# Présentation DC Amano Akeno (FINISH) Mar 18 Oct - 9:10
AMANO AKENO
"L'ombre et la flamme je serais"
i. Information
► Nom : Amano
► Prénom : Akeno
► Taille : 1m86
► Poids : 72 kg
► Age : 20 printemps
► Affinité Primaire : Suiton
► Grade Militaire Souhaité : Jonin
► Grade Religieux Souhaité : Adorateur de la Flamme
► Temple auquel vous avez été affecté : Temple de la Lune (Toge no Sato)
► Particularité : Maladie du Chakrisme , un bras en moins et l'autre brûlé tandis que sur visage il y a aussi des traces de brûlures étranges.
► Source de l'avatar : Malenia, Elden Ring. Fan art de Jessketchinprovenant de Pinterest.
ii. Que recherches-tu ?
Vivre plus longtemps je dirais et découvrir quelle est l'entité maléfique qui l'a poursuit et pourquoi.
iii. Histoire
Qu’est-ce ? Qu’est-ce ce monde où l’on ne vit que par les armes ? Combien d’âmes doivent encore se perdre ? Se perdre avant d’être consumé par le tout puissant. Car c’est dans les flammes que le Bien comme le Mal nait au sein de chacun. Mais la parole divine sait guider les bonnes braises et j’ose croire que je suis l’une de ses braises. Mais pour en juger laissez-moi vous narrer mon histoire qui ne sera pas bien longue je le crains.
Je suis née quand le feu ravageait encore le cœur des hommes. Je suis né alors que la foudre s’abattait sur la paille des toits et qu’un torrent de chaleur venait m’accueillir. Bien sûr on pourrait croire que ma foi me pousse à croire cela et à changer ma vision des choses. Je m'efforcerais d’essayer de rester le plus neutre possible alors. Ainsi je n’avais que quelques instants de vie que le feu me tendait déjà les bras. Même s’il n’était que sur la maison des voisins ce fut la première chose que mes yeux avaient pu voir. Des années plus tard j’avais pu apprendre que durant tout le temps où ma mère fut enceinte, nombre de maux étaient venus s’abattre sur mon village, Toge no Sato. Telles des cendres et des flammes, les arbres pleuraient de tout leur être en ce période-là de l’année. Certain osent appeler cela la période du Hanami, mais pour moi ce n’est que la volonté Kagutsuchi. Qui a bien voulu accorder sa chaleur au monde et répandre sa volonté.
Mais je m’égare, ainsi dès ma naissance les maux qui troublaient ma famille et mes voisins venaient à cesser, du moins durant un temps. Rapidement je grandissais et mon père, un militaire de profession, mais un médecin avant tout n’avait de cesse que de s’inquiéter pour moi. A l’époque je ne comprenais pas pourquoi et si durant mes premières années je me montrais concilient, rapidement à mon adolescence je ne manquais pas de lui faire connaitre mon mécontentement. Et si je n’avais pas conscience de ses bonnes intentions et sentiments à mon égard à l’époque, aujourd’hui encore je ne mesure pas pleinement ce qu’il a pu subir par ma faute.
