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XP'S : 755
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Inventaire
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Objet: Faux rétractable. Shuriken, Senbons. Armure 2 étoiles, épée démoniaque. Kit d'armement 1 kit de réparation Potion d'amnésie. Ambre Bleu. Croc
# Kaji Dabi, le coup de marteau, le coup du coeur. Mer 20 Avr - 23:53
Kaji Dabi
« Chercher constamment la perfection est un fardeau trop lourd!»
i. Information
► Nom : Kaji
► Prénom : Dabi
► Taille : 1M90
► Poids : 80 KG
► Age : 25 ans
► Affinité Primaire : Katon
► Grade Militaire Souhaité : Ce que vous pensez.
► Village Souhaité : Seizan
► Religion : Athée
► Grade Religieux Souhaité : Nope
► Particularité : Cicatrice sur l’oeil droit, oeil vairon. Il possède un oeil marron et un oeil bleu.
► Source de l'avatar : OC
ii. Que recherches-tu ?
La création ultime:
Le corps couvert de cicatrices, les doigts remplies de salures, la souillure de la poussière sur sa joue. Les étincelles qui crépitent à chaque coup de marteau, la lumière qui vacille à chaque coup de marteau sur le fer brûlant. Les perles de sueurs qui apparaissent sur la commissure de son front, la tempe qui marque les soubresauts de son coeur par l’afflux irrégulier de sang dans l’ensemble de ses muscles. Le même rituel qu’il produit chaque soir, chaque moment de la journée dans sa quête de l’ultime arme. Les muscles parfois rempli d’ankylose, la Lune qui se met à luire dans le creux de la flaque de sueur qui coule à côté de lui. Le Dieu Luminaire qui se met à réapparaître, alors que la machine que Dabi peut être continue sans cesse ce même mouvement nuit et jour. Il recherche une seule chose, une pièce de collection, une image parfaite de la conception même de ce qu’il souhaite. La pile d’arme de bonne facture se faisait de plus en plus grande derrière l’homme. Il était un bon forgeron, mais rien n’était assez fort au goût de cet homme. Il souhaitait créer le réceptacle parfait pour l’âme de sa soeur. Elle était mourante depuis pas mal d’années, il ne lui restait que peu de temps à vivre. Il n’avait pas de moyen de la sauver, néanmoins il ne pouvait pas se résoudre à perdre la seule personne pour qui il avait de l’affection dans ce monde. Il s’était mis en quête d’en apprendre plus sur les sceaux, pour réussir à créer le seul moyen de pouvoir garder sa soeur à ses côtés jusqu’à sa propre fin. Depuis qu'il avait prit cette quête de sauver d’une certaine manière celle qui alimentait l’étincelle de vie dans le vaisseau qu’était le jeune Dabi, il travaillait sans cesse à parfaire son art. Avant que l’heure fatidique de sa petite soeur puisse se présenter. Le sablier qui coulait le long de sa colonne qui petit à petit faisait dépérir l’âme du ninja.
La définition d’un art supérieur:
La création, le travail d’un matériel tel que le métal était une forme d’art bien particulière. Il souhaitait amener cet art à un level supérieur. Il s’était mis à dessiner sur plusieurs parchemins. Il possédait un coup de pinceau particulier, chaque esquisse démontrait des hommes tentant d’utiliser différentes armes. Tout était décrit dans une vocation de la perfection la plus totale, chaque détails, chaque forme possédait sa propre légende. Son sentiment de la perfection était d’une profondeur abyssale. Il avait créer son art particulier, ce qu’il définissait comme la supériorité sur les autres. L’art du perfectionnisme, mais était-il le seul à le voir? La perfection n’était pas simplement le reflet d’un grand trouble, celui d’avoir peur de se sentir seul, la peur de ne rien pouvoir contrôler et de se retrouver dans les bras bercés par une plus grande destinée? L’art de la perfection était finalement qu’un adage, une allégorie de sa plus grande peur, sa phobie de la mort. L’apologie de la chose dont on ne sait rien, l’apologie de la chose qu’on ne pouvait pas contrôler. Finalement l’art de la perfection était le parfait oxymores de sa propre vie. L’art supérieur d’un être inférieur.
iii. Histoire
Douceur d’un soir,
Perché dans la pénombre,
Le cri du cornèbre
Qui perce le noir.
