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# Kanzen Chigusa [Terminé] Mer 20 Avr - 21:28
Kanzen Chigusa
"Il est absurde de diviser les gens en bons et en mauvais. Les gens sont soit charmants soit ennuyeux."
i. Information
► Nom : Kanzen
► Prénom : Chigusa
► Taille : 1m52
► Poids : 38kg
► Age : 15 ans
► Affinité Primaire : Raiton
► Grade Militaire Souhaité : Chunin
► Village Souhaité : Seizan
► Religion : Athée
► Grade Religieux Souhaité : ///
► Particularité : Peau anormalement blanche, pupilles uniformément noires
► Source de l'avatar : Oshino Ougi - Monogatari Serie
ii. Que recherches-tu ?
Il est amusant de demander à un outil ce qu'il désire. Après tout que ce soit en temps que poupée de dîners mondains ou que d'arme pourfendeuse de yokai, mes désirs n'ont jamais eu d'importances.
Le travail bien fait, voilà qui est satisfaisant. Quand la cible est parfaitement piégées, que chacune de ses actions est prévue et l'entraine vers une mort aussi inéluctable que prévisible. Quand elle réalise finalement que ses options n'étaient qu'illusions et que sa fin était programmée, quel délice.
Peut être est ce pourquoi à force de ne pas chercher à me construire des ambitions qui me sont propres que j'ai finit par m'intéresser d'avantage à celles des autres. Suivre leurs parcourt, les aider, les soutenir, et les voir échouer face à leur propres limites, leurs propres contradictions qu'ils ne réalisent que trop tard.
Oh peut être qu'il y a là un motif commun qui se révèle. Il est possible que j'apprécie simplement de contempler le sabordage de mes contemporains. Comme c'est vilain.
Le travail bien fait, voilà qui est satisfaisant. Quand la cible est parfaitement piégées, que chacune de ses actions est prévue et l'entraine vers une mort aussi inéluctable que prévisible. Quand elle réalise finalement que ses options n'étaient qu'illusions et que sa fin était programmée, quel délice.
Peut être est ce pourquoi à force de ne pas chercher à me construire des ambitions qui me sont propres que j'ai finit par m'intéresser d'avantage à celles des autres. Suivre leurs parcourt, les aider, les soutenir, et les voir échouer face à leur propres limites, leurs propres contradictions qu'ils ne réalisent que trop tard.
Oh peut être qu'il y a là un motif commun qui se révèle. Il est possible que j'apprécie simplement de contempler le sabordage de mes contemporains. Comme c'est vilain.
iii. Histoire
Journal de Kanzen Jouichiro
Le propre de la famille Kanzen est d’atteindre l’idéal de perfection noble. Par là j’entends un niveau de raffinement et d’élégance parfait, l'ultime séparation entre la plèbe et l’élite. Ces qualités sont simples : une peau blanche et pure qui s’oppose aux vulgaires teints hâlés des travailleurs des champs, de grands yeux expressifs qui s’opposent aux petits yeux fourbes de la masse, des cheveux d’un noir pur et profond dépourvu de tout mélange génétique avec des peuples douteux. Ma femme et moi même étions proches de cette idéal, mais proche n’est pas parfait, notre clan ne pouvait se contenter de cela. Voilà pourquoi elle a été choisie comme mon épouse, sa finesse et ses traits étaient optimaux pour se joindre avec mes propres gènes sélectionnés par notre famille et créer la perfection tant désirée. Mais c’était encore insuffisant, je fis appel aux forces plus occultes, je priais, fit bénir ma femme enceinte, les dieux eux même devaient nous soutenir dans notre quête de perfection.
