# Présentation de Kawabata Yukio [Terminé] Jeu 16 Fév - 20:24
KAWABATA YUKIO
"Le corps humain et ses limites, elles seront la cause de notre fin."
i. Information
► Nom : Kawabata
► Prénom : Yukio
► Taille : 166 cm
► Poids : 56 Kg
► Age : 24
► Affinité Primaire : Doton
► Village Déserté : Toge
► Grade Militaire Déserté : Aucun
► Grade Indépendant souhaité : 1★
► Religion : Jashinisme
► Grade Religieux Souhaité : Ombre
► Particularité : - Genre fluide, considère ce qu'il y a entre ses jambes comme une simple banalité de la vie qui ne devrait pas diriger la manière dont iel se présente (Mais vous pouvez vous référer à son feat pour son apparence sous les vêtements)
- Aucun tatouage de Jashin pour le moment.
- Artiste proéminent en plusieurs domaines, bien qu'iel déteste la musique et le théâtre Kabuki.
- Sait dessiner avec ses pieds et sa bouche.
- Trouble de l'attention extrême.
► Province de vie actuelle : Daichi no Kuni
► Source de l'avatar : Katsushika Hokusai (Fate/Grand Order
ii. Que recherches-tu ?
« L'Œuvre Parfaite.
Nombreux sont ces individus, étranges garnements, qui daignent poser cette question. Qu’aspires-tu à, en ce monde, Chère Saltimbanque ? Les plus grands empereurs, les plus éminents moines, et autres fabulateurs déchus, cherchaient finalement toujours une même chose : la vie éternelle.
Je suis loin d’être un de ces impétueux politiques. La vie a toujours eu une saveur exotique, en raison de son caractère éphémère ; mes offrandes à Jashin l’auront toujours prouvé, la mort est, sans aucune once de doute, un moyen d’expression comme un autre. Je ne cherche rien de particulier, ni ma mémoire perdue.
Mon but dans la vie, il est tout simple. Je veux créer la marionnette parfaite. L’ultime œuvre d’art, en somme ; aucun roman, aucune esquisse, ni même morceau de musique, ne saurait rivaliser face à une telle création. Je veux donner la vie, de manière complètement artificielle. Je veux trouver le statut éphémère de la Mort dans mes créations. »
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
Nombreux sont ces individus, étranges garnements, qui daignent poser cette question. Qu’aspires-tu à, en ce monde, Chère Saltimbanque ? Les plus grands empereurs, les plus éminents moines, et autres fabulateurs déchus, cherchaient finalement toujours une même chose : la vie éternelle.
Je suis loin d’être un de ces impétueux politiques. La vie a toujours eu une saveur exotique, en raison de son caractère éphémère ; mes offrandes à Jashin l’auront toujours prouvé, la mort est, sans aucune once de doute, un moyen d’expression comme un autre. Je ne cherche rien de particulier, ni ma mémoire perdue.
Mon but dans la vie, il est tout simple. Je veux créer la marionnette parfaite. L’ultime œuvre d’art, en somme ; aucun roman, aucune esquisse, ni même morceau de musique, ne saurait rivaliser face à une telle création. Je veux donner la vie, de manière complètement artificielle. Je veux trouver le statut éphémère de la Mort dans mes créations. »
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
iii. Histoire
« À toi, qui trouve ces mots, voici une esquisse de ce que je représente, ainsi que de mes méfaits. Voici l’histoire de Kawabata Yukio, futur artiste le plus réputé du monde.
Ironiquement, tout commence en l’an 803. Bien entendu, cette proximité évocatrice ne correspond qu’à une particularité, à mon égard : je ne suis pas bien jeune. Je n’ai, cependant, que cet événement à attribuer à une naissance. Cela, ainsi qu’une très forte envie de mourir. Retrouvé aux abords d’une mer disjointe, séparant le désert et la forêt, je n’étais qu’un vagabond dévêtu, affamé, avec comme seul souvenir la prononciation de mon prénom. Ce ne fut qu’une fois que des voyageurs de la Province du vent chaud me trouvèrent que je pus me vanter d’un attirail correspondant aux bonnes mœurs… Sans oublier la nourriture, ainsi qu’un toit.
