# Ao Yamanaka - You made me this way (Fiche Terminée) Mar 19 Avr - 21:20
Yamanaka Ao
"J'aime penser à ce à quoi nous ressemblons de loin, de haut; aux yeux des étoiles, nous sommes probablement des insectes, et s'il y a un dieu, lui-même doit peiner à comprendre à quel point c'est dur... être humain."
i. Information
► Nom : Yamanaka
► Prénom : Ao
► Taille : 1m72
► Poids : 65kg, plus ou moins
► Age : 26 ans
► Affinité Primaire : Futon
► Grade Militaire Souhaité : Jonin (Chuunin c'est bien aussi; je n'espère pas un miracle)
► Village Souhaité : Jujou
► Religion : Athée
► Grade Religieux Souhaité : Aucun
► Particularité : Autre que les cheveux…
► Source de l'avatar : Seragaki Aoba - DRAMAtical Murder
ii. Que recherches-tu ?
De motivations tant nobles qu’égoïstes, il cherche à perçer les mystères de la pensée humaine, à analyser l’esprit sous toutes ses coutures et comprendre ce qui anime réellement l’homme.
Personnellement, Ao souhaite montrer à son paternel (éternel adepte de la voie du fer au caractère bourru et indélicat) la valeur de ses convictions éloignées (du moins en apparence) de la barbarie typique des épéistes; shinobi entraîné aux arts plus subtils se découvrant des talents mystiques et abstraits, il ne cherche qu’à se prouver et se montrer des plus utiles. Rejoindre la Brigade d'Interrogation... pourquoi pas. Devenir conseiller pour Kaleah, peut-être?
Plus secrètement, le désir de former sa propre famille avec des gens choisis par ses propres soins se développe lentement. Fonder son propre groupe et réunir ses plus fidèles alliés sous son nom pour le rendre plus influent… tentant.
Personnellement, Ao souhaite montrer à son paternel (éternel adepte de la voie du fer au caractère bourru et indélicat) la valeur de ses convictions éloignées (du moins en apparence) de la barbarie typique des épéistes; shinobi entraîné aux arts plus subtils se découvrant des talents mystiques et abstraits, il ne cherche qu’à se prouver et se montrer des plus utiles. Rejoindre la Brigade d'Interrogation... pourquoi pas. Devenir conseiller pour Kaleah, peut-être?
Plus secrètement, le désir de former sa propre famille avec des gens choisis par ses propres soins se développe lentement. Fonder son propre groupe et réunir ses plus fidèles alliés sous son nom pour le rendre plus influent… tentant.
iii. Histoire
Certaines choses ne se choisissent pas.
Je n’ai pas voulu entendre la voix du renard blanc. Je n’ai pas voulu porter l’épée, aussi réelle que symbolique, de cet ancien épéiste des Monts de Fer. Je n’ai pas voulu partir de la Montagne bleue, quitter Seizan pour Jujou…
Pourtant, je ne regrette rien.
La famille Yamanaka se targue d’une fascination pour les traditions. On ne me connaissait pas vraiment; mon nom a glissé sous la langue de tellement de gens, des milliers de fois. Ce qu’on dit quand on est trop sensible, la couleur du ciel au dessus de nos têtes, le nom de ceux qui sont passés avant moi. Aoka, Aoko, Aomi, Aon, Aoharu, Aohime... Fleur, Enfant, Océan, Son, Printemps, Princesse…
J’ai vécu l’enfance de plusieurs avant moi, forcé dans un moule qui ne convenait pas, avec un avenir écrit à l’avance. Une enfance malheureuse, certaine, vierge de choix et vide de sens. Je devais au moins être un ninja. La dure réalité de l’acier trempé qui est venu percer la soie de mon premier kimono, couper le ruban dans ma tignasse. Papa... Papa disait que je devais arrêter de rêver, devenir un homme, une arme et un outil. Il a voulu m’entraîner, d’abord en douceur. L’intérêt n’y était pas. D’un côté, les comptines pour enfants; de l’autre, les lames trop lourdes à porter. Au bout de la table, un enfant coincé entre ses envies et son devoir. J’avais seulement sept ans.
Kitsune est un secret; tant cadeau précieux que pire ennemi. Le secret de la noblesse de notre maison. Partir finit par être la seule solution, après que tout ait été rasé; notre domaine en cendres, notre jardin étouffé par les flammes, nous avions compris qu’il fallait partir, qu’il vallait mieux repartir à neuf, emmenant avec nous le secret de cet esprit tempéramental.
