# Ryusei Akane | L'attrape-coeur {Finie} Lun 31 Oct - 15:49
Ryusei Akane
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i. Information
► Nom : Ryūsei (流星 litt. Météore)
► Prénom : Akane (茜 litt. Rouge profond)
► Taille : 162 centimètres
► Poids : 50 kilos
► Age : : 21
► Affinité Primaire : Fuuton (!roll 8 sur Discord)
►Caste : Ninja
► Grade Militaire Souhaité : Genin
► Village Souhaité : Toge
► Religion : Athée
► Grade Religieux Souhaité : Aucun
► Particularité :
• Vaniteuse, elle utilise une lotion de sa propre composition pour se rajeunir et garder un teint éclatant. Elle a ainsi l’air légèrement plus jeune qu’elle ne l’est.
• On dit que son regard aux reflets cramoisis mêle une impression de paix, et de feu intérieur mêlant la chaleur d’un foyer avec une âcre sensation d’inconfort, comme une plongée dans la vallée dérangeante.
► Source de l'avatar : Lenore de la franchise Castlevania
ii. Que recherches-tu ?
Attestons ce rapport comme un mémoire, au cas où je n'atteigne jamais aucun de mes objectifs.
Je suis tristement célèbre pour une chose en particulier. Il y a quelques années, j’écrivis une lettre ouverte de dénonciation à l’égard des activités secrètes de mes parents. Jouant de la peur rouge qu’avait suscité le massacre d’un village par une secte virulente, je réussis sans peine à les incriminer aux yeux des autorités du village, prouvant de surcroît ma loyauté envers ce dernier.
Bien que je n’accorde que très peu de valeur à l’éthique, je m’en suis toujours cachée afin de maintenir une façade. À vrai dire, j’aime ma place dans le système.
Je pense secrètement que l’on peut apprendre beaucoup des méthodes de certaines sectes, bien que je n’en partage absolument pas les convictions, peut-être par une certaine arrogance car je n'ai jamais été attirée par la foi. Par ailleurs,j’éprouve de la même manière, une fascination mêlée à un antagonisme dur pour les Yokai. En deux mots, je souhaiterais éventuellement en apprendre plus sur leur force et me l'approprier pour mes recherches.
Si redorer le blason familial ne m’est qu’accessoire à titre personnel, une part de moi s’y adonne activement. J’en comprends l’utilité stratégique pour mener à bien nos finances et par extension mes propres expériences.
Je souhaiterais en finalité faire évoluer ma carrière et me servir de mon statut afin d'obtenir une reconnaissance d'utilité publique pour mes recherches, bien qu'elles soient secrètes pour l'instant. Ma loyauté envers le village s'explique tout simplement par le fait que l'armée possède le monopole de la violence légitime.
Que l'on puisse me croire ou non, mon but est d'aider l'humain à surpasser ses capacités naturelles, quitte à ne pas user de méthodes conventionnelles.
iii. Histoire
(L'histoire parle de cruauté animale, infantile et survole une tentative de suicide)
Je me souvenais parfois du souffle chaud diluant les douces paroles de ma mère, au creux de mon oreille. J’étais attablée avec un parchemin déroulé devant mes pupilles trésaillantes de fatigue. Elle me demandait de lui répéter les syllabes qu’elle prononçait puis traçait de son doigt ganté les kanjis qui glissaient hors de ses lèvres comme un cantique rachitique et austère.
Faiblement éclairées par une lanterne, nous entendions parfois des applaudissements venant de la pièce adjacente, les paroles de mon père résonnaient entre les murs.
«Un jour, nous pourrons vaincre la mort ! »
Les vibrations de sa voix lui donnaient quelque chose de respectable, qui forçait instinctivement à l’écouter. C’est pourquoi il s’imposait comme figure principale de ces réunions secrètes, terrées dans le caveau en dessous de notre propriété. On y débattait éthique, science et on utilisait parfois des cadavres d’animaux, il arrivait que les membres expérimentent de plein gré sur leurs pairs.