Ma mère quant à elle n’était pas à l’aise avec moi, il y avait comme un sentiment d’inconfort qu’aucune de nous deux ne pouvait expliquer. Pour être que ma naissance avait été si douloureuse qu’elle ne pouvait plus que m’en vouloir. Ne cessant de me cogner dès qu’elle en avait l’occasion en voyant en moi tout le mal du monde. Le destin avait voulu lui rendre ses gestes quand mon père ne la stoppait pas, si bien qu’elle finit par trépasser dans l’autre monde non sans emporter un de mes bras. Avec mon bras, ma santé s’en allait elle aussi. Tout avait été vu et rien n’y faisais mon corps pourtant résistant était trop riche en chakra. On me disait qu’il ne pouvait contenir mon pouvoir et qu’à mesure que les années passent ce dernier viendrait à me ronger. Bien qu’une force obscure avec l’aide d’une autre force lumineuse vinrent m’aider sans que même aujourd'hui je ne sache de quoi il en retourne. Mais pour en revenir à l’incident lui-même, alors qu’une fois encore ma mère me frappait sans que cela n’atteigne mon âme mais simplement mon corps. Elle vint sans que je ne sache comme à être repoussé en arrière. Prise de peur ou de folie, elle vint à se saisir d’une des armes de mon père et d’un geste net elle essaya de m’ôter la vie. Par réflexe bien que je ne comprenne toujours pas comment j’ai pu faire, mon bras se leva pour parer le sabre et profitant de cette parade je venais à m’écarter du reste de la trajectoire de l’arme. Bien tout ne se passa pas en une seule fois et elle tenta de m’assener de nombreux coup qui finissaient tous dans mon bras jusqu’à ce que l’os ne soit plus que deux segments. Mais je vous passerais les détails de cela. Et tandis que son bras volait dans une direction, ma mère vint à faire de même se soulevant sans que rien ne la touche elle fut propulsée jusqu’à finir sa course dans une fenêtre du premier étage. Tombant sur la nuque cela fut la fin de son destin. Je n’étais pas triste alors, bien qu’une pression me vînt au cœur.
Car c’est à mes quinze ans que la vérité m’apparut en pleine face, alors que je fuyais de ma maison. La fuite n’était pas une chose aisée, car mon père n’avait alors plus de cesse de me surveiller de peur que des voisins ne viennent se venger de la peur que je provoquais. Car alors que ma mère n’était plus, les maux revinrent causer le désordre dans mon quartier. Elle ne sortait pas de nulle part et c’était même de sages paroles d’une illustre inconnue que j’avais pu rencontrer à Sakyuu no Sato. Un lointain village dans le désert. Là-bas elle m’enseigna sa vision du monde, ce qui paraissait pour elle une évidence fut d’abord pour moi un mensonge, une tromperie. Un moyen comme un autre de m’attirer dans les ténèbres de sa religion. Mais il n’en était rien, au contraire même elle m’inciter à croire par moi-même car sinon l’incarnation du feu saurait que je mens. Et les mensonges ne sont pas une chose à prendre à la légère.
En observant mes cheveux, leur couleur ne manquait pas de venir réconforter cette inconnue. Car elle semblait dire que les flammes de l'incarnation avaient la même couleur que mes cheveux. Je trouvais pour ma part tout cela assez étrange et pourtant je ne manquais de commencer à être charmé par tout ceci. Après tout, elle ne m’obligeait à rien, elle m’hébergeait et me nourrissait sans que je ne lui sois redevable de rien. Elle m’enseigner de nombreuses choses et je lui faisais confiance. Mais à peine cette confiance vint à naitre que mon père parvint à me retrouver. Sans même se soucier de mon avis il vint à me saisir par le bras et il m’emmena de force en direction de Toge.
Le voyage de retour ne fut pas de tout repos pour lui. Car il devait sans cesse me surveiller, et je ne comptais pas lui faciliter la tâche. Cherchant tantôt à fuir en obtenant l’aide de marchands par le biais de mensonges, tantôt en profitant de l’obscurité de la nuit pour fuir. Mais aucun de mes actes ne fut couronné de succès et c’est ainsi que je rentrais au village.
A mon retour nombreux étaient ceux qui me dévisageait sans que je les connaisse. On aurait dit que j’avais acquis une certaine réputation au sujet des maux que j’amène partout où je me rends. Et voyant qu’il ne pouvait pas vraiment me gérer au risque que je m’en aille une fois encore dans un autre lieu. Mon père décida de me faire enrôler de force dans l’armée malgré mon bras en moins. Certes le village aurait fini tôt ou tard par me mettre la main dessus pour m’inscrire de force à l’académie militaire, mais je ne m’attendais pas à cela de la part de mon père. Peut-être s’était-il dit que cela était le meilleur moyen de pouvoir me surveiller. Mes classes ne m’empêchaient pas cependant de pouvoir continuer ma religion à l’époque et aujourd’hui encore je pratique. Même si ce n’est pas forcément vu d’un bon œil, la conviction en mes croyances que j’ai est tolérée. Une tolérance qui avait ses limites car me voici engagée malgré moi auprès des ordres monastiques du village sans même que je ne puisse avoir mon mot à dire à ce sujet.
