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# Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mer 19 Oct - 7:21
Après sa mission à la frontière avec une ravissante ninja de Seizan. Le jeune homme doit se rendre au village même de cette dernière afin d’y faire son rapport. Ce n’est pas chose qu’il est rapide d’effectuer. Mais il faut bien qu’il poursuive la suite de sa mission. Une missive qu’il doit délivrer. Rapide comme jamais, le garçon traverse les pays des montagnes bleues sans que rien ne semble lui faire barrage si ce n’est peut-être le poste de garde à l’entrée du village. Un simple contrôle de routine, rien de bien méchant. Car faisant tous deux partis de l’Empire au même titre qu’Akari. Il n’y a nulle raison que de se prendre la tête.
Le village des montagnes du Sud semble bien plus animé que la dernière fois où il a pu s’y rendre. Les changements en termes de bâtiments ne sont pas majeurs, mais la densité de population elle se fait visible. Peut-être qu’un nouveau commerce a vu le jour ou bien que les lignes commerciales se portent mieux pour une quelconque raison. Mais qu’importe tout ceci et sans aucun rapport avec sa mission. Une mission qui l’a conduit à faire équipe avec deux membres de Seizan et même un autre de Jujou. Sa première rencontre avec l’un des membres du village de l’Est. C’est d’ailleurs le rapport de mission rédigé par Sakyuu qu’il ramène à Seizan pour ensuite récupérer celui de Seizan ou du moins une copie pour l’emmener à Sakyuu. Une tâche administrative qui va de pair avec une simple mission de contrôle aux frontières. D’une pierre deux coups comme on peut dire.
L’interaction au bureau des missions de Seizan se passe pour le mieux et il n’a même pas eu besoin de faire la queue aussi étrange que cela puisse paraitre. Peut-être qu’aujourd’hui il se trouve sous sa bonne étoile qui n’aime guère sortir souvent. Ainsi il décide de profiter de son passage pour passer par les rues marchandes du village. Là il pourra peut-être trouver quelque chose qu’il ne voit pas à Sakyuu et qui saurait attirer son regard.
Mais il n’y a rien. Non pas que les produits ne soient pas d’une grande qualité. Mais ce qui peut l’intéresser, il n’a pas l’argent pour. Un bien grand dilemme que voici. Aussi il y a beaucoup d’objet qui ne lui sont pas d’une grande utilité. Car après tout il ne manie pas vraiment toutes sortes d’armes pour ne pas dire presque aucune. C’est ainsi qu’il décide de quitter le quartier marchand du village. Mais avant de s’en aller il se demande si par hasard il n’y aurait pas sa connaissance au salon de thé. Une connaissance et non une amie, car elle avait bien fait comprendre pour l’heure que ce n’était que dans ses intérêts qu’elle venait à agir. Et puis on ne pouvait pas vraiment qualifier quelqu’un d’amis juste après l’avoir rencontré. Se rendant donc au salon, il y jette un coup d’oeil sans vraiment oser y pénétrer Après tout ce n’est pas le genre de lui qu’il aime fréquenter de manière régulière.
Et c’est là qu’il voit la dame assise à une table. Seule, elle semble pourtant bien profiter d’un plateau de pâtisseries. Un traitement de faveur qu’elle a dû se voir mériter à force de fréquenter le lieu. L’homme hésite un instant à rentrer pour la saluer. Mais sans attendre un serveur vient lui forcer la main en lui demandant si cela l’intéresse de venir essayer leurs nouvelles spécialités pâtissières en précisant que le tout est gratuit. Bien sûr cela est attractif, mais il sent le piège arriver. Et bien sûr les boissons qui iraient avec ne seraient pas offerte. Ce n’est qu’un moyen comme un autre d’attirer des clients. Mais cela une excuse à Akari d’aller à la rencontre de la jeune dame des Watari qui se trouve à table. Cette fois-ci pas besoin de se changer, sa tenue ayant un peu évoluée au cours de cette année et qui compte notamment sur les quelques conseils de la Watari. Cette dernière semble bien plus somptueuse et noble, on pourrait même presque prendre le jeune homme pour un noble avec son manteau bien plus ample qui ne devrait l’être.
Se présentant à la Watari, il la salue en s’inclinant de manière respectueuse.
-Bonjour, comment allez-vous depuis le temps ? Cela fait quelques mois c’est ça ?
Il faut dire que le garçon avait même pris un an sur son propre calendrier.
Le village des montagnes du Sud semble bien plus animé que la dernière fois où il a pu s’y rendre. Les changements en termes de bâtiments ne sont pas majeurs, mais la densité de population elle se fait visible. Peut-être qu’un nouveau commerce a vu le jour ou bien que les lignes commerciales se portent mieux pour une quelconque raison. Mais qu’importe tout ceci et sans aucun rapport avec sa mission. Une mission qui l’a conduit à faire équipe avec deux membres de Seizan et même un autre de Jujou. Sa première rencontre avec l’un des membres du village de l’Est. C’est d’ailleurs le rapport de mission rédigé par Sakyuu qu’il ramène à Seizan pour ensuite récupérer celui de Seizan ou du moins une copie pour l’emmener à Sakyuu. Une tâche administrative qui va de pair avec une simple mission de contrôle aux frontières. D’une pierre deux coups comme on peut dire.
L’interaction au bureau des missions de Seizan se passe pour le mieux et il n’a même pas eu besoin de faire la queue aussi étrange que cela puisse paraitre. Peut-être qu’aujourd’hui il se trouve sous sa bonne étoile qui n’aime guère sortir souvent. Ainsi il décide de profiter de son passage pour passer par les rues marchandes du village. Là il pourra peut-être trouver quelque chose qu’il ne voit pas à Sakyuu et qui saurait attirer son regard.
Mais il n’y a rien. Non pas que les produits ne soient pas d’une grande qualité. Mais ce qui peut l’intéresser, il n’a pas l’argent pour. Un bien grand dilemme que voici. Aussi il y a beaucoup d’objet qui ne lui sont pas d’une grande utilité. Car après tout il ne manie pas vraiment toutes sortes d’armes pour ne pas dire presque aucune. C’est ainsi qu’il décide de quitter le quartier marchand du village. Mais avant de s’en aller il se demande si par hasard il n’y aurait pas sa connaissance au salon de thé. Une connaissance et non une amie, car elle avait bien fait comprendre pour l’heure que ce n’était que dans ses intérêts qu’elle venait à agir. Et puis on ne pouvait pas vraiment qualifier quelqu’un d’amis juste après l’avoir rencontré. Se rendant donc au salon, il y jette un coup d’oeil sans vraiment oser y pénétrer Après tout ce n’est pas le genre de lui qu’il aime fréquenter de manière régulière.
Et c’est là qu’il voit la dame assise à une table. Seule, elle semble pourtant bien profiter d’un plateau de pâtisseries. Un traitement de faveur qu’elle a dû se voir mériter à force de fréquenter le lieu. L’homme hésite un instant à rentrer pour la saluer. Mais sans attendre un serveur vient lui forcer la main en lui demandant si cela l’intéresse de venir essayer leurs nouvelles spécialités pâtissières en précisant que le tout est gratuit. Bien sûr cela est attractif, mais il sent le piège arriver. Et bien sûr les boissons qui iraient avec ne seraient pas offerte. Ce n’est qu’un moyen comme un autre d’attirer des clients. Mais cela une excuse à Akari d’aller à la rencontre de la jeune dame des Watari qui se trouve à table. Cette fois-ci pas besoin de se changer, sa tenue ayant un peu évoluée au cours de cette année et qui compte notamment sur les quelques conseils de la Watari. Cette dernière semble bien plus somptueuse et noble, on pourrait même presque prendre le jeune homme pour un noble avec son manteau bien plus ample qui ne devrait l’être.
Se présentant à la Watari, il la salue en s’inclinant de manière respectueuse.
-Bonjour, comment allez-vous depuis le temps ? Cela fait quelques mois c’est ça ?
Il faut dire que le garçon avait même pris un an sur son propre calendrier.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Lun 24 Oct - 10:32
Une ravissante ninja de Seizan ? Hanami n'avait pas effectué une mission avec le jeune homme ou alors elle ne se rappelait plus. Notez qu'une femme appréciait toujours un doux mot placé habillement ! Bref, la jeune noble était véritablement à la maison lorsque l'on parlait du village militaire des montagnes bleus. Le clan Watari était installée dans la région depuis plusieurs générations. Leurs influences étaient réelles et leurs places également. Bien évidemment, vu le trébuchement à cause des accusations, on pouvait émette un doute raisonnable à ce sujet.
Habillée d'une parfaite façon avec son kimono chic noir, qui devait valoir une petite fortune, Hanami était tranquillement installée à table avec un thé. Régulièrement, elle faisait des signes au serveur qui allait déposer de petits mots à d'autres tables. Comme si elle était une maîtresse de maison à distribuer des cartes. Cependant, elle ne s'attendait pas à la venue d'un jeune homme rencontré plutôt par hasard. Ce n'était pas le genre de personnes qu'elle irait d'elle-même vers sauf par intérêt. Cela avait été le cas bien entendu, mais comme à son habitude, chacun y avait gagné. On pouvait targuer l'habile politicienne de tous les maux, mais dans ses manigance, elle était juste et respectueuse des accords. Il y avait certains stades différents dans ses relations et accéder à la véritable amitié était un véritable chemin de croix dans la notation de la jolie brune. Manipulatrice, froide, efficace étaient les maîtres mots.
Hanami n'était pas là présente par hasard, elle y menait des affaires dans un jeu de dupe. Quite à être là à profiter des pâtisseries, autant y avoir un thé délicat en guise d'accompagnement. Elle nota évidemment le changement notable de tenue du jeune homme, et elle apprécia d'un léger sourire notable pour les personnes les plus fines.
Watari Hanami • « Eh bien, mais qui voilà donc ? Le jeune et talentueux Akari tout de soie vêtue. Je suis déconfite à découvrir votre venue entre ses lieux. Installez vous donc si cela vous sciez. Je vais à merveille et vous même mon cher ? »
Invita alors Hanami d'un geste délicat de la main appréciant d'autant plus le respect dans les bonnes manières.
Watari Hanami • « Ne me dites pas que vous avez été promis à une riche et adorable innocente noble. Je vous reconnais à peine, mais où est donc passé le jeune homme perdu en ce genre de lieu. »
Argumenta alors Hanami déguisant quelques compliments en banalités. Ce n'était pas qu'elle ne le pensait pas, bien au contraire, elle le reconnaissait bien volontier ce qui ne manquait pas habituellement la personne à de meilleurs auspices.
Watari Hanami • « J'ai rencontré votre maître, le fameux moine aux yeux dorés qui semble vous portez aux nues. Ils mesurent votre grand mérite et il est fort probable que vous soyez inviter à participer à une opération très particulière à mon invitation. Cela sera intéressant et demandera une certaine finesse et des connaissances. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 25 Oct - 9:07
Vêtue de noir, on pouvait la croire ne deuil. Mais il n’en fut rien et c’était là simplement un choix esthétique certainement calculé de sa part. Après tout le noir permettait de paraitre plus mince tout en offrant des formes généreuses. Et si cela ne venait pas effleurer l’intellect d’Akari. Pour certains ils avaient pensé à cela lorsqu’ils vinrent à observer la dame. Un sourire aux lèvres comme à son habitude avant une réponse pour Akari. Sans aucun mal elle avait pu le reconnaitre, il faut dire que cela ne faisait pas si longtemps que cela et pourtant. Elle lui demande par la même comment il se porte tout en l’invitant à s’asseoir.
Ne manquant pas de soulever la chaise pour s’installer le voici qu’il refaisait la même erreur que la dernière fois. Car cela était au serveur de venir à sa rencontre pour l’aider à s’intégrer à la table de madame. Qu’importe, c’était toujours cela de gagné en temps. Et Akari avait conscience que la dame était constamment en train d’intriguer. Même s’il ne voyait pas vraiment ce qu’elle pouvait faire ici. Peut-être était-ce pour les mêmes raisons qu’à Sakyuu ? Se disait-il.
-Je vais bien. J’ai eu quelques soucis pour venir ici, mais rien qui ne soit vraiment dérangeant. Et donc c’est là votre repaire.
Installait à la table, le garçon remarquait alors la présence de nombreux plats aussi divers que variés qui accompagnaient parfaitement le thé servi en même temps. Et alors que le garçon pouvait percevoir le serveur se rapprocher, certainement pour prendre sa commande. La femme lui lança une petite phrase amusante pour découvrir la raison de sa présence sans aucun doute, songeait-il.
-Non il n’en est rien. Je ne risque pas d’être promis à qui que ce soit avant un moment je pense. Mais je dois avouer que ma venue n’est pas anodine.
La femme continue sur le fait qu’elle ait pu rencontrer Shingen en amont de cette rencontre. Une drôle de surprise que voici. Elle évoque alors une certaine opération, une opération qui semblait pour le garçon, être en rapport avec la préparation qu’il avait pu faire avec le moine en question.
-Je vois, eh bien je dois dire qu’il me surestime toujours un peu. Mais je dois dire que j’ai hâte de pouvoir participer à cette mission, enfin opération. Si toutefois le destin me le permet. Car comme je vous l’ai dit, je ne suis pas là sans raison. Et si le plaisir de vous revoir m’est plaisant, j’ai un service à vous demander. Dans ma grande honte, je me dois d’admettre que je n’ai pas suivi vos conseils, ce qui m’a mené dans une situation assez délicate.
Impoli comme jamais, le serveur vint interrompre Akari pour prendre sa commande. Certainement celui-ci doit être nouveau, car même en terrasse dans un quelconque restaurant un serveur attend que l’on ait fini de parler avant de débarquer et de prendre les commandes.
-Je vous prendrais un thé noir je vous prie et une assiette de vos biscuits locaux, sinon je prendrais comme madame.
Akari demande des biscuits locaux, mais à vrai dire il ne sait même pas si le village en fait des particuliers. Le serveur prends alors note et s’en va. Laissant Akari poursuivre son histoire avec une voix plus basse mais non discrète.
