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Inventaire
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Objet: 5/10 ;Paire Poing lame 5 kunais avec chaine rembobinable. 1 katana, 1 potion de veritas
# Le verre de trop. /ft. Misaki Yuki Sam 15 Oct - 9:00
Nessa no kuni, loin au Nord là où le sable laisse place à la neige, la glace et la roche. Les dangers y sont nombreux et on ne peut pas dire que les conditions météo y soient favorables. Le vent étant constamment au rendez-vous à cause des courants d’air chaud du désert et des courant frais de la mer du Nord. Et c’est sous un ciel obscur qu’il se rend là-bas où il doit y retrouver sa camarade de mission. La personne en question est censée l’attendre dans l’auberge des Frères Shijuu Il. Un lieu de grande réputation en ce qui concerne les boissons, les repas ou bien les commérages qui parcours le désert et même parfois plus loin encore.
Profitant de son voyage sans trop se hâter, les pas lents sur les quelques pierres qui ornent son chemin. Il préfère d’autant plus marcher sur de la terre et de la roche que sur du sable. Irritant tant pour l’âme que pour les yeux, le sable est pour Akari comme le reflet de ce qu’il sera et de ce qu’il était. Limpide il s’écoule comme le temps, et le garçon se dit même que c’est pour cela que l’on utilise les sabliers.
L’auberge se fait visible et cela juste avant que le ciel ne daigne laisser chuter ses larmes. Peu nombreuses au départ, il a suffi de quelques mètres au garçon pour qu’il se retrouve sous un flot constamment et presque semblable aux larmes des yeux lors de leurs grandes colères qu’ils laissent s’abattre sur le monde. Poussant la porte vêtue de quelques plantes grimpantes que e fatigue à retirer chaque mois. Il peut voir à l’intérieur l’inverse de l’extérieur. Là il n’y a plus de froid et d’humidité, mais bien la chaleur réconfortante d’un bon feu au bois sec. Les braises s’envolent et le bois crépite, une buche vient même à se séparer en deux sous la pression des flammes ardentes, couvrant alors le bruit de la porte qui se referme derrière Akari.
Cherchant des yeux le moindre bandeau, il ne trouve pas son bonheur sur l'instant peut-être doit-il attendre ou bien alors se remettre de ses peines. Mais qu’importe, il s’installe au comptoir et profite d’une pause pour se remémorer ses objectifs de mission. Simples, claires, et concises, les directives sont d’enquêter et non d’intervenir dans la région afin de pouvoir débusquer le repère de brigands qui semblent s’amuser à piller et saccager la raison en défiant la loi de l’Empire.
On les dit loin dans la montagne, mais si c’est le cas. Alors le garçon se demande s’il n’y a pas un éclaireur ou bien un espion au sein du village. Un personnage qui viendrait chercher ses informations notamment dans des lieux comme celui où il se trouve et où il attend sa camarade. Mais le serveur vient l’interrompre dans ses intrigues.
-Qu’est-ce que je po bien vous servir mon ptit monsieur ?
L’homme semble être l’un des frères en charge de ce lieu ou alors un de leurs employés. Ni grossier ou agressif, il use toutefois d’un langage simplifié que l’on accorde et attribue souvent aux gens des campagnes. Peut-être est-ce là un moyen pour eux de se donner une identité face aux gens de la ville ou bien n’est-ce là qu’une évolution involontaire de la culture.
-Je vous prendrais volontiers un lait de chèvre.
L’homme est surpris de voir une commande si maigre. Ses yeux s’ouvrent et se fixent un instant sur le garçon. Il n’y avait aucune chance pour qu’il puisse considérer Akari comme apte à boire de l’alcool. Aussi il ne força pas plus le destin à lui accorder davantage de pièces.
-Très bien po de soucis, ça fera deux pièces.
Sans discuter le jeune homme des sables chauds à la chevelure d’argent et de diamant sort sa bourse et y déloge deux pièces. La somme est modeste, deux cents yens ne sont pas ce qu’on peut qualifier de chère pour une boisson comme celle-ci. Même si la région produit son propre lait de qualité sans avoir le besoin de l’importer d’un village voisin ou autre. Et avant que son verre ne lui soit servi, le froid vint à s’inviter de nouveau. Le vent frais caresse les flammes du brasier et le bruit sourd de la pluie oblige les gens à parler plus fort qu’ils ne le faisaient d’ores et déjà.
