# Densetsujou Raitei - 伝説上 雷帝 Mar 1 Nov - 14:44
Densetsujou Raitei
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i. Information
► Nom : Densetsujou.
► Prénom : Raitei.
► Taille : 1 mètre 85.
► Poids : 90 kilogrammes.
► Age : 27 ans.
► Affinité Primaire : Raiton.
►Caste : Ninja.
► Grade Militaire Souhaité : Jonin.
► Village Souhaité : Toge.
► Religion : Athée.
► Grade Religieux Souhaité : Aucun.
► Particularité : Tatouage tribal sur le dos.
► Source de l'avatar :Pinterest.
ii. Que recherches-tu ?
Petit, on me racontait une histoire. Toujours la même histoire. Avant de dormir, mon père arrivait dans ma chambre et me la racontait, sans interruption jusqu’à mes sept ans. Il me disait :
« Un jour, Densetsujou Rikaï, ton arrière, arrière-grand-père s’était retrouvé en plein milieu d’une embuscade avec son clan. Ce qu’il a fait ce jour-là resta gravé dans la mémoire collective de toute sa descendance. Il sauva ses compagnons en retenant l’ennemi pendant plus de vingt-quatre heures avant de tomber de fatigue. On dit que pendant qu’il se battait, ses mouvements étaient fluides, rapides et il arrivait à se déplacer aussi rapidement que la foudre elle-même.
Tu sais, mon fils, ce que veut dire notre nom de famille ? Densetsujou, veut dire « légende », ton prénom est « Raitei ». Il veut dire empereur de la foudre. Tu deviendras un grand homme, peut-être même aussi grand que ton arrière arrière grand-père.
Je le sais. »
Je veux devenir aussi grand que lui.
« Un jour, Densetsujou Rikaï, ton arrière, arrière-grand-père s’était retrouvé en plein milieu d’une embuscade avec son clan. Ce qu’il a fait ce jour-là resta gravé dans la mémoire collective de toute sa descendance. Il sauva ses compagnons en retenant l’ennemi pendant plus de vingt-quatre heures avant de tomber de fatigue. On dit que pendant qu’il se battait, ses mouvements étaient fluides, rapides et il arrivait à se déplacer aussi rapidement que la foudre elle-même.
Tu sais, mon fils, ce que veut dire notre nom de famille ? Densetsujou, veut dire « légende », ton prénom est « Raitei ». Il veut dire empereur de la foudre. Tu deviendras un grand homme, peut-être même aussi grand que ton arrière arrière grand-père.
Je le sais. »
Je veux devenir aussi grand que lui.
iii. Histoire
« Raitei, à partir d’aujourd’hui, ta mission est multiples. Tu dois donner ta vie à la couronne, protéger ses biens et trésors. Mon fils, j’espère que l’armée et ses règles strictes réussiront là où j’ai échoué avec toi ... »
Ces mots amenèrent des maux. Pour ma propre personne, être complétement bloqué dans la capitale et faire partie de l’armée ne m’intéressait pas. J’étais issu de bonne famille, originaire de Toge, mon sang était noble alors pourquoi rejoindre quelque chose comme la garde rapproché de l’empereur ? Je n’étais pas indépendant, pas démuni. La famille Densetsujou était connue dans le village de Toge comme des hommes ayant gagné leur titre de noblesse par la persévérance et la force de caractère. Anciennement sans un sou en poche, mes ancêtres s’étaient battus avec les plus grands, marquant de leurs empreinte, souvent subtile, l’histoire d’Onogoro. Ils avaient participé à la guerre de succession de 717 à 731, combattu les Yokai aperçu dans les villages pendant la période de famine, ont participer ensuite à la chasse aux Yokai quelques années plus tard. En bref, je pensais fortement que l’affectation que mon paternel m’avait confiée, c’est-à-dire, dans la garde rapprochée de l’empereur, n’était pas faite pour moi. Peut-être que j’avais fait un tas de conneries, que je n’étais pas le fils qu’il aurait aimé avoir. J’avais peut-être abusé des conquêtes féminines en sautant sur les filles de ses comparses de la noblesse. Et pour finir, peut-être que j’avais, sans faire exprès bien entendu, brûler le salon familial en fumant une herbe hallucinogène. Mais qui ne fait pas de bêtises étant jeune ?