-Et donc, on a abusé de ma gentillesse. Sournoise a été une personne à mon égard au village de Toge qui m’a fait accusé de son propre acte à son encontre. Pour plus de précision je voulais simplement aller parler à une personne, mais pour m’en empêcher elle s’est immolée et m’a accusé de l’avoir brûlée. Et donc je n’ai pas encore subi les conséquences de cette fausse accusation si ce n’est de m’être fait bannir de Toge.
Sans attendre le serveur revient en portant le tout sur la table. Puis s’en va laissant le garçon reprendre.
-Et donc en vous voyant au travers de la vitre. Je me suis dit que peut-être pourriez-vous me conseiller à ce sujet ou bien m’apprendre des petites astuces de votre milieu pour m’aider au possible. Bien sûr je ne voudrais pas vous déranger.
Ne manquant pas de soulever la chaise pour s’installer le voici qu’il refaisait la même erreur que la dernière fois. Car cela était au serveur de venir à sa rencontre pour l’aider à s’intégrer à la table de madame. Qu’importe, c’était toujours cela de gagné en temps. Et Akari avait conscience que la dame était constamment en train d’intriguer. Même s’il ne voyait pas vraiment ce qu’elle pouvait faire ici. Peut-être était-ce pour les mêmes raisons qu’à Sakyuu ? Se disait-il.
-Je vais bien. J’ai eu quelques soucis pour venir ici, mais rien qui ne soit vraiment dérangeant. Et donc c’est là votre repaire.
Installait à la table, le garçon remarquait alors la présence de nombreux plats aussi divers que variés qui accompagnaient parfaitement le thé servi en même temps. Et alors que le garçon pouvait percevoir le serveur se rapprocher, certainement pour prendre sa commande. La femme lui lança une petite phrase amusante pour découvrir la raison de sa présence sans aucun doute, songeait-il.
-Non il n’en est rien. Je ne risque pas d’être promis à qui que ce soit avant un moment je pense. Mais je dois avouer que ma venue n’est pas anodine.
La femme continue sur le fait qu’elle ait pu rencontrer Shingen en amont de cette rencontre. Une drôle de surprise que voici. Elle évoque alors une certaine opération, une opération qui semblait pour le garçon, être en rapport avec la préparation qu’il avait pu faire avec le moine en question.
-Je vois, eh bien je dois dire qu’il me surestime toujours un peu. Mais je dois dire que j’ai hâte de pouvoir participer à cette mission, enfin opération. Si toutefois le destin me le permet. Car comme je vous l’ai dit, je ne suis pas là sans raison. Et si le plaisir de vous revoir m’est plaisant, j’ai un service à vous demander. Dans ma grande honte, je me dois d’admettre que je n’ai pas suivi vos conseils, ce qui m’a mené dans une situation assez délicate.
Impoli comme jamais, le serveur vint interrompre Akari pour prendre sa commande. Certainement celui-ci doit être nouveau, car même en terrasse dans un quelconque restaurant un serveur attend que l’on ait fini de parler avant de débarquer et de prendre les commandes.
-Je vous prendrais un thé noir je vous prie et une assiette de vos biscuits locaux, sinon je prendrais comme madame.
Akari demande des biscuits locaux, mais à vrai dire il ne sait même pas si le village en fait des particuliers. Le serveur prends alors note et s’en va. Laissant Akari poursuivre son histoire avec une voix plus basse mais non discrète.
-Et donc, on a abusé de ma gentillesse. Sournoise a été une personne à mon égard au village de Toge qui m’a fait accusé de son propre acte à son encontre. Pour plus de précision je voulais simplement aller parler à une personne, mais pour m’en empêcher elle s’est immolée et m’a accusé de l’avoir brûlée. Et donc je n’ai pas encore subi les conséquences de cette fausse accusation si ce n’est de m’être fait bannir de Toge.
Sans attendre le serveur revient en portant le tout sur la table. Puis s’en va laissant le garçon reprendre.
-Et donc en vous voyant au travers de la vitre. Je me suis dit que peut-être pourriez-vous me conseiller à ce sujet ou bien m’apprendre des petites astuces de votre milieu pour m’aider au possible. Bien sûr je ne voudrais pas vous déranger.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Lun 31 Oct - 17:19
Toujours un peu rustre ou juste ce qu’il faut, Akari commit des erreurs dans l’univers très fermé du grand monde. Les initiés pouvaient aisément découvrir qu’il n’était guère à sa place ici. Simplement, Hanami bien trop polie et politicienne pour le démontrer d’une manière désobligeante. Il n’y avait que très peu de temps de libre ou simplement de distraction. Elle n’arrivait pas à se dire de prendre du temps juste pour elle alors qu’elle pourrait le prendre pour avancer dans ses projets. La jeune intrigante se reposerait lorsqu’elle serait dans la tombe.
Watari Hanami • « Des soucis pour venir ici ? à Seizan ou alors dans ce charmant établissement ? Ce lieu n’est pas ma base d’opération, toute la ville voire le monde entier est mon terrain de jeu. Là où il y a des affaires à faire, je ne suis pas bien difficile. Ils font de surcroit de très bonnes pâtisseries. »
Indiqua alors amusée la plus âgée des sœurs Watari d’un calme serein. Elle se doutait qu’un ninja n’irait pas se perdre dans un village étranger uniquement pour faire du tourisme. En tout cas, ce n’étaient pas du tout ses méthodes.
Watari Hanami • « Ne me dites pas que votre venue est secrète, une mission peut-être ? Nonobstant, une femme est toujours curieuse de découvrir tous ces petits secrets. Si vous désirez le cacher, il vaut mieux toujours agiter un petit quelque chose ou moins pour la distraction. »
Conseilla alors Hanami au jeune garçon, qui avait tant à apprendre encore. Que l’autre sache qu’il y avait un mensonge évident, pourquoi pas, mais ne rien donner prouvait un véritable problème. Tout en poursuivant sa dégustation, elle profitait de la présence du jeune homme avec son éternel sourire.
Watari Hanami • « Ne vous dévaluez pas trop, car c’est moi qui valide qui va participer à cette mission qui m’est personnelle. Ce n’est pas pour un pouvoir ou intérêt quelconque à part le miens bien évidemment. Il s’agira d’avoir la force, l’intelligence et surtout la subtilité nécessaire. Si tout se passe bien, vous n’aurez même rien à faire si ce n’est observé. Si cela se passe mal, cela sera violent et implacable. Je ne vous donnerais pas davantage d’informations pour le moment, disons simplement que l’opération se prépare depuis un moment avec une certaine minutie. »
Relevant son regard, Hanami plongea ses yeux vers le jeune homme alors qu’il parlait de demander un service. Assez curieuse pour le coup, car ce n’était pas arrivé lors de leur dernière entrevue.
Watari Hanami • « Dommage que vous ne m’aviez pas écouter, de précieux conseils qui sont normalement cher payer pour le tout-venant. Alors dites-moi dans quelle panade vous vous êtes mis ? »
Hanami s’arrêta de parler le temps du passage du serveur, qui eut le droit à un regard plus dédaigneux de la part de la Watari quant à son invitation lors d’une discussion. Elle sourit légèrement amusée alors qu’il expliqua son souci.
Watari Hanami • « Très peu de personnes sont sympathiques par pure gentille, il y a toujours une recherche de gain quelconque. J’ai toujours su que vous étiez quelqu’un de trop gentil, à croire encore à la justice, à l’ordre établi ce genre de chimère. Je dois dire, que ce que vous me comptez est très particulier.
On va commencer par le début, vous êtes militaire de Toge, un ninja, donc si vous êtes banni de Toge, donc de l’armée. Aujourd’hui, vous êtes un simple civil renvoyé de l’armée ou sous une action disciplinaire avec un procès en cours ? Ensuite, qui vouliez-vous voir ? Avez-vous des témoins ? La personne dit que vous l’avez brûlé, de quelle façon ? Comment ? Quand ? Avez-vous ou a-t-il des témoins de ce moment ? Et qui vous accuse ? Donnez-moi donc son nom et grade. Ensuite, pourquoi selon-vous cette personne vous a fait une telle accusation ? C’était si problématique de la rencontrer ? Cela doit cacher quelque chose, car s’immoler soi-même par le feu, je ne vois qu’un fou ou un jashiniste pour faire ça. Malgré que les kages des villages dirigent comme ils l’entendent, un jugement doit être prononcer. Est-ce déjà le cas ? »
Hanami tapota sa joue doucement après le flot de questions qu’elle venait de lancer.
Watari Hanami • « Qu’attendez-vous de moi exactement ? De simples conseils ? Une aide juridique ? Une pression sur la personne qui vous a accusé ? La vérité quelle qu’en soit le prix ? La vengeance peut-être ? Dites-moi également ce que vous espérez pour l’avenir, car si vous ne comptez pas revenir à Toge, alors inutile de perdre du temps avec tout cela, à part pour laver votre nom de toutes ses sottises. Dites-vous bien que je puisse vous offrir beaucoup, tout ce que je viens de vous dire, d’une manière ou d’une autre. Cependant, tout cela à un prix différent bien entendu. Vous devez en avoir conscience. »
Watari Hanami • « Des soucis pour venir ici ? à Seizan ou alors dans ce charmant établissement ? Ce lieu n’est pas ma base d’opération, toute la ville voire le monde entier est mon terrain de jeu. Là où il y a des affaires à faire, je ne suis pas bien difficile. Ils font de surcroit de très bonnes pâtisseries. »
Indiqua alors amusée la plus âgée des sœurs Watari d’un calme serein. Elle se doutait qu’un ninja n’irait pas se perdre dans un village étranger uniquement pour faire du tourisme. En tout cas, ce n’étaient pas du tout ses méthodes.
Watari Hanami • « Ne me dites pas que votre venue est secrète, une mission peut-être ? Nonobstant, une femme est toujours curieuse de découvrir tous ces petits secrets. Si vous désirez le cacher, il vaut mieux toujours agiter un petit quelque chose ou moins pour la distraction. »
Conseilla alors Hanami au jeune garçon, qui avait tant à apprendre encore. Que l’autre sache qu’il y avait un mensonge évident, pourquoi pas, mais ne rien donner prouvait un véritable problème. Tout en poursuivant sa dégustation, elle profitait de la présence du jeune homme avec son éternel sourire.
Watari Hanami • « Ne vous dévaluez pas trop, car c’est moi qui valide qui va participer à cette mission qui m’est personnelle. Ce n’est pas pour un pouvoir ou intérêt quelconque à part le miens bien évidemment. Il s’agira d’avoir la force, l’intelligence et surtout la subtilité nécessaire. Si tout se passe bien, vous n’aurez même rien à faire si ce n’est observé. Si cela se passe mal, cela sera violent et implacable. Je ne vous donnerais pas davantage d’informations pour le moment, disons simplement que l’opération se prépare depuis un moment avec une certaine minutie. »
Relevant son regard, Hanami plongea ses yeux vers le jeune homme alors qu’il parlait de demander un service. Assez curieuse pour le coup, car ce n’était pas arrivé lors de leur dernière entrevue.
Watari Hanami • « Dommage que vous ne m’aviez pas écouter, de précieux conseils qui sont normalement cher payer pour le tout-venant. Alors dites-moi dans quelle panade vous vous êtes mis ? »
Hanami s’arrêta de parler le temps du passage du serveur, qui eut le droit à un regard plus dédaigneux de la part de la Watari quant à son invitation lors d’une discussion. Elle sourit légèrement amusée alors qu’il expliqua son souci.
Watari Hanami • « Très peu de personnes sont sympathiques par pure gentille, il y a toujours une recherche de gain quelconque. J’ai toujours su que vous étiez quelqu’un de trop gentil, à croire encore à la justice, à l’ordre établi ce genre de chimère. Je dois dire, que ce que vous me comptez est très particulier.
On va commencer par le début, vous êtes militaire de Toge, un ninja, donc si vous êtes banni de Toge, donc de l’armée. Aujourd’hui, vous êtes un simple civil renvoyé de l’armée ou sous une action disciplinaire avec un procès en cours ? Ensuite, qui vouliez-vous voir ? Avez-vous des témoins ? La personne dit que vous l’avez brûlé, de quelle façon ? Comment ? Quand ? Avez-vous ou a-t-il des témoins de ce moment ? Et qui vous accuse ? Donnez-moi donc son nom et grade. Ensuite, pourquoi selon-vous cette personne vous a fait une telle accusation ? C’était si problématique de la rencontrer ? Cela doit cacher quelque chose, car s’immoler soi-même par le feu, je ne vois qu’un fou ou un jashiniste pour faire ça. Malgré que les kages des villages dirigent comme ils l’entendent, un jugement doit être prononcer. Est-ce déjà le cas ? »
Hanami tapota sa joue doucement après le flot de questions qu’elle venait de lancer.
Watari Hanami • « Qu’attendez-vous de moi exactement ? De simples conseils ? Une aide juridique ? Une pression sur la personne qui vous a accusé ? La vérité quelle qu’en soit le prix ? La vengeance peut-être ? Dites-moi également ce que vous espérez pour l’avenir, car si vous ne comptez pas revenir à Toge, alors inutile de perdre du temps avec tout cela, à part pour laver votre nom de toutes ses sottises. Dites-vous bien que je puisse vous offrir beaucoup, tout ce que je viens de vous dire, d’une manière ou d’une autre. Cependant, tout cela à un prix différent bien entendu. Vous devez en avoir conscience. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 1 Nov - 11:05
Akari se retenait de hausser un sourire quand la demande se montrant assez peu amicale de par son expression à l’égard du serveur. Bien évidemment la réaction de la dame était tout à fait compréhensible. Et lorsque ce dernier s’en allait et que son sourire habituel revenait, le garçon avait eu un grand mal à se contenir de rire. Il était clair qu’il ne fallait pas contrarier cette dame au risque alors de subir son courroux.