Officiellement, je n’étais que la petite fille unique d’un riche propriétaire d’une mine de minerais ainsi que d’une forge, doublé d’un formidable orateur ainsi que de sa maîtresse ; femme médecin d’ancien calibre militaire et de santé bien trop malingre pour être destinée à des apparitions publiques. Son propre intérêt pour les théologies obscures découlait d’une mission particulièrement traumatisante où elle perdit l’usage de ses membres inférieurs, et dût de ce fait quitter l’armée. C’est lors de sa convalescence qu’elle fit la rencontre de mon père dans un hospice, tandis que lui venait tout juste de perdre sa femme dans le tragique effondrement d’une galerie fraîchement inaugurée.
Ma mère me couvrait de beaucoup d’attention, bien qu’il m’ait parfois été difficile d’en saisir toute la portée. Elle avait une fois manqué de m’étouffer avec mon futton durant la nuit de mon cinquième anniversaire mais s’était ravivée avant de réussir sa tâche. Grâce à elle, j’avais compris que les êtres vivants étaient soumis à un mécanisme interne. Ainsi, ce même mécanisme régulait l’essence insaisissable de ce que nous appelions la vie.
Je développais une sorte de fascination déroutante pour la nature. Mêlant théorie à pratique, je décidais d’en faire l’expérience sur la faune et la flore qui entourait le domaine ; et c’est lors d’un après-midi printanier que ma nourrice me trouvait les genoux dans la marre en train de coudre une portée petites carpes à peine formées, affables et gisant sur un alcôve d’eau peu profonde qui donnait plusieurs étages aux bassins.
J’en avais tout de suite conclu qu’elles avaient dû être les plus faibles du lot et étaient tombées de l’autre côté en se heurtant aux cailloux ; certaines -mais pas toutes- étaient déjà mortes. Ma chaperonne horrifiée en alerta mon père et au coucher du soleil, il me corrigeait trois fois.
Lui, qui n’avait jamais porté la main sur moi, me sermonna de son coffre qui faisait froisser le shōjis de la pièce principale ; j’y versais trois larmes. Les carpes avaient été importées depuis l’autre bout du pays et lui avaient coûté une petite fortune. Je relevais néanmoins que ce n’était pas la véritable raison pour laquelle j’eus été punie.
Certains des domestiques qui assistaient eux-mêmes aux réunions, me regardaient avec une horreur feinte, comme les spectateurs d’une pièce de théâtre. Je compris face au prisme dichotomique de leur attitude, la leçon la plus importante de mon existence ; toute activité n’est qu’une question d’opportunité et de contexte propice.
Désireuse de découvrir le monde, au fur et à mesure que je faisais mes pas en dehors de la maison, je me lassais de l’étreinte givrée de ma mère et me mis par mimétisme à parler avec la même cadence que lui. Je soutenais du regard mes interlocuteurs et complimentais adroitement les autres sur ce qui les rendait particuliers avec cette petite étincelle fulminante dans les iris dont il avait le secret. Et alors, je me mis à m’approprier la certitude que ce que je disais était emprunt d’une vérité implacable. Cela se mit à amuser le personnel et l’histoire des pauvres petites carpes que les femmes de ménages se colportaient pour se donner des frayeurs la nuit sombrait peu à peu dans l’oubli. Sans doute avaient-elles plus à parler de la santé de ma mère qui déclinait chaque nuit.
Décelant finalement tout mon potentiel et, désireux de consolider ses relations avec le village caché des épines qu’il fournissait déjà en produits transformés par sa forge, on m’envoya à l’académie afin de faire de moi une soldate.
J’étais un élément très solide, au sens figuré du terme. Mon point fort résidait principalement dans les exercices d’orientations et de tactiques, j’étais ainsi bien meilleure pour prévoir et innover des plans d’approche que pour me battre à l’aide de techniques conventionnelles. Je me trouvais aussi une passion pour la création et l’artisanat.