Mes années de formation ne furent guère longues, car à défaut d’avoir un père militaire assez protecteur, il m’avait enseigné quelques techniques de combats. Rien qui ne soit extraordinaire, mais cela me donné un avantage en comparaison des autres candidats qui n’avaient reçus aucune instruction. Quoi qu’il en soit je devins assez rapidement Genin, pour autant mon calvaire ne s’arrêtait pas là. Car une fois encore mes compagnons me craignaient et cela à cause d’une étrange aura que je semblai s émettre bien qu’elles soient invisibles aux yeux de tous. La chance ou la malchance je n’avais j’avais connu ça où plutôt j’avais plus que bien connu les deux. Tantôt à un extrême puis à un autre je ne comprenais pas vraiment pourquoi. Mais une chose était certaine, ma maladie n’allait pas s’arranger et il me fallait me soigner par un moyen ou par un autre. C’est pourquoi j’avais entrepris de me rendre à Sakyuu, là-bas le chef de ma foi aurait peut-être des réponses à m’apporter. Chose qu’il ne manqua pas de faire bien ses paroles me reste encore assez énigmatiques. Je n’en comprenais pas entièrement le sens. Mais une aide restait une aide et celle-ci m’était plus que précieuse. Avant de rentrer à Toge pour poursuivre mes obligations, on venait à me dire conseiller la visite de Seizan. Pour une raison inconnue je venais à suivre ce conseil. C’est là qu’un forgeron vient à me façonner un bras. Peu mobile, il avait le mérite de disposer d’une lame. A cela il vint m’offrir autre chose, l’art de savoir forger mes propres outils. Une chose qui aujourd’hui encore me sers plus que je ne saurais le dire. Mais la fin de ma permission arrivée à grand pas et je ne pouvais que me décider à rentrer chez moi. C'est alors que le jour de mon départ je vins à croiser deux êtres qui resterons gravé dans ma mémoire. La première personne fut Honoka, qui dans sa grande bienveillance, peut-être un peu aussi grâce à notre foi commune me forgea un casque et un sabre. Tout deux je voulais les garder. Et pour ces deux choses je lui étais plus que reconnaissante. La deuxième personne fut un jeune garçon qui s'entrainait au sabre, Kunao. De par son talent je ne pouvais que m’émerveiller et je décidais donc de l'aborder. Rapidement on avait pu sympathiser et sans attendre il me montrait deux trois tours qui vinrent renforcer ma pratique dans l'art de manier les lames.
Mon retour fut des plus brutal, car dès mon arrivée on m’avisa d’une mauvaise nouvelle. Mon père avait perdu la vie au cours d’un combat contre un sombre yokai. Sombre car tout n’était que ténèbres m’avait-on dit. Mensonge ou réalité ? Et étrangement cela s’accordait avec les propos du Prédicateur. Il m’avait annoncé l’ombre et je devais être la flamme. La flamme de l’incarnation qui devrait s'approprier la force de cette créature d’une manière ou d’une autre, je deviendrais alors l’ombre et la flamme. On m’avait demandé quel type de funérailles devait-on faire, et je dois bien l’admettre je fus égoïste sur ce plan. Là aussi il fut convenu de l’incinérer. J’ai espoir que son âme a su rejoindre l’Incarnation du Feu.