Face à mon problème la femme venait à rejeter la faute sur moi en quelque sorte. Ne pas l’avoir écouté, avoir été trop gentil. Des choses qui sont tout à fait vraie et c’est même pourquoi il s’est permis de venir la déranger alors qu’elle se trouvait tranquillement installée ici. Bien sûr il aurait bien aimé parler de la fameuse opération plus en détail, mais cette occasion devrait ne pas manquer de se représenter et le temps était une chose précise pour l’un comme pour l’autre. Aussi il ne comptait pas s’attarder sur ce sujet bien sa soif de curiosité le torturait. Elle évoquait aussi qu’il avait une trop grande confiance en la justice, une chose quelque peu fausse. Car s’il avait vraiment la foi dans ce système, il ne se présenterait pas devant la dame.
-Trop gentil ? Je ne sais pas peut-être. Toutefois je me dois de vous corriger sur un point. Cet incident m’a bien appris une chose. Que le système n’est en rien digne de ma confiance. Et comme vous l’aviez évoqué les kage ont leurs propres intérêts et dessins et se moque pertinemment d’être altruiste.
Si Akari avait bien banni de Toge, il ne l’avait pas été de l’armée. Après tout, il appartenait à Sakyuu et jusqu’à preuve du contraire le kage de Sakyuu n’était pas le même que celui de Toge. Même si un jour peut-être cela viendrait à changer. Et si la femme évoque un procès. Une chose qu’aurait bien désiré Akari pour prouver son innocence. La femme commence à le bombarder de question pour expliquer à quel point sa situation semble assez complexe. Il aurait bien des réponses à apporter à tout ceci, mais rien qu’il ne soit irréfutable dans le sens où c’était sa parole contre celle de l’autre fillette aux mœurs étranges. Ce n’est pas pour autant qu’il souhaite le voir brûler, simplement il ne risque pas de l’apprécier avant un moment voir jamais. Aussi à la suite des mots précédents il enchaine ses explications.
-Bien sûr que je pourrais apporter quelques preuves ou du moins des explications. L’enquête n’ayant pas eu lieu, je doute que les preuves sur place soient encore présentes. Outre cela, il n’y aucun témoin et ceux qui sont arrivés juste après sont ceux qui m’ont viré du village sans même chercher à écouter mes propos.
Sur ce sujet, il savait aussi que la dame ne pouvait pas non plus y faire grand-chose. Aussi son intérêt se portait ailleurs. Il ne s’agissait pas d’aide juridique ou de pressions non. Mais plus comme elle l’a suggéré de conseils. Des conseils qui n’auraient rien à voir avec cette affaire.
-En réalité si je suis venu ici, c’est pour savoir si vous pourriez …
Parlait-il à présent à voix basse, de par la honte qu’il ressentait tout en se rapprochant un peu de la dame.
-…m'apprendre à devenir un homme.
Il reprenait alors sa position d’avant et une voix plus audible sans qu’il ne vienne à crier.
-Je sais que c’est beaucoup vous demander. Mais lorsque je me suis posé la question. C'est vous que j’ai vu en premier pour remplir ce rôle. Même si je dois avouer que je ne pensais pas tomber sur vous lors de ma visite à Seizan.
Face à mon problème la femme venait à rejeter la faute sur moi en quelque sorte. Ne pas l’avoir écouté, avoir été trop gentil. Des choses qui sont tout à fait vraie et c’est même pourquoi il s’est permis de venir la déranger alors qu’elle se trouvait tranquillement installée ici. Bien sûr il aurait bien aimé parler de la fameuse opération plus en détail, mais cette occasion devrait ne pas manquer de se représenter et le temps était une chose précise pour l’un comme pour l’autre. Aussi il ne comptait pas s’attarder sur ce sujet bien sa soif de curiosité le torturait. Elle évoquait aussi qu’il avait une trop grande confiance en la justice, une chose quelque peu fausse. Car s’il avait vraiment la foi dans ce système, il ne se présenterait pas devant la dame.
-Trop gentil ? Je ne sais pas peut-être. Toutefois je me dois de vous corriger sur un point. Cet incident m’a bien appris une chose. Que le système n’est en rien digne de ma confiance. Et comme vous l’aviez évoqué les kage ont leurs propres intérêts et dessins et se moque pertinemment d’être altruiste.
Si Akari avait bien banni de Toge, il ne l’avait pas été de l’armée. Après tout, il appartenait à Sakyuu et jusqu’à preuve du contraire le kage de Sakyuu n’était pas le même que celui de Toge. Même si un jour peut-être cela viendrait à changer. Et si la femme évoque un procès. Une chose qu’aurait bien désiré Akari pour prouver son innocence. La femme commence à le bombarder de question pour expliquer à quel point sa situation semble assez complexe. Il aurait bien des réponses à apporter à tout ceci, mais rien qu’il ne soit irréfutable dans le sens où c’était sa parole contre celle de l’autre fillette aux mœurs étranges. Ce n’est pas pour autant qu’il souhaite le voir brûler, simplement il ne risque pas de l’apprécier avant un moment voir jamais. Aussi à la suite des mots précédents il enchaine ses explications.
-Bien sûr que je pourrais apporter quelques preuves ou du moins des explications. L’enquête n’ayant pas eu lieu, je doute que les preuves sur place soient encore présentes. Outre cela, il n’y aucun témoin et ceux qui sont arrivés juste après sont ceux qui m’ont viré du village sans même chercher à écouter mes propos.
Sur ce sujet, il savait aussi que la dame ne pouvait pas non plus y faire grand-chose. Aussi son intérêt se portait ailleurs. Il ne s’agissait pas d’aide juridique ou de pressions non. Mais plus comme elle l’a suggéré de conseils. Des conseils qui n’auraient rien à voir avec cette affaire.
-En réalité si je suis venu ici, c’est pour savoir si vous pourriez …
Parlait-il à présent à voix basse, de par la honte qu’il ressentait tout en se rapprochant un peu de la dame.
-…m'apprendre à devenir un homme.
Il reprenait alors sa position d’avant et une voix plus audible sans qu’il ne vienne à crier.
-Je sais que c’est beaucoup vous demander. Mais lorsque je me suis posé la question. C'est vous que j’ai vu en premier pour remplir ce rôle. Même si je dois avouer que je ne pensais pas tomber sur vous lors de ma visite à Seizan.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Lun 7 Nov - 18:26
Watari Hanami • « Il est toujours dommage qu'un jeune garçon débordant d'innocences tel que toi ait dû vivre ce genre d'événement, seulement, il fait que cela soit formateur d'enseignements. Il ne faut pas voir la vie comme une sombre torture où chaque jour l'on doit endurer. Si jamais on est prêt, la vie est formidable. Il y aura toujours des personnes rêvant de vous la saper pour son propre gain. Chaque personne défend à sa manière ses intérêts. Plus la personne a de pouvoirs, plus les méthodes sont en général abrupte et difficile à supporter. Il est très nécessaire de savoir bien choisir ses alliés. »
Commença alors à expliquer ou réexpliquer en fin de compte un début de description de leur monde. Elle fit un mouvement de main.
Watari Hanami • « Une décision de ce genre peut passer par un tribunal, mais bien souvent un arrangement ou une discussion résout les soucis bien rapidement. Il n'y a pas besoin de preuves nécessairement. Il y a de nombreuses manières de faire, mais seulement si vous ne vous battez pas très rapidement, cela veut dire que vous acceptez votre sort et que vous vous accusez vous-même. Votre réputation sera entachée à jamais. Je vous laisse ce choix, à votre place, je me battrais par tous les moyens, mais je ne le ferais pas contre votre gré. Sachez juste que je peux vous aider. »
Cependant, visiblement l'intérêt du jeune garçon semblait être tout autre. Pour le coup, elle marqua un moment de surprise. Elle ne s'attendait pas à ce type de demandes. La jeune femme ne resta pas longtemps dans l'espectative.
Watari Hanami • « Que l'on soit clair, nous parlons bien de relations sexuelles ? Ou alors d'avoir l'assise et l'importance d'être un adulte ? Même si je doute qu'avec votre gêne nous parlions plutôt du premier sujet n'est-ce pas ? J'apprécie grandement votre intérêt pour ma personne à ce sujet mais vous n'êtes pas sans savoir que je fais partie d'une famille noble. En ces termes il m'est difficile d'avoir une quelconque relation en dehors d'un mariage une personne de la même qualité. Cependant croyez bien que je sache ce qu'il se passe à ce sujet parfaitement, je pourrais vous conseiller ou même vous présenter des personnes dont c'est le métier, qui seront certainement ravis de vous en dire plus.
Qu'attendez-vous exactement de moi ? »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mer 9 Nov - 5:49
Si la femme trouve dommage que le jeune garçon a dû traverser tant d’épreuves auprès de sa famille et au cours de sa vie. Comme cet incident à Toge, qui comme elle le souligne se montre aussi cruel qu’instructeur. Il ne saisit pas bien en quoi la vie est formidable. Peut-être y est-elle plus attachée que le jeune homme ce qui expliquer son côté quelque peu sournois sur ses intérêts. Akari se demande alors si cela sous-entend que les plus méchants ou les plus orgueilleux et envieux sont ceux qui désirent le plus la vie. Cela serait une chose tout à fait logique, mais il n’est pas certain de sa pensée, bien sûr parmi eux il peut y en avoir. Mais en réalité il se dit surtout que c’est à voir au cas par cas. Car pour le simple exemple qu’il peut aisément fournir pour contrer son propre argumentaire, les membres du culte de Jashin. Ces derniers semblent lus tenir à la mort qu’à la vie et ils ne sont en vie que pour soulager les vivants de leurs peines.
La femme explique alors qu’il est normal de passer au tribunal comme de ne pas y passer. Et il doit bien avouer qu’il en attendait bien plus de la part de son kage. Venant même à douter de ce dernier et de ses intérêts pour le village. Mais qu’importe car là n’était pas le sujet, il fallait avant tout voir comment tout ceci allait se dérouler pour lui. Mais la Watari ne manque pas d’offrir son aide si elle le peut dans cette affaire, peut-être est-ce une chose qu’il devra saisir.
Quant à sa réelle demande, Akari se voit troublé. Il ne s’attend pas à une telle mésentente avec la femme. Qui semble bien autre chose de ce qu’il avait pu avoir en tête. En effet, elle vient à parler de relation sexuelle. Si le garçon a déjà pu aborder ce sujet avec Honoka à des fins de compréhensions, il faut l’avouer il n’a pas saisi grand-chose. Aussi son envie à ce sujet est nulle pour ne pas inexistante en l’état actuel des choses. Et elle propose même de présenter quelques individus à Akari. Une offre qu’il va bien évidemment refuser en essayant de corriger le tir. Car la direction de cette conversation et à des années de ce qu’il voulait insinuer dans sa grande honte.
-Euh … euh … Je crains qu’il n’y ait une mésentente à ce propos. Je ne parlais pas de relation sexuelle, même si l’idée de vous embrasser ne me déplait point après tout vous êtes ravissante. Non je parlais surtout de … comment dire ? Humm … oui c’est ça ! Mieux comprendre les gens autour de moi et leurs envies pour mieux parvenir à les faire aller en ma faveur comme vous. L’art du dialogue si vous préférez et non pas celui de vous embrasser. Ce que je n’oserai jamais vous demander comme tel bien évidemment.
La femme explique alors qu’il est normal de passer au tribunal comme de ne pas y passer. Et il doit bien avouer qu’il en attendait bien plus de la part de son kage. Venant même à douter de ce dernier et de ses intérêts pour le village. Mais qu’importe car là n’était pas le sujet, il fallait avant tout voir comment tout ceci allait se dérouler pour lui. Mais la Watari ne manque pas d’offrir son aide si elle le peut dans cette affaire, peut-être est-ce une chose qu’il devra saisir.
Quant à sa réelle demande, Akari se voit troublé. Il ne s’attend pas à une telle mésentente avec la femme. Qui semble bien autre chose de ce qu’il avait pu avoir en tête. En effet, elle vient à parler de relation sexuelle. Si le garçon a déjà pu aborder ce sujet avec Honoka à des fins de compréhensions, il faut l’avouer il n’a pas saisi grand-chose. Aussi son envie à ce sujet est nulle pour ne pas inexistante en l’état actuel des choses. Et elle propose même de présenter quelques individus à Akari. Une offre qu’il va bien évidemment refuser en essayant de corriger le tir. Car la direction de cette conversation et à des années de ce qu’il voulait insinuer dans sa grande honte.
-Euh … euh … Je crains qu’il n’y ait une mésentente à ce propos. Je ne parlais pas de relation sexuelle, même si l’idée de vous embrasser ne me déplait point après tout vous êtes ravissante. Non je parlais surtout de … comment dire ? Humm … oui c’est ça ! Mieux comprendre les gens autour de moi et leurs envies pour mieux parvenir à les faire aller en ma faveur comme vous. L’art du dialogue si vous préférez et non pas celui de vous embrasser. Ce que je n’oserai jamais vous demander comme tel bien évidemment.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 15 Nov - 9:37
Hanami habituée aux épreuves de la vie, à sa dureté, dévorait la vie avec une envie ou un besoin irrémédiable. Elle avait perdu ses parents, elle avait tout un clan à reconstruire, un avenir à se dessiner et des affaires à mener. Tant mieux, elle serait occupée. Personne ne voulait d'elle nul par, et cela elle l'avait compris. Il s'avérait nécessaire de creuser sa place comme un oni et sa massue. Elle n'attendrait personne, et forcerait sa place. Le jeune et plus très innocent Akari découvrait la dure réalité, et la descente pouvait être brutale. La jeune noble offrait une main tendue, elle ne se fatiguerait pas pour des faibles et des moins que rien ayant baissé les bras. Elle engageait son nom et ses moyens qu'à ceux qui le méritaient. C'était difficile et ignoble ? Peut-être bien, mais Hanami n'avait certainement pas pour objectif de sauver le monde, simplement y survivre.
Watari Hanami • « Je me disais bien que cela se révélait étrange de votre part mon cher, mais tout le monde a le droit de grandir après tout. Allons détendez vous, il n'y a rien de sale ou honteux à ce type de sujets qui dans la bonne société dirigé presque le monde avec l'avidité. »
Rassura la Watari alors totalement à l'aise avec tout cela malgré sa pureté et sa féminité. Elle hocha la tête doucement pensive en apparence.
