# Cours d'escrime au sommet/ ft. Oomori Hotaru Dim 3 Déc - 7:50
Après ce malheureux incident au sein de la belle ville montagneuse de Seizan. Tout semble avoir été fait en règle si bien que l’on vient à laisser passer la jeune Kamui. Une drôle d’idée que voici d’autant plus lorsqu’on peut la voir se parler à elle-même. Une certaine forme de folie pour la plupart des gens, mais quelques choses de normal aussi pour d’autres. Après tout, il arrive à tout le monde de se parler à soi-même. C’est du moins ainsi que résonne la jeune femme, bien que pour sa part, elle n’a jamais vraiment été seule.
S’aventureux dans les ruelles serpentines de la cité principale du Sud de l’Empire. La jeune dame ne trouve rien qui puisse la satisfaire. Dans ses choix d’achat, il n’y a aucune boutique qui ne sache faire ce qu’elle sait faire. Ou du moins elle ne parvient pas à trouver son bonheur. Mais qu’importe, elle se dit alors que les plus belles créations et boutiques doivent se trouver dans les hauteurs. Une manière comme une autre pour elle de se motiver à grimper l’un des versants de la montagne au travers de ruelles et de chemins.
Malgré tout, l’effort n’est pas aussi important qu’elle aurait pu se l’imaginer. Peut-être s’est-elle un peu trop monté la tête en observant les bâtiments qui se trouvaient plus hauts. Mais là voilà dans un étrange lieu avec des plateformes.
Et si jusqu’à présent sa petite voix s’était tue dans un silence de mort. La voici qui refaisait surface en l’incitant à ne pas rester en ce lieu emplit de piège et de mauvaises ondes.
-Tu ne devrais pas rester ici, ce lieu n’inspire aucune confiance. Observe la brume ou la lumière du jour qui y est particulière. Retourne plus bas là où tu sais à quoi tu as affaire.
Gonflant les joues, elle sait qu’elle ne viendra pas à se détourner de son but d’y trouver sur ces plateformes des boutiques qui pourraient la satisfaire. Quand bien même cela puisse rester improbable. Et si le lieu semble pour l’heure assez inoccupé. Des bruits étranges se font entendre un peu plus loin.
-Je ne partirais pas sans en savoir plus sur ces bruits.
Soupirant, sa voix reprend de plus belle.
-Pfff … tu ne devrais pas y aller, je t’assure qu’il n’y a rien de bon par là.
Faisait fi de ce qu’elle entend à présent ses oreilles se concentre d’autant plus sur les sons qu’elle entend pour s’orienter vers ces derniers. Sa concentration se fait uniquement vers là, si bien qu’elle ne sait même pas si les terrains lui sont interdits ou non. Bien qu’en réalité c’est un peu une sorte de tourisme et elle ne semble pas vraiment déranger qui que ce soit, se dit-elle.
S’approchant d eplus en plus des sons étrnages, ils sont finalement identifiés comme ceux de l’air qui es tfendu par un objet. Et en passant un coin de structure, la jeune chasseresse vient à remarquer une autre dame. Une dame qui se tient là en bougeant de manière à s’entrainer ou quelque chose de la sorte. Rapidement, elle remarque que cette même dame est celle qui a pu l’interpeler quelques temps avant. Ne souhaitant pas plus d’ennuis que ça, la jeune tueuse de yokais décide de s’en retourner sur ses pas. Mais voici qu’un balai opportuniste, profite de l’occasion pour venir se glisser entre Kamui et sa route. La laissant frapper dans le balai. Si aucune douleur ne se fait ressentir, un son se fait entendre. Celui du balai qui se fait balancer contre le mur puis sur le sol. Et il aurait pu s’arrêter sur le sol, mais voilà que ce dernier s’amuse à rouler sur le sol rocailleux pour provoquer un maximum de bruit sur la durée. Comme pour dire que Kamui est ici.