Les années passent et je suis rapidement promu Chunin. Les missions s’enchainent et je ne manque pas de faire preuve d’une certaine avidité en voulant être plus que je n’étais. Et l’occasion parfaite se présente. Une mission dans laquelle on doit affronter un repaire de bandits. Un repaire assez important car il ne mobilise pas moins de deux équipes. Les débuts de la mission se déroule sans accroc, mais rapidement la mauvaise fortune frappe mon équipe. Tombant dans un traquenard, mon groupe vient tant bien que mal à passer outrer de l’adversité et à vaincre les bandits qui étaient sur leur passage. Mais c’est alors que les ténèbres revinrent m’encercler comme mon père. Ne me faisant aucun ces dernières vinrent à écraser les autres membres de ma mission. Aucune résistance ne fut possible et j’étais là. Là à devoir rester simple spectatrice, prouvant que je n’étais pas encore prête à devoir faire face au chaos de cette entité. Mon manque de compétence me consternait, mais il m’incitait à grandir telle la flamme que l’on ravive avec divers combustibles. Je me jurais alors que j’irais jusqu’à sacrifier mon corps s’il le faut pour vaincre l’ombre au nom de la flamme. Mais le démon vint à me laisser sa marque et il me consuma le seul bras qu’il me reste Ce dernier encore vivant devint noir et aujourd’hui encore comme vous pouvez le voir j’en porte les marques et par la même il m'ôta ma prothèse et mon premier sabre tout deux venant de Seizan lorsque j'y étais. Il ne me restait plus que le casque que le talentueuse Honoka m'avait fabriqué.
A mon retour, il y eut de nombreux rapport et au vu de ce qu’il s’était passé on me nomma au grade supérieur. Un pansement comme un autre qui en définitive ne vint pas à me ravir, car c’était comme-ci je n’avais pas mérité ce rang. Et que c’était même à la créature que je le devais. Bien sûr je saurais faire honneur à ce dernier. Mais ce n’est pas pour autant que je vais me risquer à m’y méprendre. Mon devoir serait fait tant dans ma fonction et mon grade que dans ma foi.
Voilà je vous l’avais dit, mon histoire est courte et guère joyeuse ou passionnante.
Je suis née quand le feu ravageait encore le cœur des hommes. Je suis né alors que la foudre s’abattait sur la paille des toits et qu’un torrent de chaleur venait m’accueillir. Bien sûr on pourrait croire que ma foi me pousse à croire cela et à changer ma vision des choses. Je m'efforcerais d’essayer de rester le plus neutre possible alors. Ainsi je n’avais que quelques instants de vie que le feu me tendait déjà les bras. Même s’il n’était que sur la maison des voisins ce fut la première chose que mes yeux avaient pu voir. Des années plus tard j’avais pu apprendre que durant tout le temps où ma mère fut enceinte, nombre de maux étaient venus s’abattre sur mon village, Toge no Sato. Telles des cendres et des flammes, les arbres pleuraient de tout leur être en ce période-là de l’année. Certain osent appeler cela la période du Hanami, mais pour moi ce n’est que la volonté Kagutsuchi. Qui a bien voulu accorder sa chaleur au monde et répandre sa volonté.
Mais je m’égare, ainsi dès ma naissance les maux qui troublaient ma famille et mes voisins venaient à cesser, du moins durant un temps. Rapidement je grandissais et mon père, un militaire de profession, mais un médecin avant tout n’avait de cesse que de s’inquiéter pour moi. A l’époque je ne comprenais pas pourquoi et si durant mes premières années je me montrais concilient, rapidement à mon adolescence je ne manquais pas de lui faire connaitre mon mécontentement. Et si je n’avais pas conscience de ses bonnes intentions et sentiments à mon égard à l’époque, aujourd’hui encore je ne mesure pas pleinement ce qu’il a pu subir par ma faute.