« Comme vous voudrez père »
« Écoutez. Ici, vous n’êtes rien d’autre que des compagnons, des shinobis en devenir. La seule noblesse que vous devez respecter, ici, c’est la famille royale et ses plus proches conseillers. Vous, malgré l’hétéroclisie de vos racines, vous êtes au même niveau, c’est-à-dire des bleus »
Au début, je me demandais sincèrement ce que je faisais ici. Pour être honnête, mon corps répétait sans cesse les exercices de musculature intensive, obéissait à leurs ordres, mais mon esprit tentait de vagabonder pour ne pas perdre la tête. L’entraînement qui suivit les paroles de cet homme fut long, intense. Il y en eut des camarades qui ont abandonné. Mon partenaire de chambrée avait tenu deux semaines, mes deux voisins de chambre ont tenu un mois. Mes iris caressaient leurs silhouettes s’éloignant du camp d’entraînement, mais aucune expression n’apparaissait sur mon visage. Les jours passaient et se ressemblaient fortement. Se lever, courir plusieurs dizaines de kilomètres, se muscler, travailler la maîtrise de son chakra en fonction de sa nature affinitaire. Pour ma part, c’était celle qu’on appelait « Raiton », autrement dit, la foudre. J’apprenais à en user, à le contrôler jusqu’à fatiguer complétement. Au début, je tombais rapidement d’épuisement. Une petite technique ou deux et je ressentais le manque de chakra. Puis je m’entraînais, puis j’arrivais à maîtriser cette affinité, mon affinité. Et plus j’avançais dans mon entraînement, plus mon corps s’habituait à la répétition d’effort, au dépassement de soi. Je dirai même que mon esprit, petit à petit, prenait goût à ça lui aussi. D’un naturel anarchiste, je me voyais changer pour devenir le parfait petit soldat, celui sur qui la garde royale pouvait compter, celui qui n’hésiterai pas à donner sa vie pour le trône. Et puis quelqu’un comme moi, qui savait pertinemment se diriger dans le chaos, car toute son enfance était faite de chaos, était une perle rare pour l’armée. J’arrivais à rester calme là ou d’autre était pris de panique. À forcer mon cerveau à réfléchir, rapidement sous la pression, là où les neurones des autres lâchaient peu à peu. À la fin, le jour de la remise de nos affectations, je me souviens du discours de mon lieutenant.
« Vous êtes peu à être arrivé au bout de cet entraînement. Il faut un solide mélange de courage, de folie et de résistance physique et morale. Aujourd’hui, j’admets que vous êtes toutes et tous dotés de ce mélange. Félicitations. Place aux affectations maintenant. »
« Raitei ! Raitei ! On a des nouvelles de Toge, ton père… Il est… Je suis désolé, je viens de l’apprendre. »
Cette nouvelle amena une douleur intense au niveau de mon âme. La nuit dernière, déjà, je me suis réveillé en sursaut à environ sept heures du matin. Comme si plus jamais je n’allais pouvoir rencontrer morphée paisiblement. Des regrets plein la tête, je pris la direction de Toge pour l’enterrement de mon paternel. Une fois sur place, je me suis rendu compte que cette sensation de vide qui avait disparu depuis mon affectation à la garde impériale était réapparue. Il me manquait quelque chose, comme si avec la mort de mon paternel, j’avais perdu une partie de moi-même. Mon corps était présent dans cette pièce, habillé d’un joli costume noir, d’un long manteau, mais mon esprit errait à ne plus savoir où aller. Après ça et avant que je ne retourne au travail à Teito, en rangeant les affaires de mon vieux, je suis tombé sur une lettre qu’il avait écrite et prête à m’être envoyée. Il ne me l’avait jamais envoyée, comme si sa fierté, mal placée de chef de famille l’avait empêché de me dire ce qu’il avait sur le cœur. La lettre disait :
« Raitei, tu es sûr de ta décision ? Tu ne pourras pas revenir dessus. Si tu quittes la garde impériale, tu n’auras plus la possibilité d’y revenir. Ce n’est pas une règle officielle, mais tacite. On ne reprend pas les déserteurs, quand bien même tu es toujours dans l’armée, tu ne seras plus autorisé à nous rejoindre. De plus, je vais te donner mon avis personnel maintenant, cela m’attriste de perdre un Major de promotion comme toi. »
« J’en ai conscience commandant. Cette décision a été réfléchie et j’assumerai les conséquences s’y afférant. C’était un honneur d’être sous votre commandement. Merci pour tout. »
« Je comprends Raitei. Je transmets ta demande et l’appuierai. Tu peux disposer, tu auras ta réponse d’ici deux mois maximum. »
« Merci mon commandant. »
La porte claque, je disparais dans la pénombre de ce couloir que je connais que trop bien. Il était temps d’embrasser mon avenir. Qu’il soit joyeux, remplie de scène mémorable ou tristes, joncher de cadavre, j’irai jusqu’au bout.
