Jinpachi avait eu vent d’une requête dans un petit village. A la suite du conglomérat des kage, il avait quitté son ami Ryuza pour chercher un peu plus d’informations sur le dieu Raijin. Il avait décidé de voguer par lui-même, néanmoins, il avait entendu parler de cette requête particulière et comme il était dans un village non-loin, il s’était dit que c’était le bon moment pour gagner un peu d’argent. Lui qui n'était pas forcément un adepte de l’argent, il se disait que cela pouvait potentiellement être une bonne offrande pour l’âme de son Dieu, car il avait appris que diverses offrandes pouvaient amener plus facilement à rencontrer le dieu qu’il chérissait tant.

Il avait répondu à l’appel et s’était retrouvé dans un lieu de débauche qui puait le sexe et la luxure à plein nez. Un homme s’était retrouvé avec lui autour d’une table. Il y avait une autre personne. L’apôtre de Raijin portrait un poncho sur ses épaules et une capuche qui recouvrait légèrement son visage. L’autre homme un brin plus mûr que Jinpachi qui était plutôt jeune pour un indépendant écoutait les propos de cet homme de Toge. Un chunin, il avait toujours l’impression que comme il était indépendant, il risquerait de se faire juger par un ninja d’un village. Surtout qu’il se rappelait de ces deux énergumènes qu’il avait rencontrés et qui avaient protégé le monstre.Il restait la personne qu’il avait appréciée cette personne du nom de Shizuka. Il prit la parole:

“- Enchanté messire Chunin de Toge. Je suis Yuhi Jinpachi, moine dévot du grand Raijin et disciple de Shizuka de Toge. Est-ce que vous la connaissez ?”

Ils discutaient ensemble quelque temps, quand soudainement un homme d’une grosseur particulièrement difforme apparut devant le groupe assis. Il sentait l’excès à plein nez, le dévot se mit à presque éternuer devant cette odeur particulière, il se grattait légèrement au-dessus du nez afin d’éviter d'expectorer une sorte de muqueuse sur le nouveau venu. L’homme se présentait et expliquait qu’il était bien la réalisation de la supposition de Yuhi-sama. L’homme de toge prit la parole en premier, il voulait voir le cadavre. L’indépendant religieux se mit à passer son doigt sur son menton avant de répondre:

“- Pourquoi quelqu’un voudrait s’en prendre à vous ? Vous avez eu des différends avec une personne ou quelque chose qui ferait qu’on puisse vous en vouloir particulièrement ? Je veux dire beaucoup d’hommes sur cette terre possèdent certaines richesses, mais il semblerait que quelque chose d’étrange et de plus profond semble être présent dans votre histoire. Est-ce que je me trompe ? J’ai manqué de politesse, je m’excuse. Je me prénomme Yuhi Jinpachi, je suis un prêtre de Raijin et ninja à mes heures perdues.”

Il effectuait une légère révérence pour marquer son respect.

Doué en iroujutsu ? Le sourcil du prêtre se levait dans un arc de surprise. Il était étonné d’entendre ce genre d’information. Il existait un autre disciple de Shizuka, il avait été peut-être un peu présomptueux en utilisant le terme disciple pour qualifier sa relation avec la savante. Néanmoins, son corps avait subi des modifications particulières pour symboliser cette alliance, il était là à pouvoir se balader dans le monde afin de pouvoir de récupérer des informations et aider les recherches de celle-ci en échange d’informations sur comment se rapprocher de son divin. Il souhaiter atteindre un état de bénédiction proche de celui de l’illumination de Raijin. Il soupirait et se mit à répondre d’un air un peu morose :

« - Je ne suis pas un disciple de la médecine. Je suis plus un sujet d’expérimentation pour elle et je cherche des informations à travers l’Onogoro. »

Il valait mieux garder son intérêt pour lui-même dans son esprit, il ne savait pas la moralité de cet homme. Surtout que cette femme possédait encore pas mal de mystères, il ne pouvait clairement pas donner confiance dans le premier huluberlu qu’il rencontrait. Néanmoins, il sentait cet homme un brin plus intéressant que la troisième ninja. Il fallait avouer que Jinpachi n’avait même pas remarqué la présence de cette fillette parmi le groupe. Elle était si frêle, si atypique qu’elle ne comptait pas forcément dans leurs rangs. Elle semblait déjà très malade, mais il semblait que le mal avait eu peur d’elle et l’avait presque quitté. Une raison peut être dû à la façon de s’exprimer de cette jeune fille qui pouvait mettre en avant une simplicité d’esprit.