Watari Hanami • « L'art de la diplomatie, du discours et du débat, voilà qui est fort vaste. Il s'avère nécessaire d'être intuitif, renseigné, calculateur, implacable avec une aisance des actes au bon moment et au bon endroit. Je pourrais en effet vous enseigner cet art difficile, cruel. On n'en sort pas blanc, car tous ceux qui ont goûté au pouvoir sont entachés, les hauts prêtres, les responsables de services des villages, les kages, tous les politiciens et la cours impériale. Bien entendu, à moindre mesure les marchands, et tous ceux qui font du commerce. Je vous ais initié lors de notre première rencontre, je vous ais entrouvert une porte sur un monde sans pitié. Cela demanderait du temps, d'évoluer dans votre mentalité, car il n'y a point de justice dans ce monde, uniquement des intérêts croisés. »
Commença à dire Hanami déroulant comme une leçon qu'elle avait appris il y a longtemps maintenant pour une jeune vie.
Watari Hanami • « Tout à un prix, et je ne parle pas de vulgaires pièces de monnaie. Vous pourriez avoir une dette à payer un jour envers moi ou mon clan. Vous y êtes préparé ? Évidemment, elle sera à la mesure de l'aide que je vous apporterais. Vous êtes face à une des rares politicienne honnête. Je déclame toujours ce qui va se passer, les tenants et les aboutissants lorsque je fais affaire. Il n'y a pas de tromperies et je déteste ceux qui espèrent pouvoir tergiverser un contrat par la suite. Ils le payent toujours au prix fort. »
Ce n'était pas du tout une menace, une simple constatation après tout. La brunette avait de multiples manières pour opérer des régulations. Elle n'était pas le diable non plus, aucune petite ligne à la fin du parchemin.
Watari Hanami • « La première leçon est pour moi. Prenons un exemple, une même bourse est volé par trois personnes. La première est pauvre, elle travaille dans les champs et cela pourrait grandement améliorer la situation de sa famille. La seconde est fille du Daimyo local, bien placé politiquement. Sans doute a-t-elle fait cela par jeu ou distraction plus que par besoin. La dernière enfin est un homme politique qui gêne de part sa position, ses intentions et sa politique.
Deux questions, dans un premier temps quelles vont être les conséquences et comment defendriez vous cette personne si vous en avez l'intérêt ou l'utilité ? Pour le baiser, nous verrons peut-être plus tard. »
S'amusa alors à dire Hanami posant un exemple simple .
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Jeu 17 Nov - 11:42
La femme entretien alors des propos qui échappe à la compréhension une fois encore du jeune homme. Akari n’est pas particulièrement bête, simplement il sait quand il ne saisit pas l’ensemble d’un propos bien qu’il puisse comprendre la phrase dans son premier sens le plus commun peut-on dire. Et elle a beau lui dire de ne pas avoir honte, il ne peut s’empêcher de penser de la sorte. Après tout c’est là son caractère. Et il se dit qu’il doit peut-être accepter plus l’aide qu’elle lui a proposé auparavant que celle qu’il vient lui mendier. Sa dette sera d’autant plus lourde, mais le monde est ainsi fait comme elle a pu le dire.
La femme s’enfonce alors dans les prérequis que nécessite l’art de la négociation ou aussi appelé l’art de la diplomatie. Il ne sera jamais un fin politicien, cela il l’a bien compris. Mais Akari se dit qu’une mission cela peut toujours s’avérer être d’une aide certaine que de comprendre certaines choses qui ne se limitent pas au combat. Car il n’est pas toujours question de sortir un kunai pour trancher une gorge, même si dans le cas d’Akari c’est soit l’espionnage soit le meurtre lorsqu’il sera plus gradé et qu’il s’enfoncera plus dans sa profession de ninja.
Et bien évidemment le fait d’un monde sans justice n’est pas pour plaire au garçon. Il est bien conscient de la chose, ce n’est pas pourtant autant qu’il est capable de l’accepter. Elle évoque alors le fait d’une dette si elle vient à l’éduquer dans le sens d’apprendre de tout ceci. Bien sûr, il compte bien se racheter mais quel serait le prix d’une pareille chose. Il se le demande bien, mais plus que d’y penser il sait qu’il doit demander. Dans cette négociation, car cela en était une. Elle évoque ce qu’elle aime, ce qu’elle n’aime pas, ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. Aussi pour elle un contrat doit être ce qu’il est ni plus ni moins. Du moins la perception du garçon s’arrête là.
Mais avant qu’il ne puisse rectifier sa demande ou poser sa question la femme lui soumet alors comme une devinette. Il écoute et réfléchit en même temps. Une chose à la fois et puis il donne sa réponse. Silencieux un moment montrant toute sa réflexion, son visage s’illumine puis s’éteint avant de recommencer son balai. Puis en grignotant un petit quelque chose qui trainait sur la table sans se soucier d’autre chose que de savoir si c’est mangeable. Car la réflexion semble lui donner l’envie de grignoter.
-Tout dépend de l’objectif. Mais d’abord pour répondre aux conséquences, je pense que pour la pauvre cela sera la prison ou une amende qu’elle ne pourra pas payer et donc la prison. Pour la fille, eh bien une simple remontrance et pour le dernier je dirais que cela dépend de à qui appartiens la bourse. Même si cette condition est vraie pour les trois. Je pense que je ne peux pas aller plus loin que ça sans savoir à qui appartient la bourse ni le montant ou ce qu’elle peut contenir d’autre. Pour la défense, il est possible d’en sauver deux pour le sacrifice d’une seule personne. Mais si l’un est un rival politique, je dirais qu’il faille appliquer la justice et donc condamner la pauvre et le rival. Et si ma morale me dit qu’il faut faire de même avec la fille du daimyo, votre vision du monde veut-elle que l’on se serve de cela comme d’un moyen de pression ? Au vu de sa position cela peut être profitable pour enfoncer d’autant le rival tout en permettant d’avoir une entrée ?
Il ne sait pas s’il a bon. Et sans nul doute la proposition à donner va plus loin que cela. Mais qu’importe il fait comme il le peut et cela sans se servir de son âge comme d’une excuse. Aussi il écoute la femme puis pose enfin ses questions qui lui brûlent les lèvres.
-Mais avant de continuer de profiter de votre aimable aide, je voudrais connaitre ce que je dois faire en échange de ceci ? Aussi j’aimerais savoir s’il m’est possible de connaitre le prix de deux autres services que vous pourriez peut-être me rendre ? L’un consiste à tenter comme vous l’aviez proposé de laver ma réputation à Toge. Tandis que l’autre serait plus à voire ma carrière muter à Seizan. Des idées à ce sujet ? Peut-être intégrant votre clan si cela est possible ?
Puis le garçon comprend une chose après coup.
-Et euh comment ça on verra après pour le baiser ?
La femme s’enfonce alors dans les prérequis que nécessite l’art de la négociation ou aussi appelé l’art de la diplomatie. Il ne sera jamais un fin politicien, cela il l’a bien compris. Mais Akari se dit qu’une mission cela peut toujours s’avérer être d’une aide certaine que de comprendre certaines choses qui ne se limitent pas au combat. Car il n’est pas toujours question de sortir un kunai pour trancher une gorge, même si dans le cas d’Akari c’est soit l’espionnage soit le meurtre lorsqu’il sera plus gradé et qu’il s’enfoncera plus dans sa profession de ninja.
Et bien évidemment le fait d’un monde sans justice n’est pas pour plaire au garçon. Il est bien conscient de la chose, ce n’est pas pourtant autant qu’il est capable de l’accepter. Elle évoque alors le fait d’une dette si elle vient à l’éduquer dans le sens d’apprendre de tout ceci. Bien sûr, il compte bien se racheter mais quel serait le prix d’une pareille chose. Il se le demande bien, mais plus que d’y penser il sait qu’il doit demander. Dans cette négociation, car cela en était une. Elle évoque ce qu’elle aime, ce qu’elle n’aime pas, ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. Aussi pour elle un contrat doit être ce qu’il est ni plus ni moins. Du moins la perception du garçon s’arrête là.
Mais avant qu’il ne puisse rectifier sa demande ou poser sa question la femme lui soumet alors comme une devinette. Il écoute et réfléchit en même temps. Une chose à la fois et puis il donne sa réponse. Silencieux un moment montrant toute sa réflexion, son visage s’illumine puis s’éteint avant de recommencer son balai. Puis en grignotant un petit quelque chose qui trainait sur la table sans se soucier d’autre chose que de savoir si c’est mangeable. Car la réflexion semble lui donner l’envie de grignoter.
-Tout dépend de l’objectif. Mais d’abord pour répondre aux conséquences, je pense que pour la pauvre cela sera la prison ou une amende qu’elle ne pourra pas payer et donc la prison. Pour la fille, eh bien une simple remontrance et pour le dernier je dirais que cela dépend de à qui appartiens la bourse. Même si cette condition est vraie pour les trois. Je pense que je ne peux pas aller plus loin que ça sans savoir à qui appartient la bourse ni le montant ou ce qu’elle peut contenir d’autre. Pour la défense, il est possible d’en sauver deux pour le sacrifice d’une seule personne. Mais si l’un est un rival politique, je dirais qu’il faille appliquer la justice et donc condamner la pauvre et le rival. Et si ma morale me dit qu’il faut faire de même avec la fille du daimyo, votre vision du monde veut-elle que l’on se serve de cela comme d’un moyen de pression ? Au vu de sa position cela peut être profitable pour enfoncer d’autant le rival tout en permettant d’avoir une entrée ?
Il ne sait pas s’il a bon. Et sans nul doute la proposition à donner va plus loin que cela. Mais qu’importe il fait comme il le peut et cela sans se servir de son âge comme d’une excuse. Aussi il écoute la femme puis pose enfin ses questions qui lui brûlent les lèvres.
-Mais avant de continuer de profiter de votre aimable aide, je voudrais connaitre ce que je dois faire en échange de ceci ? Aussi j’aimerais savoir s’il m’est possible de connaitre le prix de deux autres services que vous pourriez peut-être me rendre ? L’un consiste à tenter comme vous l’aviez proposé de laver ma réputation à Toge. Tandis que l’autre serait plus à voire ma carrière muter à Seizan. Des idées à ce sujet ? Peut-être intégrant votre clan si cela est possible ?
Puis le garçon comprend une chose après coup.
-Et euh comment ça on verra après pour le baiser ?
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 22 Nov - 12:37
Hanami observa alors les réactions du jeune homme à propos de son petit exercice. Elle remarqua bien que cela travaillait dure, mais en fin de compte, ce qu'il en sortit était très positif. Elle hocha la tête d'appréciation avec un sourire très légèrement accentué.
Watari Hanami • « Pas mal, pas mal du tout mon cher. Bien évidemment, notre choix, nos décisions et la justice rendue ne seront que le résultat des intérêts. Pourquoi sauver le pauvre qui mériterait pourtant le plus de cet argent ? Il pourrait bien être là cible idéale de l'opprobre de cette affaire. Il peut être facilement remplacé, même s'il peut être une source d'informations importantes discrète car non regardé.
Pour la fille du Daimyo, bien entendu qu'elle pourrait faire tout et n'importe quoi, elle n'aura jamais rien. La seule possibilité serait un changement de Daimyo ou de politique majeur. Elle n'a rien à craindre et la soutenir à éviter les soucis ne pourrait que nous servir.
Pour la dernière personne, cela dépendra surtout de ce que l'on veut en faire, un exemple pour les autres ? L'utiliser comme pantin ou sécurité ? S'en débarrasser simplement ?
Dans les deux derniers cas, notre seul intérêt à les protéger serait d'y gagner quelque chose. Vous n'aurez que très peu de temps pour réagir comme il convient, quelques secondes même parfois. La justice n'existe pas, seuls des intérêts subsistent.
Notre monde est ainsi, dans votre cas, qu'est-ce que cette femme avait à y gagner de vous écarter ? Pour l'ombre de votre village, quel intérêt à vous défendre par rapport à la demoiselle ? Avez-vous un intérêt suffisant pour le village ? Pour l'image du village comme celle de l'ombre ? Peut-être pour asseoir une pression sur le village, votre cas pourrait être un exemple qu'il ne résigne pas sur la discipline ? Que ce soit vrai ou non importe peu. Tout ce que l'histoire retiendra sera le résultat de votre affaire, pas la véracité des faits, seulement ce que l'on en dira. »
Bien entendu, l'exercice n'était qu'une démonstration pour le propre cas d'Akari, afin de l'amener à la bonne réflexion.
Watari Hanami • « Je ne sais pas encore ce que je vous demanderais, mais ce sera à la hauteur de l'aide apportée. Ce sera quelque chose dont vous serez capable de procéder que ce soit physiquement comme moralement. Au pires plusieurs petits services, des opérations d'intérêts pour mon clan et mes intérêts. Rien n'est gratuit, d'autant plus si le l'on vous le dit. D'autres diraient que je profite de vos malheurs, c'est sans doute vrai d'un certain point de vue, mais nous y gagnons tout deux. »
Reprenant alors une petite pâtisserie locale avec une certaine délectation, elle poursuivit.
Watari Hanami • « Tout d'abord, sachez d'abord que le clan Watari a des intérêts prononcés envers Toge. En cela que je ne risquerais pas ma propre réputation pour la vôtre. Cependant, ce n'est pas pour cela que nous sommes dénués de possibilités. Nous pourrions intercéder auprès du kage, nous allons devoir enquêter sur cette charmante personne, déterrer tous les mauvais dossiers et détruire sa réputation. Il y a des chances qu’elle retire son accusation si on la menace de dévoiler ses petits secrets. J’imagine qu’il n’y a aucun témoin direct de la scène ? Une parole contre une autre … Ce n’est guère efficace. D’autant plus que l’ombre de Toge a déjà tranchée. Une fois la correction effectuée, nous pourrons toujours déplorer un malheureux accident à cette charmante demoiselle. Je comprendrais que vous ressentiez ce besoin.