La naissance fut quelque peu complexe, ma femme était trop frêle pour proprement mettre au bas et n’y survit pas, mais l’enfant parvint à venir au monde c’était le principal. Si mon héritier atteignait notre objectif, alors ne pas pouvoir en avoir d’autres n’était pas un problème. Cependant, cet enfant était…maudit. C’était le seul mot, son teint était aussi cadavérique que celui d’un squelette, et elle n’était pas bien moins frêle que l’un d’entre eux. Ses yeux noir et énormes me fixaient en permanence sans hésitation comme ceux d’une bête guettant sa proie. Elle était terrifiante, sa simple vue, sa simple existence me mettait profondément mal à l’aise. Et voilà que j’étais condamné à l'éduquer, cette créature devait porter notre nom synonyme de perfection, quelle honte. Alors que les familles rivales telle que celle de Lin Hao se pavanent avec leurs enfants génies, je passe les années suivantes à éduquer cet être, à lui apprendre à rester en silence, à faire preuve de retenue et d’élégance à ne pas laisser ses désirs égoïstes passer avant le bien du clan, et pourtant même quand elle reste dans son coin son simple regard continue de me donner des sueurs froides. Fort heureusement la providence ne m’a pas totalement abandonné, Chigusa dispose de talents de Ninja, je peux donc m’en débarrasser en l’envoyant à l’académie. Enfin délesté de ce poids, il est temps pour mois de me trouver une autre femme et de recommencer sur des bases saines.
Cependant les années passèrent et je n’arrivais pas à le faire. Ma fille arrivait sur ses 13 ans et je n’avais toujours pas réussi à me remarier. Ce n’était même pas par malchance, je ne parvenais juste pas à me décider. Pourquoi ? Seul dans ma résidence cette nuit-là, je me posais la question. J’étais à fleur de peau, un simple bruissement de feuilles dans le jardin m’avait fait sursauter. Et pourtant j’étais également distrait, je n’avais même pas vu la servante m’apporter le thé. Ce sujet me hantait, pourquoi ne parvenais-je plus à me motiver ? Pourquoi quand je commençais à réfléchir à la candidate idéale pour créer le vrai héritier parfait, le visage moqueur de Chigusa venait troubler mes pensées systématiquement ? Elle était sur le point d’être envoyée à l’autre bout du pays, alors pourquoi son existence me dérangeait encore ? Pourquoi étais-je si irritable ? Pourquoi étais-je si fatigué ? Ma tête commençait à tourner. Ce n’était pas que de la fatigue non, je mes forces m'abandonnent, le thé ! Quelqu’un a empoisonné mon thé. Alors que j’ouvre la bouche pour appeler à l’aide, une main blanche et glacée vient me saisir le menton, et placer mon visage devant celui de ma fille. Avant même que je ne puisse me demander ce qu’elle faisait là, elle prit la parole.
“Inutile de crier père. La seule plébéienne avec laquelle vous tolérez de partager la maison de nuit a été autorisée à prendre congé. Je ne voulais pas qu’elle gâche ma dernière visite.”
Son ton était incroyablement calme, si froid, si calculé. Comme si elle ne laissait aucun affect se montrer à travers sa voix sans qu’elle ne le désire. C’était aussi une qualité de noble, et pourtant quand elle l’utilisait c’était davantage un outil de terreur que de présence sociale. Que pouvait-elle bien vouloir ? Me tuer ? Comment savoir ce qui pouvait lui passer par la tête…
“Oh ne vous en faites pas père, je suis consciente que ma présence vous dégoûte, aussi je vais être aussi brève que faire se peut. J’ai songé à ne pas passer du tout, mais je ne pouvais pas simplement partir pour Seizan sans jamais vous faire part des résultats de toutes ces années d’observations.”
“...Observations ?”
Elle ne faisait que cela, observer, me jauger de ses yeux fixes et vides. Où voulait-elle en venir, voulait-elle me traiter de mauvais père ? M’insulter pour n’en avoir eu cure de la perte de sa mère ? Quel importance, elle ne comprenait rien aux vrais buts de la famille, que pouvait elle bien dire qui…
“Voulez vous savoir pourquoi vous ne parvenez pas à vous remarier ?”