Ma mère quant à elle n’était pas à l’aise avec moi, il y avait comme un sentiment d’inconfort qu’aucune de nous deux ne pouvait expliquer. Pour être que ma naissance avait été si douloureuse qu’elle ne pouvait plus que m’en vouloir. Ne cessant de me cogner dès qu’elle en avait l’occasion en voyant en moi tout le mal du monde. Le destin avait voulu lui rendre ses gestes quand mon père ne la stoppait pas, si bien qu’elle finit par trépasser dans l’autre monde non sans emporter un de mes bras. Avec mon bras, ma santé s’en allait elle aussi. Tout avait été vu et rien n’y faisais mon corps pourtant résistant était trop riche en chakra. On me disait qu’il ne pouvait contenir mon pouvoir et qu’à mesure que les années passent ce dernier viendrait à me ronger. Bien qu’une force obscure avec l’aide d’une autre force lumineuse vinrent m’aider sans que même aujourd'hui je ne sache de quoi il en retourne. Mais pour en revenir à l’incident lui-même, alors qu’une fois encore ma mère me frappait sans que cela n’atteigne mon âme mais simplement mon corps. Elle vint sans que je ne sache comme à être repoussé en arrière. Prise de peur ou de folie, elle vint à se saisir d’une des armes de mon père et d’un geste net elle essaya de m’ôter la vie. Par réflexe bien que je ne comprenne toujours pas comment j’ai pu faire, mon bras se leva pour parer le sabre et profitant de cette parade je venais à m’écarter du reste de la trajectoire de l’arme. Bien tout ne se passa pas en une seule fois et elle tenta de m’assener de nombreux coup qui finissaient tous dans mon bras jusqu’à ce que l’os ne soit plus que deux segments. Mais je vous passerais les détails de cela. Et tandis que son bras volait dans une direction, ma mère vint à faire de même se soulevant sans que rien ne la touche elle fut propulsée jusqu’à finir sa course dans une fenêtre du premier étage. Tombant sur la nuque cela fut la fin de son destin. Je n’étais pas triste alors, bien qu’une pression me vînt au cœur.
Car c’est à mes quinze ans que la vérité m’apparut en pleine face, alors que je fuyais de ma maison. La fuite n’était pas une chose aisée, car mon père n’avait alors plus de cesse de me surveiller de peur que des voisins ne viennent se venger de la peur que je provoquais. Car alors que ma mère n’était plus, les maux revinrent causer le désordre dans mon quartier. Elle ne sortait pas de nulle part et c’était même de sages paroles d’une illustre inconnue que j’avais pu rencontrer à Sakyuu no Sato. Un lointain village dans le désert. Là-bas elle m’enseigna sa vision du monde, ce qui paraissait pour elle une évidence fut d’abord pour moi un mensonge, une tromperie. Un moyen comme un autre de m’attirer dans les ténèbres de sa religion. Mais il n’en était rien, au contraire même elle m’inciter à croire par moi-même car sinon l’incarnation du feu saurait que je mens. Et les mensonges ne sont pas une chose à prendre à la légère.
En observant mes cheveux, leur couleur ne manquait pas de venir réconforter cette inconnue. Car elle semblait dire que les flammes de l'incarnation avaient la même couleur que mes cheveux. Je trouvais pour ma part tout cela assez étrange et pourtant je ne manquais de commencer à être charmé par tout ceci. Après tout, elle ne m’obligeait à rien, elle m’hébergeait et me nourrissait sans que je ne lui sois redevable de rien. Elle m’enseigner de nombreuses choses et je lui faisais confiance. Mais à peine cette confiance vint à naitre que mon père parvint à me retrouver. Sans même se soucier de mon avis il vint à me saisir par le bras et il m’emmena de force en direction de Toge.
Le voyage de retour ne fut pas de tout repos pour lui. Car il devait sans cesse me surveiller, et je ne comptais pas lui faciliter la tâche. Cherchant tantôt à fuir en obtenant l’aide de marchands par le biais de mensonges, tantôt en profitant de l’obscurité de la nuit pour fuir. Mais aucun de mes actes ne fut couronné de succès et c’est ainsi que je rentrais au village.
