# [Recherches] Exploration cellulaire Sam 29 Juil - 17:02
Recherche : Exploration cellulaire
Le retour de ce village perdu dans les contrées ouest avait était aussi agréable et facile que ce que l’on pouvait imaginer lorsque sur un trio deux membres étaient gravement blessés. Fort heureusement, si je n’étais pas en mesure de soigner efficacement leurs blessures, chose pour laquelle il faudrait que j’œuvre un minimum si je voulais continuer à me faire passer pour un médecin lors de nos missions, j’avais à minima, grâce à mes connaissances médicales que certains pourraient trouver contre nature, réussi à les stabiliser un minimum. Par chance, une fois arrivés dans notre propre pays, le reste du voyage s’était déroulé de meilleure manière, profitant du réseau d’écuries et chevaux disponibles dans toute la contrée pour faciliter nos déplacements.
De retour dans notre cité rocheuse, si les deux autres devraient passer par la case hôpital et soin, laissant à notre merveilleux chef le soin de faire son rapport sur la situation, si je voulais comprendre les tenants et aboutissant de ce flacon, je ne devais nullement perdre de temps sur son étude et m’y consacrer au plus vite. Ainsi, a peine rentrée, c’est vers cette demeure familiale ancestrale que je me dirigeais. Si je n’avais aucune idée des activités d’Hanami qui n’avait nullement besoin de moi pour s’occuper de ses affaires et évoluer au sein de la hiérarchie. Si je n’avais pas vocation à gravir les échelons, il me fallait tout de même envisager de passer chunin pour donner le change. En revanche les marches du rôle de jonin n’étaient pas inaccessibles pour ma chère sœur qui avait à cœur de mener à terme les projets de cette famille. En attendant, retournant au sein de l’antre Watari où Eilin portait finalement un enfant, je me tournais vers mon propre refuge où j’y avais aménagé un laboratoire personnel.
Sortant de son sceau le bocal, je regardais longuement les cellules humaines flotter dans le bocal. Accompagné de quelques ouvrages traitant de la nature humaine d’un point de vue purement médical, avant de commencer toute expérience ou analyse je tentais d’analyser la provenance des cellules. Selon si c’était des cellules cérébrales, cardiaques ou de toute autre nature, cela pourrait donner une idée de la manière dont il me fallait les traiter. Mais fatalement, cette observation que je considérais comme une étape nécessaire avant toutes autres n’étaient qu’une des nombreux jalons sur la route de la connaissance. Les autres étapes consistaient à réaliser quelques analyses sur la structure même des cellules concernées.
Mais avant d’entamer des tests sur ces dernières, je me contentais de prélever un petit volume de ce fluide protecteur dont je pouvais produire une qualité similaire. Ce prélèvement que je réalisais sans prendre le risque d’en enlever trop et de dénaturer l’objet de mes recherches fut le premier à subir mes expérimentations. Si jusqu’à présent j’avais préservé quelques greffes dans mes propres bocaux, ce n’étaient que des greffes simples. Là, nous touchions à quelque chose de particulier et étudier la composition du fluide de sauvegarde pourrait peut-être permettre d’en apprendre davantage. L’important était surtout de voir si les cellules pouvaient supporter un transfert de bocal sans risque. Je n’avais aucune idée de qui provenait le contenant d’origine, mais je préférais nettement sauvegarder mes précieuses recherches par moi-même plutôt que de compter sur les effort d’une personne totalement inconnue
Enfin, une fois que tout ceci serait fait, viendrait directement le moment d’analyser le cœur même de l’inconnu. La difficulté présente serait avant tout de savoir doser habilement la quantité de matière cellulaire prélevée. Il fallait pouvoir en extraire suffisamment pour pouvoir réaliser les différents tests nécessaires pour déterminer le but de ceci, mais, tout en laissant suffisamment de composant pour pouvoir l’utiliser le moment venu.
Ainsi, à la lueur de plusieurs bougies et chandelles, je me mettais à l’œuvre, déterminé à trouver les réponses aux questions que je me posais depuis ma rencontre avec la jujoukage et qui depuis n’avaient cessées de croitre au fil de mes rencontres avec ceux qui démontraient devant moi une puissance certaine que je n’étais absolument pas en mesure d’appréhender jusqu’à présent.