L’étincelle d’une flamme
Le martèlement métallique
Le bruit d’un clic,
L’eau remplie de flemme
La vapeur qui chancelle
Le bruit qui monte
Vers le haut de la hutte,
La lame qui s’ensorcelle.
Ce soir naquit une nouvelle lame. Une lame qui n’est toujours pas au goût de notre ami. Les larmes se mettaient à couler le long des joues de l’homme qui voyait le temps s’égrainer à une vitesse bien trop grande pour qu’il puisse les stopper de ses mains tiraillées d’une constellation de cloques. Les entailles légères sur l’ensemble de ses mains, le noir qui s’était incrusté dans sa peau, dans ses ongles, dans son sang. La suie, les copeaux de métal qui sont devenus partie intégrante de cet homme. Les larmes qui s’entremêlaient aux grains du temps. La maladie avançait bien trop rapide… Le temps était trop faible, il n’y arriverait pas, il se maudissait de toutes les manières. L’autoflagellation par l’effort, la souffrance causée par le feu qui pouvait parfois se mettre à tomber sur le cuir de sa peau. Tellement de souffrance qu’il pouvait parfois s’engendrer dans des actes déraisonnables, car il se maudissait d’être dans un parfait état alors qu’il était le grand frère et qu’il n’arrivait pas à protéger sa petite sœur. Il aurait tellement préféré pouvoir l’aider, il échangerait sa place pour la sienne par tous les moyens. `Perché dans la pénombre,
Le cri du cornèbre
Qui perce le noir.
L’étincelle d’une flamme
Le martèlement métallique
Le bruit d’un clic,
L’eau remplie de flemme
La vapeur qui chancelle
Le bruit qui monte
Vers le haut de la hutte,
La lame qui s’ensorcelle.
Le corps se relevait, un brin décharné, la grande silhouette longiligne du ninja se mit à regarder l’enclume qui lui faisait face. Le feu qui continuait de danser dans la salle faisant danser l’ombre de Dabi, une ombre qui par cette danse lumineuse semblait se moquer de la déchéance de son hôte. Les larmes qui continuaient de perler le long du visage fatigué du forgeron semblait tomber goutte à goutte sur le fer encore chaud d’une lame qui venait de naître. Le bras de l’artiste se posait sur ses yeux, il frottait d’un mouvement rapide et vif. Il était temps, le garçon se mit à se retourner d’un simple mouvement rotatif, un léger appui sur ses talons et il se retrouvait à contempler un mur différent. Les larmes avaient été stoppées par ce mouvement vif de son bras, on pouvait encore voir les stigmates de ses larmes par la légère trace de blanc sur le corps remplie de poussières. Il ne pouvait pas rester comme ça, d’un simple mouvement machinal. Le cerveau se mit à conduire son véhicule un brin bancal, jusqu’à un point d’eau. Les deux mains se posaient sur les côtés d’un seau. La tête se mit à pénétrer d’un seul coup dans le récipient. Les yeux ouverts, l’homme contemplait un instant le fond lisse du seau. Puis, d’un simple mouvement de recul, il fit balancer son visage vers l’arrière avant de nettoyer avec ses mains la saleté de son visage. Il ne devait rester aucune trace de sa détresse. Il ne pouvait pas laisser la moindre trace. Une fois cette toilette rudimentaire effectuée, l’homme se relevait d’un léger bond, il chancelait, car ses muscles étaient extrêmement fatigués.