Au contact des autres, j’étais sérieuse, agréable et parfois charmante, mêlant enthousiasme et volonté de bien faire mon travail. J’usais des mêmes techniques qui avaient fonctionné sur les adultes et avait enfoui en moi mes inclinaisons les moins présentables. Je me prêtais même à apprécier la scène des relations et les jeux de pouvoir : j’aimais lorsqu’ils plaçaient de l’amour et de la confiance en mes capacités mais je me trouvais bien souvent incapable de me connecter à leurs aspirations directes. Afin de ne pas éveiller de suspicion voir pire, du rejet, je créais par mimétisme des situations où mes réactions étranges devenaient des plaisanteries sorties de leur contexte. Ainsi, je n’étais évidemment pas appréciée de tout le monde mais j’avais bonne réputation.
Nonobstant, j’invitais rarement mes camarades, lorsque j’étais en mesure de rentrer chez moi. La raison principale étant les accès de colère de ma mère. Cela lui arrivait fréquemment de faire fuir les domestiques qui tentaient de lui administrer des calmants à l’exception d’une seule, il s’agissait d’une très jeune fille un peu naïve au teint hâlé et aux yeux dorés.
Elle ne tolérait en revanche, mon père et moi qu’en de certaines occasions. Pour palier à cela, cette fille un peu bécasse me confiait un jour jouer à la dînette pour distraire ma mère de ses accès de furie réguliers. Me prenant au jeu, et lorsque je passais le temps à être la bonne amie avec ma mère, j’étais souvent tentée, comme par une pulsion réfrénée, de glisser dans sa tasse en porcelaine une dose de poudre un peu trop élevée.
Je me ravissais à chaque fois. Car lorsque nous finissions par aborder le sujet de la théorie scientifique, cela ravivait les flammes à l’intérieur de mon ventre ainsi que les étincelles dans son regard vitreux. Peut-être me prêtais-je ainsi à être moi-même l’espace d’un instant ?
J’étais pourtant d’autant plus ennuyée quand elle m’appelait par le nom de sa jeune servante lorsque je m’apprêtais à la quitter et qu’elle lui demandait de rester. Cela finissait souvent en pleurs, jusqu’à ce que la principale intéressée vienne me remplacer, comme si l’on changeait les figurines d’un théâtre de marionnettes.
Malgré mes demandes incessantes, mon père se montrait de plus en plus détaché à l'idée que je puisse assister à ses micro-congrès. Il me laissait cependant les écouter à travers la pièce adjacente. Cela me permettait d’en prendre note dans un petit coin de ma tête. J’avais cependant ce sentiment grandissant qu’il tentait de m’en éloigner, dans la mesure où son propre discours changeait tandis qu’il prenait plus d’âge et de rides sur les glabelles. Je n’entendais plus que le glas d’un homme affaibli, qui cherchait à se confronter dans son deuil ; un homme qui avait baissé les bras.
Je voyais au fil de mes allés-retour dans notre maison de campagne qui dépérissait au rythme de l’automne et du personnel qui pliait bagage, toute sa déchéance et ses aspirations brisées par quelque chose que je n’arrivais pas à m’expliquer.
J’étais moins concentrée lors de mes entraînements et finissais parfois à l’infirmerie. Faisant passer cela pour des coups de fatigue passagers, je me retournais souvent les méninges dans mon propre lit en feintant le repos. D’où me venait donc cette déchirure au cœur ? Pourquoi me tenait-il à l'écart ?
Lors de ces seuls moments de solitude que je m’accordais, je me mettais profondément à le haïr lui aussi. Je ne voyais en mes géniteurs, plus que les coquilles vides des innovateurs que j’admirais. Très vite, je noyais ma frustration dans mes propres expériences secrètes et regagnais un sentiment d’accomplissement lorsque j’arrivais par exemple, à maintenir la tête sectionnée d’un cobaye en vie pendant plus de sept secondes.
Manquant de sommeil et répétant le cycle, je comprenais que je ne pouvais compter que sur mon propre idéal. Jouant mon rôle à la perfection, j'échauffais un plan qui me permettrait de couper les mauvaises herbes à la racine.
Lorsque mon professeur me confronta inévitablement, j’avouais tout. Du moins, tout ce qui me semblait essentiel en évitant bien sûr de révéler mes propres dispositions. Jouant de mon jeune âge ainsi que de la peur qu’avait suscité le massacre d’un village par des fanatiques religieux il y a quelques mois, je n’eus aucun mal à pointer du doigt les pratiques fallacieuses de mes parents en grossissant à peine le trait. C’est ainsi que fut ouverte une commission par les autorités du village. Et l’on trouva très vite chez moi, des preuves atténuantes qui venaient corroborer les faits que j’avais énoncé.