A mon retour nombreux étaient ceux qui me dévisageait sans que je les connaisse. On aurait dit que j’avais acquis une certaine réputation au sujet des maux que j’amène partout où je me rends. Et voyant qu’il ne pouvait pas vraiment me gérer au risque que je m’en aille une fois encore dans un autre lieu. Mon père décida de me faire enrôler de force dans l’armée malgré mon bras en moins. Certes le village aurait fini tôt ou tard par me mettre la main dessus pour m’inscrire de force à l’académie militaire, mais je ne m’attendais pas à cela de la part de mon père. Peut-être s’était-il dit que cela était le meilleur moyen de pouvoir me surveiller. Mes classes ne m’empêchaient pas cependant de pouvoir continuer ma religion à l’époque et aujourd’hui encore je pratique. Même si ce n’est pas forcément vu d’un bon œil, la conviction en mes croyances que j’ai est tolérée. Une tolérance qui avait ses limites car me voici engagée malgré moi auprès des ordres monastiques du village sans même que je ne puisse avoir mon mot à dire à ce sujet.
Mes années de formation ne furent guère longues, car à défaut d’avoir un père militaire assez protecteur, il m’avait enseigné quelques techniques de combats. Rien qui ne soit extraordinaire, mais cela me donné un avantage en comparaison des autres candidats qui n’avaient reçus aucune instruction. Quoi qu’il en soit je devins assez rapidement Genin, pour autant mon calvaire ne s’arrêtait pas là. Car une fois encore mes compagnons me craignaient et cela à cause d’une étrange aura que je semblai s émettre bien qu’elles soient invisibles aux yeux de tous. La chance ou la malchance je n’avais j’avais connu ça où plutôt j’avais plus que bien connu les deux. Tantôt à un extrême puis à un autre je ne comprenais pas vraiment pourquoi. Mais une chose était certaine, ma maladie n’allait pas s’arranger et il me fallait me soigner par un moyen ou par un autre. C’est pourquoi j’avais entrepris de me rendre à Sakyuu, là-bas le chef de ma foi aurait peut-être des réponses à m’apporter. Chose qu’il ne manqua pas de faire bien ses paroles me reste encore assez énigmatiques. Je n’en comprenais pas entièrement le sens. Mais une aide restait une aide et celle-ci m’était plus que précieuse. Avant de rentrer à Toge pour poursuivre mes obligations, on venait à me dire conseiller la visite de Seizan. Pour une raison inconnue je venais à suivre ce conseil. C’est là qu’un forgeron vient à me façonner un bras. Peu mobile, il avait le mérite de disposer d’une lame. A cela il vint m’offrir autre chose, l’art de savoir forger mes propres outils. Une chose qui aujourd’hui encore me sers plus que je ne saurais le dire. Mais la fin de ma permission arrivée à grand pas et je ne pouvais que me décider à rentrer chez moi. C'est alors que le jour de mon départ je vins à croiser deux êtres qui resterons gravé dans ma mémoire. La première personne fut Honoka, qui dans sa grande bienveillance, peut-être un peu aussi grâce à notre foi commune me forgea un casque et un sabre. Tout deux je voulais les garder. Et pour ces deux choses je lui étais plus que reconnaissante. La deuxième personne fut un jeune garçon qui s'entrainait au sabre, Kunao. De par son talent je ne pouvais que m’émerveiller et je décidais donc de l'aborder. Rapidement on avait pu sympathiser et sans attendre il me montrait deux trois tours qui vinrent renforcer ma pratique dans l'art de manier les lames.
Mon retour fut des plus brutal, car dès mon arrivée on m’avisa d’une mauvaise nouvelle. Mon père avait perdu la vie au cours d’un combat contre un sombre yokai. Sombre car tout n’était que ténèbres m’avait-on dit. Mensonge ou réalité ? Et étrangement cela s’accordait avec les propos du Prédicateur. Il m’avait annoncé l’ombre et je devais être la flamme. La flamme de l’incarnation qui devrait s'approprier la force de cette créature d’une manière ou d’une autre, je deviendrais alors l’ombre et la flamme. On m’avait demandé quel type de funérailles devait-on faire, et je dois bien l’admettre je fus égoïste sur ce plan. Là aussi il fut convenu de l’incinérer. J’ai espoir que son âme a su rejoindre l’Incarnation du Feu.