Avec de maigres biens et quelques lourds souvenirs, nous avons quitté les terres de Seizan.
Là où maman a grandi, là où on voudrait bien de nous; la province de la forêt luxuriante, Ussoumori.
Mon premier festival. C’était le festival des couleurs, un festival du printemps. J’avais huit ans. Maman ne pouvait pas m’accompagner, alors à sa demande, papa devait venir avec moi. Il m’a accompagné jusqu’à la parade, je portais un kimono fait à la main par une amie de maman. Pour Ao, et pour personne d’autre.
Se refaire une place ailleurs dans le monde n’est pas toujours facile, mais j’ai vite compris qu’on ne me voyait pas comme la somme de mes ancêtres. Mon nom n’avait pas d’importance, ici. Les valeurs de mon père n’importaient pas, ici. Le monde n'était plus le même pour moi, et j'ai fini par me sentir à ma place, à me sentir accepté. J’ai accueilli le changement sans grand mal, mais papa...
Je n’y pensais pas à l’époque, mais avec le recul, je sais bien qu’il avait honte de moi. C’était, à ses yeux et à ses mots, une “activité pour les dames, pas pour un petit homme”. Il ne me l’a dit que des années plus tard, n’ayant pas le coeur de briser le mien. Il voyait bien que j’étais heureux, et quand je suis revenu vers lui après les jeux, les cheveux teintés de poudre cyan, il a quand même trouvé la force de sourire.
L’entraînement n’allait pas bien, et maman a pris le relai. Je tiens mes aptitudes d’elle; mon père n’est ninja que de nom, gardant l’honneur et les traits d’un samourai. Je n’étais pas le meilleur des shinobis, je le savais bien, mais je n’arrivais pas à suivre son exemple, à faire ce qu’il fallait. Du moins, pas à ma façon.
Je me suis toujours demandé ce qui fait un humain, ce qui l’anime et le force à agir. Les réponses sont plus abstraites qu’autre chose, et… parfois, on n’a pas de réponse. J’ai longtemps porté cette sensation comme une seconde peau; je suis une coquille vide, forcée à le rester tant que ce que je trouve à mettre dedans ne peut pas convenir à une hiérarchie vétustée et rigide au possible.
Il a fini par abandonner; ça ne servait à rien de continuer.
C’est justement au tournant de mes quinze ans que je me suis retrouvé à embrasser le mur de ma réalité, après me l’être pris en plein front. Papa revenait d’un conseil de guerre, ou d’une assemblée des chefs, j’en savais peu sur le sujet. Il n’était pas content. La demeure était suspendue dans la froideur de son humeur. Lui et moi, nous parlions déjà très peu. Assis à la petite table de notre salle à manger, il se frottait les tempes, le front, les yeux. Doucement, comme maman m’a appris à le faire, j’ai voulu lui demander s’il désirait du thé ou quelque chose, lui dire qu’il n’avait pas l’air d’aller...
Je ne me doutais pas qu’au fond... c’était moi le problème. «Écoute... Je n’arrive pas à te comprendre. Pourquoi... est-ce que c’est si dur pour toi d’être un homme? Pourquoi tu aimes servir le thé? Pourquoi tout ce qui t’intéresse, c’est jouer dans les fleurs et repasser les jupons de ta mère? Ça me fait peur, Ao, je me dis que j’ai échoué en tant que père, et ça me tue de me dire que je n’aurai personne pour prendre ma place quand tu seras plus vieux. Pourquoi j’ai honte à ce point?»
Et là... j’ai pris une bonne bouffée d’air. J’ai déposé le thé. En vérité, c’est moi qui ne pouvait pas comprendre. Tous ceux qui m’entourent me disent que je suis une bonne personne, que je fais beaucoup d’efforts, que je suis jolie, que je suis futé... pourquoi lui, il ne le remarque pas? À genoux, je me suis assis devant lui, près de la table. Ça m’a frappé tellement fort que ça a mis tout le sens dont j’avais besoin dans mon esprit. Je l’ai regardé droit dans les yeux; je n’avais jamais haussé le ton avant ce moment. Jamais.
«… Tu penses vraiment que mon seul espoir de réussir, c’est d’être dans ton ombre, de faire comme toi, de faire comme on l’a toujours fait? Si tout ce que tu veux, c’est un fils qui sait se battre, tant pis. Il meurt aujourd’hui.» Il n’osait plus me regarder dans les yeux. «On ne s’est pas choisi. Je ne te l’ai jamais dit, mais je suis fier de toi. Tu as regardé ta maison brûler, tu as perdu tout ce que tu avais, et tu es assez résilient pour te relever de ça. Mais ton enfant enroulé dans un kimono, ça...»
Il ne répond pas. Je l’accusais ouvertement, et il n’osait pas répondre.
«Je ne sais pas ce que je suis, je ne sais pas qui je suis non plus. Je suis un entredeux. Donne-moi du temps, et je te donnerai mille fois plus qu’une suite à ta lignée.» Les traditions ne me font pas, et parfois la nature humaine n’offre pas le caprice du choix. L’humain est un esprit souple, changeant et prêt à se renouveler.
C’était la promesse que l’on s’est faite. Quand je saurai répondre à toutes ses questions, quand je saurai me répondre et quand je saurai ce qu’est être humain, je lui donnerai de quoi ne pas avoir à se retourner dans sa tombe.
Ce n’est qu’après cette confrontation que j’ai ouvert les yeux; je ne pouvais pas me mentir éternellement. Je suis un Yamanaka, mais je ne suis pas «qu’un autre Yamanaka».
Au courant de cette année, je suis allé au festival des couleurs. Tout seul. J’étais plus vieux, mais c’était, encore une fois, tant de plaisir que je ne voulais pas partir. Je regardais la poudre des ballons à lancer, et puis ça m’a pris d’un coup. Une fois parti, mon kimono tacheté de ciel et de mer, mes cheveux noyés sous mon prénom, j’ai suivi le chemin de la maison. «Vous êtes ravissante,» m’a-t-on dit, avant que je ne souffle, dans un sourire, un petit remerciement timide.
Je me suis rendu compte ce jour-là qu'il y avait une place pour moi, qu'importe laquelle, au milieu de tout ce monde. Cela me suffit.
Depuis, je suis devenu bleu. Depuis, j’ai cessé de me mentir.
Que je sois shinobi, que je sois princesse, que je sois arme ou bibelot… qu’importe. Tant que je sois ce qu’il faut, que je sache être celui que je veux, je deviens celui que je suis. Un vrai shinobi, capable de se cacher en pleine vue. Une vraie princesse, noble entrainée à l'art de l'étiquette. Une arme, prête à faire son travail pour sa patrie. Un bibelot, prêt à être admiré.
Je n’ai pas voulu entendre la voix du renard blanc. Je n’ai pas voulu porter l’épée, aussi réelle que symbolique, de cet ancien épéiste des Monts de Fer. Je n’ai pas voulu partir de la Montagne bleue, quitter Seizan pour Jujou…
Pourtant, je ne regrette rien.
***
La famille Yamanaka se targue d’une fascination pour les traditions. On ne me connaissait pas vraiment; mon nom a glissé sous la langue de tellement de gens, des milliers de fois. Ce qu’on dit quand on est trop sensible, la couleur du ciel au dessus de nos têtes, le nom de ceux qui sont passés avant moi. Aoka, Aoko, Aomi, Aon, Aoharu, Aohime... Fleur, Enfant, Océan, Son, Printemps, Princesse…
J’ai vécu l’enfance de plusieurs avant moi, forcé dans un moule qui ne convenait pas, avec un avenir écrit à l’avance. Une enfance malheureuse, certaine, vierge de choix et vide de sens. Je devais au moins être un ninja. La dure réalité de l’acier trempé qui est venu percer la soie de mon premier kimono, couper le ruban dans ma tignasse. Papa... Papa disait que je devais arrêter de rêver, devenir un homme, une arme et un outil. Il a voulu m’entraîner, d’abord en douceur. L’intérêt n’y était pas. D’un côté, les comptines pour enfants; de l’autre, les lames trop lourdes à porter. Au bout de la table, un enfant coincé entre ses envies et son devoir. J’avais seulement sept ans.
***
Kitsune est un secret; tant cadeau précieux que pire ennemi. Le secret de la noblesse de notre maison. Partir finit par être la seule solution, après que tout ait été rasé; notre domaine en cendres, notre jardin étouffé par les flammes, nous avions compris qu’il fallait partir, qu’il vallait mieux repartir à neuf, emmenant avec nous le secret de cet esprit tempéramental.
Avec de maigres biens et quelques lourds souvenirs, nous avons quitté les terres de Seizan.
Là où maman a grandi, là où on voudrait bien de nous; la province de la forêt luxuriante, Ussoumori.