Conservée dans une chambre à très basse température, gisait un cadavre mutilé de sexe féminin que l’autopsie révélait être décédée des suites d’un effondrement de pierres, tandis qu’au même moment on sauvait ma mère in extremis d’une mort auto-administrée en la maintenant dans un état végétatif. Mon père qui se retrouvait incapable de se sortir lui-même les pattes des conséquences de ses propres actions, dût en endosser l’entière la responsabilité.
Puisque je ne connaissais guère le monde de l’entreprenariat et que j’étais encore jeune, on confia les prérogatives de son travail au plus proche parent qualifié, c'est-à-dire au frère de son épouse que je n’avais moi-même pas connu. Il s’agissait d’un comptable de métier, timide et renfermé. Il y avait quelque chose de touchant dans ses grands yeux solitaires.
Au début, il n’y eut aucun réel défi pour notre cohabitation. En plus des circonstances concernant la découverte de la dépouille de sa jeune sœur et de son inclinaison à chercher un réconfort que je lui accordais de bonne grâce, il me pensait être une bonne fille. Quelques années plus tard, lorsqu’il fût presque à même de questionner mes activités, j’endossais le rôle de l’amante. C’est ainsi qu’il me concédait tous les caprices que je lui demandais.
Je fis faire des travaux dans la salle souterraine où se tenaient les anciennes réunions du culte, afin de lui donner une nouvelle vie. Cela me permettrait de voir plus grand.
Après tout, je n’avais rien fait de mal.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin à 60 %
v. Personnalité
Akane est le produit d'une passion entre deux êtres malmenés par la vie. Profondément incapable de percevoir le véritable amour ou de se connecter de manière saine aux autres, Akane recherche inconsciemment de l'affection au travers des schémas qu'elle a pu observer durant son enfance.
Manipulatrice, perverse et sadique, elle est une personne qui ne dispose que très peu de pitié envers les maillons faibles ou les personnages qui chercheront à s'auto-détruire.
Fi de ses méthodes monstrueuses, elle possède tout de même un idéal empreint d'une certaine noblesse d'esprit ; plus que tout au monde Akane désire que les hommes prennent en main leur nature et surpassent leurs propres capacités.
Il s'agit toutefois d'une seconde nature qu'elle arrive à dissimuler aux yeux des autres pour le bien de l'ordre social. On peut en déduire qu'elle popssède ainsi une certaine conscience introspective quant à sa propre nature. De manière générale, à l'égard des autres, et tant que ces derniers ne sont pas désignés comme antagonistes, elle se révelera tantôt être agréable, charmante, sérieuse, intéressée.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Akane c’est très bien
► Quel âge as-tu ? Vingt-deux ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Un copain m’en a parlé <:
► Comment trouves-tu le forum ? Vraiment propre
► T'as un autre compte? Lequel ? no
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Nan désolée
► Quel âge as-tu ? Vingt-deux ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Un copain m’en a parlé <:
► Comment trouves-tu le forum ? Vraiment propre
► T'as un autre compte? Lequel ? no
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Nan désolée
C y a l a n a
# Re: Ryusei Akane | L'attrape-coeur {Finie} Lun 31 Oct - 18:24
Bonjour, Bonsoir !
Je profite par le biais de cette réponse rapide pour d'abord exprimer le plaisir que j'ai d'être tombée sur votre forum (très propre) et aussi pour vous signaler que ma fiche est terminée.
Je vous laisse mon petit tag discord, si vous avez des questions, interrogations ou suggestions (: (Muishkin#1539)
Je profite par le biais de cette réponse rapide pour d'abord exprimer le plaisir que j'ai d'être tombée sur votre forum (très propre) et aussi pour vous signaler que ma fiche est terminée.
Je vous laisse mon petit tag discord, si vous avez des questions, interrogations ou suggestions (: (Muishkin#1539)
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Ryusei Akane | L'attrape-coeur {Finie} Mar 1 Nov - 19:26
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Genin !