Les années passent et je suis rapidement promu Chunin. Les missions s’enchainent et je ne manque pas de faire preuve d’une certaine avidité en voulant être plus que je n’étais. Et l’occasion parfaite se présente. Une mission dans laquelle on doit affronter un repaire de bandits. Un repaire assez important car il ne mobilise pas moins de deux équipes. Les débuts de la mission se déroule sans accroc, mais rapidement la mauvaise fortune frappe mon équipe. Tombant dans un traquenard, mon groupe vient tant bien que mal à passer outrer de l’adversité et à vaincre les bandits qui étaient sur leur passage. Mais c’est alors que les ténèbres revinrent m’encercler comme mon père. Ne me faisant aucun ces dernières vinrent à écraser les autres membres de ma mission. Aucune résistance ne fut possible et j’étais là. Là à devoir rester simple spectatrice, prouvant que je n’étais pas encore prête à devoir faire face au chaos de cette entité. Mon manque de compétence me consternait, mais il m’incitait à grandir telle la flamme que l’on ravive avec divers combustibles. Je me jurais alors que j’irais jusqu’à sacrifier mon corps s’il le faut pour vaincre l’ombre au nom de la flamme. Mais le démon vint à me laisser sa marque et il me consuma le seul bras qu’il me reste Ce dernier encore vivant devint noir et aujourd’hui encore comme vous pouvez le voir j’en porte les marques et par la même il m'ôta ma prothèse et mon premier sabre tout deux venant de Seizan lorsque j'y étais. Il ne me restait plus que le casque que le talentueuse Honoka m'avait fabriqué.
A mon retour, il y eut de nombreux rapport et au vu de ce qu’il s’était passé on me nomma au grade supérieur. Un pansement comme un autre qui en définitive ne vint pas à me ravir, car c’était comme-ci je n’avais pas mérité ce rang. Et que c’était même à la créature que je le devais. Bien sûr je saurais faire honneur à ce dernier. Mais ce n’est pas pour autant que je vais me risquer à m’y méprendre. Mon devoir serait fait tant dans ma fonction et mon grade que dans ma foi.
Voilà je vous l’avais dit, mon histoire est courte et guère joyeuse ou passionnante.
iv. Plutôt Yin ou Yang ?
Répond au quiz ci-dessous et partage ton résultat dans la partie adéquat juste après :
Yin 60%
v. Personnalité
Remplacez la valeur de l'attribut "width" pour faire grandir la barre dorée.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Plus le width est proche de 100%, plus l'adjectif de gauche est prédominant.
Ce sont deux jauges complémentaires, dont la somme vaut 100%.
Extraverti
Introverti
Docile
Agressif
Silencieux
Bavard
Réfléchi
Impulsif
Loyal
Fourbe
Honnête
Menteur
Protecteur
Persécuteur
Vertueux
Pervers
Altruiste
Egoïste
Intrépide
Lâche
vi. Dans la réalité tu es ?
► Pseudo(s) fréquent(s): Akari
► Quel âge as-tu ? Entre 20 et 30 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Je ne sais plus
► Comment trouves-tu le forum ? Bien
► T'as un autre compte? Lequel ? Akari
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Toujours oui
► Quel âge as-tu ? Entre 20 et 30 ans
► Comment nous as-tu trouvé ? Je ne sais plus
► Comment trouves-tu le forum ? Bien
► T'as un autre compte? Lequel ? Akari
► Envie d'être Joueur-Narrateur ? Toujours oui
C y a l a n a
Yamato Shin
dit Shiraga no Tennou, 6e Empereur de Onogoro
# Re: Présentation DC Amano Akeno (FINISH) Lun 24 Oct - 21:51
Félicitations !
Te voilà validé!
Bienvenue sur Shinobi no Kitai, tu rejoins Toge no Satô au grade de Chuunin !
Impossible de te donner un grade plus haut en vue de ton histoire il me paraît totalement illogique de donner à un blessé un grade plus haut alors que la dite mission lui a coûté un bras.
Tu obtiens également le grade Adorateur de la Flamme dans le Carbonisme.