Mon fil de pensées fut brisé. Que voulait-elle dire ? Pourquoi ce sujet là ? Qu’est ce que cela pouvait bien lui faire ? C’était important pour moi, mais elle, pourquoi amenait elle cela maintenant ?!
“C’est fou ce que l’on peut apprendre sur les autres quand on est forcé de se taire et d’observer n’est ce pas ? Mais revenons au sujet qui a causé une telle déformation de votre expression confiante. Pourquoi ne pas simplement avoir un autre enfant, père ? C’est pourtant évident. Vous êtes malheureusement incapable de faire cette déduction par vous même car votre orgueil empêche votre bon sens de faire son œuvre.
Cet enfant, d’après les standards de notre famille, pourra-t-il avoir une peau plus parfaite que la mienne ? Des yeux plus parfaits ? Non, bien sûr que non. Savez-vous pourquoi ?”
“Non…ne…c’est…”
“Votre définition de la perfection, c’est moi, avec ma peau ridiculement blanche, mes yeux ridiculement grands, mes manières si nobles qu’elles en sont sinistres. Quand je suis née, au fond de vous, vous avez compris que l’absolu auquel vous avez consacré votre vie, que l’élitisme par lequel vous avez défini votre personnalité, que la confiance que vous aviez en ces caractéristiques qui nous différencient de la plèbe. Que tout cela est d’une stupidité et d’un non sens total qui ne mène nulle part.
Alors avant de partir je voulais me tenir devant vous une dernière fois. Simplement pour voir la délicieuse expression qui couvre actuellement votre visage. Celle d’un homme qui réalise que les buts pour lesquels il a tout sacrifié n’ont aucun sens.
Cette expression à l’instant précis où la flamme qui vous a donné la force d’agir toute votre vie s’éteint pour toujours.”
Son sourire, je n’arriverai jamais à l’oublier, alors que mon esprit se brisait, que le sens de ma vie était réduit à néant par ses mots, son visage était tordu dans un rictus amusé, je ne l’avais jamais vue aussi heureuse. Tel un fantôme moqueur venu me hanter. Je fut presque reconnaissant quand sa main lâcha mon menton et que la brusque chute vers le tatami la fit enfin quitter mon champ de vision. Sa voix qui arriva une dernière fois à mes oreilles avant que je ne perde connaissance était aussi excitée que celles des filles de son âge qui se font offrir une robe historiée.
“Quel plaisir, j’ai hâte de trouver de nouveaux jouets avec lesquels recommencer. Maintenant que celui-ci est cassé.”
Et ainsi elle a disparu. Quelques jours plus tard, elle fut envoyée à Seizan. Si loin de moi, mais malgré cela, depuis ce jour, les gardes sont autorisés à pénétrer la demeure pour me protéger, même de nuit. Et pourtant, malgré toute cette sécurité, parfois, quand le vent froid passe par la porte du jardin la nuit, je sens encore une main glacée passer sur mon menton.
La naissance fut quelque peu complexe, ma femme était trop frêle pour proprement mettre au bas et n’y survit pas, mais l’enfant parvint à venir au monde c’était le principal. Si mon héritier atteignait notre objectif, alors ne pas pouvoir en avoir d’autres n’était pas un problème. Cependant, cet enfant était…maudit. C’était le seul mot, son teint était aussi cadavérique que celui d’un squelette, et elle n’était pas bien moins frêle que l’un d’entre eux. Ses yeux noir et énormes me fixaient en permanence sans hésitation comme ceux d’une bête guettant sa proie. Elle était terrifiante, sa simple vue, sa simple existence me mettait profondément mal à l’aise. Et voilà que j’étais condamné à l'éduquer, cette créature devait porter notre nom synonyme de perfection, quelle honte. Alors que les familles rivales telle que celle de Lin Hao se pavanent avec leurs enfants génies, je passe les années suivantes à éduquer cet être, à lui apprendre à rester en silence, à faire preuve de retenue et d’élégance à ne pas laisser ses désirs égoïstes passer avant le bien du clan, et pourtant même quand elle reste dans son coin son simple regard continue de me donner des sueurs froides. Fort heureusement la providence ne m’a pas totalement abandonné, Chigusa dispose de talents de Ninja, je peux donc m’en débarrasser en l’envoyant à l’académie. Enfin délesté de ce poids, il est temps pour mois de me trouver une autre femme et de recommencer sur des bases saines.