Quant au riche il était particulièrement imbu de sa personne. La richesse transpirait de son corps et de son âme. L’oisiveté et la peur le consumait de tout part. Il avait l’impression que cet homme serait sûrement qualifier d’hérétique pour Raijin. Il cherchait du regard une raison de rester dans cet endroit. Un nouvel homme vint à la table. Un jeune garçon qui semblait quant à lui emplie d’une faiblesse profonde. Un stress puissant qui semblait s’abreuver dans son larynx. Il parlait d’une histoire d’objet qui se déplaçait, une histoire sortie tout droit d’une sorte de roman d’horreur. Il ne restait plus rien du cadavre… Toute cette histoire semblait complètement abracabrandesque. Il y avait des choses bizarres, il ne comprenait pas. Tout semblait être empli de mystères et surtout quelque chose planait autour de cette histoire. Il s’emportait un brin par rapport à s’il avait effectué un acte qui pouvait avoir amené des convoitises autour de son histoire. Il y avait baleine sous gravillon. Quelque chose d’énorme semblait clocher dans toute cette histoire. Puis l’apparition de ces étranges bijoux semblaient apparaître sur la table… L’homme à leurs côtés avaient pris les devants dans sa quête de questionnement. Jinpachi posait sa main sur les bijoux pour ausculter d’une main souple cet objet qui semblait être le fruit des convoitises. L’apôtre prit la parole :

« - Désolé pour la demoiselle, j’avoue ne pas avoir compris grand-chose à ce qu’elle disait, mais il faut savoir que parfois l’œil de la jeunesse peut parfois amener des indices dans des idées qu’on n’aurait pas pensé. Pour la suite, il est dommage de ne pas avoir le cadavre pour déterminer la façon dont il peut être mort. Est-ce qu’un homme à votre service serait capable de nous donner un compte rendu de la cause de la mort de cette personne ? Pour ce qui est de cette histoire d’objet qui se mettait à bouger. Il est possible de voir la scène de cet endroit afin de pouvoir occulter le problème du surnaturel… Je ne connais rien en accessoires. »

Il se retournait vers le jeune garçon et dit d’un ton sympathique :

« - Si votre maître est d’accord pourriez-vous m’accompagner dans la pièce des objets qui bougent ? »

Il avait besoin de voir cet homme loin de son maître afin qu’il puisse peut-être se dérider et enlever les barrières qui semblaient resteindre la façon de parler de cet homme.

Cet homme qui respirait la complaisance et la graisse semblait ne pas être fan du religieu et plus orienté vers la façon de parler du disciple de Shizuka. Un vieux riche comme ça, il semblait aimer qu’on lui brosse le poil, mais c’était loin d’être la façon de faire d’un ecclésiastique comme Jinpachi. Néanmoins, il réfléchissait, son cerveau semblait être extrêmement actif à la recherche des différentes options qui se présentait à lui. L’homme avait compris qu’il y avait une drôle d’histoire derrière tout ça. Le prêtre se mit à suivre le jeune garçon qui avait expliqué qu’une chose lourde avait écrasé la pauvre victime. Serait-il possible que la chose soit un yokai ? Ou un homme qui possède une grande force ? Pour l’instant le seul qui avait ce genre de corpulence était le commanditaire lui-même… L’enquête allait révéler plus de choses.

Alors que le jeune Yuhi se mit à visiter la demeure. Un cri se mit à résonner dans les couloirs. Le groupe se mit à se mouvoir en direction de la provenance du son rempli d’effroi. Ils arrivaient devant la scène macabre. Un jeune garçon était couvert d’armes dans le dos. Puis, une demoiselle se retrouvait un peu plus loin avec un couteau à ses pieds et un œil rempli de sang. Le guide se précipitait pour aider cette demoiselle. Quant à Jinpachi il s’arrêtait un instant sur le corps du jeune garçon, il prit son pouls légèrement sur son poignet. Le pauvre était déjà mort. Il regardait sur le sol, afin d’observer s’il y avait des traces d’une personne qui avait pu prendre la fuite ou non. Il observait également l’angle des armes dans le corps du pauvre garçon. Il cherchait d’où avait été asséner les coups et surtout s’il y avait une possibilité qu’on eût envoyé des armes d’un endroit en hauteur ou cacher.