Debout, devant cet édifice créé par les hommes, mon regard se perdait en même temps que mes pensées. Ma vie dans la garde impériale était terminée, j’avais reçu l’acceptation de changement d’affectation. La porte était faite de bois et à son sommet, deux cornes étaient accrochées. Je connais les légendes urbaines sur la provenance de ces cornes, on dit qu’elles appartenaient au Wendigo. Une grande respiration prise, je m’avance rapidement vers le poste de garde en montrant les rouleaux royaux attestant de ma nouvelle affectation. On pouvait y lire « Densetsujou Raitei, Jonin du village de Toge no Sato. » C'est comme ça que je me suis présenté aux gardes.
Le retour au bercail. Les parfums et les odeurs de ce village m’enivre à chaque fois que j’y goûte. Que c’était bon d’être de retour.
Ces mots amenèrent des maux. Pour ma propre personne, être complétement bloqué dans la capitale et faire partie de l’armée ne m’intéressait pas. J’étais issu de bonne famille, originaire de Toge, mon sang était noble alors pourquoi rejoindre quelque chose comme la garde rapproché de l’empereur ? Je n’étais pas indépendant, pas démuni. La famille Densetsujou était connue dans le village de Toge comme des hommes ayant gagné leur titre de noblesse par la persévérance et la force de caractère. Anciennement sans un sou en poche, mes ancêtres s’étaient battus avec les plus grands, marquant de leurs empreinte, souvent subtile, l’histoire d’Onogoro. Ils avaient participé à la guerre de succession de 717 à 731, combattu les Yokai aperçu dans les villages pendant la période de famine, ont participer ensuite à la chasse aux Yokai quelques années plus tard. En bref, je pensais fortement que l’affectation que mon paternel m’avait confiée, c’est-à-dire, dans la garde rapprochée de l’empereur, n’était pas faite pour moi. Peut-être que j’avais fait un tas de conneries, que je n’étais pas le fils qu’il aurait aimé avoir. J’avais peut-être abusé des conquêtes féminines en sautant sur les filles de ses comparses de la noblesse. Et pour finir, peut-être que j’avais, sans faire exprès bien entendu, brûler le salon familial en fumant une herbe hallucinogène. Mais qui ne fait pas de bêtises étant jeune ?
« Comme vous voudrez père »
Un mois plus tard ...
« Écoutez. Ici, vous n’êtes rien d’autre que des compagnons, des shinobis en devenir. La seule noblesse que vous devez respecter, ici, c’est la famille royale et ses plus proches conseillers. Vous, malgré l’hétéroclisie de vos racines, vous êtes au même niveau, c’est-à-dire des bleus »
Au début, je me demandais sincèrement ce que je faisais ici. Pour être honnête, mon corps répétait sans cesse les exercices de musculature intensive, obéissait à leurs ordres, mais mon esprit tentait de vagabonder pour ne pas perdre la tête. L’entraînement qui suivit les paroles de cet homme fut long, intense. Il y en eut des camarades qui ont abandonné. Mon partenaire de chambrée avait tenu deux semaines, mes deux voisins de chambre ont tenu un mois. Mes iris caressaient leurs silhouettes s’éloignant du camp d’entraînement, mais aucune expression n’apparaissait sur mon visage. Les jours passaient et se ressemblaient fortement. Se lever, courir plusieurs dizaines de kilomètres, se muscler, travailler la maîtrise de son chakra en fonction de sa nature affinitaire. Pour ma part, c’était celle qu’on appelait « Raiton », autrement dit, la foudre. J’apprenais à en user, à le contrôler jusqu’à fatiguer complétement. Au début, je tombais rapidement d’épuisement. Une petite technique ou deux et je ressentais le manque de chakra. Puis je m’entraînais, puis j’arrivais à maîtriser cette affinité, mon affinité. Et plus j’avançais dans mon entraînement, plus mon corps s’habituait à la répétition d’effort, au dépassement de soi. Je dirai même que mon esprit, petit à petit, prenait goût à ça lui aussi. D’un naturel anarchiste, je me voyais changer pour devenir le parfait petit soldat, celui sur qui la garde royale pouvait compter, celui qui n’hésiterai pas à donner sa vie pour le trône. Et puis quelqu’un comme moi, qui savait pertinemment se diriger dans le chaos, car toute son enfance était faite de chaos, était une perle rare pour l’armée. J’arrivais à rester calme là ou d’autre était pris de panique. À forcer mon cerveau à réfléchir, rapidement sous la pression, là où les neurones des autres lâchaient peu à peu. À la fin, le jour de la remise de nos affectations, je me souviens du discours de mon lieutenant.