Quant à votre attachement à Seizan, cela demandera plusieurs éléments. Tout d’abord, l’ombre de Seizan devra prendre un risque au niveau politique de vous accepter ici, surtout si vous avez été chassé honteusement de l’armée de Toge que cela soit vrai ou non. La meilleure approche serait bien évidemment de faire cette demande quand votre nom sera entièrement lavé de tout soupçon. Intégré mon clan ou du moins en tant que membre et non de ma famille, cela met en jeu le nom de ma famille et mes intérêts sur vos actions ainsi que la réputation. C’est un risque que l’on doit calculer avec précision. J’ai des accords importants en cours, qui pourraient modifiés beaucoup les choses dans notre pays. Cela ne doit pas interférer. Cependant, ne vous inquiétez pas, nous pourrions déjà commencer par vous faire collaborer d’une manière officieuse dans les limites du raisonnable. Après tout, votre statut est particulier pour le moment, je pense que vous êtes plus un ninja indépendant qu’autre chose à l’heure actuel, tel un samouraï sans maître, vous êtes un ronin. Il n’y a rien à mal que cela, ce n’est qu’une autre manière d’aborder le monde. »
Hanami rit légèrement dans sa main à la réaction du jeune homme par rapport au baiser.
Watari Hanami • « Ce n’était qu’un trait de l’esprit, le prix afin de remporter mes lèvres serait bien trop hors de vos moyens, sans vouloir vous vexer. En tant que héritière du clan d’une famille noble, de la bonne société comme l’on dit, je suis obligatoirement destinée à me marier avec une autre personne de la haute société. »
Watari Hanami • « Pas mal, pas mal du tout mon cher. Bien évidemment, notre choix, nos décisions et la justice rendue ne seront que le résultat des intérêts. Pourquoi sauver le pauvre qui mériterait pourtant le plus de cet argent ? Il pourrait bien être là cible idéale de l'opprobre de cette affaire. Il peut être facilement remplacé, même s'il peut être une source d'informations importantes discrète car non regardé.
Pour la fille du Daimyo, bien entendu qu'elle pourrait faire tout et n'importe quoi, elle n'aura jamais rien. La seule possibilité serait un changement de Daimyo ou de politique majeur. Elle n'a rien à craindre et la soutenir à éviter les soucis ne pourrait que nous servir.
Pour la dernière personne, cela dépendra surtout de ce que l'on veut en faire, un exemple pour les autres ? L'utiliser comme pantin ou sécurité ? S'en débarrasser simplement ?
Dans les deux derniers cas, notre seul intérêt à les protéger serait d'y gagner quelque chose. Vous n'aurez que très peu de temps pour réagir comme il convient, quelques secondes même parfois. La justice n'existe pas, seuls des intérêts subsistent.
Notre monde est ainsi, dans votre cas, qu'est-ce que cette femme avait à y gagner de vous écarter ? Pour l'ombre de votre village, quel intérêt à vous défendre par rapport à la demoiselle ? Avez-vous un intérêt suffisant pour le village ? Pour l'image du village comme celle de l'ombre ? Peut-être pour asseoir une pression sur le village, votre cas pourrait être un exemple qu'il ne résigne pas sur la discipline ? Que ce soit vrai ou non importe peu. Tout ce que l'histoire retiendra sera le résultat de votre affaire, pas la véracité des faits, seulement ce que l'on en dira. »
Bien entendu, l'exercice n'était qu'une démonstration pour le propre cas d'Akari, afin de l'amener à la bonne réflexion.
Watari Hanami • « Je ne sais pas encore ce que je vous demanderais, mais ce sera à la hauteur de l'aide apportée. Ce sera quelque chose dont vous serez capable de procéder que ce soit physiquement comme moralement. Au pires plusieurs petits services, des opérations d'intérêts pour mon clan et mes intérêts. Rien n'est gratuit, d'autant plus si le l'on vous le dit. D'autres diraient que je profite de vos malheurs, c'est sans doute vrai d'un certain point de vue, mais nous y gagnons tout deux. »
Reprenant alors une petite pâtisserie locale avec une certaine délectation, elle poursuivit.
Watari Hanami • « Tout d'abord, sachez d'abord que le clan Watari a des intérêts prononcés envers Toge. En cela que je ne risquerais pas ma propre réputation pour la vôtre. Cependant, ce n'est pas pour cela que nous sommes dénués de possibilités. Nous pourrions intercéder auprès du kage, nous allons devoir enquêter sur cette charmante personne, déterrer tous les mauvais dossiers et détruire sa réputation. Il y a des chances qu’elle retire son accusation si on la menace de dévoiler ses petits secrets. J’imagine qu’il n’y a aucun témoin direct de la scène ? Une parole contre une autre … Ce n’est guère efficace. D’autant plus que l’ombre de Toge a déjà tranchée. Une fois la correction effectuée, nous pourrons toujours déplorer un malheureux accident à cette charmante demoiselle. Je comprendrais que vous ressentiez ce besoin.
Quant à votre attachement à Seizan, cela demandera plusieurs éléments. Tout d’abord, l’ombre de Seizan devra prendre un risque au niveau politique de vous accepter ici, surtout si vous avez été chassé honteusement de l’armée de Toge que cela soit vrai ou non. La meilleure approche serait bien évidemment de faire cette demande quand votre nom sera entièrement lavé de tout soupçon. Intégré mon clan ou du moins en tant que membre et non de ma famille, cela met en jeu le nom de ma famille et mes intérêts sur vos actions ainsi que la réputation. C’est un risque que l’on doit calculer avec précision. J’ai des accords importants en cours, qui pourraient modifiés beaucoup les choses dans notre pays. Cela ne doit pas interférer. Cependant, ne vous inquiétez pas, nous pourrions déjà commencer par vous faire collaborer d’une manière officieuse dans les limites du raisonnable. Après tout, votre statut est particulier pour le moment, je pense que vous êtes plus un ninja indépendant qu’autre chose à l’heure actuel, tel un samouraï sans maître, vous êtes un ronin. Il n’y a rien à mal que cela, ce n’est qu’une autre manière d’aborder le monde. »
Hanami rit légèrement dans sa main à la réaction du jeune homme par rapport au baiser.
Watari Hanami • « Ce n’était qu’un trait de l’esprit, le prix afin de remporter mes lèvres serait bien trop hors de vos moyens, sans vouloir vous vexer. En tant que héritière du clan d’une famille noble, de la bonne société comme l’on dit, je suis obligatoirement destinée à me marier avec une autre personne de la haute société. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Jeu 24 Nov - 7:53
Les réponses attendues sont aussi surprenantes que troublante pour Akari. Il ne sait pas trop quoi penser de tout ceci. Après tout, en ce qui concerne l’exercice, eh bien la femme semble approfondir une fois encore la chose au-delà des compétences d’Akari. Lui qui pensait avoir pu dire la plupart des grandes choses à ce sujet. Mais en réalité il n’avait fait que donner la surface de la chose sans préciser la profondeur de ses décisions. Ce qui vient comme à rendre vide le choix fait en cet instant, vide ou bien prit de manière hasardeuse. Néanmoins, il a pu recevoir comme des félicitations de la part de la demoiselle. Et dans son explication aussi courte que la réponse d’Akari, elle ne manque pas de faire un parallèle avec la situation d’Akari.
Une chose qu’il comprend assez aisément, après tout il faudrait être un idiot fini pour ne saisir la chose. Surtout quand cela concerne le principale intéressé. Mais quoi qu’il en soit, il ne parvient pas à se forger ne serait-ce qu’une idée de la manière dont il doit procéder.il a beau sortir de temps à autre des réponses dignes d’un grand sage ou de réagir de manière assez mature sur les sujets qui concernes ses missions. Il n’est qu’un enfant encore, un enfant qui a peut-être un peu trop connu la mort pour avoir su garder son innocence ou avoir pu développer une vie sereine.
En ce qui concerne les demandes du jeune elle ne tarde pas par la suite à y répondre. Bien évidemment, ce n’est pas à la hauteur de ce qu’il veut, mais déjà mieux à ce qu’il peut s’attendre. Si ça demande de rejoindre le clan lui est promptement refusé, il n’est pas impossible qu’il puisse rejoindre ce dernier à long terme une fois ces problèmes réglés. Lui qui était prêt à sacrifier son avenir en échange de régler ses problèmes maintenant. Le voilà confus alors qu’on lui refuse cela. Qu’importe, il sait très bien que changer de village n’est pas une chose aisée. Et ce n’est pas certain que le Kage de Sakyuu soit du genre à laisser faire. Mais à la limite, le garçon terminera sa vie en prison. Un sort bien plus enviable à celui qui l’attend s’il continu d’exercer sa profession actuelle. Il n’est pas du genre à vouloir tuer, même si cela peut lui sembler assez simple de le faire en certaines occasions. Ce n’est pas pour rien que pour l’instant son tableau de chasse et peu garni, car c’est avant tout une volonté de sa part sur ce sujet-là.
En ce qui concerne ses autres demandes, les réponses qu’il souhaite, ne sont, elles aussi pas au rendez-vous. Pour ce qui est des tâches qu’il souhaite avoir, rien n’est dit, aussi cela est assez suspect que d’accepter une chose sans que l’on puisse vraiment fixer quoi que ce soit. Pour son problème avec Toge, eh bien il n’y a rien d’autres qu’elle puisse vraiment faire, traitant elle-même avec Toge. Simplement elle lui propose de faire pression sur la petite Ena. Une tâche qui ne lui convient pas, car il a beau ne pas apprécier cette jeune enfant, il n’est pas du genre à employer pareils moyens. Aussi étrange que cela puisse paraitre pour un ninja.
Ainsi Akari, ne sait pas trop quoi répondre à la dame qui lui fait face. Mais au moins il échappe au bisou de cette dernière.
-Je suis content d’apprendre qu’il n’y aura pas d’embrassade, je dois avouer que même si cela peut m’attirer dans une certaine mesure, je pense que je serais plus mal à l’aise qu’autre chose. Aussi je ne sais pas si je dois accepter de votre offre, je ne sais pas vraiment ce que vous allez me demander en échange de services. Même si vous ne pouvez pas vraiment répondre à la moindre de mes demandes en l’état actuel des choses. Est qu’est-ce que sous-entend le fait que de collaborer avec vous de manière officieuse ? Je ne voudrais pas que cela rentre en conflit avec Sakyuu non plus. J’ai beau vouloir quitter ce village-là, je ne suis pas du genre à trahir au moment de mon départ non plus. Et je ne suis pas un ninja errant comme vous l’avez peut-être mal compris. D’autant que je n’aime pas vraiment user des méthodes sous-entendues à propos d’Ena, la personne de Toge qui m’a fait un sale coup. Même si elle peut le mériter au fond de mon cœur.
Une chose qu’il comprend assez aisément, après tout il faudrait être un idiot fini pour ne saisir la chose. Surtout quand cela concerne le principale intéressé. Mais quoi qu’il en soit, il ne parvient pas à se forger ne serait-ce qu’une idée de la manière dont il doit procéder.il a beau sortir de temps à autre des réponses dignes d’un grand sage ou de réagir de manière assez mature sur les sujets qui concernes ses missions. Il n’est qu’un enfant encore, un enfant qui a peut-être un peu trop connu la mort pour avoir su garder son innocence ou avoir pu développer une vie sereine.
En ce qui concerne les demandes du jeune elle ne tarde pas par la suite à y répondre. Bien évidemment, ce n’est pas à la hauteur de ce qu’il veut, mais déjà mieux à ce qu’il peut s’attendre. Si ça demande de rejoindre le clan lui est promptement refusé, il n’est pas impossible qu’il puisse rejoindre ce dernier à long terme une fois ces problèmes réglés. Lui qui était prêt à sacrifier son avenir en échange de régler ses problèmes maintenant. Le voilà confus alors qu’on lui refuse cela. Qu’importe, il sait très bien que changer de village n’est pas une chose aisée. Et ce n’est pas certain que le Kage de Sakyuu soit du genre à laisser faire. Mais à la limite, le garçon terminera sa vie en prison. Un sort bien plus enviable à celui qui l’attend s’il continu d’exercer sa profession actuelle. Il n’est pas du genre à vouloir tuer, même si cela peut lui sembler assez simple de le faire en certaines occasions. Ce n’est pas pour rien que pour l’instant son tableau de chasse et peu garni, car c’est avant tout une volonté de sa part sur ce sujet-là.
En ce qui concerne ses autres demandes, les réponses qu’il souhaite, ne sont, elles aussi pas au rendez-vous. Pour ce qui est des tâches qu’il souhaite avoir, rien n’est dit, aussi cela est assez suspect que d’accepter une chose sans que l’on puisse vraiment fixer quoi que ce soit. Pour son problème avec Toge, eh bien il n’y a rien d’autres qu’elle puisse vraiment faire, traitant elle-même avec Toge. Simplement elle lui propose de faire pression sur la petite Ena. Une tâche qui ne lui convient pas, car il a beau ne pas apprécier cette jeune enfant, il n’est pas du genre à employer pareils moyens. Aussi étrange que cela puisse paraitre pour un ninja.
Ainsi Akari, ne sait pas trop quoi répondre à la dame qui lui fait face. Mais au moins il échappe au bisou de cette dernière.