Puis, il se relevait laissant le corps à son endroit, il s’approchait de la gamine tout en déchirant un bout de sa tenue. Il regardait la demoiselle :

« - Essayait de comprimer votre plaie avec ce tissu, cela évitera au sang de se propager. Je sais que vous devez être sous le choc… Est-ce que vous avez vu votre agresseur ? J’aimerai pouvoir le pourchasser ou éviter qu’il agresse d’autres personnes ? »

La scène était particulière, l’indépendant utilisait sa vision de manière périphérique pour bien observer l’ensemble des choses. La correspondance des armes, les fils, l’ensemble du puzzle semblait se créer comme un croquis dans son esprit. Les outils qui venaient de perforer le corps du jeune ninja semblaient venir de plusieurs directions et surtout que y a des fils qui étaient attachés sur certaines armes. L’hypothèse d’un piège était énorme et la demoiselle semblait avoir activé le piège sans s’en rendre compte. Pourquoi des pièges ? Une chasse au yokai ? Des informations semblaient nous manquer. Une autre option pouvait être que les pièges étaient destinés à une autre chose et si depuis le début ils chassaient les êtres humains ? Ou alors le yokai était connu… Il y avait une information qui échappait au fils de Raijin.

Jinpachi se levait et s’approchait de son camarade et il lui dit d’un ton neutre sans réellement avoir d’opinion :

« -Il y a quelque chose qui nous échappe. Toute la scène montre une histoire de chasse. On a affaire à une chasse à un Yokai ou bien à l’homme, mais il y avait réellement un piège créer dans cette salle. Une seule possibilité d’entrée, une seule sortie. C’était l’endroit parfait, il y a trop d’inconnu dans l’équation. »

Jinpachi s’approchait de la demoiselle et lui dit d’un ton amical :

« - Reposez-vous et soignez-vous ! Plus rien ne peut vous arrivez, maintenant qu’on est là !»

Il s’approchait du jeune homme et lui dit en plongeant son regard dans le sien :

« - Bon maintenant va falloir m’expliquer deux ou trois choses. Est-ce que des chasseurs ont été engagés ? Est-ce qu’il est question de braconnage pour créer ces bijoux ? Ton maître n’est pas là ! Tu peux parler sans risque ! »

Il n’était pas y aller par 4 chemins, mais il avait fait en sorte de dire ce qu’il pensait et il était question de pouvoir se battre pour mener cette enquête plus loin. Il avait tendance à ne pas être réellement patient et s’énerver un brin facilement. S’il fallait exploser des choses ou bien électrocuter des personnes c’était son rôle.

L’enquête avançait à petit pas. La piste du yokai devenait compliquer, en effet il avait l’impression de devoir récapituler dans son esprit l’ensemble des informations qu’il avait. Le commanditaire avait perdu son meilleur guerrier dans des circonstances étranges, il avait plusieurs traces sur son corps et certaines parties de son corps semblaient avoir été écrasé par quelque chose de gros. Le plexus solaire sûrement complètement comprimé. Jinpachi imaginait la scène comme une énorme crêpe de guerrier. Le guerrier avait tué un bébé raton laveur, de ce que le moine connaissait, il s’agissait sûrement d’un yokai tanuki. Si c’était un bébé, l’hypothèse d’une maman tanuki en colère pouvait être présente. Néanmoins, les bijoux que le commanditaire avait créés était en os de tanuki bébé. Le souci c’est que les pièges ne pouvaient pas avoir été posé par un tanuki. Il y avait la possibilité que les pièges aient été posé par le genin et qu’il se l’était pris. La touffe de poil trouvé était un indice. Deux affaires pouvaient se liés, mais tout semblait mener à la potentielle vengeance d’une maman vis-à-vis de son fils.