La voix reprend alors.
-Tu vois, je te l’avais dit que c’était un piège. Tu ne peux faire confiance à personne.
S’aventureux dans les ruelles serpentines de la cité principale du Sud de l’Empire. La jeune dame ne trouve rien qui puisse la satisfaire. Dans ses choix d’achat, il n’y a aucune boutique qui ne sache faire ce qu’elle sait faire. Ou du moins elle ne parvient pas à trouver son bonheur. Mais qu’importe, elle se dit alors que les plus belles créations et boutiques doivent se trouver dans les hauteurs. Une manière comme une autre pour elle de se motiver à grimper l’un des versants de la montagne au travers de ruelles et de chemins.
Malgré tout, l’effort n’est pas aussi important qu’elle aurait pu se l’imaginer. Peut-être s’est-elle un peu trop monté la tête en observant les bâtiments qui se trouvaient plus hauts. Mais là voilà dans un étrange lieu avec des plateformes.
Et si jusqu’à présent sa petite voix s’était tue dans un silence de mort. La voici qui refaisait surface en l’incitant à ne pas rester en ce lieu emplit de piège et de mauvaises ondes.
-Tu ne devrais pas rester ici, ce lieu n’inspire aucune confiance. Observe la brume ou la lumière du jour qui y est particulière. Retourne plus bas là où tu sais à quoi tu as affaire.
Gonflant les joues, elle sait qu’elle ne viendra pas à se détourner de son but d’y trouver sur ces plateformes des boutiques qui pourraient la satisfaire. Quand bien même cela puisse rester improbable. Et si le lieu semble pour l’heure assez inoccupé. Des bruits étranges se font entendre un peu plus loin.
-Je ne partirais pas sans en savoir plus sur ces bruits.
Soupirant, sa voix reprend de plus belle.
-Pfff … tu ne devrais pas y aller, je t’assure qu’il n’y a rien de bon par là.
Faisait fi de ce qu’elle entend à présent ses oreilles se concentre d’autant plus sur les sons qu’elle entend pour s’orienter vers ces derniers. Sa concentration se fait uniquement vers là, si bien qu’elle ne sait même pas si les terrains lui sont interdits ou non. Bien qu’en réalité c’est un peu une sorte de tourisme et elle ne semble pas vraiment déranger qui que ce soit, se dit-elle.
S’approchant d eplus en plus des sons étrnages, ils sont finalement identifiés comme ceux de l’air qui es tfendu par un objet. Et en passant un coin de structure, la jeune chasseresse vient à remarquer une autre dame. Une dame qui se tient là en bougeant de manière à s’entrainer ou quelque chose de la sorte. Rapidement, elle remarque que cette même dame est celle qui a pu l’interpeler quelques temps avant. Ne souhaitant pas plus d’ennuis que ça, la jeune tueuse de yokais décide de s’en retourner sur ses pas. Mais voici qu’un balai opportuniste, profite de l’occasion pour venir se glisser entre Kamui et sa route. La laissant frapper dans le balai. Si aucune douleur ne se fait ressentir, un son se fait entendre. Celui du balai qui se fait balancer contre le mur puis sur le sol. Et il aurait pu s’arrêter sur le sol, mais voilà que ce dernier s’amuse à rouler sur le sol rocailleux pour provoquer un maximum de bruit sur la durée. Comme pour dire que Kamui est ici.
La voix reprend alors.
-Tu vois, je te l’avais dit que c’était un piège. Tu ne peux faire confiance à personne.
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# Re: Cours d'escrime au sommet/ ft. Oomori Hotaru Dim 3 Déc - 12:45
Cours d'escrime au sommet
Hotaru aimait la sensation de sa lame entre ses mains. Son chant qui résonnait en fendant l’air, l’éclat de lumière qu’il créait dansant dans sa main. Lorsqu’elle enchaînait ses katas, la femme samouraï se voyait vraiment plus comme une artiste que comme une combattante. C’était un peu la différence entre elle et l’homme qu’elle aimait. Lui était un guerrier, une machine à tuer, elle … Une artiste qui ne faisait qu’un avec son art.