-Je suis content d’apprendre qu’il n’y aura pas d’embrassade, je dois avouer que même si cela peut m’attirer dans une certaine mesure, je pense que je serais plus mal à l’aise qu’autre chose. Aussi je ne sais pas si je dois accepter de votre offre, je ne sais pas vraiment ce que vous allez me demander en échange de services. Même si vous ne pouvez pas vraiment répondre à la moindre de mes demandes en l’état actuel des choses. Est qu’est-ce que sous-entend le fait que de collaborer avec vous de manière officieuse ? Je ne voudrais pas que cela rentre en conflit avec Sakyuu non plus. J’ai beau vouloir quitter ce village-là, je ne suis pas du genre à trahir au moment de mon départ non plus. Et je ne suis pas un ninja errant comme vous l’avez peut-être mal compris. D’autant que je n’aime pas vraiment user des méthodes sous-entendues à propos d’Ena, la personne de Toge qui m’a fait un sale coup. Même si elle peut le mériter au fond de mon cœur.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Jeu 1 Déc - 9:38
Hanami n'offrait pas des félicitations à n'importe qui ni n'importe quand. C'était quelque chose d'exceptionnel et n'était pas pour faire plaisir. D'autant plus dans ce cas là où elle n'avait guère grand chose à remporter. Ce simple test s'avérait pour tester le niveau du jeune garçon, sa sagacité et aussi lui ouvrir les yeux. La plus âgée des sœurs Watari avait été élevée à la dure, et elle n'allait pas enseigner d'une autre manière. La cruelle vérité du monde allait s'ouvrir tel un abcès ragoûtant. Brave incrédules qui croyaient que les autres ne vous voulaient surtout du bien. Chacun était le requin de l'autre, qu'il en soit conscient ou non. Lorsque l'on parlait du monde de la haute société, elle s'avérait d'autant plus brutale et sévère.
Gare à ceux qui oseraient se dresser face à la vipère Watari, car elle n'hésiterait pas à mordre d'une manière très violente si jamais quelqu'un était amené à se tenter à sa famille, à son clan. Elle n'hésiterait pas une seule seconde à faire couler le sang, quitte à prendre ce sujet très personnellement. Le jeune garçon lui au contraire semblait bien plus réservé. Sans doute n'avait-il pas encore assez souffert. Cela viendrait sûrement avec le temps. Lorsque l'on jouait avec des lames, on se blessait nécessairement un jour ou l'autre.
Watari Hanami • « Méfiez-vous mon cher, vous allez finir par me vexer à fuir ainsi mon affection, alors que tant de jeunes ou moins jeunes hommes nobles rêveraient de me passer la bague au doigt.
Pour en revenir aux affaires, je ne peux vous dire les futurs missions, car cela dépendra de mes futurs actions et problèmes que moi ou mon clan rencontreront. Si jamais quelqu'un cherche à me piéger, et bien je regarderais dans mon petit carnet sur qui je peux compter. Vous comprenez ? Dans la bonne société ou même ailleurs, les échanges de services sont monnaies courantes.
Cependant, vous vous fourvoyer. Je peux répondre à vos demandes. Je vous ais simplement exposé ma situation. Si j'étais à votre place, je prendrais mes services bien évidemment. Si vous ne vous battez pas maintenant, ces fausses accusations pèseront sur vos épaules à jamais. Qui ne dit mot consent dit-on. Si vous ne récusez pas ces allégations, pour le monde entier elles seront véritables. Voilà ce que je ferais, déjà, enquêter sur cette femme, ne faites pas attention à son âge, je voudrais tout savoir. Nous trouverons des preuves, des témoignages, nous detuirons en premier ces mensonges. Ensuite, nous reduirons en cendres sa petite vie mesquine, et vous entrerez en grande pompe dans le clan Watari. Il ne s'agit pas d'avoir pitié, jamais, sinon tout le monde saura ce qu'il peut faire de vous. À être trop clément, vous deviendrez le dindon de la farce. »
Hanami soupira légèrement comme si elle était presque gênée de cette situation. Implacable, froide et dure, voilà comment on pouvait la découvrir dans ses mauvais jours.
Watari Hanami • « À ce jour, je ne convient pas d'entrer en conflits avec un village militaire ou un autre, non. Alors n'ayez crainte à ce niveau-là. J'ai régulièrement besoin de personnes capables et suffisamment éveillée pour des travaux nécessitants une étiquette plus neutre. Les commerces de mon clan sont souvent la proie de la concurrence, et une certaine sécurité doit y être maintenue. Si vous voulez changer d'armées, d'allégeance, il s'avère nécessaire de faire le premier pas, une approche plus certaine vers Seizan. Cela à beau être l'armée au nom de l'Empereur, il y a des intérêts politiques divergents. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Ven 2 Déc - 11:28
Naïf ? Optimiste ? Candide ? C’est là bien des choses que peut être Akari. Lui qui n’est pas capable de vraiment saisir la nature des gens et cela malgré une certaine présence d’esprit de sa part. Aussi il n’est pas vraiment assez futé pour saisir le jeu auquel se prête la dame.
-Ah vous m’en voyez navré, je ne pensais pas vous blesser de la sorte. Mais si je dois vous offrir un bisou ou je ne sais quoi d’autre, alors je le ferai volontiers. Je ne voudrais pas vous froisser.
Dit-il innocemment en ne manquant pas d’afficher des joues rouges. Avant de répondre à la suite aux autres propos de la demoiselle qui lui fait face. Car d’un côté il est heureux d’entendre qu’elle peut l’aider dans une certaine mesure. Bien sûr, comme elle le souligne cela est à certaines conditions, mais des conditions qui ne semblent pas vraiment poser problèmes d’autant qu’elle ne cherche pas querelle auprès des villages. Ce n’est que comme elle le dit, un simple échange de bons procédés. Même si sa dette sera quelque plus conséquente que pour de simples courts de diplomatie.
-J’accepte volontiers de vous aider, du moins tant que cela ne nuit pas à des innocents ou à l’Empire lui-même. Non pas que je vous pense capable de trahison ou autre.
Une fidélité qu’Akari n’a qu’en apparence pour l’Empire. Après tout, il ne doit rien à ce dernier et même à l’inverse il peut lui en vouloir pour diverses raisons. Mais c’est le choix de la neutralité qui prime chez lui plus que la vengeance pour l’heure. On peut certainement voir cela comme un déshonneur, mais il n’en est rien pour le jeune homme. Car à ses yeux, c’est avant tout la paix qui l’intéressé. Un sentiment bien noble, mais tout aussi inconscient du monde dans lequel il vit ou même de la part d’ombre qui sommeille en lui.
Akari n’est pas non plus du genre agressif, mais peut-être que laisser faire la dame lui serait profitable, aussi elle n’a pas tort en ce qui concerne sa réputation et la trace qu’il restera de cet incident auprès de Toge.
-Je m’en remets donc à vous pour ce qui est de mes problèmes. J’ose croire que vous êtes la personne qu’il me faut pour régler ce genre de problèmes. Même si dans la mesure où vous acceptez, cela ne sera certainement plus des problèmes, mais des souvenirs.
Des mots peut-être trop confiants, mais il faut dire que la dame a su laisser une forte impression sur le jeune adulte qu’est Akari. Si le combat est son domaine de prédilection, le reste n’est pas vraiment.
-Pour ce qui est de la sécurité de vos convois, je m’engage à assurer cela sur mon temps libre.
Après tout le jeune homme est encore un ninja au service de Sakyuu et il des obligations à remplir.
-Ah vous m’en voyez navré, je ne pensais pas vous blesser de la sorte. Mais si je dois vous offrir un bisou ou je ne sais quoi d’autre, alors je le ferai volontiers. Je ne voudrais pas vous froisser.
Dit-il innocemment en ne manquant pas d’afficher des joues rouges. Avant de répondre à la suite aux autres propos de la demoiselle qui lui fait face. Car d’un côté il est heureux d’entendre qu’elle peut l’aider dans une certaine mesure. Bien sûr, comme elle le souligne cela est à certaines conditions, mais des conditions qui ne semblent pas vraiment poser problèmes d’autant qu’elle ne cherche pas querelle auprès des villages. Ce n’est que comme elle le dit, un simple échange de bons procédés. Même si sa dette sera quelque plus conséquente que pour de simples courts de diplomatie.
-J’accepte volontiers de vous aider, du moins tant que cela ne nuit pas à des innocents ou à l’Empire lui-même. Non pas que je vous pense capable de trahison ou autre.
Une fidélité qu’Akari n’a qu’en apparence pour l’Empire. Après tout, il ne doit rien à ce dernier et même à l’inverse il peut lui en vouloir pour diverses raisons. Mais c’est le choix de la neutralité qui prime chez lui plus que la vengeance pour l’heure. On peut certainement voir cela comme un déshonneur, mais il n’en est rien pour le jeune homme. Car à ses yeux, c’est avant tout la paix qui l’intéressé. Un sentiment bien noble, mais tout aussi inconscient du monde dans lequel il vit ou même de la part d’ombre qui sommeille en lui.
Akari n’est pas non plus du genre agressif, mais peut-être que laisser faire la dame lui serait profitable, aussi elle n’a pas tort en ce qui concerne sa réputation et la trace qu’il restera de cet incident auprès de Toge.
-Je m’en remets donc à vous pour ce qui est de mes problèmes. J’ose croire que vous êtes la personne qu’il me faut pour régler ce genre de problèmes. Même si dans la mesure où vous acceptez, cela ne sera certainement plus des problèmes, mais des souvenirs.
Des mots peut-être trop confiants, mais il faut dire que la dame a su laisser une forte impression sur le jeune adulte qu’est Akari. Si le combat est son domaine de prédilection, le reste n’est pas vraiment.
-Pour ce qui est de la sécurité de vos convois, je m’engage à assurer cela sur mon temps libre.
Après tout le jeune homme est encore un ninja au service de Sakyuu et il des obligations à remplir.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Lun 12 Déc - 9:22
Hanami rit doucement à la réaction du jeune homme, glissant comme parent une main rassurante sur celle de cet enfant. Enfin, ils n'avaient pas l'âge adéquat pour ce genre de relation, mais c'était l'effet que cela lui procurait.
Watari Hanami • « N'ayez aucune crainte, ce n'est la qu'un trait d'esprit. »
La jeune noble retira sa main alors afin de reprendre sa tasse de thé. Il était vraiment adorable à réagir ainsi. Elle se demanda comment il allait grandir par la suite, lorsque la vie viendra toquer à la porte de son innocence.
Watari Hanami • « Je ne m'attaque pas à des innocents, je n'ai rien en particulier contre personne si ce n'est des Hommes avides et dangereux. N'ayez crainte à ce sujet. Quant à l'Empire, il évolue tout simplement en permanence. En ce moment, nous avons un Empereur, et demain un autre voilà tout. D'autres pourraient être tenter d'agiter des accusations de traîtrise, cependant, ce sont ceux qui vivent dans le passé. J'entends par là, les fausses accusations mensongères plus politique que judiciaires que m famille a subi il y a une génération. »
Commenta alors Hanami qui se rendait compte à quel point Akari était un fidèle de l'Empire. Elle ne pensait pas à ce point là, mais c'était noté dans un coin de sa tête. En tout cas, c'était ce qui ressortait de son discours.
Watari Hanami • « Je pense qu'il sera nécessaire de procéder à une approche du pouvoir dans un premier temps. Tout cela ne peut être décider que devant un jugement. J'irais voir cette jeune fille afin de déterminer mon approche. Je crois encore qu'après une discussion, elle ne revienne à de meilleurs sentiments. Si cela ne fonctionne pas, nous serons obligés d'utiliser des moyens plus avancés. Vous m'avez donné déjà son nom et prénom ? Vous la connaissiez avant ou pas du tout ? Un bouc émissaire étranger est toujours plus facile qu'un local. Le kage n'avait pas grand chose à perdre en vous chassant. Vous maîtrisez quel élément de ninjutsu ? »
Commenta donc Hanami parfaitement détendue avec un plan dans la tête très précis afin de résoudre les soucis du jeune homme. Elle leva alors doucement la main.
Watari Hanami • « Je vous dirais lorsque j'aurais besoin de vous, n'ayez donc crainte ou une urgence à payer vos dettes. En ce qui concerne la diplomatie, jusqu'à où désirez-vous aller ? Tenue une conversation ? La politique ? Le commerce ? Il y a tant de possibilités et d'avenirs radieux qui pourraient vous sourire. Vous avez parlé avec Shingen de votre situation ? Car il me semblait être protecteur envers votre personne. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Ven 16 Déc - 13:34
L’idée de la main de la femme sur la sienne, vient à faire rougir de honte le jeune garçon. Lui qui est là au milieu de tous ses gens. Une rougeur au niveau de ses joues qui vient à s’effacer quelque peu lorsque la dame vient à se munir de sa tasse avec cette même main. Mais au moins elle est venue le rassurer quant à l’ironie de ses propos et ses intentions avec ces derniers.
-Vous m’en voyez soulagé. J’avais peur de vous avoir offensé ou pire encore.
La femme reprend alors ses propos quant au sujet qui intéresse le duo et qui motive la venue d’Akari auprès de la dame. Elle précise alors que nulle personne ne semble pour l’heure être l’objet de ses désirs les plus sombres. A part peut-être comme elle le rajoute à la fin de sa première phrase qu’elle n’apprécie guère les Hommes avides et dangereux. Ce qui au lieu de réduire la liste vient à l’agrandir pour l’esprit d’Akari, qui est loin d’être aussi affuté que celui de la dame. En plus de grandir cette liste devient plus mystérieuse encore, car il peut s’agir de n’importe ou même de n’importe quoi.
Pour l’Empire, ce dernier n’est visiblement qu’un simple outil comme un autre. Les Empereurs n’ayant aucune importance à ses yeux. Une chose qui va dans le sens de ce qu’a pu dire auparavant la dame. Elle évoque même ce qu’à pu subir sa famille. Une chose intéressante car la situation semble similaire à celle du jeune homme si ce n’est que l’importance pas aussi grande pour le garçon que pour la famille de la dame. Mais cela donne d’autant plus de poids aux mots de la dame. Si bien qu’il est de plus en plus convaincu par cette dernière et cela n’a rien à voir avec les gâteaux qui sont servis.
Aussi elle revient vers Akari pour parler de son problème. Elle souhaite par ailleurs avoir une discussion avec Ena avant de s’avancer d’autant plus sur le problème. Elle évoque en cas d’un déroulement n’allant pas dans le sens du jeune homme que d’autres moyens seront employés alors. Et si Akari se demande de quels moyens il est question, la femme lui demande alors d’autant plus d’information sur cette dernière.