Jinpachi regardait son partenaire :

« - Je pense que pour ma part, je n’ai plus besoin de leur aide. Qu’en penses-tu ? »

La liste des choses amenaient quelque chose, il regardait son partenaire :

« - Tu t’y connais en Tanuki ? Tu as des infos sur eux ? Point faible ou autre ? »

Jinpachi se rapprochait du corps du genin, il cherchait sur le corps maintenant des traces de griffes ou autre. Maintenant, il n’y avait plus qu’à chercher une trace, une piste de l’endroit qui pourrait nous amener à trouver ce genre de monstre. Il regardait l’huluberlu étrange :

« - Tu pourrais respirer les poils qu’on a trouvé pour capter une piste ? »

Il avait l’impression que cet homme ressemblait un peu à un sanglier. Il n’avait pas de techniques de pistage, mais il eut une autre idée :

« - Si on ne trouve pas de chemin, peut-être qu’on pourrait utiliser un des accessoires fais en os du bébé pour attirer la mère et lui tendre un piège. Qu’est-ce que tu en penses ? »

Avant de laisser partir les deux serviteurs :

« - Si on revient vivant de cette histoire, promettez-moi de vous mettre à vénérer Raijin. »

Jinpachi souriait aux deux enfants, puis il mettait un drap qui trainait là sur le corps du pauvre genin qui s’était fait tué. Il croisait ses mains tout en chantant un psaume pour le mort, ô kami de la foudre par ta puissance et ta dévotion permet à cette pauvre âme égarée de trouver le repos au pays des morts.

Le disciple de Shizuka était un véritable monstre, il n’avait aucune compassion pour la demoiselle blessée, puis il avait ce côté à se précipiter à vouloir tout de suite. Depuis le début Jinpachi était plutôt du genre à observer et après agir. Il aurait pu laisser la servante partir et la suivre dans le pire des cas, cette piste n’aurait pas servi à grand-chose, mais au moins limiter la souffrance de la petite femme borgne. Néanmoins, il avait fermé une porte, mais également toute potentielle aide provenant du serviteur. Ce serviteur devait avoir assez de la souffrance et de la peur causé par son maître. Peut-on le libérer du joug de cet homme comme cette petite demoiselle ? Enfin, l’apôtre de Raijin se jouerai libérateur de chaîne plus tard. La piste du tanuki continuait à ne pas être à laisser de côté pourquoi Jinpachi pensait à cela, il se disait que finalement ce docteur n’était pas le plus intelligent de tous. Il répondait d’un ton neutre :

« - Le commanditaire a expliqué plus tôt que le bijou provenait d’un os d’un tanuki bébé. Qu’elle cherche à venger son enfant ou tuer juste pour le plaisir. Je ne pense pas que ce soit une possible coïncidence, je pense qu’il y a forcément une corrélation ! »

Un autre du groupe était porté disparu. Un instant le fils de la foudre regardait son collègue fou :

« - Il est possible que ce piège ait été créé par le groupe. Le genin étant mort, l’autre a continué à poursuivre l’ombre de ce qu’il tentait de piéger. Il est potentiellement, la pièce qui nous manque. »

Jinpachi avait envie d’autoriser la jeune femme à aller se coucher, mais il son partenaire semblait perturbé et tortionnaire envers elle. A se demander s’il n’éprouvait pas un quelconque fétichisme envers la douleur et le fait de voir cette demoiselle lutter pour rester ici. Il regardait les deux jeunes :

« - Raijin vous adoptera et il fera en sorte de vous aider à vous libérer si tel et votre souhait ! »

En attendant il regardait Shigure de nouveau :

«- Je vais poser ce qui peut être un piège. »

Il effectuait des mudras et se mit à malaxer son chakra. De sa bouche se mit à sortir un filet d’eau assez épais sur le sol. Il déposait ses chaînes dedans et mis ses gants à une distance d’environ un mètre. Il les déposait dans un petit buisson où il pourrait apparaître rapidement et envoyer la chaîne rapidement. Il remballait ses chaînes et remis ses gants, il fit une croix sur le sol. Il partit chercher plusieurs denrées alimentaires et il posait le tout dans l’eau. Il avait chauffé plusieurs morceaux afin de créer une odeur alléchante si c’était un yokai qui aimait la nourriture, mais le fait qu’il est apparu proche des cuisines était un certain indice. Il se tournait vers son camarade :

«-Cela reste simple, mais cela peut marcher ! En tout cas, je suis prêt, mais il faut évacuer les deux jeunes ! »