Enfin. C’était ce qu’elle aimait imgainer en pensant à ses entraînements. Mais la vérité était qu’elle n’était pas encore l’artiste qu’elle voulait devenir. Pas si loin, mais pas encore.
Depuis quelques temps, elle travaillait davantage avec son sabre. Son entraînement à toge, mais les paroles de son père lui étaient revenues. Il lui avait parlé une fois de ce qu’il voyait le samouraï être et … Avec toutes ses histoires de plumes et de morts pas morts … Elle s’était trouvée à penser de plus en plus à lui.
Et à ce qu’il lui avait enseigner.
Elle en était donc revenue aux bases, à ce qu’elle voulait réellement faire de sa lame - la faire chanter. Geste après geste, méticuleux, elle répétait ses katas, les enchaînant pratiquement religieusement.
Jusqu’à ce qu’un balais ne tombe.
Un balais. Qui laissait des balais à l’Extérieur, surtout ici.
La samouraï tourna la tête vers l’orgine du son. Elle reconnue la femme qu’elle avait intercepté quelque temps plus tôt. Alros sans se poser trop de question, l’Oomori la salua de la main souriante.
“Bon matin … Après-midi peut-être ?”
Elle regarda vers le ciel pour tenter jauger l’heure. Elle avait tendance à perdre son sens du temps lorsqu’elle était aux plate-formes d’entraînement.
“Venue pour t’échauffer un peu? N’hésite pas si c’est le cas !”
Lui dit-elle plutôt amicalement. Elle profita de l’interruption créée par l’apparition de l’indépendante et se rapprocha de son sac. Elle saisit une bouteille de bambou, s’essuyant le front pour chasser la sueur et vide un peu du contenu sur sa tête avant de boire le restant de son contenu.
# Re: Cours d'escrime au sommet/ ft. Oomori Hotaru Dim 3 Déc - 18:32
Le balai se fait entendre, la voix dans la tête de Senjumaru n’est entendue que d’elle. Mais le balai non et la voix ne manque de le rappeler par ailleurs. Figée presque comme si elle était prise sur le fait accompli d’un crime. Elle ne bouge plus se disant que l’on ne la verra pas ainsi. Une bien piètre idée des performances des militaires de ce village que peut avoir la dame. Bien que cela ne soit pas de sa volonté que de les rabaisser de la sorte. Le vent lui-même se tait le temps que le balai cesse de rouler. Et ce n’est que lorsqu’il cesse son mouvement. Que la jeune dame remarque que la membre des autorités du village l’observe.
Aucun mouvement, comme un ours mal léché qui se demande comment réagir devant l’inconnue.
S'attendant à tout sauf à ce que la militaire vienne à lui parler de l’heure. La Senjumaru se relâche un peu et affiche un grand sourire. Un bras derrière son corps et l’autre en l’air avec la main qui se secoue. Elle vient à saluer la dame au sabre. Si son visage semble radieux, ses pensées sont tournées vers une seule question. Comment se sortir de ce guêpier. Elle commence même à se demander si elle ne devrait pas écouter sa petite voix.
-L’Après-midi il me semble. Enfin on s’apporche même du début de soirée.
Dit Kamui en se posant un doigt sur la lèvre inférieure comme pour s’interroger elle-même en donnant une affirmation. Légèrement penchée en avant comme toujours. Elle se redresse. Et se dit que pour mieux fuir ou reculer il faut toujours avancer en prenant son élan. Une citation de sa part qui est bien naturellement dérivée d’une autre.
Le regard de la sabreuse se détournant d’elle. La jeune dame se demande si elle peut profiter de cette occasion pour fuir. Mais voici que le temps de réfléchir à cela, le regard de la samurai retombe à nouveau sur elle.
