien sur leur montagne.
Et maintenant, le ventre de Junko commençait à s’arrondir, causant quelques tensions dans le couple par moment. Ni l’un ni l’autre ne s’était attendu à cela, mais il était un peu tard pour faire marche arrière.
Junko travaillait sur ses médicaments, fredonnant au rythme du marteau de son époux, lorsqu’il s’arrêta d’un coup sec. L’homme grand et massif vient dans la petite maison d’une seule pièce.
Il hésitait, mais… Il n’était jamais capable de lui refuser quoi que se soit. Il capitula donc d’un lourd soupir, offrant sa main pour l’aider à se relever.
Quelques instants plus tard, les voilà qui descendait le long de l’étroit chemin reliant leur cabane à l’extérieur du monde. Ils marchaient lentement, sans s’alarmer des sons de la nature, ils avaient l’habitude. Leur marche était silencieuse, mais c’était le genre de silence agréable, celui que l’on partage que lorsque nous nous savons en bonne compagnie.
Après quelque minutes, ils avaient récupérée le petit gibier qui osait encora s’apporcher de si près de chez eux. La plupart des pièges étaient encore en bon état, rien ne semblait sortir de l’habitude … Rien si ce n’était…
Une jeune femme, à moins d’un mètre d’un piège. Akimitsu s’écria :
Il espérait qu’elle cesse tout mouvement pour ne pas mettre le pied dans le piège devant elle. Il s’apporcha ensuite, d’une démarche qui ne se voulait pas gardée, mais sa main restait près de son couteau de chasse, juste au cas ou. Sans expliquer, il se pencha et désamorça son piège en soupirant.
Il riait grassement, clairement amusé par la situation, alors que Junko était resté derrière lui, une main sur son abdomen arrondi. Elle devait près du cinquième mois de sa grossesse.
C’était une vie paisible, calme, qui demandait un dur labeur, mais également une discipline incroyable. Ils ne dépendaient de personne et de rien sur leur montagne.
Et maintenant, le ventre de Junko commençait à s’arrondir, causant quelques tensions dans le couple par moment. Ni l’un ni l’autre ne s’était attendu à cela, mais il était un peu tard pour faire marche arrière.
Junko travaillait sur ses médicaments, fredonnant au rythme du marteau de son époux, lorsqu’il s’arrêta d’un coup sec. L’homme grand et massif vient dans la petite maison d’une seule pièce.
“Junko …”
“Tu as oublié les pièges encore?” lui répondit-elle en souriant tendrement. “Je vais venir avec toi.”
“Tu ne devrais vraiment pas…”
“Je suis enceinte pas handicapée… Et prendre une marche me ferait un bien fou.”
Il hésitait, mais… Il n’était jamais capable de lui refuser quoi que se soit. Il capitula donc d’un lourd soupir, offrant sa main pour l’aider à se relever.
Quelques instants plus tard, les voilà qui descendait le long de l’étroit chemin reliant leur cabane à l’extérieur du monde. Ils marchaient lentement, sans s’alarmer des sons de la nature, ils avaient l’habitude. Leur marche était silencieuse, mais c’était le genre de silence agréable, celui que l’on partage que lorsque nous nous savons en bonne compagnie.
Après quelque minutes, ils avaient récupérée le petit gibier qui osait encora s’apporcher de si près de chez eux. La plupart des pièges étaient encore en bon état, rien ne semblait sortir de l’habitude … Rien si ce n’était…
Une jeune femme, à moins d’un mètre d’un piège. Akimitsu s’écria :
“NE BOUGEZ PLUS!”
Il espérait qu’elle cesse tout mouvement pour ne pas mettre le pied dans le piège devant elle. Il s’apporcha ensuite, d’une démarche qui ne se voulait pas gardée, mais sa main restait près de son couteau de chasse, juste au cas ou. Sans expliquer, il se pencha et désamorça son piège en soupirant.
“Vous avez bien failli vous mettre dans les beaux draps, mademoiselle.”
Il riait grassement, clairement amusé par la situation, alors que Junko était resté derrière lui, une main sur son abdomen arrondi. Elle devait près du cinquième mois de sa grossesse.
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