« Vous êtes peu à être arrivé au bout de cet entraînement. Il faut un solide mélange de courage, de folie et de résistance physique et morale. Aujourd’hui, j’admets que vous êtes toutes et tous dotés de ce mélange. Félicitations. Place aux affectations maintenant. »
Trois ans plus tard, quartier général de la garde impériale…
« Raitei ! Raitei ! On a des nouvelles de Toge, ton père… Il est… Je suis désolé, je viens de l’apprendre. »
Cette nouvelle amena une douleur intense au niveau de mon âme. La nuit dernière, déjà, je me suis réveillé en sursaut à environ sept heures du matin. Comme si plus jamais je n’allais pouvoir rencontrer morphée paisiblement. Des regrets plein la tête, je pris la direction de Toge pour l’enterrement de mon paternel. Une fois sur place, je me suis rendu compte que cette sensation de vide qui avait disparu depuis mon affectation à la garde impériale était réapparue. Il me manquait quelque chose, comme si avec la mort de mon paternel, j’avais perdu une partie de moi-même. Mon corps était présent dans cette pièce, habillé d’un joli costume noir, d’un long manteau, mais mon esprit errait à ne plus savoir où aller. Après ça et avant que je ne retourne au travail à Teito, en rangeant les affaires de mon vieux, je suis tombé sur une lettre qu’il avait écrite et prête à m’être envoyée. Il ne me l’avait jamais envoyée, comme si sa fierté, mal placée de chef de famille l’avait empêché de me dire ce qu’il avait sur le cœur. La lettre disait :
« Mon fils,
Malgré le peu de nouvelle, que j’ai pu te donner depuis ton départ pour la capitale, sache qu’il n’y a pas un jour où je ne me renseigne pas sur toi, ce que tu deviens et si ton entraînement se passe bien.
Sache que tu feras ce que bon te semblera, tu resteras mon sang. Et après ton acceptation dans la garde impériale, ma plus grande fierté. Nous, les Densetsujou, sommes de guerriers. Nous avons participé, depuis des générations, à plusieurs guerres et événements qui ont marqué l’histoire d’Onogoro.
Tu es le digne héritier d’une famille noble, guerrière, pour qui l’honneur passe avant tout le reste. Garde notre honneur intact, devient ce que bon te semblera. Maintenant, que tu es un shinobi digne de ce nom et avec ton grade de « Jonin », tu peux choisir le genre de personne que tu veux devenir. Alors garde cette phrase en tête « Ad Astra Per Aspera ». Elle signifie que la gloire n’arrive pas facilement, que notre famille a dû se battre pour arriver là où elle se trouve aujourd’hui.
C’est à ton tour de te battre, mon fils. Le mien est déjà terminé.
Jin Densetsujou »
Malgré le peu de nouvelle, que j’ai pu te donner depuis ton départ pour la capitale, sache qu’il n’y a pas un jour où je ne me renseigne pas sur toi, ce que tu deviens et si ton entraînement se passe bien.
Sache que tu feras ce que bon te semblera, tu resteras mon sang. Et après ton acceptation dans la garde impériale, ma plus grande fierté. Nous, les Densetsujou, sommes de guerriers. Nous avons participé, depuis des générations, à plusieurs guerres et événements qui ont marqué l’histoire d’Onogoro.
Tu es le digne héritier d’une famille noble, guerrière, pour qui l’honneur passe avant tout le reste. Garde notre honneur intact, devient ce que bon te semblera. Maintenant, que tu es un shinobi digne de ce nom et avec ton grade de « Jonin », tu peux choisir le genre de personne que tu veux devenir. Alors garde cette phrase en tête « Ad Astra Per Aspera ». Elle signifie que la gloire n’arrive pas facilement, que notre famille a dû se battre pour arriver là où elle se trouve aujourd’hui.