Une nouvelle phrase inattendue provient de la dame. Elle semble croire que la Senjumaru soit venue pour s’entrainer. Kamui se dit ainsi qu’elle doit profiter de ce malentendu pour faire mine de rien ce qui lui ai suggéré. S’installant non loin de la samurai. Elle vient à dégainer son épée à garde digne d’une claymore. C’est alors que des mouvements se font, brassant l’air. Kamui tente de reproduire l’un entrainement qu’elle a pu avoir au sein de son clan.
Mais pendant qu’elle tapait, elle pouvait remarquer que la militaire se rapproche alors de son sac. Sa petite voix lui intime alors un ordre.
-Empêche là d’ouvrir son sac. Il y a quelque chose de louche dedans.
Sans attendre Kamui tente de dialoguer avec la samurai.
-Mes gestes sont-ils bons selon vous ?
Mais en vain, car du sac vient de sortir une bouteille et se jetant sur la tête son contenu elle finit aussi par le boire.
-Méfie-toi, ce liquide n’est peut-être pas normal. Tu ne devrais pas lui faire confiance.
Kamui ravale sa salive en attendant de savoir ce que peut lui réserver l’autre dame. Kamui est loin d’être du genre peureux avec les yokais, mais avec les humains elle a toujours dû s’en méfier en quelque sorte.
Aucun mouvement, comme un ours mal léché qui se demande comment réagir devant l’inconnue.
S'attendant à tout sauf à ce que la militaire vienne à lui parler de l’heure. La Senjumaru se relâche un peu et affiche un grand sourire. Un bras derrière son corps et l’autre en l’air avec la main qui se secoue. Elle vient à saluer la dame au sabre. Si son visage semble radieux, ses pensées sont tournées vers une seule question. Comment se sortir de ce guêpier. Elle commence même à se demander si elle ne devrait pas écouter sa petite voix.
-L’Après-midi il me semble. Enfin on s’apporche même du début de soirée.
Dit Kamui en se posant un doigt sur la lèvre inférieure comme pour s’interroger elle-même en donnant une affirmation. Légèrement penchée en avant comme toujours. Elle se redresse. Et se dit que pour mieux fuir ou reculer il faut toujours avancer en prenant son élan. Une citation de sa part qui est bien naturellement dérivée d’une autre.
Le regard de la sabreuse se détournant d’elle. La jeune dame se demande si elle peut profiter de cette occasion pour fuir. Mais voici que le temps de réfléchir à cela, le regard de la samurai retombe à nouveau sur elle.
Une nouvelle phrase inattendue provient de la dame. Elle semble croire que la Senjumaru soit venue pour s’entrainer. Kamui se dit ainsi qu’elle doit profiter de ce malentendu pour faire mine de rien ce qui lui ai suggéré. S’installant non loin de la samurai. Elle vient à dégainer son épée à garde digne d’une claymore. C’est alors que des mouvements se font, brassant l’air. Kamui tente de reproduire l’un entrainement qu’elle a pu avoir au sein de son clan.
Mais pendant qu’elle tapait, elle pouvait remarquer que la militaire se rapproche alors de son sac. Sa petite voix lui intime alors un ordre.
-Empêche là d’ouvrir son sac. Il y a quelque chose de louche dedans.
Sans attendre Kamui tente de dialoguer avec la samurai.
-Mes gestes sont-ils bons selon vous ?
Mais en vain, car du sac vient de sortir une bouteille et se jetant sur la tête son contenu elle finit aussi par le boire.
-Méfie-toi, ce liquide n’est peut-être pas normal. Tu ne devrais pas lui faire confiance.
Kamui ravale sa salive en attendant de savoir ce que peut lui réserver l’autre dame. Kamui est loin d’être du genre peureux avec les yokais, mais avec les humains elle a toujours dû s’en méfier en quelque sorte.
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