L’indépendant sentait sa veine sur sa tempe se mettre à battre à un rythme plutôt grand. Il avait une folle envie de tuer quelqu’un et cette personne était ce Shigure. Il était hautain, méprisant et insignifiant. Le chakra électrique semblait parcourir son corps comme une envie irrésistible de sortir de ses mains pour déchiqueter la tête de cet être. Les muscles se bandaient fortement pour éviter de se jeter sur cet homme. Il ignorait les paroles de cet être, puis il se mit à se consacrer à son piège. Alors que toutes les personnes humanoïdes étaient sorties de la cuisine, il attendait patiemment voir si son piège sommaire allait marcher. Soudain un léger bruit provenait dans la cuisine. Une sorte de raton-laveur venait d’apparaître, il s’était dirigé vers la nourriture. L’animal n’était pas forcément le plus malin, mais il était temps d’effectuer ce qu’il avait décidé de faire. Jinpachi effectuait rapidement des mudras amenant l’électricité à parcourir son corps. Puis, il attrapait rapidement les chaînes afin de faire parcourir la foudre vers l’eau qui jonchait le sol. Puis sans réellement attendre il fit une série de geste avec ses bras et les chaînes se mirent à tourner vers le raton-laveur. Il souhaitait se servir de l’électricité qu’il avait utilisé avant pour l’avoir ankylosé et maintenant la chaîne pour le capturer. Son but n’était pas de l’avoir réellement blessé, mais il voulait avant tout comprendre plusieurs choses. Il avait un accoutrement étrange pour un animal :

« - Parles-tu humain ? Tu ressembles étonnamment avec ton accoutrement à un humain. Si tu me comprends, je m’excuse de ce stratagème, mais plusieurs personnes sont mortes et comme tu peux être en cause dans ces meurtres. Je devais avant tout te capturer. Est-ce que tu veux bien collaborer ? »

L’avantage avec le raiton de Jinpachi c’est qu’il était particulièrement efficace contre les différents yokai. Il avait été créer pour ce genre de monstres. Il avait une folle envie de buter son partenaire de mission et il craignait un peu que cette pulsion se mette à s’illustrer sur le tanuki. Néanmoins, il craignait toujours que ce monstre réussisse à éviter les liens ou même de se libérer. Il se tenait prêt dans le pire des cas à se battre. Surtout qu’un monstre restait potentiellement un monstre.

Résumé: Utilisation de la foudre blanche C2.2 Nouvelle nature
Foudre super efficace contre les Yokai (rajoute un dégât rang C en plus de votre attaque) et qui déstabilise les nerfs du corps de l'ennemi. Peut subir des dégâts rang C, si l'ennemi tente un mouvement rapidement après avoir été touché (vitesse, esquive) le tour d'après le temps que l'électricité se disperse de son corps.

L’indépendant n’était pas dans une très bonne journée. Les dieux avaient joué avec lui, il n’avait pas rencontré beaucoup de personnes intéressantes et son partenaire de mission était un parangon d’ignominie et de mauvais tours. L’homme quant à lui n’aimait pas le gros pervers qui servait de commanditaire et sa notion de bienséance et de braconnage était vraiment quelque chose qui irritait le poil de l’apôtre de la foudre. En plus de ça, il se retrouvait maintenant à devoir chasser le yokai, mais en plus de ça son corps n’était pas aussi fort et adroit qu’avant. Les chaînes n’avaient pas pris la destination qu’il souhaitait et s’était enroulé autour du torse du bellâtre. Il s’était même électrisé… Un brin fortement sonné, il avait touché quand même le yokai, mais celui-ci était un clone.

Rien ne semblait marcher aujourd’hui et pire dans tout ça, il allait se faire attaquer par le démon avec des testicules… DES TESTICULES de raton laveur… L’indépendant avait bien compris qu’il devrait se battre et qu’il ne pourrait pas esquiver le coup, il tentait de réduire le coup avec son armure pour diminuer les dégâts et sans attendre il fit une série de mudras puis il plaçait ses mains en triangle pour projeter une forte décharge de lumière sur l’ennemi qui se trouvait proche de lui.

« - Hikariton, Kikoho ! »

Puis, sans attendre, il fit une pirouette, puis une autre pour prendre un peu de distance. Il effectuait de nouveau une série de signe pour préparer une nouvelle attaque, ou une défense. Il s’énervait :

« - Tu as osé m’attaquer avec tes testicules, au nom de Raijin, je te buterai et arracherait tout ce qui fait de toi un homme ! »

La veine gonflée le long de sa tempe, il était clairement dans une colère noire. Sans même attendre, il chargeait la foudre blanche dans sa bouche et il attendait que l’ennemi tente une nouvelle attaque pour savoir s’il cracherait sa foudre blanche sur l’ennemi ou non.

récapitulatif: