# Moriyama Kohaku – Désharmonies [Terminée] Mar 15 Nov - 19:58
MORIYAMA KOHAKU
Au crépuscule de leur monde en déclin
i. Information
► Nom : 森山 Moriyama – Leur demeure éternelle, forêts paisibles du Village Caché des Épines ; l’infranchissable montagne qu’il s’est promis de gravir
► Prénom : 琥珀 Kohaku – L’ambre d’un regard tourné vers le chaos
► Taille : 1m86
► Poids : 75kg
► Age : 28 ans
► Affinité Primaire : Fûton
►Caste : Ninja
► Grade Militaire Souhaité : Chûnin
► Village Souhaité : Toge no Sato
► Religion : Kamisuuhai
► Grade Religieux Souhaité : Aucun
► Particularité : L’obscurité d’une chevelure éclairée de blanc et un joyau brillant à son front, symbole de son héritage
► Source de l'avatar : Emet Selch – Final Fantasy XIV
ii. Que recherches-tu ?
De la décadence d’Onogoro, en proie à un ordre artificiel, il ne garde qu’une amertume grandissante. Le chaos est son unique maitre, un appel constant, entêtant, qui résonne à ses oreilles comme autant de promesses. Il y devine leur cruauté née, leur ambition démesurée, leur éternelle arrogance mais aussi leur tendre clémence, leur passion destructrice et leur incommensurable générosité ; il ne tient qu’à eux de les laisser imploser.
Les Yôkais se dessinent en ombre menaçantes, des contours rehaussés par le sang versé. L’autre est un miroir, le versant d’une montagne qu’ils peinent à gravir, incapables d’éparpiller leur peur pour alléger leur fardeau. Kohaku est certain qu’arrivés au sommet, ils pourront se faire face égaux, se nourrir de leurs ressemblances et s’abreuver de leurs différences. Leur collision fera voler leurs masques et leur sombre nature pourra rayonner, sans fards ; deux faces d’une même pièce.
La liberté est cette tentatrice qu’il ne peut encore conquérir, elle se dérobe face à ses mains voraces, se défile face à sa voix suppliante et se rit de sa convoitise incessante. Trouve-moi, lui dit-elle. Apprivoise-moi, ne vis plus qu’à travers mes ordres et laisse sombrer leurs vains enseignements. Et il hurle, silencieusement, parce qu’il le voudrait tellement mais elle lui échappe, une fois de plus, et ses espoirs s’échouent sur le rivage souillé de leur réalité.
Les Yôkais se dessinent en ombre menaçantes, des contours rehaussés par le sang versé. L’autre est un miroir, le versant d’une montagne qu’ils peinent à gravir, incapables d’éparpiller leur peur pour alléger leur fardeau. Kohaku est certain qu’arrivés au sommet, ils pourront se faire face égaux, se nourrir de leurs ressemblances et s’abreuver de leurs différences. Leur collision fera voler leurs masques et leur sombre nature pourra rayonner, sans fards ; deux faces d’une même pièce.
La liberté est cette tentatrice qu’il ne peut encore conquérir, elle se dérobe face à ses mains voraces, se défile face à sa voix suppliante et se rit de sa convoitise incessante. Trouve-moi, lui dit-elle. Apprivoise-moi, ne vis plus qu’à travers mes ordres et laisse sombrer leurs vains enseignements. Et il hurle, silencieusement, parce qu’il le voudrait tellement mais elle lui échappe, une fois de plus, et ses espoirs s’échouent sur le rivage souillé de leur réalité.
iii. Histoire
Son héritage est d’or et de rubis, une rivière qui semble couler sous sa peau et glacer un sang qu’il sait désespérément carmin – 779
Pour Moriyama Renki et Akane, l’ascension est lente, laborieuse. Chaque cargaison de pierres précieuses ramenée avec succès à Toge est une victoire supplémentaire, arrachée de justesse aux griffes des voleurs parcourant le continent. Les larcins sont nombreux sur les routes semées d’embûches parcourant Onogoro mais le gain justifie leurs sacrifices. Leur calme dévotion est récompensée par une richesse forgée tel un édifice, pierre par pierre.
Le chatoiement des joyaux est la seule lumière brillant dans le regard des époux ; lui, passé maître de la négociation et elle, véritable artiste, capables des plus belles créations d’orfèvrerie, vendues à prix d’or à de nobles clients. Ensemble, ils actionnent une série de rouages intriqués, une parfaite harmonie qui, à défaut de leur offrir un prestige qu’ils ne pourront jamais acheter, leur permet de vivre dans un confort à la limite de l’indécence.
Conscients de leur chance, ils remercient les Dieux de leur accorder leur bénédiction et demandent une faveur de plus. Elle leur sera concédée, sans qu’ils n’en comprennent le poids ; le cœur de leur fils ne battra jamais au rythme effréné de leur ambition. Et, quelques années plus tard, leur fille se détournera également du chemin brillant et confortable qu’ils ont tracé pour leur progéniture, séduite elle aussi par le vent de la liberté et de l’aventure.
Lions en cage dans leur majestueuse demeure, ils ne souhaiteront jamais la quitter, pas même quand elle tombera peu à peu en ruines. Artisans de leur succès, ils auront également été créateurs de leur déchéance et ne comprendront sans doute jamais que les Dieux, dans leur générosité, n’ont pas manqué de distiller dans leurs dons le poison de leur futur déclin.
Dans le murmure du vent sur les pins noirs, on lui a toujours appris à distinguer la voix de Tsukuyomi, porteuse de prospérité et de chance pour leur famille. Kohaku a tendu l’oreille, sans succès, et n’a entendu que la cacophonie d’une nature sauvage, libre et exaltée, qu’il jalouse farouchement – 796
Le sang battant à ses tempes lui a toujours conté une histoire différente, loin du tintement de l’or que ses parents entendent à chacun de leurs pas. Pour Kohaku, elle résonne dans sa tête telle une évidence, nourrie par le chakra dans ses veines ; lui seul est réel, palpable au bout de ses doigts, un vent tranchant capable de soulever les plus belles tempêtes.
Les obsessions dévorantes de l’enfance ont laissé place à la certitude d’une adolescence désordonnée, vécue au rythme de ses nombreuses incartades. Éveillé par l’appel de son pouvoir, il a l’impression de voir le monde sous ses vraies couleurs pour la première fois et se désole des corrections grossières que l’on y applique avec le pinceau de la diplomatie. Une chute sans heurts et sans passion, c’est donc dans ce sinistre tombeau que s’échouent les rêves nourris, sublimés, avant d’être jetés en pâture à la promesse d’une existence aseptisée.
Avec toute l’arrogance d’un esprit qui s’éveille aux nuances du monde, il constate cet ordre que l’on maintient en dépit du bon sens, un carcan protecteur et destructeur qui étouffe dans l’œuf toute liberté. Immolés sur l’autel de la bienséance, les écarts sont réprimés, la violence se trahit seulement dans les faux-semblants. Il voudrait les voir à l’œuvre, les contempler dans toute leur gloire et leur humanité. Mais on les lui refuse, on les terre, honteusement, sous des apparences qu’il a appris à haïr.
Leur monde est incomplet, il le sent confusément, sans pouvoir trouver la pièce manquante. En attendant, il prend un malin plaisir à en tester les limites. Sa nature véritable est chaos, une déferlante de sentiments bruts qu’il refuse de considérer comme avilissants, quoiqu’en disent les préceptes Shinobis. Pour Kohaku, il n’y a de parjure que la volonté de museler sa propre nature et il s’est toujours refusé à cacher la sienne, s’accorde chaque plaisir, se permet chaque violence.
Son quotidien est rythmé par les déconvenues pour son entourage. On lui reproche d’être un grain de sable dans leurs rouages bien huilés, un aimant à calamités qui, étrangement, ne le touchent jamais personnellement. Il se contente d’en rire, accompagné par sa chance insolente ; si leur équilibre est mis à mal par quelques aléas du destin, c’est qu’il était bien instable, finalement, et il n’aura fait qu’accélérer son effondrement.
Son affection est éphémère et destructrice, un champ de ruines qu’il laisse comme autant d’offrandes à la ferveur qui l’anime ; son ambition s’y reflète comme l’ombre d’une flamme, déformée et monstrueuse – 802
Pour Moriyama Renki et Akane , la chute est inattendue, douloureuse. Leurs affaires florissantes s’arrêtent brutalement un mois de Satsuki en l’an 801.
Ceux qui ont écouté derrière les portes closes et deviné les non-dits dans les regards, ont fait le lien, hilares, entre le déclin de la vente de joyaux de cette famille si renommée par son sens des affaires et les frasques de l’aîné, habitué à distiller le parfum du scandale sur ses pas. La rumeur voudrait que Kohaku ait séduit une jeune fiancée crédule, promise en mariage à un puissant partenaire économique des Moriyama. Les racontars disent qu’il a été impossible pour eux, depuis, de continuer leur import de pierres précieuses jusqu’à Toge, en proie à des vols et à du sabotage sur les routes qui leur étaient auparavant grandes ouvertes.
Dans la grande demeure familiale qui commence désormais à s’effriter, château de cartes emporté par ce qu’il considère être une vulgaire bourrasque, Kohaku s’amuse de l’étrange statuquo implicitement décrété par les siens. Il voit se dessiner des attentes auxquelles il ne répondra pas. Qui serait naïf, après tout, pour croire qu’il renoncerait à son héritage pour laver l’affront qu’il leur a tous fait subir ? Et qui pourrait penser, même un instant, qu’il renoncerait au luxueux train de vie qu’il a toujours connu pour s’accommoder d’une situation financière qu’il se répugne à considérer comme instable ?
Son ascension au rang de Chûnin est l’excuse parfaite, pour s’éloigner des regards emplis de jugement posés sur lui et, surtout, pour se défaire d’une promise qui n’éveille plus aucun désir en lui.
Avide de le voir s’éloigner pour éviter tout dommage supplémentaire à leur réputation entachée, son père se réjouit de savoir que l’enfant terrible est envoyé aux quatre coins d’Onogoro pour répondre à ses missions et endurcir son corps trop longtemps otage de l’indolence.
C’est pourtant l’éveil de l’esprit qui sera son plus lourd fardeau, sur les routes sinueuses et pleines de danger. Des années et des années après avoir cherché la vérité, la pierre manquante pour faire choir leur triste mascarade, il la trouvera aux côtés de la sombre messagère, le visage grimaçant et la sauvagerie à peine réprimée ; les Yôkais seront leur salut, la destruction tant attendue de leur équilibre fallacieux.
Les obstacles érigés sur sa route sont les fantômes de ses erreurs, nés de l’union de son arrogance et de leur démesure. Au pied de l’infranchissable montagne, il commence son ascension, le cœur lourd de désirs inassouvis – 805
Toge oublie ses écarts, non pas par grandeur d’âme mais par indifférence et grâce à l’effet salvateur des pièces trébuchantes. Depuis quelques années, il retrouve une existence dorée derrière l’ombre d’Amane Fujiwara, dont le mécènat est aussi inattendu que bienvenu et dont les excentricités dépassent les siennes.
Il croit parfois déceler derrière ses yeux les mêmes démons que ceux qui animaient ceux d’une mère partie trop tôt, entrevue une fois seulement lorsqu’elle avait choisi un collier aussi sublime que lourd, serti de larmes écarlates et mordorées. Kohaku avait l’impression qu’il écrasait l’aliénée de son poids mais peut-être était-ce seulement sa folie qui faisait ployer sa nuque frêle.
Son propre poids à porter, sa dette envers Amane et les regrets qu’il devrait ressentir, ne l’incommodent pas outre mesure. Ils partagent une obsession, c’est tout ce qui lui importe et ensemble, ils empruntent une route sans retour en arrière. Le bureau d’étude des Yôkais est un puits sans fond, une plongée en eaux troubles mais c’est bien là son plus cher désir : découvrir ce qu’il y a sous la surface et se perdre dans ses profondeurs.
Pour Moriyama Renki et Akane, l’ascension est lente, laborieuse. Chaque cargaison de pierres précieuses ramenée avec succès à Toge est une victoire supplémentaire, arrachée de justesse aux griffes des voleurs parcourant le continent. Les larcins sont nombreux sur les routes semées d’embûches parcourant Onogoro mais le gain justifie leurs sacrifices. Leur calme dévotion est récompensée par une richesse forgée tel un édifice, pierre par pierre.
Le chatoiement des joyaux est la seule lumière brillant dans le regard des époux ; lui, passé maître de la négociation et elle, véritable artiste, capables des plus belles créations d’orfèvrerie, vendues à prix d’or à de nobles clients. Ensemble, ils actionnent une série de rouages intriqués, une parfaite harmonie qui, à défaut de leur offrir un prestige qu’ils ne pourront jamais acheter, leur permet de vivre dans un confort à la limite de l’indécence.
Conscients de leur chance, ils remercient les Dieux de leur accorder leur bénédiction et demandent une faveur de plus. Elle leur sera concédée, sans qu’ils n’en comprennent le poids ; le cœur de leur fils ne battra jamais au rythme effréné de leur ambition. Et, quelques années plus tard, leur fille se détournera également du chemin brillant et confortable qu’ils ont tracé pour leur progéniture, séduite elle aussi par le vent de la liberté et de l’aventure.
Lions en cage dans leur majestueuse demeure, ils ne souhaiteront jamais la quitter, pas même quand elle tombera peu à peu en ruines. Artisans de leur succès, ils auront également été créateurs de leur déchéance et ne comprendront sans doute jamais que les Dieux, dans leur générosité, n’ont pas manqué de distiller dans leurs dons le poison de leur futur déclin.
Dans le murmure du vent sur les pins noirs, on lui a toujours appris à distinguer la voix de Tsukuyomi, porteuse de prospérité et de chance pour leur famille. Kohaku a tendu l’oreille, sans succès, et n’a entendu que la cacophonie d’une nature sauvage, libre et exaltée, qu’il jalouse farouchement – 796
Le sang battant à ses tempes lui a toujours conté une histoire différente, loin du tintement de l’or que ses parents entendent à chacun de leurs pas. Pour Kohaku, elle résonne dans sa tête telle une évidence, nourrie par le chakra dans ses veines ; lui seul est réel, palpable au bout de ses doigts, un vent tranchant capable de soulever les plus belles tempêtes.
Les obsessions dévorantes de l’enfance ont laissé place à la certitude d’une adolescence désordonnée, vécue au rythme de ses nombreuses incartades. Éveillé par l’appel de son pouvoir, il a l’impression de voir le monde sous ses vraies couleurs pour la première fois et se désole des corrections grossières que l’on y applique avec le pinceau de la diplomatie. Une chute sans heurts et sans passion, c’est donc dans ce sinistre tombeau que s’échouent les rêves nourris, sublimés, avant d’être jetés en pâture à la promesse d’une existence aseptisée.
Avec toute l’arrogance d’un esprit qui s’éveille aux nuances du monde, il constate cet ordre que l’on maintient en dépit du bon sens, un carcan protecteur et destructeur qui étouffe dans l’œuf toute liberté. Immolés sur l’autel de la bienséance, les écarts sont réprimés, la violence se trahit seulement dans les faux-semblants. Il voudrait les voir à l’œuvre, les contempler dans toute leur gloire et leur humanité. Mais on les lui refuse, on les terre, honteusement, sous des apparences qu’il a appris à haïr.
Leur monde est incomplet, il le sent confusément, sans pouvoir trouver la pièce manquante. En attendant, il prend un malin plaisir à en tester les limites. Sa nature véritable est chaos, une déferlante de sentiments bruts qu’il refuse de considérer comme avilissants, quoiqu’en disent les préceptes Shinobis. Pour Kohaku, il n’y a de parjure que la volonté de museler sa propre nature et il s’est toujours refusé à cacher la sienne, s’accorde chaque plaisir, se permet chaque violence.
Son quotidien est rythmé par les déconvenues pour son entourage. On lui reproche d’être un grain de sable dans leurs rouages bien huilés, un aimant à calamités qui, étrangement, ne le touchent jamais personnellement. Il se contente d’en rire, accompagné par sa chance insolente ; si leur équilibre est mis à mal par quelques aléas du destin, c’est qu’il était bien instable, finalement, et il n’aura fait qu’accélérer son effondrement.
Son affection est éphémère et destructrice, un champ de ruines qu’il laisse comme autant d’offrandes à la ferveur qui l’anime ; son ambition s’y reflète comme l’ombre d’une flamme, déformée et monstrueuse – 802
Pour Moriyama Renki et Akane , la chute est inattendue, douloureuse. Leurs affaires florissantes s’arrêtent brutalement un mois de Satsuki en l’an 801.
Ceux qui ont écouté derrière les portes closes et deviné les non-dits dans les regards, ont fait le lien, hilares, entre le déclin de la vente de joyaux de cette famille si renommée par son sens des affaires et les frasques de l’aîné, habitué à distiller le parfum du scandale sur ses pas. La rumeur voudrait que Kohaku ait séduit une jeune fiancée crédule, promise en mariage à un puissant partenaire économique des Moriyama. Les racontars disent qu’il a été impossible pour eux, depuis, de continuer leur import de pierres précieuses jusqu’à Toge, en proie à des vols et à du sabotage sur les routes qui leur étaient auparavant grandes ouvertes.
Dans la grande demeure familiale qui commence désormais à s’effriter, château de cartes emporté par ce qu’il considère être une vulgaire bourrasque, Kohaku s’amuse de l’étrange statuquo implicitement décrété par les siens. Il voit se dessiner des attentes auxquelles il ne répondra pas. Qui serait naïf, après tout, pour croire qu’il renoncerait à son héritage pour laver l’affront qu’il leur a tous fait subir ? Et qui pourrait penser, même un instant, qu’il renoncerait au luxueux train de vie qu’il a toujours connu pour s’accommoder d’une situation financière qu’il se répugne à considérer comme instable ?
Son ascension au rang de Chûnin est l’excuse parfaite, pour s’éloigner des regards emplis de jugement posés sur lui et, surtout, pour se défaire d’une promise qui n’éveille plus aucun désir en lui.
Avide de le voir s’éloigner pour éviter tout dommage supplémentaire à leur réputation entachée, son père se réjouit de savoir que l’enfant terrible est envoyé aux quatre coins d’Onogoro pour répondre à ses missions et endurcir son corps trop longtemps otage de l’indolence.
C’est pourtant l’éveil de l’esprit qui sera son plus lourd fardeau, sur les routes sinueuses et pleines de danger. Des années et des années après avoir cherché la vérité, la pierre manquante pour faire choir leur triste mascarade, il la trouvera aux côtés de la sombre messagère, le visage grimaçant et la sauvagerie à peine réprimée ; les Yôkais seront leur salut, la destruction tant attendue de leur équilibre fallacieux.
Les obstacles érigés sur sa route sont les fantômes de ses erreurs, nés de l’union de son arrogance et de leur démesure. Au pied de l’infranchissable montagne, il commence son ascension, le cœur lourd de désirs inassouvis – 805
Toge oublie ses écarts, non pas par grandeur d’âme mais par indifférence et grâce à l’effet salvateur des pièces trébuchantes. Depuis quelques années, il retrouve une existence dorée derrière l’ombre d’Amane Fujiwara, dont le mécènat est aussi inattendu que bienvenu et dont les excentricités dépassent les siennes.
Il croit parfois déceler derrière ses yeux les mêmes démons que ceux qui animaient ceux d’une mère partie trop tôt, entrevue une fois seulement lorsqu’elle avait choisi un collier aussi sublime que lourd, serti de larmes écarlates et mordorées. Kohaku avait l’impression qu’il écrasait l’aliénée de son poids mais peut-être était-ce seulement sa folie qui faisait ployer sa nuque frêle.
Son propre poids à porter, sa dette envers Amane et les regrets qu’il devrait ressentir, ne l’incommodent pas outre mesure. Ils partagent une obsession, c’est tout ce qui lui importe et ensemble, ils empruntent une route sans retour en arrière. Le bureau d’étude des Yôkais est un puits sans fond, une plongée en eaux troubles mais c’est bien là son plus cher désir : découvrir ce qu’il y a sous la surface et se perdre dans ses profondeurs.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Yin à 60%
v. Personnalité
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Sosuke ou DarkSasuke666Nao.
► Quel âge as-tu ? 20+x ans.
► Comment nous as-tu trouvé ? Via quelqu’un de non recommandable, qui force les honnêtes gens à faire preuve de sympathie envers sa détestable personne.
► Comment trouves-tu le forum ? J’aime beaucoup le contexte & le dynamisme du RP.
► T'as un autre compte? Lequel ? Non.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Impossible niveau temps, malheureusement.
► Quel âge as-tu ? 20+x ans.
► Comment nous as-tu trouvé ? Via quelqu’un de non recommandable, qui force les honnêtes gens à faire preuve de sympathie envers sa détestable personne.
► Comment trouves-tu le forum ? J’aime beaucoup le contexte & le dynamisme du RP.
► T'as un autre compte? Lequel ? Non.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Impossible niveau temps, malheureusement.
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Moriyama Kohaku – Désharmonies [Terminée] Mar 15 Nov - 23:34
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Chuunin !
Fiche sympathique avec un bon développement côté background et évolution de ton personnage.
TRAME PERSONNELLE :
Alors qu’une nuit tu tentes de chercher des informations sur quelques Yokai nocturne, ta mission prend pas mal de temps et l’aube commençait à gentiment se lever. Passant par la forêt pour rejoindre ton village, jamais tu aurais pensé voir ce phénomène. Quelque chose de très rare, tu en es persuadé. Tu te demandes même si cela est vrai et si cela existe vraiment. Le Wendigo est à plusieurs centaines de mètres. Il se tient à un arbre et devient de plus en plus petit. Tu vois de tes yeux, que cette créature vient de reprendre une forme humaine.
Quelle sensation as-tu ressenti ? L’homme au fond de la pénombre est dos à toi. N’ayant pas caché ton chakra, il tourne légèrement la tête en ta direction, comme pour te faire comprendre qu’il t’a vu avant de disparaître rapidement tel un shinobi de haut niveau.
Tu as juste pu voir ses cheveux brun mi-long et mal coiffés ainsi qu’un morceau de son menton laissant apparaître une barbe mal rasée. Qui était-il ? Ce jour-là, tu rentres légèrement choqué qu’une créature puisse devenir humaine. Et si ton voisin était également l’une de ces choses ? Bizarrement, ne sachant pas qui était l’homme et ce que les gens pouvaient cacher au fond d’eux, tu gardes cette information pour toi bien précieusement. A côté de ça, lui, avait certainement vu ton visage et si des informations s'ébruitaient à son sujet, tu savais pertinemment ce qu’il pouvait t’en coûter.
TON IMAGE : Le Monochrome
Alors qu’une nuit tu tentes de chercher des informations sur quelques Yokai nocturne, ta mission prend pas mal de temps et l’aube commençait à gentiment se lever. Passant par la forêt pour rejoindre ton village, jamais tu aurais pensé voir ce phénomène. Quelque chose de très rare, tu en es persuadé. Tu te demandes même si cela est vrai et si cela existe vraiment. Le Wendigo est à plusieurs centaines de mètres. Il se tient à un arbre et devient de plus en plus petit. Tu vois de tes yeux, que cette créature vient de reprendre une forme humaine.
Quelle sensation as-tu ressenti ? L’homme au fond de la pénombre est dos à toi. N’ayant pas caché ton chakra, il tourne légèrement la tête en ta direction, comme pour te faire comprendre qu’il t’a vu avant de disparaître rapidement tel un shinobi de haut niveau.
Tu as juste pu voir ses cheveux brun mi-long et mal coiffés ainsi qu’un morceau de son menton laissant apparaître une barbe mal rasée. Qui était-il ? Ce jour-là, tu rentres légèrement choqué qu’une créature puisse devenir humaine. Et si ton voisin était également l’une de ces choses ? Bizarrement, ne sachant pas qui était l’homme et ce que les gens pouvaient cacher au fond d’eux, tu gardes cette information pour toi bien précieusement. A côté de ça, lui, avait certainement vu ton visage et si des informations s'ébruitaient à son sujet, tu savais pertinemment ce qu’il pouvait t’en coûter.
TON IMAGE : Le Monochrome
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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