J'ai eu quelques soucis d'incohérence avec ta fiche, notamment le moment ou tu te fais coupé le bras sans te défendre, je n'ai pas trouvé ça très logique mais admettons. Pour le reste une histoire assez classsique.
TRAME PERSONNELLE :
Ta vie semble particulièrement marquée par le mal, impossible d’ignorer tous les maux qui consument ta vie. Le chakrisme perturbe le chakra au sein de ton corps jusqu’à sa complète destruction. Tu commences ton aventure à la Phase 1 de cette maladie. Tu as 2 saisons pour trouver un remède à ta maladie, ainsi si tu ne fais rien ta vie prendra fin à la fin de la saison 3.
Phase 1 : Ton chakra est parfois perturbé lors des lancements de tes jutsu. Afin de savoir si tu es réellement impacté nous te demanderons de lancer un !roll 10, si tu fais 1 ton jutsu n’est pas lancé. Tu n’es également plus capable de maîtriser assez ton flux de chakra pour pouvoir marcher sur l’eau ou les surfaces.
Phase 2 : La maladie commence à toucher les organes et des symptômes physiques sont maintenant visibles. De forts maux de ventre, des crampes abdominales et une toux sévère sont les symptômes les plus remarquables. La maîtrise du chakra devient plus complexe, en faisant ton !roll 10 si tu obtiens un 1 ou 2 ton jutsu ne se lance pas.
Phase 3 : La toux devient bien plus grave et s’accompagne maintenant de sang. La majorité des organes sont touchés un à un créant divers symptômes. Au roll tu as maintenant 30% de chance de rater ton jutsu (!roll 10, si tu fais 1, 2 ou 3 ton jutsu ne se lance pas).
TON IMAGE : La malade
Ta vie semble particulièrement marquée par le mal, impossible d’ignorer tous les maux qui consument ta vie. Le chakrisme perturbe le chakra au sein de ton corps jusqu’à sa complète destruction. Tu commences ton aventure à la Phase 1 de cette maladie. Tu as 2 saisons pour trouver un remède à ta maladie, ainsi si tu ne fais rien ta vie prendra fin à la fin de la saison 3.
Phase 1 : Ton chakra est parfois perturbé lors des lancements de tes jutsu. Afin de savoir si tu es réellement impacté nous te demanderons de lancer un !roll 10, si tu fais 1 ton jutsu n’est pas lancé. Tu n’es également plus capable de maîtriser assez ton flux de chakra pour pouvoir marcher sur l’eau ou les surfaces.
Phase 2 : La maladie commence à toucher les organes et des symptômes physiques sont maintenant visibles. De forts maux de ventre, des crampes abdominales et une toux sévère sont les symptômes les plus remarquables. La maîtrise du chakra devient plus complexe, en faisant ton !roll 10 si tu obtiens un 1 ou 2 ton jutsu ne se lance pas.
Phase 3 : La toux devient bien plus grave et s’accompagne maintenant de sang. La majorité des organes sont touchés un à un créant divers symptômes. Au roll tu as maintenant 30% de chance de rater ton jutsu (!roll 10, si tu fais 1, 2 ou 3 ton jutsu ne se lance pas).
TON IMAGE : La malade
Pour débuter
Maintenant que tu entres dans le jeu, tu vas pouvoir t'intéresser à la vie de ton personnage. Tu peux ouvrir son carnet d'aventure. Tu auras besoin de regarder l'Arbre de Compétence pour te spécialiser et compléter ton carnet. Si tu recherches des liens ou une équipe n'hésite pas à venir discuter avec les autres membres sur Discord. Si tu aperçois des choses au fur et à mesure de tes rp, ou que tu penses avoir trouver quelque chose d'intéressant, n'hésites pas à venir nous en parler sur le Discord.
Et surtout maintenant que tu es validé.e tu peux accéder à la section privé de ton village sur le Discord et commencer officiellement tes rp's une fois la paperasse validé. N'oublie pas de regarder les annexes et le Codex afin de mieux comprendre l'histoire de Shinobi no Kitai. Nous te souhaitons de très bons moments de jeu parmi nous !
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