Akari se retourne alors vers la silhouette dans l’espoir que cela soit son contact. Il avait pris soin de retirer son manteau pour laisser apparaitre son bandeau à son bras.
Profitant de son voyage sans trop se hâter, les pas lents sur les quelques pierres qui ornent son chemin. Il préfère d’autant plus marcher sur de la terre et de la roche que sur du sable. Irritant tant pour l’âme que pour les yeux, le sable est pour Akari comme le reflet de ce qu’il sera et de ce qu’il était. Limpide il s’écoule comme le temps, et le garçon se dit même que c’est pour cela que l’on utilise les sabliers.
L’auberge se fait visible et cela juste avant que le ciel ne daigne laisser chuter ses larmes. Peu nombreuses au départ, il a suffi de quelques mètres au garçon pour qu’il se retrouve sous un flot constamment et presque semblable aux larmes des yeux lors de leurs grandes colères qu’ils laissent s’abattre sur le monde. Poussant la porte vêtue de quelques plantes grimpantes que e fatigue à retirer chaque mois. Il peut voir à l’intérieur l’inverse de l’extérieur. Là il n’y a plus de froid et d’humidité, mais bien la chaleur réconfortante d’un bon feu au bois sec. Les braises s’envolent et le bois crépite, une buche vient même à se séparer en deux sous la pression des flammes ardentes, couvrant alors le bruit de la porte qui se referme derrière Akari.
Cherchant des yeux le moindre bandeau, il ne trouve pas son bonheur sur l'instant peut-être doit-il attendre ou bien alors se remettre de ses peines. Mais qu’importe, il s’installe au comptoir et profite d’une pause pour se remémorer ses objectifs de mission. Simples, claires, et concises, les directives sont d’enquêter et non d’intervenir dans la région afin de pouvoir débusquer le repère de brigands qui semblent s’amuser à piller et saccager la raison en défiant la loi de l’Empire.
On les dit loin dans la montagne, mais si c’est le cas. Alors le garçon se demande s’il n’y a pas un éclaireur ou bien un espion au sein du village. Un personnage qui viendrait chercher ses informations notamment dans des lieux comme celui où il se trouve et où il attend sa camarade. Mais le serveur vient l’interrompre dans ses intrigues.
-Qu’est-ce que je po bien vous servir mon ptit monsieur ?
L’homme semble être l’un des frères en charge de ce lieu ou alors un de leurs employés. Ni grossier ou agressif, il use toutefois d’un langage simplifié que l’on accorde et attribue souvent aux gens des campagnes. Peut-être est-ce là un moyen pour eux de se donner une identité face aux gens de la ville ou bien n’est-ce là qu’une évolution involontaire de la culture.
-Je vous prendrais volontiers un lait de chèvre.
L’homme est surpris de voir une commande si maigre. Ses yeux s’ouvrent et se fixent un instant sur le garçon. Il n’y avait aucune chance pour qu’il puisse considérer Akari comme apte à boire de l’alcool. Aussi il ne força pas plus le destin à lui accorder davantage de pièces.
-Très bien po de soucis, ça fera deux pièces.
Sans discuter le jeune homme des sables chauds à la chevelure d’argent et de diamant sort sa bourse et y déloge deux pièces. La somme est modeste, deux cents yens ne sont pas ce qu’on peut qualifier de chère pour une boisson comme celle-ci. Même si la région produit son propre lait de qualité sans avoir le besoin de l’importer d’un village voisin ou autre. Et avant que son verre ne lui soit servi, le froid vint à s’inviter de nouveau. Le vent frais caresse les flammes du brasier et le bruit sourd de la pluie oblige les gens à parler plus fort qu’ils ne le faisaient d’ores et déjà.
Akari se retourne alors vers la silhouette dans l’espoir que cela soit son contact. Il avait pris soin de retirer son manteau pour laisser apparaitre son bandeau à son bras.
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