Hideaki se trouvait seul dans son appartement, après la tragédie qui avait frappé sa famille. Son père avait été envoyé en prison et sa mère avait été tuée. Dans un moment de tristesse et de solitude, il prit la décision de fouiller dans les affaires de sa mère, espérant trouver un peu de réconfort. C'est alors qu'il avait trouvé une vieille boîte en métal contenant un carnet griffonné.

En le feuilletant, il découvrit que le carnet énumérait les recettes de la forge Agawa, ainsi que leur chiffre d'affaires. Cependant, en continuant à lire, le carnet prenait l'apparence d'un journal intime, révélant les préoccupations et les espoirs de ce qui semblait être son grand-père. Il mentionnait une concurrence croissante et une baisse de leur chiffre d'affaires, et semblait déterminé à trouver une solution pour relancer l'entreprise familiale.

Plus tard, dans les pages du journal, son grand-père maternel avait fait mention de choses "incroyablement rares" et avait écrit frénétiquement le mot "Nephilim" encore et encore. Il semblait obsédé par l'idée de créer une arme Nephilim, mais le journal s'arrêtait là, laissant Hideaki se demander si ces armes existaient réellement ou si c'était simplement une rumeur. Le jeune Shinobi se questionna à savoir si la famille Agawa avait réellement tenté de créer de telles armes et si elles avaie nt réussi ou échoué. D'autres questions tourmentaient le Genin, qui donc était la personne au village de Tsume No Kuni qui avait mentionné le nom de l'arme.

Décidé à en savoir plus, Hideaki se rendit dans le quartier marchand, situé non loin de chez lui. Il parcourut les rues poussiéreuses, observant les commerçants et les forgerons qui s'affairaient à leurs tâches quotidiennes. Il posa quelques questions aux gens qu'il rencontrait, mais personne ne semblait avoir entendu parler d'armes Nephilim ou de la forge Agawa.

Hideaki commença à perdre espoir, mais il ne voulait pas abandonner si facilement. Il décida de s'arrêter à une taverne populaire du coin pour se désaltérer et peut-être entendre des rumeurs ou des bribes d'informations sur les Nephilim. Il s'installa à une table et commanda une bière, puis il commença à discuter avec les autres clients. Il parla avec un vieux forgeron qui avait travaillé dans une forge de Tsume no Kume il y a de nombreuses années, mais l'homme n'avait jamais entendu parler de ces fameuses armes Nephilim.

Baignant dans la boucane de sa cigarette, il ne pouvait pas croire que personne au village de Seizan n'avait d'information sur le sujet, alors il décida de rester encore un peu et de continuer à poser des questions. Il était déterminé à découvrir la vérité sur ces armes et sur son grand-père maternel. Il passa les jours suivants à interroger les gens du village, mais il ne semblait pas y avoir de réponses à ses questions. Un sentiment de déception montait en lui. Il savait qu'il finirait par découvrir la vérité, même s'il devait passer le reste de sa vie à chercher.

Pour dernière destination, il décida de se rendre à la bibliothèque pour voir s'il pouvait trouver des informations sur les armes Nephilim. Il se rendit au rayon de l'histoire de Tsume no Kuni et commença à parcourir les livres, mais il ne trouva aucune mention des armes Nephilim. Il regarda dans d'autres sections, mais toujours aucune trace de ces armes.

Hideaki était déçu et frustré. Il avait espéré trouver quelques réponses à ses questions, mais il semblait que toutes les pistes mène à une impasse. Il décida de rentrer chez lui, découragé et bredouille.

Sur le chemin du retour, il repensa à toutes les conversations qu'il avait eues au sujet des Nephilim et à la détermination de son grand-père maternel à créer ces armes. Il se demanda s'il y avait quelque chose qu'il avait manqué, quelque chose qui lui aurait permis de trouver des réponses et que si la réponse ne se trouvait pas à Seizan, peut-être qu'elle se présenterait dans son village natal.

Une fois rentrer chez lui et bien emmitoufler dans ses couvertes, il espérait oublier ses pensées troublantes et trouver un peu de paix. Il s'allongea sur son lit et ferma les yeux, essayant de se vider l'esprit de toute préoccupation. Finalement, il s'endormit, espérant que demain serait, une journée, meilleure.