Il se mit à avancer vers une pièce dans l’habitacle qui leur servait de maison. Il prit légèrement de ses doigts douloureux la poignée de porte. Ouvrant légèrement celle-ci, il se retrouvait le lit de sa sœur endormi dans une position proche de celle d’une morte. D’un mouvement, rapide et léger, il se posait à ses côtés. Il se mit à poser sa main le long de son front, il vérifiait ainsi sa température. Aucun mot ne sortait de sa bouche, mais la température n’était pas alarmante. La jeune fille se mit à ouvrir les yeux, d’un mouvement de détente, elle se mit à bâiller avant de lui sourire affectueusement. Sans même dire quelque chose, elle posait ses bras autour des épaules de son frère ; celui-ci se mit à la portée pour la sortir de son lit. Les jambes de la jeune femme étaient complètement enroulées d’un nombre incalculable de bandelettes. On pouvait voir à quelques endroits que la peau de ses jambes était complètements nécrosés. Son corps pourrissait par une bactérie nécrosante. Cette bactérie était incurable et elle ne s’en allait qu’une fois avoir dévoré le corps de son hôte. Elle était déjà arrivée au bas du ventre de la jeune fille qui souffrait le martyr, mais ne semblait rien dire. Le garçon la posait dans une sorte de chaise où il avait créé des roues de factures simples et faites de fer. Il se mit alors à la pousser pour la faire sortir de la maison et effectuer une balade en compagnie de la Lune. Le soleil était bien trop agressif pour la peau de la demoiselle. Elle était devenue en si peu de temps, une enfant de la Lune.
Le garçon se mit à lui parler:
« - Es-tu prête? »
La demoiselle se mit à le regarder d’un air rassurée:
« - Je le suis. »
Dabi refrénant les larmes qui semblaient vouloir apparaître le long de ses yeux, lui dit d’un ton affectueux:
« - Ne t’inquiète pas, quoiqu’il arrive. On se retrouvera dans un autre endroit, sous une autre forme, dans une nouvelle vie. Je t’en fais la parole! »
Sans rien dire, la demoiselle tendait les bras afin qu’il puisse la prendre sur son dos. La proximité, la chaleur du corps de sa sœur se mit à réchauffer l’âme de ce frère en perdition. La peine était grande, mais il continuait à rester son héros. Il montait une à une les marches de l’édifice. Il continuait à arpenter l’endroit sans même regarder autour de lui, il connaissait sa destination et surtout le chemin. Le bois craquait dans une symphonie particulière, dans l’esprit de la jeune fille, la mélodie était particulière. C’était la dernière fois qu’elle l’entendrait… Un mois s’était écoulé depuis cette scène, depuis cette fois-ci l’homme avait repris son travail de ninja afin de pouvoir payer ses recherches. Aujourd’hui, il était en congé, il s’était rendu comme chaque journée où il pouvait se prendre un peu de temps devant le son corps. Elle dormait paisiblement dans un état végétatif enfermé dans un cercueil de glace. C’était la seule manière pour éviter que la maladie continue de progresser, la seule façon pour qu’il puisse trouver le temps de créer l’arme suffisamment puissante, suffisamment parfaite pour accueillir cette âme. Il n’abandonnerait pas, il ferait tout ce qui est en son possible pour réussir à la sauver. L’espoir était présent, Kibou pouvait encore survivre.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yang à 53 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): réponse.
► Quel âge as-tu ? ron cul
► Comment nous as-tu trouvé ? Le chauve
► Comment trouves-tu le forum ? Chauvesque
► T'as un autre compte? Lequel ? Nope
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Nope c’est chiant
► Quel âge as-tu ? ron cul
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► T'as un autre compte? Lequel ? Nope
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C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Kaji Dabi, le coup de marteau, le coup du coeur. Jeu 21 Avr - 20:59
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Seizan no Satô au grade de Chuunin !
Trop triste mais trop beau T-T
TRAME PERSONNELLE :
Il semblerait que quelqu'un a déjà contracté cette maladie sur Onogoro, qui se nomme La Corruption Noire.
TON IMAGE : L'attristé
Il semblerait que quelqu'un a déjà contracté cette maladie sur Onogoro, qui se nomme La Corruption Noire.
TON IMAGE : L'attristé
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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