***
Mon premier festival. C’était le festival des couleurs, un festival du printemps. J’avais huit ans. Maman ne pouvait pas m’accompagner, alors à sa demande, papa devait venir avec moi. Il m’a accompagné jusqu’à la parade, je portais un kimono fait à la main par une amie de maman. Pour Ao, et pour personne d’autre.
Se refaire une place ailleurs dans le monde n’est pas toujours facile, mais j’ai vite compris qu’on ne me voyait pas comme la somme de mes ancêtres. Mon nom n’avait pas d’importance, ici. Les valeurs de mon père n’importaient pas, ici. Le monde n'était plus le même pour moi, et j'ai fini par me sentir à ma place, à me sentir accepté. J’ai accueilli le changement sans grand mal, mais papa...
Je n’y pensais pas à l’époque, mais avec le recul, je sais bien qu’il avait honte de moi. C’était, à ses yeux et à ses mots, une “activité pour les dames, pas pour un petit homme”. Il ne me l’a dit que des années plus tard, n’ayant pas le coeur de briser le mien. Il voyait bien que j’étais heureux, et quand je suis revenu vers lui après les jeux, les cheveux teintés de poudre cyan, il a quand même trouvé la force de sourire.
L’entraînement n’allait pas bien, et maman a pris le relai. Je tiens mes aptitudes d’elle; mon père n’est ninja que de nom, gardant l’honneur et les traits d’un samourai. Je n’étais pas le meilleur des shinobis, je le savais bien, mais je n’arrivais pas à suivre son exemple, à faire ce qu’il fallait. Du moins, pas à ma façon.
Je me suis toujours demandé ce qui fait un humain, ce qui l’anime et le force à agir. Les réponses sont plus abstraites qu’autre chose, et… parfois, on n’a pas de réponse. J’ai longtemps porté cette sensation comme une seconde peau; je suis une coquille vide, forcée à le rester tant que ce que je trouve à mettre dedans ne peut pas convenir à une hiérarchie vétustée et rigide au possible.
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Il a fini par abandonner; ça ne servait à rien de continuer.
C’est justement au tournant de mes quinze ans que je me suis retrouvé à embrasser le mur de ma réalité, après me l’être pris en plein front. Papa revenait d’un conseil de guerre, ou d’une assemblée des chefs, j’en savais peu sur le sujet. Il n’était pas content. La demeure était suspendue dans la froideur de son humeur. Lui et moi, nous parlions déjà très peu. Assis à la petite table de notre salle à manger, il se frottait les tempes, le front, les yeux. Doucement, comme maman m’a appris à le faire, j’ai voulu lui demander s’il désirait du thé ou quelque chose, lui dire qu’il n’avait pas l’air d’aller...
Je ne me doutais pas qu’au fond... c’était moi le problème. «Écoute... Je n’arrive pas à te comprendre. Pourquoi... est-ce que c’est si dur pour toi d’être un homme? Pourquoi tu aimes servir le thé? Pourquoi tout ce qui t’intéresse, c’est jouer dans les fleurs et repasser les jupons de ta mère? Ça me fait peur, Ao, je me dis que j’ai échoué en tant que père, et ça me tue de me dire que je n’aurai personne pour prendre ma place quand tu seras plus vieux. Pourquoi j’ai honte à ce point?»
Et là... j’ai pris une bonne bouffée d’air. J’ai déposé le thé. En vérité, c’est moi qui ne pouvait pas comprendre. Tous ceux qui m’entourent me disent que je suis une bonne personne, que je fais beaucoup d’efforts, que je suis jolie, que je suis futé... pourquoi lui, il ne le remarque pas? À genoux, je me suis assis devant lui, près de la table. Ça m’a frappé tellement fort que ça a mis tout le sens dont j’avais besoin dans mon esprit. Je l’ai regardé droit dans les yeux; je n’avais jamais haussé le ton avant ce moment. Jamais.
«… Tu penses vraiment que mon seul espoir de réussir, c’est d’être dans ton ombre, de faire comme toi, de faire comme on l’a toujours fait? Si tout ce que tu veux, c’est un fils qui sait se battre, tant pis. Il meurt aujourd’hui.» Il n’osait plus me regarder dans les yeux. «On ne s’est pas choisi. Je ne te l’ai jamais dit, mais je suis fier de toi. Tu as regardé ta maison brûler, tu as perdu tout ce que tu avais, et tu es assez résilient pour te relever de ça. Mais ton enfant enroulé dans un kimono, ça...»
Il ne répond pas. Je l’accusais ouvertement, et il n’osait pas répondre.