Cependant les années passèrent et je n’arrivais pas à le faire. Ma fille arrivait sur ses 13 ans et je n’avais toujours pas réussi à me remarier. Ce n’était même pas par malchance, je ne parvenais juste pas à me décider. Pourquoi ? Seul dans ma résidence cette nuit-là, je me posais la question. J’étais à fleur de peau, un simple bruissement de feuilles dans le jardin m’avait fait sursauter. Et pourtant j’étais également distrait, je n’avais même pas vu la servante m’apporter le thé. Ce sujet me hantait, pourquoi ne parvenais-je plus à me motiver ? Pourquoi quand je commençais à réfléchir à la candidate idéale pour créer le vrai héritier parfait, le visage moqueur de Chigusa venait troubler mes pensées systématiquement ? Elle était sur le point d’être envoyée à l’autre bout du pays, alors pourquoi son existence me dérangeait encore ? Pourquoi étais-je si irritable ? Pourquoi étais-je si fatigué ? Ma tête commençait à tourner. Ce n’était pas que de la fatigue non, je mes forces m'abandonnent, le thé ! Quelqu’un a empoisonné mon thé. Alors que j’ouvre la bouche pour appeler à l’aide, une main blanche et glacée vient me saisir le menton, et placer mon visage devant celui de ma fille. Avant même que je ne puisse me demander ce qu’elle faisait là, elle prit la parole.
“Inutile de crier père. La seule plébéienne avec laquelle vous tolérez de partager la maison de nuit a été autorisée à prendre congé. Je ne voulais pas qu’elle gâche ma dernière visite.”
Son ton était incroyablement calme, si froid, si calculé. Comme si elle ne laissait aucun affect se montrer à travers sa voix sans qu’elle ne le désire. C’était aussi une qualité de noble, et pourtant quand elle l’utilisait c’était davantage un outil de terreur que de présence sociale. Que pouvait-elle bien vouloir ? Me tuer ? Comment savoir ce qui pouvait lui passer par la tête…
“Oh ne vous en faites pas père, je suis consciente que ma présence vous dégoûte, aussi je vais être aussi brève que faire se peut. J’ai songé à ne pas passer du tout, mais je ne pouvais pas simplement partir pour Seizan sans jamais vous faire part des résultats de toutes ces années d’observations.”
“...Observations ?”
Elle ne faisait que cela, observer, me jauger de ses yeux fixes et vides. Où voulait-elle en venir, voulait-elle me traiter de mauvais père ? M’insulter pour n’en avoir eu cure de la perte de sa mère ? Quel importance, elle ne comprenait rien aux vrais buts de la famille, que pouvait elle bien dire qui…
“Voulez vous savoir pourquoi vous ne parvenez pas à vous remarier ?”
Mon fil de pensées fut brisé. Que voulait-elle dire ? Pourquoi ce sujet là ? Qu’est ce que cela pouvait bien lui faire ? C’était important pour moi, mais elle, pourquoi amenait elle cela maintenant ?!
“C’est fou ce que l’on peut apprendre sur les autres quand on est forcé de se taire et d’observer n’est ce pas ? Mais revenons au sujet qui a causé une telle déformation de votre expression confiante. Pourquoi ne pas simplement avoir un autre enfant, père ? C’est pourtant évident. Vous êtes malheureusement incapable de faire cette déduction par vous même car votre orgueil empêche votre bon sens de faire son œuvre.
Cet enfant, d’après les standards de notre famille, pourra-t-il avoir une peau plus parfaite que la mienne ? Des yeux plus parfaits ? Non, bien sûr que non. Savez-vous pourquoi ?”