-Pour son nom je n’ai que “Ena”. Je ne l’ai pas entendu de sa propre bouche mais d’une Jonin du nom d’Usui Shizuka. Maintenant que j’y pense, elle a peut-être un lieu avec Shingen. Enfin, je m’éloigne du sujet. La Jonin m’a rapidement éjecté hors du village, mais Ena, semble s’intéresser un peu trop à une certaine Koko-chan comme elle le disait. Le motif qui fait qu’elle a voulu me faire porter le chapeau pour sa propre attaque sur elle-même. Les trois noms que je viens de donner semblent en rapport avec le temple, où elles travaillent comme religieuse je crois bien sans en être certains. Après tout, cela c’était passé aux abords du temple.
Un résumé assez sommaire de tout ce qui avait pu être dit. Mais au moins la dame de Seizan peut alors se faire une idée de quoi il en retourne. Puis il ajoute quelques autres informations demandées.
-Et non, je ne crains de ne pas la connaitre avant cet incident. Après en élément je maitrise la foudre et le feu. Mais ce n’est pas un feu noir comme elle a pu utiliser, mais un simple feu rouge et orange. Après je maitrise un autre élément ou même une technique particulière en invocation, mais rien qui ne puisse produire des flammes noires. Mais en ce qui concerne mes connaissances, je souhaite les développer pour m’affermir dans le dialogue et la politique.
-Vous m’en voyez soulagé. J’avais peur de vous avoir offensé ou pire encore.
La femme reprend alors ses propos quant au sujet qui intéresse le duo et qui motive la venue d’Akari auprès de la dame. Elle précise alors que nulle personne ne semble pour l’heure être l’objet de ses désirs les plus sombres. A part peut-être comme elle le rajoute à la fin de sa première phrase qu’elle n’apprécie guère les Hommes avides et dangereux. Ce qui au lieu de réduire la liste vient à l’agrandir pour l’esprit d’Akari, qui est loin d’être aussi affuté que celui de la dame. En plus de grandir cette liste devient plus mystérieuse encore, car il peut s’agir de n’importe ou même de n’importe quoi.
Pour l’Empire, ce dernier n’est visiblement qu’un simple outil comme un autre. Les Empereurs n’ayant aucune importance à ses yeux. Une chose qui va dans le sens de ce qu’a pu dire auparavant la dame. Elle évoque même ce qu’à pu subir sa famille. Une chose intéressante car la situation semble similaire à celle du jeune homme si ce n’est que l’importance pas aussi grande pour le garçon que pour la famille de la dame. Mais cela donne d’autant plus de poids aux mots de la dame. Si bien qu’il est de plus en plus convaincu par cette dernière et cela n’a rien à voir avec les gâteaux qui sont servis.
Aussi elle revient vers Akari pour parler de son problème. Elle souhaite par ailleurs avoir une discussion avec Ena avant de s’avancer d’autant plus sur le problème. Elle évoque en cas d’un déroulement n’allant pas dans le sens du jeune homme que d’autres moyens seront employés alors. Et si Akari se demande de quels moyens il est question, la femme lui demande alors d’autant plus d’information sur cette dernière.
-Pour son nom je n’ai que “Ena”. Je ne l’ai pas entendu de sa propre bouche mais d’une Jonin du nom d’Usui Shizuka. Maintenant que j’y pense, elle a peut-être un lieu avec Shingen. Enfin, je m’éloigne du sujet. La Jonin m’a rapidement éjecté hors du village, mais Ena, semble s’intéresser un peu trop à une certaine Koko-chan comme elle le disait. Le motif qui fait qu’elle a voulu me faire porter le chapeau pour sa propre attaque sur elle-même. Les trois noms que je viens de donner semblent en rapport avec le temple, où elles travaillent comme religieuse je crois bien sans en être certains. Après tout, cela c’était passé aux abords du temple.
Un résumé assez sommaire de tout ce qui avait pu être dit. Mais au moins la dame de Seizan peut alors se faire une idée de quoi il en retourne. Puis il ajoute quelques autres informations demandées.
-Et non, je ne crains de ne pas la connaitre avant cet incident. Après en élément je maitrise la foudre et le feu. Mais ce n’est pas un feu noir comme elle a pu utiliser, mais un simple feu rouge et orange. Après je maitrise un autre élément ou même une technique particulière en invocation, mais rien qui ne puisse produire des flammes noires. Mais en ce qui concerne mes connaissances, je souhaite les développer pour m’affermir dans le dialogue et la politique.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 20 Déc - 9:49
Hanami garda ce sourire goguenard à la réaction adorablement immature de cet enfant, tombé dans un monde d'adultes bien trop tôt. Cependant, ce n'était pas pour cela qu'elle serait plus compressive ou patiente. Il s'avérait nécessaire d'élever le débat et ne pas abaisser le niveau afin que tous puisse suivre. Bien entendu, la jeune noble avait des adversaires, voir même des ennemis. Leur nombre ne ferait que s'accroître avec le temps, avec sa montée en force. Elle s'y attendait et elle était prête.
L'Empire comme le tout à chacun étaient des outils à disposition. Cependant, chacun était utilisé par d'autres, c'était ainsi et il fallait en avoir conscience. Hanami s'était dotée de divers moyens pour ses besoins, et elle ne craignait guère de les utiliser. À quoi bon disposer de bonnes armes si c'est pour les garder au fourreaux ?
Watari Hanami • « Je connais cette Shizuka, j'irais lui parler alors. Un lien avec Shingen ? Pourquoi dites-vous cela ? Qu'est-ce qui vous fait penser ça ? Son nom de famille ? C'est un sujet délicat, mais passons.
Koko chan ... Quelqu'un qui se veut proche sans doute, hmmm bien bien. Il est bien possible que Shizuka ait intérêt à vous chasser si vite sans enquête ni procès. Ce sera un terrain à creuser. Ce qu'est en train de procéder Shingen avec la création d'un temple n'est pas sans conséquence pour son ordre religieux. Il y a des répercussions inévitables contre ceux qui seraient spoilés de pouvoirs et autres avantages. Vous êtes son élève spirituel, vous pouvez être une malheureuse victime. Nous tacherons identifier tout cela avec soin. Si marge de manœuvre il y a, nous l'utiliserons. »
Cette affaire se complexifiait sous ses yeux. La plus âgée des sœurs Watari devait se garder de trop agiter le nid de frelons. Aider ce jeune garçon oui, mais pas envers ses intérêts. Elle l'avait prévenu, et avait été très clair sur le sujet. S'il avait réussi à déranger ces personnes là, il fallait la jouer fine. Rien d'impossible pour elle, et les discussions seraient bien plus simples avec la famille Usui que le pouvoir en place. Lorsque Akari parla du feu noir, elle en rit légèrement apparemment assez satisfaite.
Watari Hanami • « Un feu noir ? Voilà qui est parfait. On utilisera un ninja senseur de leur propre village pour prouver que le chakra utilisé est bien supérieur à votre maîtrise. N'importe quel idiot pourrait le détecter et je doute qu'ils prennent ce risque de laisser ces analyses se faire. Ils chercheront à étouffer l'affaire afin de ne pas faire trop de vagues. Je suis assez confiante à ce sujet du coup. Vous auriez dû commencer par cela. Je sais comment mener cette affaire et je n'aurais sans doute pas besoin de rencontrer cette charmante jeune fille. Je tacherais qu'elle soit étroitement surveillée par ses propres paires. Elle aura de grandes difficultés à avancer sans la vie également, mais lorsque l'on joue avec le feu ... On se brûle n'est-ce pas ? Un manque de préparation, lorsque l'on cherche à piéger quelqu'un, cela se prépare avec soin. Quelle immaturité. »
Lança alors en haussant les yeux la jeune femme brune devant ces dernières révélations. Elle était presque déçue devant un adversaire si faible, le petit jeu de dupe envers cette jeune fille n'aura pas duré si longtemps que cela.
Watari Hanami • « J'ai déjà en tête mes futurs arguments et axes de négociations pour votre affaire. Il s'agit d'être subtile, inventif et connaître déjà les possibles réponses des personnes en face. Sauf surprise, je doute que Toge protège cette jeune fille contre eux même. Nous tacherons de vous éveiller à ce genre d'exercices. Le savoir, c'est le pouvoir. Cela est bien plus puissant que n'importe quelle technique ninja. Je vous parle d'être capable de changer le monde par la simple évocation de quelques mots, de la bonne façon aux bonnes personnes. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mer 21 Déc - 9:36
La dame de Seizan enchaine une fois encore ses paroles. L’affaire semble à priori l’intéresser bien plus que ne pouvait le penser le garçon. Bien sûr, elle n’irait certainement pas se mouiller jusqu’à opprimer ses propres ambitions pour le bien d’Akari, et ça le garçon le sait parfaitement. Pourtant et il e ne sait pas pourquoi, il semble vouloir faire confiance à la dame. La raison lui étant inconnue il se méfie qu’il ne soit pas entré dans le jeu de cette dernière. Et pourtant.
-Je vois que toute l’affaire semble déjà prête dans votre esprit bien plus méticuleux que le miens. Mais peut-être vais-je abuser en demandant cela et par la même augmenter ma dette envers vous et votre clan. Mais est-il possible par la même que je puisse obtenir des excuses de la part de Toge en guise de compensation ? Ou au moins de Shizuka ? A défaut de ne pas avoir celle du kage. Après tout, je me montre peut-être trop gourmand, mais j’estime n’être que la victime d’une fille un peu trop présomptueuse et manipulatrice. Après mon jugement est peut-être faussé qui sait.
Avec le temps qui passe, Akari ne se rend pas compte qu’il vient peu à peu à faire ressortir la terrible part d’ombre qui se trouve en son cœur. Sa demande peut être la source d’un conflit entre village et elle ne sera peut-être pour ne pas dire impossible et fermer la porte à cette demande. Mais son ambition prend le pas et son égo ou bien sa démesure dicte ses actes. Presque comme-ci son âme ne demande qu’à évoluer en une sorte de démon réclamant simplement le sang de son frère. Car rétablir ses passages à Toge, est un objectif surtout pour son ambition que son rôle de ninja. Il ne veut pouvoir y retourner que pour croiser la route de ceux qu’il connait là-bas afin de contacter le culte et récolter des informations sur son frère.
Un frère qui n’a de cesse de le narguer et même de lui envoyer des émissaires tel que Koneko, un jeune garçon mystérieux à la célérité horrifiante tant il peut aisément trancher mille gorges dans l’espace d’un bref instant. Mais le garçon s’égare dans ses pensées. Aussi pour montrer sa détermination tant pour lui qu’auprès de la dame, il compte bien se proposer pour une œuvre.
-Mais peut-être par ailleurs qu’étant donné que dans un premier temps vous n’avez pas besoin de moi de ce que j’ai compris pour la première phase de cette sombre affaire. Je pourrais vous aider sur un sujet qui vous dérange ?
Une offre sincère de la part du garçon qui ne cache aucun sous texte. Même s’il pense que la dame n’aura rien à lui soumettre sauf peut-être de l’accompagner à Toge chose qui ne peut pas bien évidemment faire sur ordre de son propre kage à Sakyuu
-Je vois que toute l’affaire semble déjà prête dans votre esprit bien plus méticuleux que le miens. Mais peut-être vais-je abuser en demandant cela et par la même augmenter ma dette envers vous et votre clan. Mais est-il possible par la même que je puisse obtenir des excuses de la part de Toge en guise de compensation ? Ou au moins de Shizuka ? A défaut de ne pas avoir celle du kage. Après tout, je me montre peut-être trop gourmand, mais j’estime n’être que la victime d’une fille un peu trop présomptueuse et manipulatrice. Après mon jugement est peut-être faussé qui sait.
Avec le temps qui passe, Akari ne se rend pas compte qu’il vient peu à peu à faire ressortir la terrible part d’ombre qui se trouve en son cœur. Sa demande peut être la source d’un conflit entre village et elle ne sera peut-être pour ne pas dire impossible et fermer la porte à cette demande. Mais son ambition prend le pas et son égo ou bien sa démesure dicte ses actes. Presque comme-ci son âme ne demande qu’à évoluer en une sorte de démon réclamant simplement le sang de son frère. Car rétablir ses passages à Toge, est un objectif surtout pour son ambition que son rôle de ninja. Il ne veut pouvoir y retourner que pour croiser la route de ceux qu’il connait là-bas afin de contacter le culte et récolter des informations sur son frère.
Un frère qui n’a de cesse de le narguer et même de lui envoyer des émissaires tel que Koneko, un jeune garçon mystérieux à la célérité horrifiante tant il peut aisément trancher mille gorges dans l’espace d’un bref instant. Mais le garçon s’égare dans ses pensées. Aussi pour montrer sa détermination tant pour lui qu’auprès de la dame, il compte bien se proposer pour une œuvre.
-Mais peut-être par ailleurs qu’étant donné que dans un premier temps vous n’avez pas besoin de moi de ce que j’ai compris pour la première phase de cette sombre affaire. Je pourrais vous aider sur un sujet qui vous dérange ?
Une offre sincère de la part du garçon qui ne cache aucun sous texte. Même s’il pense que la dame n’aura rien à lui soumettre sauf peut-être de l’accompagner à Toge chose qui ne peut pas bien évidemment faire sur ordre de son propre kage à Sakyuu
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Jeu 29 Déc - 9:02
Nécessairement, Hanami était intéressée dans cette affaire. Elle n'avait guère la réputation d'être altruiste. Les mauvaises expériences du jeune homme étaient en passe de lui rapporter et ce même si le jeune homme ne voyait pas en quoi.
Watari Hanami • « Je suis très méticuleuse, oui, alors je suis prête à agir comme il convient. Je suis également rapide d'esprit, prévoir ce genre d'opération n'est pas très compliqué. »
La jeune noble semblait être ennuyée en entendant les nouvelles demandes du jeune homme, et même si elle avait beaucoup d'imagination, cela lui coûterait très chère ce genre de manipulation.