EDIT POUR LES RESULTATS DE RECHERCHE :
De retour dans notre cité rocheuse, si les deux autres devraient passer par la case hôpital et soin, laissant à notre merveilleux chef le soin de faire son rapport sur la situation, si je voulais comprendre les tenants et aboutissant de ce flacon, je ne devais nullement perdre de temps sur son étude et m’y consacrer au plus vite. Ainsi, a peine rentrée, c’est vers cette demeure familiale ancestrale que je me dirigeais. Si je n’avais aucune idée des activités d’Hanami qui n’avait nullement besoin de moi pour s’occuper de ses affaires et évoluer au sein de la hiérarchie. Si je n’avais pas vocation à gravir les échelons, il me fallait tout de même envisager de passer chunin pour donner le change. En revanche les marches du rôle de jonin n’étaient pas inaccessibles pour ma chère sœur qui avait à cœur de mener à terme les projets de cette famille. En attendant, retournant au sein de l’antre Watari où Eilin portait finalement un enfant, je me tournais vers mon propre refuge où j’y avais aménagé un laboratoire personnel.
Sortant de son sceau le bocal, je regardais longuement les cellules humaines flotter dans le bocal. Accompagné de quelques ouvrages traitant de la nature humaine d’un point de vue purement médical, avant de commencer toute expérience ou analyse je tentais d’analyser la provenance des cellules. Selon si c’était des cellules cérébrales, cardiaques ou de toute autre nature, cela pourrait donner une idée de la manière dont il me fallait les traiter. Mais fatalement, cette observation que je considérais comme une étape nécessaire avant toutes autres n’étaient qu’une des nombreux jalons sur la route de la connaissance. Les autres étapes consistaient à réaliser quelques analyses sur la structure même des cellules concernées.
Mais avant d’entamer des tests sur ces dernières, je me contentais de prélever un petit volume de ce fluide protecteur dont je pouvais produire une qualité similaire. Ce prélèvement que je réalisais sans prendre le risque d’en enlever trop et de dénaturer l’objet de mes recherches fut le premier à subir mes expérimentations. Si jusqu’à présent j’avais préservé quelques greffes dans mes propres bocaux, ce n’étaient que des greffes simples. Là, nous touchions à quelque chose de particulier et étudier la composition du fluide de sauvegarde pourrait peut-être permettre d’en apprendre davantage. L’important était surtout de voir si les cellules pouvaient supporter un transfert de bocal sans risque. Je n’avais aucune idée de qui provenait le contenant d’origine, mais je préférais nettement sauvegarder mes précieuses recherches par moi-même plutôt que de compter sur les effort d’une personne totalement inconnue
Enfin, une fois que tout ceci serait fait, viendrait directement le moment d’analyser le cœur même de l’inconnu. La difficulté présente serait avant tout de savoir doser habilement la quantité de matière cellulaire prélevée. Il fallait pouvoir en extraire suffisamment pour pouvoir réaliser les différents tests nécessaires pour déterminer le but de ceci, mais, tout en laissant suffisamment de composant pour pouvoir l’utiliser le moment venu.
Ainsi, à la lueur de plusieurs bougies et chandelles, je me mettais à l’œuvre, déterminé à trouver les réponses aux questions que je me posais depuis ma rencontre avec la jujoukage et qui depuis n’avaient cessées de croitre au fil de mes rencontres avec ceux qui démontraient devant moi une puissance certaine que je n’étais absolument pas en mesure d’appréhender jusqu’à présent.
EDIT POUR LES RESULTATS DE RECHERCHE :
Après quelques heures de recherches en pratiquant différents tests, tu en viens à faire quelques conclusions. Les cellules humaines ont l’air d’être vieilles de plus de 100 ans et sont en parfait état. Tu supposes même que sans ce liquide de préservation, les cellules ne se seraient peut-être pas dégénérées si facilement. Même si elles sont humaines, elles ne sont pas dans la normalité de ce que tu connais. C’est un mystère complet. Tu sais également, que seul, tu ne pourras rien tirer de plus de cet échantillon.
- Spoiler:
Résumé
Si cela ne présente pas de risque pour les cellules, Kasumi les gardera dans un bocal avec un produit de sauvegarde qu’il aura lui-même créé.
Kasumi étudie les cellules pour savoir ce que c’est et à quoi elles peuvent bien servir.
Compétences utilisées
Irou II – C1 Collecteur
Irou II – C2.1 Scientifique
Irou I – C1 Apprenti (pour les connaissances médicales de base)
Senso – C1 Senseur (pour l’étude du fluide anti dégénération)
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