C’est à ton tour de te battre, mon fils. Le mien est déjà terminé.
Jin Densetsujou »
Un mois plus tard, dans le bureau du commandant de la garde impériale…
« Raitei, tu es sûr de ta décision ? Tu ne pourras pas revenir dessus. Si tu quittes la garde impériale, tu n’auras plus la possibilité d’y revenir. Ce n’est pas une règle officielle, mais tacite. On ne reprend pas les déserteurs, quand bien même tu es toujours dans l’armée, tu ne seras plus autorisé à nous rejoindre. De plus, je vais te donner mon avis personnel maintenant, cela m’attriste de perdre un Major de promotion comme toi. »
« J’en ai conscience commandant. Cette décision a été réfléchie et j’assumerai les conséquences s’y afférant. C’était un honneur d’être sous votre commandement. Merci pour tout. »
« Je comprends Raitei. Je transmets ta demande et l’appuierai. Tu peux disposer, tu auras ta réponse d’ici deux mois maximum. »
« Merci mon commandant. »
La porte claque, je disparais dans la pénombre de ce couloir que je connais que trop bien. Il était temps d’embrasser mon avenir. Qu’il soit joyeux, remplie de scène mémorable ou tristes, joncher de cadavre, j’irai jusqu’au bout.
Trois mois plus tard, Printemps de l’an 806…
Debout, devant cet édifice créé par les hommes, mon regard se perdait en même temps que mes pensées. Ma vie dans la garde impériale était terminée, j’avais reçu l’acceptation de changement d’affectation. La porte était faite de bois et à son sommet, deux cornes étaient accrochées. Je connais les légendes urbaines sur la provenance de ces cornes, on dit qu’elles appartenaient au Wendigo. Une grande respiration prise, je m’avance rapidement vers le poste de garde en montrant les rouleaux royaux attestant de ma nouvelle affectation. On pouvait y lire « Densetsujou Raitei, Jonin du village de Toge no Sato. » C'est comme ça que je me suis présenté aux gardes.
Le retour au bercail. Les parfums et les odeurs de ce village m’enivre à chaque fois que j’y goûte. Que c’était bon d’être de retour.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin à 53 %
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Kaï Atsuma.
► Quel âge as-tu ? 23 ans.
► Comment nous as-tu trouvé ? Top-sites.
► Comment trouves-tu le forum ? Le système laisse rêveur.
► T'as un autre compte? Lequel ? Aucun.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? réponseNon.
► Quel âge as-tu ? 23 ans.
► Comment nous as-tu trouvé ? Top-sites.
► Comment trouves-tu le forum ? Le système laisse rêveur.
► T'as un autre compte? Lequel ? Aucun.
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? réponseNon.
C y a l a n a
# Re: Densetsujou Raitei - 伝説上 雷帝 Jeu 3 Nov - 16:31
Double post pour signifier que ma présentation est terminée. Je vous souhaite une bonne lecture <3
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Densetsujou Raitei - 伝説上 雷帝 Dim 6 Nov - 20:37
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Chuunin !
La fiche est assez sympa mais simple. Je t'ai donné les tenants et aboutissants de pourquoi tu ne peux obtenir le grade de Jonin à la présentation. Voici sans plu tarder ta trame.
TRAME PERSONNELLE :
Avant que tu partes pour Toge, ton commandant en chef te donne une mission que personne d’autres d’ici ne pourrait faire. Ton affectation au village de Toge te permettrait de faire des missions à l’extérieur et peut être d’obtenir des informations au fil de ton aventure. Tu t’empresses donc d’ouvrir le parchemin scellé du symbole impérial dans ta nouvelle chambre afin de lire le contenu de celui-ci.
TON IMAGE : L'impérialiste
Avant que tu partes pour Toge, ton commandant en chef te donne une mission que personne d’autres d’ici ne pourrait faire. Ton affectation au village de Toge te permettrait de faire des missions à l’extérieur et peut être d’obtenir des informations au fil de ton aventure. Tu t’empresses donc d’ouvrir le parchemin scellé du symbole impérial dans ta nouvelle chambre afin de lire le contenu de celui-ci.
TON IMAGE : L'impérialiste
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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