«Je ne sais pas ce que je suis, je ne sais pas qui je suis non plus. Je suis un entredeux. Donne-moi du temps, et je te donnerai mille fois plus qu’une suite à ta lignée.» Les traditions ne me font pas, et parfois la nature humaine n’offre pas le caprice du choix. L’humain est un esprit souple, changeant et prêt à se renouveler.
C’était la promesse que l’on s’est faite. Quand je saurai répondre à toutes ses questions, quand je saurai me répondre et quand je saurai ce qu’est être humain, je lui donnerai de quoi ne pas avoir à se retourner dans sa tombe.
Ce n’est qu’après cette confrontation que j’ai ouvert les yeux; je ne pouvais pas me mentir éternellement. Je suis un Yamanaka, mais je ne suis pas «qu’un autre Yamanaka».
Au courant de cette année, je suis allé au festival des couleurs. Tout seul. J’étais plus vieux, mais c’était, encore une fois, tant de plaisir que je ne voulais pas partir. Je regardais la poudre des ballons à lancer, et puis ça m’a pris d’un coup. Une fois parti, mon kimono tacheté de ciel et de mer, mes cheveux noyés sous mon prénom, j’ai suivi le chemin de la maison. «Vous êtes ravissante,» m’a-t-on dit, avant que je ne souffle, dans un sourire, un petit remerciement timide.
Je me suis rendu compte ce jour-là qu'il y avait une place pour moi, qu'importe laquelle, au milieu de tout ce monde. Cela me suffit.
Depuis, je suis devenu bleu. Depuis, j’ai cessé de me mentir.
Que je sois shinobi, que je sois princesse, que je sois arme ou bibelot… qu’importe. Tant que je sois ce qu’il faut, que je sache être celui que je veux, je deviens celui que je suis. Un vrai shinobi, capable de se cacher en pleine vue. Une vraie princesse, noble entrainée à l'art de l'étiquette. Une arme, prête à faire son travail pour sa patrie. Un bibelot, prêt à être admiré.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Yin à 80%
v. Personnalité
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Kréa’, Amika Princesse Ao Yamanaka (je suis un monsieur)
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Something something Hotaru
► Comment trouves-tu le forum ? SnK #1!
► T'as un autre compte? Lequel ? Pas encore. Ça ne saurait tarder.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pas tout de suite, je veux jouer et bien assimiler le lore avant.
► Quel âge as-tu ? 26 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Something something Hotaru
► Comment trouves-tu le forum ? SnK #1!
► T'as un autre compte? Lequel ? Pas encore. Ça ne saurait tarder.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Pas tout de suite, je veux jouer et bien assimiler le lore avant.
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Ao Yamanaka - You made me this way (Fiche Terminée) Jeu 21 Avr - 1:43
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Jujou no Satô au grade de Chuunin !
Une fiche qui sort de l'ordinaire et qui est bien écrit.
TRAME PERSONNELLE :
Lors de ton dernier festival des couleurs, tu as aperçu quelque chose dans la foule. Bougeant avec grâce, mêlant beauté et espièglerie, ces changements de forme ne pouvaient être aperçus que par une personne assimilant aussi bien le masculin que le féminin. Si toi, tu te sens aussi bien homme que femme, la créature que tu as pu entrevoir, elle, réussi à permuter de l’un à l’autre. Vos regards se sont croisés un instant avant que tu ne perde de vue ta cible. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Vas-tu réussir à retrouver la trace de cette créature se dissimulant facilement parmi les Hommes. Était-ce également un signe du destin ? Tu es assez bien renseigné sur le sujet, pour penser prétendre avoir vu un Kitsune ce jour-là.
TON IMAGE : L'entre-deux
Lors de ton dernier festival des couleurs, tu as aperçu quelque chose dans la foule. Bougeant avec grâce, mêlant beauté et espièglerie, ces changements de forme ne pouvaient être aperçus que par une personne assimilant aussi bien le masculin que le féminin. Si toi, tu te sens aussi bien homme que femme, la créature que tu as pu entrevoir, elle, réussi à permuter de l’un à l’autre. Vos regards se sont croisés un instant avant que tu ne perde de vue ta cible. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Vas-tu réussir à retrouver la trace de cette créature se dissimulant facilement parmi les Hommes. Était-ce également un signe du destin ? Tu es assez bien renseigné sur le sujet, pour penser prétendre avoir vu un Kitsune ce jour-là.
TON IMAGE : L'entre-deux
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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