“Non…ne…c’est…”
“Votre définition de la perfection, c’est moi, avec ma peau ridiculement blanche, mes yeux ridiculement grands, mes manières si nobles qu’elles en sont sinistres. Quand je suis née, au fond de vous, vous avez compris que l’absolu auquel vous avez consacré votre vie, que l’élitisme par lequel vous avez défini votre personnalité, que la confiance que vous aviez en ces caractéristiques qui nous différencient de la plèbe. Que tout cela est d’une stupidité et d’un non sens total qui ne mène nulle part.
Alors avant de partir je voulais me tenir devant vous une dernière fois. Simplement pour voir la délicieuse expression qui couvre actuellement votre visage. Celle d’un homme qui réalise que les buts pour lesquels il a tout sacrifié n’ont aucun sens.
Cette expression à l’instant précis où la flamme qui vous a donné la force d’agir toute votre vie s’éteint pour toujours.”
Son sourire, je n’arriverai jamais à l’oublier, alors que mon esprit se brisait, que le sens de ma vie était réduit à néant par ses mots, son visage était tordu dans un rictus amusé, je ne l’avais jamais vue aussi heureuse. Tel un fantôme moqueur venu me hanter. Je fut presque reconnaissant quand sa main lâcha mon menton et que la brusque chute vers le tatami la fit enfin quitter mon champ de vision. Sa voix qui arriva une dernière fois à mes oreilles avant que je ne perde connaissance était aussi excitée que celles des filles de son âge qui se font offrir une robe historiée.
“Quel plaisir, j’ai hâte de trouver de nouveaux jouets avec lesquels recommencer. Maintenant que celui-ci est cassé.”
Et ainsi elle a disparu. Quelques jours plus tard, elle fut envoyée à Seizan. Si loin de moi, mais malgré cela, depuis ce jour, les gardes sont autorisés à pénétrer la demeure pour me protéger, même de nuit. Et pourtant, malgré toute cette sécurité, parfois, quand le vent froid passe par la porte du jardin la nuit, je sens encore une main glacée passer sur mon menton.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin 66 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): réponse.
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Les écrits du Gsheet l'avait prédit.
► Comment trouves-tu le forum ? Très propre, on sent le travail.
► T'as un autre compte? Lequel ? Nope
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Éventuellement
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Les écrits du Gsheet l'avait prédit.
► Comment trouves-tu le forum ? Très propre, on sent le travail.
► T'as un autre compte? Lequel ? Nope
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Éventuellement
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Kanzen Chigusa [Terminé] Dim 24 Avr - 19:27
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Seizan no Satô au grade de Genin !
Fiche sympa raconté du point de vue de ton père, c'était assez cool comme concept. Malheureusement tu n'obtiens pas le grade de Chuunin, pour la simple et bonne raison que tu as rejoins Seizan que récemment.
TRAME PERSONNELLE :
Maintenant que tu es à Seizan, tu commences à y vivre tranquillement. Mais depuis récemment, tu as toujours l’impression d’être observé, voir même suivi. Tu ne sais pas si c’est le fait que les gens te scrutent de part ta peau très pâle ou si c’est pour autre chose. Ton instinct te dit tout de même de te méfier. Qu’est-ce qu’on peut bien te vouloir ? Un admirateur secret ? Ou quelque chose de pire ? Pourtant personne ne te connais ici ?
TON IMAGE : Peau pâle
Maintenant que tu es à Seizan, tu commences à y vivre tranquillement. Mais depuis récemment, tu as toujours l’impression d’être observé, voir même suivi. Tu ne sais pas si c’est le fait que les gens te scrutent de part ta peau très pâle ou si c’est pour autre chose. Ton instinct te dit tout de même de te méfier. Qu’est-ce qu’on peut bien te vouloir ? Un admirateur secret ? Ou quelque chose de pire ? Pourtant personne ne te connais ici ?
TON IMAGE : Peau pâle
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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