De là, mes bienfaiteurs, un couple d'hommes Ninjas, me menèrent jusqu’au village caché de Toge, étant visiblement des soldats de cette commune. Se présenta face à moi une commune tout ce qu’il y avait de plus spectaculaire, autant par ses infrastructures que son organisation militaire. Une panoplie de soldats, cherchant d’autant plus de soldats, dans le but d’envoyer des soldats tuer d’autres soldats. Et ainsi de suite, se répétait le cycle de la lutte à la mort. Une véritable horreur. Ces morts, me rends-je compte à l’instant, étaient inutiles. Et c’était à cela qu’on tenta de m’entraîner, en m’enseignant maîtrise du chakra, et autres arts du combat qui ne m’avaient jamais enchantées. L’art et la lecture ont toujours été de meilleurs passe-temps, me concernant.
Deux ans à vivre dans une province qui ne me convenait pas, dans laquelle on me reprochait cette propension exacerbée à l’art morbide. C’est cela, mes talents d’artistes ont été cultivés dans cette partie du monde que l’on considérerait inadéquate pour un futur artiste ; que de foutaises. Si on pouvait attribuer une chose à ces bien curieux ninjas, samouraïs et moines, c’était bien leur amour d’un art complètement opposé à ce dont ils avaient la connaissance. »
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
« L’Origine, le But, et la Fin, ne sont que trois étapes d’un commencement nouveau.
Ce monde est complètement déséquilibré. Les riches s’enrichissent au dos des plus pauvres, la guerre fait, et fera toujours rage, entre autres injustices bien connues de cet empire. Ce qui renforce la désuétude, et la dépression d’une civilisation toujours poussée à bout, revient à un rejet même de ce statu quo.
Les dieux eux-mêmes, bercés d’une illusion implacable, n’ont de moyen de revêtir l’ordre naturel des choses. Tant que l’Humain pullule, la Nature en devient excessivement touchée. Des multitudes d’éléments que l’on maîtrise, que l’on croit comprendre, d’autres sont atteignables ! D’après les principes du Jashinisme, en tout cas, il est évident qu’un Renouveau est nécessaire pour y accéder.
Ma part du marché a déjà été effectuée, ayant donné environ vingt ans de ma mémoire aux cieux, me voilà donc à remplir l’autel métaphorique de Jashin de différents cadavres. En premier les gentilles personnes ayant contribué à ma réhabilitation, les Ninjas que je considérais comme une famille, malgré leur banalité décourageante. Il s'agissait d'un test, que je m'étais donné. J'aimais ces personnes, dont les noms m'échappent encore aujourd'hui. Je leur en devais tant, renforçant la dérision derrière un tel acte barbare. Ma passion était telle, que ni mes sentiments, et encore moins l'Ordre de la civilisation, n'arrêteraient ma prière envers Jashin. Il était après tout le seul à donner un véritable ordre à ce monde, le sacrifice de ma famille ne revenait à rien d'autre qu'une formalité, pour ma part. J'ose également émettre l'argument suivant : ayant gardé le nom d'un d'eux, ceux-ci perdureront dans le Monde tant que j'étais vivant.
Le meurtre me force à quitter les lieux, ma terre, même pas natale, dans le but d’entamer une vie de fugitif. L’expression d’une célébration plus que nécessaire de ma divinité. Le corps… Il était fragile. Le corps est brisable, le corps est une faiblesse. Il faut le surpasser, et je tuerai quiconque se mettra en travers de ce chemin, déjà tacheté du sang de mes aïeuls. »
– Extrait d’une Ode au Corps Humain, de Kawabata Yukio, 804
« Qu’il s’agisse d’aujourd’hui ou de demain, ton voyage sera orchestré de bien puissants obstacles.
Les difficultés ont enfin commencé à se montrer. On cherchait déjà un individu du nom de Yukio, ou du moins, des informations dessus, depuis ma renaissance. Aujourd’hui, seulement, ce ne sont ni anciens camarades, et encore moins anciens parents, qui croisèrent ma route. Il était question de deux mandats : la publication de mon pamphlet, et sa distribution interdite, ainsi que le meurtre de mes bienfaiteurs. Ce qui était étonnant… Sachant que ce premier meurtre de ma part venait simplement d’être perpétré.
Il fallait dire que l’année 805 avait toujours été forte en rebondissements. Mon statut de fugitif en faisait partie, me forçant à fuir, voire exécuter les agents de la paix croisant mon chemin. Là, est-ce l’instant de me tenir droit face à un objectif géographique suffisant : le village caché de Seizan. Véritable autel de la tolérance, rien d’autre que ce village pouvait me protéger du Mal de ce monde, et m’amener à une compréhension plus directe de ma religion. Fini les livres traitant le sujet comme une faute aberrante, à moi la connaissance de véritables adeptes de Jashin.