Fiche très bien écrit. Ce fut agréable à lire.
TRAME PERSONNELLE :
Lors de tes travaux dans la salle souterraine, tu casses et détruis quelques murs pour agrandir et ouvrir davantage la pièce. Mais quelque chose se trouve au milieu des débris. Un carnet poussiéreux qui aurait été enfoui dans le mur, comme pour que jamais personne ne puisse le trouver. Dépoussiérant le carnet, tu te demandes bien ce qu’il peut renfermer. Ta curiosité débordante prenant le dessus. Tu ouvres et lis directement le livre.
Recherche de Ryūsei Junichiro et Takeda Kentaro
Une des pages récapitule de nombreux essais…
Essai n°1 : Greffer un organe Yokai sur un animal lambda
Essai n°2 : Echec
[...]
Essai n°12 : Echec
[...]
Essai n°354 : Les organes Yokai donnent des nouvelles possibilités aux greffés
Essai n°355 : Test sur un humain - Outrepassé les interdits - Takeda Kentaro est obnubilé par cet aspect.
[...]
Essai n°458 : Takeda Kentaro réussit l’infaisable et sauve la vie d’un homme grâce à ces expériences sombres.
Une autre page semble être une sorte de journal intime…
[...]
- Mon acolyte fou de Kentaro va mettre en péril toutes nos recherches. Il se fiche de moi et ne pense qu’à lui.
[...]
- Je ne peux pas le laisser détruire toutes ces longues années de recherches juste parce qu’il est têtu. Je vais devoir mettre un plan en place.
[...]
- Il est enfin mort.
[...]
- Désormais, je suis le seul à être ce chercheur de génie. Il ne me reste qu'à anéantir cette créature chimérique que ce Kentaro à créé de ces mains et peut-être sa progéniture direct @Takeda Kenzan.
[...]
- Suis-je devenu aussi fou que lui ? Non ! Non ! Non ! Non !!!
[...]
- Ce seront mes dernières lignes. Je dois trouver un moyen de cacher ces recherches afin que personne ne puisse les retrouver.
TON IMAGE : La Cramoisi
Lors de tes travaux dans la salle souterraine, tu casses et détruis quelques murs pour agrandir et ouvrir davantage la pièce. Mais quelque chose se trouve au milieu des débris. Un carnet poussiéreux qui aurait été enfoui dans le mur, comme pour que jamais personne ne puisse le trouver. Dépoussiérant le carnet, tu te demandes bien ce qu’il peut renfermer. Ta curiosité débordante prenant le dessus. Tu ouvres et lis directement le livre.
Recherche de Ryūsei Junichiro et Takeda Kentaro
Une des pages récapitule de nombreux essais…
Essai n°1 : Greffer un organe Yokai sur un animal lambda
Essai n°2 : Echec
[...]
Essai n°12 : Echec
[...]
Essai n°354 : Les organes Yokai donnent des nouvelles possibilités aux greffés
Essai n°355 : Test sur un humain - Outrepassé les interdits - Takeda Kentaro est obnubilé par cet aspect.
[...]
Essai n°458 : Takeda Kentaro réussit l’infaisable et sauve la vie d’un homme grâce à ces expériences sombres.
Une autre page semble être une sorte de journal intime…
[...]
- Mon acolyte fou de Kentaro va mettre en péril toutes nos recherches. Il se fiche de moi et ne pense qu’à lui.
[...]
- Je ne peux pas le laisser détruire toutes ces longues années de recherches juste parce qu’il est têtu. Je vais devoir mettre un plan en place.
[...]
- Il est enfin mort.
[...]
- Désormais, je suis le seul à être ce chercheur de génie. Il ne me reste qu'à anéantir cette créature chimérique que ce Kentaro à créé de ces mains et peut-être sa progéniture direct @Takeda Kenzan.
[...]
- Suis-je devenu aussi fou que lui ? Non ! Non ! Non ! Non !!!
[...]
- Ce seront mes dernières lignes. Je dois trouver un moyen de cacher ces recherches afin que personne ne puisse les retrouver.
TON IMAGE : La Cramoisi
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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