Watari Hanami • « Non, je doute que cela soit possible, votre rétablissement sera déjà bien, des excuses, perdre la face devant tout le monde, ce n'est pas possible. Personnellement, je ne le ferais pas sans une contrainte importante et nous n'avons pas cela dans notre manche ni l'intérêt. Je tacherais de ruiner la vie de cette jeune fille, de l'écarter au maximum de tout. Ce sera une punition bien plus cruelle que de simples excuses arrachées de force. Il faut bien comprendre que des arrangements sous le kimono sont bien plus aisés à avoir qu'un affichage face au monde. Ne veillez pas à sortir cela durant les négociations où nous pourrions tout perdre. Moins vous exigeriez, plus grande sera votre récompense plus tard car l'autre aura réalisé ce que vous auriez pu demander. Voyez cela comme un investissement pour l'avenir. Vous vous en sortirez grandit et non cupide à tirer la couverture à vous. »
Confia alors Hanami devant cette demande digne d'un enfant pour le coup. Même pour elle-même la brune n'aurait meme pas pensé exiger. Peut-être trop cruel pour recevoir du faux et de la poudre aux yeux, elle préférait largement exploiter la situation à son avantage et faire souffrir ses proies sans aucune hésitation. De plus, la mention de Shizuka était problématique.
Watari Hanami • « À quel point cette Shizuka est impliquée exactement dans cette affaire ? Est-ce que vous connaissez ses relations avec la demoiselle de l'auto combustion ? »
Enquérit alors Hanami curieuse et intéressée à la situation pour le coup. Cela ne la ferait pas reculer bien entendu, mais c'était un paramètre à prendre en compte. Si elle peut paraitre être capable de tout avoir et tout réussir, ce ne sont que des calculs et des échanges d'intérêts. Sûrement qu'à entendre la jeune noble, on pourrait croire que l'on peut tout obtenir, mais ce n'était pas le cas.
Watari Hanami • « Je comprends votre désir de payer votre dette, mais pour le moment, rien en particulier ne mérite votre attention. Je vous le ferais savoir. »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Ven 30 Déc - 7:17
La jeune Watari semble dire que ce n'est pas très compliqué pour elle de mettre au point tout ceci. Alors que de son côté, le jeune Akari ne sait pas vraiment par où commencer. Mais cela est avant-tout dû à la différence entre leurs deux mondes. L'un connaît des choses qu'elle ne sait pas et l'inverse et aussi vrai. Même si la Watari doit certainement en savoir bien qu'Akari n'en sait. Leur age n'étant pas le même avec un écart plus ou moins important.
Toutefois elle semble avouer à Akari, qu'obtenir des excuses ne sera pas une chose aisée à obtenir. Un détail que ne comprends pas vraiment Akari, car à ses yeux si elle peut nuire durant une vie entière à une personne pourquoi elle ne peut pas obtenir un simple pardon. A cela s'ajoute le fait qu'il ne souhaite pas vraiment gâcher la vie de la fille qui a pu lui causer tous ses soucis. Bien sûr, il ne l'a porte pas dans son cœur. Mais pas au point de vouloir la marquer de cette erreur. Mais Akari ne voit pas trop comment empêcher la Watari d'agir sur ce domaine là. D'autant plus maintenant qu'elle a les cartes en main.
Puis la femme pose une nouvelle question, à propos de Shizuka. La femme cherche alors à comprendre l'implication de la Jonin de Toge. Ainsi que ses liens avec Ena.
-Je ne sais pas du tout quels sont leurs liens si ce n'est qu'elles se connaissent et qu'elles doivent se croiser au temple ou quelque chose comme ça.
Des mots assez vagues, mais il ne peut pas vraiment dire qu'il en sait plus à ce sujet. Ce n'est pas très professionnel de sa part non plus, ais cela à le mérite de donner quelques pistes à la femme dans ses idées d’opération. Et à la question d'Akari en ce qui concerne les frais de tout ceci. La jeune femme n'a vraiment aucune idée pour l'heure. Une chose qui a le mérite d'être claire, mais aussi de rendre l'avenir du garçon d'autant plus incertain en un sens. Ne sachant pas vraiment ce qu'il va devoir faire pour se racheter auprès du clan Watari.
A cela le garçon ajoute quelques mots.
-Eh bien je vois n'hésitez pas à me dire quand vous serez au fait de la tâche qui m'incombe.
Puis le garçon finit sa tasse et les quelques gâteaux qu'on a bien pu lui servir. Même si le malaise dans ce genre de lieu reste assez grand pour lui. Si le côté calme semble le satisfaire, il n'aime pas cette atmosphère quelque peu hautaine. Les airs pompeux des uns et des autres et les coups de poignard dans le dos qui se négocient ici-même. Puis Akai se pose une question qu'il ne manque pas alors de partager avec la dame.
-D'ailleurs en ce qui concerne ma propre affaire. Il y a bien quelque chose que je puisse faire non ? Pour vous aider dans votre idée.
Le jeune homme n'est pas non plus du genre à regarder les autres agir et se dorer la pilule au Soleil.
Toutefois elle semble avouer à Akari, qu'obtenir des excuses ne sera pas une chose aisée à obtenir. Un détail que ne comprends pas vraiment Akari, car à ses yeux si elle peut nuire durant une vie entière à une personne pourquoi elle ne peut pas obtenir un simple pardon. A cela s'ajoute le fait qu'il ne souhaite pas vraiment gâcher la vie de la fille qui a pu lui causer tous ses soucis. Bien sûr, il ne l'a porte pas dans son cœur. Mais pas au point de vouloir la marquer de cette erreur. Mais Akari ne voit pas trop comment empêcher la Watari d'agir sur ce domaine là. D'autant plus maintenant qu'elle a les cartes en main.
Puis la femme pose une nouvelle question, à propos de Shizuka. La femme cherche alors à comprendre l'implication de la Jonin de Toge. Ainsi que ses liens avec Ena.
-Je ne sais pas du tout quels sont leurs liens si ce n'est qu'elles se connaissent et qu'elles doivent se croiser au temple ou quelque chose comme ça.
Des mots assez vagues, mais il ne peut pas vraiment dire qu'il en sait plus à ce sujet. Ce n'est pas très professionnel de sa part non plus, ais cela à le mérite de donner quelques pistes à la femme dans ses idées d’opération. Et à la question d'Akari en ce qui concerne les frais de tout ceci. La jeune femme n'a vraiment aucune idée pour l'heure. Une chose qui a le mérite d'être claire, mais aussi de rendre l'avenir du garçon d'autant plus incertain en un sens. Ne sachant pas vraiment ce qu'il va devoir faire pour se racheter auprès du clan Watari.
A cela le garçon ajoute quelques mots.
-Eh bien je vois n'hésitez pas à me dire quand vous serez au fait de la tâche qui m'incombe.
Puis le garçon finit sa tasse et les quelques gâteaux qu'on a bien pu lui servir. Même si le malaise dans ce genre de lieu reste assez grand pour lui. Si le côté calme semble le satisfaire, il n'aime pas cette atmosphère quelque peu hautaine. Les airs pompeux des uns et des autres et les coups de poignard dans le dos qui se négocient ici-même. Puis Akai se pose une question qu'il ne manque pas alors de partager avec la dame.
-D'ailleurs en ce qui concerne ma propre affaire. Il y a bien quelque chose que je puisse faire non ? Pour vous aider dans votre idée.
Le jeune homme n'est pas non plus du genre à regarder les autres agir et se dorer la pilule au Soleil.
# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Lun 2 Jan - 16:47
La grande différence venait des contacts. En tant que femme politique, elle se mesurait à qui voulait l’entendre en termes de personnes clés. C’était vital même ! Le jeune Akari était piégé dans un monde qui l’avait déjà rejeté, il était plus aisé de voler à son secours de l’extérieur, sans avoir été éclaboussé à son tour. Surement qu’elle aurait un plan si jamais quelqu’un avait eu la bêtise de s’attaquer à sa personne. Sa vengeance aurait été bien pire que les simples idées qu’elle avait déjà échafaudées dans sa tête.
Watari Hanami • « Allons, ne me regardez pas comme ça, je n’admettrais pas de travailler avec une fille si instable et dangereuse au même endroit que moi. Il faut l’écarter et la punir. Les gens ne comprennent que cela, la carotte et le bâton. »
Commenta alors la jeune noble en regardant son vis-à-vis. Il n’avait pas besoin de prononcer de mot, tant c’était évident à son regard. Rien que pour elle et Seizan, elle n’accepterait pas de la voir sévir dans la même région qu’elle.
Watari Hanami • « Hmmm …. Je vois … »
Répondit la jeune femme comprenant bien que Akari n’en avait aucune idée. Elle devrait trouver ce qui les liait, afin de ne pas rentrer dans un conflit inutile. Sans doute que l’entrevue avec la cheffe de clan sera nécessaire avant le kage de Toge.
Watari Hanami • « N’ayez donc crainte, vous êtes entre de bonnes mains, et cela viendra bien assez tôt comme cela. »
Répliqua alors avec un petit sourire mutin aux lèvres Hanami. Si jamais cela ressemblait à un piège, il n’en était rien, ce n’était pas un pacte avec Jashin non plus. N’exagérons pas. A voir comment réagissait le jeune homme, il était sans doute angoissé ou pressé de partir. Dans l’un ou l’autre cas, c’était toujours une information.
Watari Hanami • « Dans un premier temps, non, je n’aurais pas besoin de vous, dans un second temps, oui, je vous appellerais lorsque j’aurais déblayé le terrain. Ce serait contre constructif que vous apparaissiez dans une ville où vous en êtes banni n’est-ce pas ? Faites donc profile bas, profitez des biens faits de cette ville. Je suis certaine que vous trouverez de quoi faire qu’il vous sciera. Je pense que nous en avons fini pour l’heure, n’est-ce pas ? »
Watari Hanami • « Allons, ne me regardez pas comme ça, je n’admettrais pas de travailler avec une fille si instable et dangereuse au même endroit que moi. Il faut l’écarter et la punir. Les gens ne comprennent que cela, la carotte et le bâton. »
Commenta alors la jeune noble en regardant son vis-à-vis. Il n’avait pas besoin de prononcer de mot, tant c’était évident à son regard. Rien que pour elle et Seizan, elle n’accepterait pas de la voir sévir dans la même région qu’elle.
Watari Hanami • « Hmmm …. Je vois … »
Répondit la jeune femme comprenant bien que Akari n’en avait aucune idée. Elle devrait trouver ce qui les liait, afin de ne pas rentrer dans un conflit inutile. Sans doute que l’entrevue avec la cheffe de clan sera nécessaire avant le kage de Toge.
Watari Hanami • « N’ayez donc crainte, vous êtes entre de bonnes mains, et cela viendra bien assez tôt comme cela. »
Répliqua alors avec un petit sourire mutin aux lèvres Hanami. Si jamais cela ressemblait à un piège, il n’en était rien, ce n’était pas un pacte avec Jashin non plus. N’exagérons pas. A voir comment réagissait le jeune homme, il était sans doute angoissé ou pressé de partir. Dans l’un ou l’autre cas, c’était toujours une information.
Watari Hanami • « Dans un premier temps, non, je n’aurais pas besoin de vous, dans un second temps, oui, je vous appellerais lorsque j’aurais déblayé le terrain. Ce serait contre constructif que vous apparaissiez dans une ville où vous en êtes banni n’est-ce pas ? Faites donc profile bas, profitez des biens faits de cette ville. Je suis certaine que vous trouverez de quoi faire qu’il vous sciera. Je pense que nous en avons fini pour l’heure, n’est-ce pas ? »
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# Re: Une leçon de savoir vivre. ft/ Watari Hanami. Mar 3 Jan - 7:45
La jeune Watari semble vouloir raisonner Akari comme on lui disant que ce n’est là que les seules choses que peuvent comprendre les gens. Le garçon n’en est pas vraiment convaincu mais a-t-il vraiment le choix à ce sujet ? Il ne sait pas vraiment comment faire autrement. Et si ce n’est qu’aider la Watari une fois son problème résolu, ce n’est pas bien cher payé. Même si au fond de lui il n’aime pas ruiner la vie de quelqu’un d’autre. Sans nul doute est-il un peu trop doux pour ce monde. Car ce monde ne l’a pas été avec lui jusqu’à présent et il ne le sera pas plus à l’avenir. Il risque même de se montrer encore plus rude.
Rassurant une dernière fois Akari, elle explique ne pas avoir besoin de lui dans un premier temps pour son idée planifiée. Une planification que ne comprend pas vraiment Akari. Après tout, comme peut-elle gérer son affaire sans qu’il ne soit présent. Mais elle en explique aisément les raisons, des raisons qui ont un sens pour le garçon. Après tout, il ne peut pas s’y rendre comme-ci de rien n’était alors qu’il est sous le coup d’un bannissement.
Et c’est ainsi que la conversation entre les deux s’achève. L’une va pouvoir s’occuper de ses affaires et de cette affaire. Tandis que l’autre doit rentrer à Sakyuu pour diverses affaires à régler. Après tout il n’est pas sans emploi et il a des obligations à remplir.
-Je pense que tout est bon. Je serais ravi de m’acquitter de ma dette envers vous une fois cette affaire de bannissement derrière nous. Et je vous remercie de votre aide dans cette affaire.
Sur ces mots Akari se lève et salue la demoiselle avant de plier bagage et de retourner dans la rue marchande.
Rassurant une dernière fois Akari, elle explique ne pas avoir besoin de lui dans un premier temps pour son idée planifiée. Une planification que ne comprend pas vraiment Akari. Après tout, comme peut-elle gérer son affaire sans qu’il ne soit présent. Mais elle en explique aisément les raisons, des raisons qui ont un sens pour le garçon. Après tout, il ne peut pas s’y rendre comme-ci de rien n’était alors qu’il est sous le coup d’un bannissement.
Et c’est ainsi que la conversation entre les deux s’achève. L’une va pouvoir s’occuper de ses affaires et de cette affaire. Tandis que l’autre doit rentrer à Sakyuu pour diverses affaires à régler. Après tout il n’est pas sans emploi et il a des obligations à remplir.
-Je pense que tout est bon. Je serais ravi de m’acquitter de ma dette envers vous une fois cette affaire de bannissement derrière nous. Et je vous remercie de votre aide dans cette affaire.
Sur ces mots Akari se lève et salue la demoiselle avant de plier bagage et de retourner dans la rue marchande.
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