Pour le moment, je ne peux que faire don de mes talents à quiconque veut bien le voir ou l’entendre, en échange de quelques Ryos. Il ne me reste plus qu’à atteindre mon objectif, et je ne serai plus la marionnette ignorante de sa condition d’objet.
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
Ironiquement, tout commence en l’an 803. Bien entendu, cette proximité évocatrice ne correspond qu’à une particularité, à mon égard : je ne suis pas bien jeune. Je n’ai, cependant, que cet événement à attribuer à une naissance. Cela, ainsi qu’une très forte envie de mourir. Retrouvé aux abords d’une mer disjointe, séparant le désert et la forêt, je n’étais qu’un vagabond dévêtu, affamé, avec comme seul souvenir la prononciation de mon prénom. Ce ne fut qu’une fois que des voyageurs de la Province du vent chaud me trouvèrent que je pus me vanter d’un attirail correspondant aux bonnes mœurs… Sans oublier la nourriture, ainsi qu’un toit.
De là, mes bienfaiteurs, un couple d'hommes Ninjas, me menèrent jusqu’au village caché de Toge, étant visiblement des soldats de cette commune. Se présenta face à moi une commune tout ce qu’il y avait de plus spectaculaire, autant par ses infrastructures que son organisation militaire. Une panoplie de soldats, cherchant d’autant plus de soldats, dans le but d’envoyer des soldats tuer d’autres soldats. Et ainsi de suite, se répétait le cycle de la lutte à la mort. Une véritable horreur. Ces morts, me rends-je compte à l’instant, étaient inutiles. Et c’était à cela qu’on tenta de m’entraîner, en m’enseignant maîtrise du chakra, et autres arts du combat qui ne m’avaient jamais enchantées. L’art et la lecture ont toujours été de meilleurs passe-temps, me concernant.
Deux ans à vivre dans une province qui ne me convenait pas, dans laquelle on me reprochait cette propension exacerbée à l’art morbide. C’est cela, mes talents d’artistes ont été cultivés dans cette partie du monde que l’on considérerait inadéquate pour un futur artiste ; que de foutaises. Si on pouvait attribuer une chose à ces bien curieux ninjas, samouraïs et moines, c’était bien leur amour d’un art complètement opposé à ce dont ils avaient la connaissance. »
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
« L’Origine, le But, et la Fin, ne sont que trois étapes d’un commencement nouveau.
Ce monde est complètement déséquilibré. Les riches s’enrichissent au dos des plus pauvres, la guerre fait, et fera toujours rage, entre autres injustices bien connues de cet empire. Ce qui renforce la désuétude, et la dépression d’une civilisation toujours poussée à bout, revient à un rejet même de ce statu quo.
Les dieux eux-mêmes, bercés d’une illusion implacable, n’ont de moyen de revêtir l’ordre naturel des choses. Tant que l’Humain pullule, la Nature en devient excessivement touchée. Des multitudes d’éléments que l’on maîtrise, que l’on croit comprendre, d’autres sont atteignables ! D’après les principes du Jashinisme, en tout cas, il est évident qu’un Renouveau est nécessaire pour y accéder.
Ma part du marché a déjà été effectuée, ayant donné environ vingt ans de ma mémoire aux cieux, me voilà donc à remplir l’autel métaphorique de Jashin de différents cadavres. En premier les gentilles personnes ayant contribué à ma réhabilitation, les Ninjas que je considérais comme une famille, malgré leur banalité décourageante. Il s'agissait d'un test, que je m'étais donné. J'aimais ces personnes, dont les noms m'échappent encore aujourd'hui. Je leur en devais tant, renforçant la dérision derrière un tel acte barbare. Ma passion était telle, que ni mes sentiments, et encore moins l'Ordre de la civilisation, n'arrêteraient ma prière envers Jashin. Il était après tout le seul à donner un véritable ordre à ce monde, le sacrifice de ma famille ne revenait à rien d'autre qu'une formalité, pour ma part. J'ose également émettre l'argument suivant : ayant gardé le nom d'un d'eux, ceux-ci perdureront dans le Monde tant que j'étais vivant.
Le meurtre me force à quitter les lieux, ma terre, même pas natale, dans le but d’entamer une vie de fugitif. L’expression d’une célébration plus que nécessaire de ma divinité. Le corps… Il était fragile. Le corps est brisable, le corps est une faiblesse. Il faut le surpasser, et je tuerai quiconque se mettra en travers de ce chemin, déjà tacheté du sang de mes aïeuls. »
– Extrait d’une Ode au Corps Humain, de Kawabata Yukio, 804
« Qu’il s’agisse d’aujourd’hui ou de demain, ton voyage sera orchestré de bien puissants obstacles.
Les difficultés ont enfin commencé à se montrer. On cherchait déjà un individu du nom de Yukio, ou du moins, des informations dessus, depuis ma renaissance. Aujourd’hui, seulement, ce ne sont ni anciens camarades, et encore moins anciens parents, qui croisèrent ma route. Il était question de deux mandats : la publication de mon pamphlet, et sa distribution interdite, ainsi que le meurtre de mes bienfaiteurs. Ce qui était étonnant… Sachant que ce premier meurtre de ma part venait simplement d’être perpétré.
Il fallait dire que l’année 805 avait toujours été forte en rebondissements. Mon statut de fugitif en faisait partie, me forçant à fuir, voire exécuter les agents de la paix croisant mon chemin. Là, est-ce l’instant de me tenir droit face à un objectif géographique suffisant : le village caché de Seizan. Véritable autel de la tolérance, rien d’autre que ce village pouvait me protéger du Mal de ce monde, et m’amener à une compréhension plus directe de ma religion. Fini les livres traitant le sujet comme une faute aberrante, à moi la connaissance de véritables adeptes de Jashin.
Pour le moment, je ne peux que faire don de mes talents à quiconque veut bien le voir ou l’entendre, en échange de quelques Ryos. Il ne me reste plus qu’à atteindre mon objectif, et je ne serai plus la marionnette ignorante de sa condition d’objet.
– Extrait de Notes de Chevet, de Kawabata Yukio
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yang à 53 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): François-Louis, anciennement PsychAli.
► Quel âge as-tu ? C'est un secret.
► Comment nous as-tu trouvé ? Une certaine Saki m'a montré le chemin ici.
► Comment trouves-tu le forum ? Le lore est dense et intéressant à exploiter !
► T'as un autre compte? Lequel ? Non
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Non
► Quel âge as-tu ? C'est un secret.
► Comment nous as-tu trouvé ? Une certaine Saki m'a montré le chemin ici.
► Comment trouves-tu le forum ? Le lore est dense et intéressant à exploiter !
► T'as un autre compte? Lequel ? Non
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Non
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Présentation de Kawabata Yukio [Terminé] Dim 15 Oct - 16:29
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins les indépendants au grade de 1★ !
Je te valide également Faucheur au sein du Jashinisme (étant donné que tu as déjà sacrifié pour eux).
J'ai beaucoup aimé ta fiche, le personnage est bien décrit et j'aime beaucoup ta manière de tourné les choses et les mots employés. Ce fut très agréable.
TRAME PERSONNELLE :
Tu ne te souviens de rien, vingt années envolées, ultime offrande de ton dévouement actuel à un monde nouveau. Pourtant tu as une marque singulière sur ta peau, on pourrait croire à une marque de naissance, pourtant elle semble un peu étrange. Entièrement noire, on dirait un tatouage, une marque d’appartenance à quelque chose qui t’échappe totalement. On te parle d’une marque de famille peut-être mais le peu de recherches entamées dans ce sens n'ont rien donné. Personne ne comprend réellement cette marque mais il est certain qu’elle te lie à ton passé oublié.
Tu ne te souviens de rien, vingt années envolées, ultime offrande de ton dévouement actuel à un monde nouveau. Pourtant tu as une marque singulière sur ta peau, on pourrait croire à une marque de naissance, pourtant elle semble un peu étrange. Entièrement noire, on dirait un tatouage, une marque d’appartenance à quelque chose qui t’échappe totalement. On te parle d’une marque de famille peut-être mais le peu de recherches entamées dans ce sens n'ont rien donné. Personne ne comprend réellement cette marque mais il est certain qu’elle te lie à ton passé oublié.
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son Carnet d'aventure et ta Boîte à rouleaux. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord également.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les Annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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